Carthage

 

Carthage est fondée par des Phéniciens sur les rives du golfe de Tunis en 814 av. J.-C.

 

Les phéniciens

Les Grecs désignent ce peuple sous le nom de « Phéniciens » ou Φοινικήϊος, terme provenant du mot grec « pourpre » (φοῖνιξ ou phoĩnix), spécialité répandue par les commerçants phéniciens et issue du coquillage dénommé murex. Le terme « Puniques » qui qualifie les Phéniciens d’Occident signifie « phénicien » en latin.

 

Les Phéniciens sont un peuple antique, originaires des cités de Phénicie, région qui correspond approximativement au Liban actuel. De profonds changements ont lieu vers 1200 av. J.-C., époque où les cités se développent et apparaissent puissantes. On y parle alors une langue sémitique, semblable à l’hébreu ancien, qui se nomme le canaanite.

 

Face à un arrière-pays limité, le développement ne pouvait venir que de la mer. De ce fait, les Phéniciens vivent du commerce et disposent de ports importants, ce développement étant à relier à des progrès dans la construction navale comme l’usage du bitume. Cet état de fait constitue l’élément déclencheur du phénomène de colonisation : c’est depuis leur cité principale de Tyr qu’ils fondent des postes commerciaux à travers le bassin méditerranéen.

Pour assurer des escales à leur flotte marchande et conserver un monopole sur les ressources naturelles des régions méditerranéennes, les Phéniciens établissent de nombreuses colonies sur le littoral. La recherche de matières premières, en particulier de minerai, est l’une des finalités principales de ce mouvement. Le minerai recherché était l’argent, l’étain et le cuivre, sans oublier l’or. Ils fondent donc ces comptoirs à des fins commerciales — pour payer le tribut exigé par Tyr, Sidon et Byblos —, mais aussi par crainte d’une totale emprise des Grecs sur la Méditerranée qui signifierait la ruine de leur commerce. Ils ne sont cependant pas assez nombreux pour établir des cités autonomes et beaucoup de leurs comptoirs atteignent à peine les 1 000 habitants.

Après un certain nombre de créations coloniales en Méditerranée orientale, en particulier à Chypre et Rhodes, les fondations les plus anciennes en Méditerranée occidentale sont Lixus, Gadès en 1110 av. J.-C. et Utique en 1101 av. J.-C. La première phase est considérée comme « pré-coloniale », la colonisation se situant à proprement parler à compter du IXe et de façon plus assurée au VIIIe siècle av. J.-C.1

Carthage est donc fondée en 814 av. J.-C. Son histoire n’est guère facile à étudier en raison de sa destruction complète par les Romains en 146 av. J-C.

Comme tous les comptoirs phéniciens, Carthage doit, en signe d’allégeance et de piété, verser un tribut à Tyr. Cependant, le déclin de cette dernière face à la progression des Grecs aurait incité la cité punique à prendre son indépendance au cours de la seconde moitié du VIIe siècle av. J.-C.

 

Expansion de Carthage en méditerranée et en Afrique

Un siècle et demi après la fondation de la ville, les Carthaginois se seraient installés aux îles Baléares, selon une interprétation d’un texte de Diodore de Sicile, puis dominent l’ouest de la Sicile, le sud de la Sardaigne et, alliés aux Étrusques, repoussent les Grecs hors de Corse lors de la bataille d’Alalia de 540-535 av. J.-C. Ils contrôlent alors la totalité du commerce et de la navigation en Méditerranée occidentale et possèdent de nombreux territoires à l’intérieur comme à l’extérieur de l’Afrique : Maurétanie, Numidie, Ibérie, Ibiza, Sicile, Sardaigne et Corse. Comme dans le cas de Rome, son ennemie mortelle, le nom de la ville englobe tous les territoires soumis à sa juridiction.

L’« empire » punique, dont la formation et le fonctionnement ne relèvent pas d’un impérialisme au sens strict, est désormais considéré comme une sorte de confédération des colonies préexistantes derrière la plus puissante d’entre elles au moment du déclin de la cité mère, Tyr. Carthage aurait été chargée d’assurer la sécurité collective et la politique extérieure, voire commerciale, de la communauté.

La prospérité de Carthage, liée au commerce maritime, entraîne une rivalité avec les Grecs sur le territoire sicilien. C’est pourquoi l’île reste longtemps une zone d’affrontements locaux, dus à la volonté des protagonistes d’implanter des comptoirs ou des colonies sur ses côtes.

Au début du Ve siècle av. J.-C., le conflit change de nature : Gélon, tyran de Syracuse, tente d’unifier l’île avec le soutien de plusieurs cités grecques. La guerre, inévitable, éclate avec Carthage, qui obtient peut-être l’aide de l’Empire perse. Trois guerres se succéderont aboutissant a la victoire finale de Carthage.2

 

Antagonisme avec Rome

Au IIIe siècle av. J.-C., Carthage est une puissante cité-État au commerce florissant. Des grandes cités-États de la Méditerranée occidentale, seule Rome constitue une rivale en matière de puissance, richesse et population. Alors que la flotte de Carthage est la plus développée à cette époque, la cité ne maintient pas une grande et permanente armée terrestre. Pour mener ses guerres, elle compte plutôt sur des mercenaires engagés grâce à son immense fortune. Cependant, la plupart des officiers qui commandent les armées sont des citoyens carthaginois réputés pour leur habileté à la navigation et, contrairement à leurs armées, beaucoup de Carthaginois de rangs inférieurs servent dans la marine, qui leur procure un revenu et une carrière stable.

En 264 av. J.-C., la République romaine prend le contrôle de la péninsule italienne au sud du Pô. Contrairement à Carthage, Rome possède de grandes armées terrestres composées presque exclusivement de citoyens romains et alliés. Les plébéiens, classe inférieure de la société, servent habituellement comme fantassins dans les légions romaines alors que la classe supérieure des patriciens fournit le corps des officiers. Mais les Romains ne possèdent pas de grande flotte et sont donc désavantagés jusqu’à ce qu’ils commencent à développer leur propre force navale pendant la Première Guerre punique.

 

Les guerres puniques

Il y aura au total trois guerres entre Carthage et Rome. À la fin de la Troisième Guerre punique, après plus de cent ans de conflit et la mort de centaines de milliers de soldats et de civils des deux côtés, Rome parvient à conquérir le territoire carthaginois. Le siège s’achève en 146 avant. J.-C. par la destruction complète de la ville après une guerre de rues particulièrement féroce et le siège final de la citadelle située sur la colline de Byrsa.

Au XXe siècle, une théorie a indiqué que les Romains ont répandu du sel sur les terres agricoles de Carthage pour empêcher de cultiver la terre, théorie désormais totalement démentie, l’Afrique devenant par la suite le « grenier à blé » de Rome. Le territoire de l’ancienne cité est néanmoins déclaré « sacer » par les romains, c’est-à-dire maudit. La page punique de l’histoire de la cité se tourne ainsi sur ce qui est qualifié de « premier génocide » par Ben Kiernan, avec des exécutions massives dont nous avons des traces tant écrites qu’archéologiques par les fosses communes trouvées par le père Delattre sur le flanc de la colline de Byrsa et contenant des cadavres entassés à la hâte.3

 

Politique et société

L’organisation politique de Carthage était louée par de nombreux auteurs antiques qui mettaient en avant sa « réputation d’excellence ». Si peu de détails sont connus sur le gouvernement de la grande cité, on dispose néanmoins d’un texte précieux d’Aristote qui la dépeint comme un modèle de constitution « mixte », équilibrée et présentant les meilleures caractéristiques des divers types de régimes politiques.

Plus conforme aux traditions orientales et de Tyr, le gouvernement devait être comparable à celui de Rome, avec un Sénat et deux suffètes (littéralement « juges ») élus chaque année mais appelés « rois » par les Romains et les Grecs en raison de leur incapacité à trouver dans leur culture un terme adéquat pour transmettre la réalité punique. On pense que ces suffètes exerçaient à la fois le pouvoir judiciaire et exécutif mais non le pouvoir militaire, réservé à des chefs élus séparément chaque année par l’assemblée du peuple et recrutés parmi les grandes familles de la cité. Le cas d’Hannibal Barca peut être souligné, étant élu suffète après la défaite de Zama, en 196 av. J.-C. selon Tite-Live. Le pouvoir des suffètes était vraisemblablement un pouvoir civil d’administration de la chose publique.

La société carthaginoise était très stratifiée : une aristocratie d’origine tyrienne devait détenir l’essentiel du pouvoir économique, politique et religieux ; le reste de la population se partageait entre une proportion inconnue d’artisans et de commerçants et un prolétariat hétéroclite composé d’esclaves mais aussi de populations natives, voire puniques. La place des femmes reste encore sujette à débat. L’aristocratie carthaginoise avait comme caractéristiques son origine tyrienne, sa fortune liée à des fonctions d’armateurs puis de propriétaires fonciers, son rôle dans les magistratures et un mode de vie particulier dans un habitat luxueux (au cap Bon ou dans le quartier de Mégara). Hannibal Barca appartenait a l’aristocratie carthaginoise.4

 

Hannibal Barca

Hannibal Barca est né en 247 av. J.-C. à Carthage (au nord-est de l’actuelle Tunis en Tunisie) et mort par suicide entre 183 et 181 av. J.-C. en Bithynie (près de l’actuelle Bursa en Turquie). C’est un général et homme politique carthaginois, généralement considéré comme l’un des plus grands tacticiens militaires de l’histoire.

Il grandit durant une période de tension dans le bassin méditerranéen, alors que Rome commence à imposer sa puissance en Méditerranée occidentale : après la prise de la Sicile et de la Sardaigne, conséquence de la Première Guerre punique, les Romains envoient des troupes en Illyrie et poursuivent la colonisation de l’Italie du Nord. Élevé, selon la tradition historiographique latine, dans la haine de Rome, il est, selon ses ennemis, à l’origine de la Deuxième Guerre punique que les Anciens appelaient d’ailleurs « guerre d’Hannibal ».5

Lors de la deuxièmes guerre punique, en 219 av. J.-C., il attaque et prend la ville espagnole de Sagunto, alors alliée aux Romains. Puis il part vers le nord avec ses mercenaires ibères et ses éléphants de guerre. Il traverse les Pyrénées et entre en Gaule transalpine. Il traverse les Alpes avec 40 éléphants et 80 000 hommes d’après les récits de l’époque. Passé en Gaule cisalpine (nord de l’Italie actuelle), il y recrute des mercenaires gaulois qui se soulèvent contre la domination romaine. Il marche alors sur Rome. Il écrase les légions romaines au lac Trasimène en 217 av. J.-C., puis à la bataille de Cannes en 216 av. J.-C. À l’occasion de la bataille de Cannes, il se révèle être un grand tacticien, car il détruit une armée romaine deux fois plus importante que la sienne en effectuant un recul volontaire de son centre, puis en lançant un mouvement enveloppant de l’ennemi par ses deux ailes de cavalerie.

Mais faute de matériel de siège, Hannibal refuse d’attaquer Rome qui est alors sans défense. Son armée passe dans le sud de l’Italie où elle va rester près de treize années. Les Romains du consul Fabius Cunctator lui mènent une guerre d’usure. L’enlisement du conflit joue en sa défaveur : épuisement de son armée, manque de soutien du gouvernement de Carthage (où le parti des riches souhaiterait moins de dépenses de guerre), puis des échecs successifs contre l’armée romaine reconstituée. L’expédition de secours menée par son frère Asdrubal est vaincue par les Romains en 207 av. J.-C. dans le nord de l’Italie. En 203 av. J.-C., il est rappelé à Carthage, qui est alors directement attaquée par les Romains commandés par Scipion l’Africain. Celui-ci, avec l’aide du roi de Numidie Massinissa, écrase l’armée carthaginoise d’Hannibal à Zama (dans l’actuelle Tunisie) en 202 av. J.-C. Carthage doit abandonner l’Espagne, sa flotte et ses éléphants de guerre sont détruits, et elle doit payer une énorme indemnité de guerre.

Après la deuxième guerre punique, avec l’aide de l’armée et du peuple, Hannibal est élu suffète (un des deux dirigeants de la ville). Il tente des réformes en faveur du peuple. Mais en 195 av. J.-C., il doit s’exiler en Asie chez le roi Antiochos de Syrie, qu’il aide dans sa guerre contre les Romains. Mais Antiochos perd en 189 av. J.-C., Hannibal se réfugie en Bythinie (dans l’actuelle Turquie). Les Romains demandent à Hannibal de se livrer, celui-ci préfère se suicider en s’empoisonnant en 183 av. J.-C.6

 

Bilan paradoxal

À sa mort, disparaît sans aucun doute la plus grande menace que la République romaine ait affrontée. Pourtant, son bilan personnel est un échec. La Méditerranée occidentale devient un « lac romain » et Carthage est en sursis. Rome étend par ailleurs son emprise sur le monde grec et sur l’Asie. Mais en même temps, et c’est le paradoxe de son bilan, en tentant de détourner — par son discours sur la liberté des cités — les cités grecques de l’alliance avec Rome, il force cette dernière à légitimer ses actions et à se comporter en grande puissance impérialiste. C’est en cela qu’Hannibal est au cœur de l’histoire romaine et grecque.

Longtemps après sa mort, le nom d’Hannibal continue de perpétuer symboliquement le spectre d’une menace sur la République romaine. On écrit qu’il décrit les Romains, qui se proclament les fiers descendants de Mars, comme des représentants de l’effroi. Pendant des générations, les matrones romaines continuent à raconter à leurs enfants des contes effrayants quand ils se comportent mal. Hannibal symbolise tellement l’horreur que, quel que soit le désastre qui survient, les sénateurs romains hurlent Hannibal ad portas (Hannibal est à nos portes !) afin d’exprimer leur anxiété. Cette locution latine célèbre évolue plus tard en une expression qui est encore couramment utilisée quand un client franchit une porte ou quand quelqu’un doit faire face à une calamité. De telles expressions prouvent l’impact psychologique qu’a eu la présence d’Hannibal en Italie sur la culture romaine.

Dans ce contexte, une admiration (forcée) est évidente dans les écrits des historiens romains Tite-Live et Juvénal. D’autre part, les Romains vont jusqu’à ériger des statues du général carthaginois dans les rues même de Rome afin de figurer leur défaite en face d’un tel adversaire. Il est plausible de penser qu’Hannibal est à l’origine de la plus grande peur que Rome ait jamais éprouvée face à l’un de ses ennemis.

 

Monde moderne

Le nom « Hannibal » est commun dans le monde moderne et la culture populaire. Comme pour d’autres chefs militaires, les victoires d’Hannibal sur des forces supérieures, et une cause finalement perdue, lui confèrent une renommée qui lui survit bien au-delà des frontières de son pays d’origine en Afrique du Nord (actuelle Tunisie). Sa traversée des Alpes demeure ainsi un fait militaire parmi les plus spectaculaires des guerres de l’Antiquité et mobilise depuis l’imagination du monde de façon romancée au travers de multiples productions artistiques.7

 

 

Carthage fut fondée par des colons phéniciens de Tyr en 814 av. J.-C.

Le nom « Carthage » provient du phénicien Qart-Hadašt qui signifie en arabe « ville NEUVE ».

Le masculin du mot « NEUVE » est « NEUF ».

NEUF = 9

Carthage fut fondée en 814 et avec le 9 nous obtenons l'année 1984.

Mohamed Bouazizi est né en 1984 en Tunisie (pays où se situait Carthage). Son immolation par le feu, le 17 décembre 2010, fut à l’origine des émeutes qui ont concouru au déclenchement de la révolution tunisienne, aboutissant au départ du dictateur Ben Ali.

Mohamed Bouazizi, né en 1984, est donc à l’origine de la naissance de la démocratie en Tunisie.

Son suicide a ainsi fondé des « villes NEUVES », débarrassées de la dictature.

Carthage a été fondé en 814 av. J.-C. par les Phéniciens de TYR.

La démocratie nous permet de TIRER sur le diable le jour de l’élection présidentielle.

 

D’après la légende, ce serait la reine Didon ou Elyssa, sœur du roi de Tyr, qui fonda la cité. La reine aurait demandé au souverain voisin, Hiarbas, un roi berbère, l’autorisation de fonder un royaume sur ses terres. Celui-ci lui offrit alors un terrain aussi grand qu’une peau de vache. La reine, plus maligne, fit couper une peau de vache en lanières très fines et traça les contours de Carthage. En référence à cette fondatrice mythique, les Carthaginois sont parfois surnommés les « enfants de Didon » dans la littérature.8

 

DIDON = DI DON

DI = 49

Le département 49 est celui du MAINE-et-LOIRE.

Les mots « MAIN » ET « LOI » symbolisent le vote à travers lequel l’électeur peut changer la LOI avec sa MAIN.

Le vote, c’est-à-dire la démocratie, est un DON de Dieu.

Mohamed Bouazizi est né le 29 mars 1984 (29 3 1984).

29 3 = BIC

BIC est une marque de STYLOS.

Dieu nous fait comprendre qu’il ÉCRIT chaque ligne de l’histoire de l’humanité. Il a ainsi créé Mohamed Bouazizi pour apporter la démocratie aux Tunisiens.

 

Les signes associent Carthage à la démocratie.

La reine fondatrice de Carthage s’appelait Didon ou ELYSSA.

ELYSSA = 5+12+25+19+19+1 = 81

81 = HA

H A sont les initiales d'Hitler Adolf : le dirigeant du IIIe REICH.

ELYSSA = ELY SS

Les SS étaient des soldats du IIIe REICH.

Dieu nous fait ainsi comprendre que l'électeur agit comme un SS lorsqu'il ÉLIT un homme politique au service du RICHE capitaliste – car l'inégale redistribution des richesses de la Terre extermine des millions de pauvres chaque année.

Carthage = 1984

Le roman 1984 symbolise le totalitarisme.

Nous vivons actuellement dans une démocratie « totalitaire » qui nous endoctrine afin que nous ne prenions jamais conscience que le RICHE extermine le pauvre.

 

Hannibal Barca a lutté contre Rome pour prendre le contrôle du monde méditerranéen. Hannibal avait plusieurs vices dont la cruauté, le goût immodéré du pillage et du butin, la ruse et même la perfidie. À l’instar d’un Jules César, d’un Alexandre ou d’un général de Gaulle, Hannibal Barca appartient à cette lignée de conquérants qui a fait couler un bain de sang pour construire un empire.

HANNIBAL = BAL

Hannibal (en phénicien Hanni-baal) signifie « qui a la faveur de BAAL ».

BAAL est une idole, un faux dieu. Les textes bibliques témoignent de la « lutte acharnée » qui prend place à partir du IXe siècle contre la vénération des divinités qu’incarne Baal qui concurrencent YHWH (Dieu), divinité d’Israël en voie de « monothéisation9 ». BAAL détourne ainsi les hommes de Dieu.

HANNIBAL est une sorte d’idole car des statues ont été dressées à son effigie, et son profil figurait sur le billet de 5 dinars tunisiens mis en circulation le 8 novembre 1993 ainsi que sur un autre billet mis en circulation le 20 mars 2013. Son nom est également donné à une chaîne de télévision privée, Hannibal TV.10

Les hommes sont fascinés par des conquérants sanguinaires.

HANNIBAL = HANNI BAL

HANNI = 8+1+14+14+9 = 46

Hannibal a fait couler beaucoup de SANG pour construire un empire.

Carthage a été complètement détruite par les Romains en 146 av. J.-C.

146 se prononce SANG 46.

La reine ELYSSA, fondatrice de Carthage, était également appelée DIDON

DIDON = 4+9+4+15+14 = 46

Carthage était programmée pour être détruite en SANG 46.

Le département 46 est celui du LOT.

LO = L’EAU

T = 20 = VIN

Le nom de famille d’Hannibal est BARCA.

BARCA = BAR

Le chiffre 46 symbolise la dualité entre l’Alliance de l’EAU et celle du VIN.

Dans un BAR, nous pouvons commander du VIN ou de l’EAU.

Le VIN symbolise le SANG et les hommes qui boivent le VIN sont attirés par les conquérants sanguinaires puisque le VIN trouble la vision.

L’EAU ramène les hommes à la raison car elle leur permet de se rendre compte que Dieu n’aurait jamais imprimé sur un billet de banque, l’effigie d’un sanguinaire prédateur.

L’EAU doit ainsi permettre au peuple français de se rendre compte qu’on ne donne pas à un aéroport parisien – l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle – le nom de l’un des plus grands criminels de l’histoire de l’humanité.

Actuellement, les hommes votent pour des criminels comme HANNIBAL parce qu’ils ne se rendent pas compte que ce sont des tueurs.

 

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HANNIBAL Lecter est un tueur en série de fiction créé par Thomas Harris. Il est incarné par l’acteur Anthony Hopkins dans le film Le Silence des agneaux.

Hannibal Lecter est né en Lituanie, à Kaunas, dans une famille de la vieille noblesse balte. Il possède une maîtrise totale de la rhétorique, hypnotisant littéralement son public. Derrière un sourire carnassier aux dents blanches, une politesse raffinée, se cache un implacable criminel amoral qui ne connaît ni pitié, ni remords11. Hannibal Lecter a la particularité de dévorer ses proies.

Comme Hannibal Lecter, les hommes politiques cachent leur vraie nature derrière leurs sourires angéliques et leurs beaux discours dans lesquels ils parlent de « démocratie », de « liberté » ou de « droits de l’homme », à l’instar de l’ex-ministre de la Justice, Christiane Taubira, qui citait le passage d’un poème de Léon-Gontrand Damas devant l’Assemblée nationale, afin de nous faire croire qu’elle était du côté des « GUEUX », alors qu’au même moment, elle défendait un système économique qui exterminait ces GUEUX pour permettre aux capitalistes français de s’engraisser de profits dans les pays du Tiers Monde : c’est le capitalisme cannibale.

À travers HANNIBAL LECTER, Dieu nous fait comprendre que l’ÉLECTEUR d’un parti capitaliste vote pour un CANNIBALE – car le capitalisme s’engraisse de profits en dévorant le corps de millions de pauvres.

Dans Le Silence des agneaux, Hannibal Lecter est interné à l’hôpital psychiatrique de très haute sécurité de BALTIMORE.

BALTIMORE = BALTI  MORE

MORE = ROME

Hannibal LECTER = le LECTEUR de CD-ROME.

Jésus nous a demandé de « laisser à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu ».

César symbolise le riche capitaliste qui dévore ses victimes afin de s’engraisser de profits pour agrandir son empire.

Dieu nous demande désormais de nous saisir du LECTEUR afin de changer le CD-ROME.

Il est temps d’abolir le règne de CESAR : sa place est dans un hôpital psychiatrique.

 

BALTIMORE = BALTI ROME

BALTI = 2x1x12x20x9 = 04320

Le code postal 04320 est celui de la commune de VILLEVIEILLE.

Carthage signifie en arabe « VILLE NEUVE ».

La VIEILLE VILLE est celle de ROME et Dieu nous demande désormais de créer une VILLE NEUVE dans laquelle César sera enfermé dans un hôpital psychiatrique.

Un monde civilisé aurait criminalisé depuis longtemps le capitalisme qui a « créé » selon Jean Ziegler : « l'ordre cannibale du monde ».

Dieu nous demande ainsi de créer une VILLE NEUVE par le biais de la démocratie.

HANNIBAL = BAL

BAL = 21 12

21 12 = 21 décembre

Le 21 décembre 2012 avait lieu la fin du monde dans le calendrier maya, qui annonçait le début d’un nouveau monde.

Pour que ce nouveau monde puisse éclore, nous devons commencer par enfermer les cannibales dans des hôpitaux psychiatriques. La loi sera alors leur camisole de force.

CAPITALISME = CANNIBALISME

BALTI = 04320

432 = DC2

D C 2 se prononce DÉCÉDE.

Actuellement, des millions d’êtres humains DECÈDENT chaque année car nous votons pour des psychopathes qui seraient internés dans des hôpitaux psychiatriques dans n’importe quelle planète un tant soit peu civilisée.

Le code postal 04320 est également celui de la commune de SAUSSES, car des millions d’enfants sont dévorés chaque année à la SAUSSE capitaliste, par des cannibales qui n’arrêteront jamais de se goinfrer si nous ne prenons pas le pouvoir en main afin de les en empêcher.

 

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est zzzzp.jpg.

 

Le Silence des agneaux est notre silence face à ce massacre, puisque nous laissons des loups dévorer des millions d’agneaux dans une indifférence générale.

Regardez sur internet les photos des enfants des pays du Tiers Monde, ils ont le corps décharné parce que les capitalistes-cannibales leur ont dévoré la chaire afin de s’engraisser de profits en volant leurs richesses. Alors jusqu’à quand allons-nous rester silencieux devant une telle barbarie ?

 

 

Le tophet de Carthage est une ancienne aire sacrée dédiée aux divinités phéniciennes Tanit et Baal situé dans le quartier carthaginois de Salammbô, en Tunisie, à proximité des ports puniques. Ce tophet, « hybride de sanctuaire et de nécropole », regroupe un grand nombre de tombes d’enfants qui, selon les interprétations, auraient été sacrifiés ou inhumés en ce lieu après leur mort prématurée.12

Les historiens ne sont pas sûr à 100 % que des enfants ont été sacrifiés à Carthage pour satisfaire les dieux Tanit et Baal, mais par contre, nous sommes sûrs aujourd’hui à 100 % que des millions d’enfants sont sacrifiés chaque année par les capitalistes pour satisfaire les exigences du dieu Argent.

 

Carthage a été fondée en 814 av. J.-C. par des Phéniciens de TYR.

Le jour de l’élection présidentielle, lorsque vous déposez le bulletin de vote d’un parti capitaliste dans l’urne, vous TIREZ une balle dans le dos de 30 millions d’enfants en 5 ans.

Comprenez bien désormais que votre TIR aura des conséquences.

 

Il reste encore dans notre pays des citoyens lucides, je vous transmets le poème de l’un d’entre eux, dont le titre est : « CAPITALISME CANNIBALE… SUPREME ANIMAL » :

 

Exploitation… Esclavage
Deux simples mots en héritage
Qui te parviennent du fond des âges !
Personne ne connaît ton visage.
Dans ton royaume illusoire
Règne souffrance et désespoir
La liberté n’est qu’un mirage
Car jamais, rien de bien tu ne partages

Digne héritier du mal.
… Capitalisme cannibale.

Mondialisation frénétique
Sans frontière, sans limite,
Pour trafics illicites
Trafics d’armes ou de drogue
De chair humaine, main d’œuvre, de la viande …
Quelle est la valeur de la vie !
Contre tes intérêts, tes profits …

Cupide monstre sans morale,
Capitalisme cannibale …

Paradis fiscaux virtuels
Pour échapper à la gabelle
Multinationales ou filiales
Pour blanchiment d’argent sale
États mafieux sous tes ordres
Pour corruptions de toutes sortes
Politiques à tes bottes
Tu t’en mets plein les poches

Prédateur homme animal
Capitalisme cannibale

Ils font tout appel à toi
Pour se prendre pour un roi
Ton domaine est corbeille
Cotations, valeurs boursières
Tu ne connais qu’un langage
Intérêts, bénéfices, pourcentages …

Tu touches toujours la timbale
Capitalisme cannibale

Délit d’initié en sous-sol
En col-blanc, requin, virtuose
Bénéfice et magouilles autorisées
Sans jamais t’inquiéter
Dans ton procès trafiqué
Car la loi, la justice,
C’est bien toi qui les paye

Manipulateur sans égal,
Capitalisme cannibale …

Tu détiens toutes les ficelles
Pour conclure vite fait tes affaires
Sales ou propres peu t’importe,
Du moment qu’à toi ça te rapporte !
Compression de personnel
Tu gèles même les salaires
Tu vires des gens à la pelle
Pour satisfaire tes actionnaires

Tu ne fais pas dans le social,
Capitalisme cannibale …

Avec la complicité des États
Tes contrats bidons durent 3 mois
Tu touches des primes à l’emploi
De tous ces pantins sans courage
Avec le spectre du chômage
Tu obtiens toujours tes avantages
On t’accorde tous les crédits
Pour consolider tes acquis

Les emplois, c’est commercial
Capitalisme cannibale

Millions d’humains plongés
Dans la misère, dans le doute
J’assiste impuissant au flot
Que tu déverses sur la route !
Victimes de tes mensonges,
Tes trahisons, tes parjures
Toi sans remords, ni scrupule,
Tu délocalises, tu restructures

Des lois trop souvent idéales
Capitalisme cannibale

Je me battrais contre ton indifférence
Je serais ton cauchemar, ta conscience,
Ce sera mon combat le bien contre le mal
Capitalisme cannibale

Le bien contre le mal,

Capitalisme cannibale …

L’HUMAIN D’ABORD

 

Merci à L’HUMAIN D’ABORD

Après ce cri, cet écrit, je n’ai rien à dire si ce n’est : …

ON NE LACHE RIEN MES AMIS !!! 13

 

Nous sommes nombreux à être révoltés contre la barbarie du système capitaliste mais nous sommes désunis politiquement, donc Dieu a multiplié les signes pour nous unir derrière L.O. et le NPA afin de renverser le capitalisme cannibale ; et vous n’êtes pas obligés de croire en Dieu pour rejoindre cette révolution. Vous avez tout à fait le droit de ne pas me croire mais profitez de cette opportunité qui nous est offerte aujourd’hui pour créer un nouveau mouvement et ainsi faire trembler les capitalistes qui se croyaient jusqu’alors intouchables.

 

Reprenons la traduction des signes.

Le personnage d’Hannibal Lecter a été incarné au cinéma par Anthony Hopkins et ce dernier a remporté l’Oscar du meilleur acteur pour son rôle dans Le Silence des agneaux, lors de la 64e cérémonie des Oscars en 1992.

« L’Union soviétique a implosé en août 1991. Avant cette date, un homme sur trois sur la planète vivait sous un régime communiste. Bien que cette désignation n’ait eu de "communiste" que le nom – l’URSS n’étant dans son stade ultime qu’une dictature policière corrompue –, la bipolarité de la société planétaire était une évidence. Les classes capitalistes de l’Occident vivaient dans la crainte permanente que, par leur vote, les citoyens et citoyennes européens, américains, etc., n’adhèrent au système et à l’idéologie communiste. Elles procédèrent donc à une redistribution certes mesurée, mais volontaire de leurs richesses, impliquant une intervention de l’État dans les mécanismes de l’économie.

Le modèle économique keynésien (…) prônait une politique alternative à celle du libéralisme classique : une croissance économique assurée par l’augmentation graduelle du pouvoir d’achat des travailleurs et la mise en  place d’un État providence garantissant aux classes dépendantes un minimum de sécurité sociale.

Mais, avec la fin de l’empire soviétique, la bipolarité disparut et avec elle le danger démocratique comme menace permanente pour le monopole du pouvoir politique et financier des classes dominantes occidentales. »14

L’URSS fut dissoute le 26 décembre 1991, ce qui marqua officiellement le début du règne quasi-total du capitalisme dans le monde entier.

Ainsi, Anthony Hopkins remporta en 1992 l’Oscar du meilleur acteur pour son interprétation d’Hannibal Lecter, car l’année 1992 symbolisait le triomphe du capitalisme cannibale : plus aucune idéologie ne menacerait dorénavant son pouvoir. Les Jeux Olympiques de Barcelone en 1992 symbolisèrent alors le point de départ de la course d’un capitalisme sans concurrent.

Lors de cette compétition, l’URSS présentait une dernière fois une équipe unifiée, elle termina en tête du classement des nations avec 112 médailles dont 45 en or. Elle devança alors les États-Unis qui ont obtenu 108 médailles (37 en or).

En 1992, ce fut ainsi la dernière fois que les pays de l’Est devancèrent l’ogre américain lors des Jeux Olympiques d’été ; les peuples de l’Est étant désunis, la Russie ne parvint jamais par la suite à dépasser les États-Unis, seule la Chine y parviendra en 2008. Or la Chine est convertie au capitalisme cannibale donc cette idéologie n’a plus de concurrents, à part Cuba, qui subit un terrible embargo mis en place par les États-Unis pour l’empêcher de gagner la course.

Les Jeux Olympiques de Barcelone nous montrent ainsi que, unis, nous pouvons vaincre l’Empire romain et éradiquer le capitalisme cannibale.

Je précise que le communisme dans l’Union soviétique était une caricature du communisme qui s’apparentait à un capitalisme d’État, mais il restait un concurrent du capitalisme libéral.

 

Ainsi, avec la fin de l’Empire soviétique, la bipolarité disparut et la classe capitaliste a pu construire le monde dont elle rêvait afin de démultiplier ses profits. « Les classes dirigeantes mirent alors au point une pratique économique et politique nouvelle et une fissure discursive originale, connues sous le nom de "Consensus de Washington".

Il s’agit d’un ensemble d’accords informels de gentleman agreements, conclus tout au long des années 1980 et 1990 entre les principales sociétés transcontinentales (multinationales), banques de Wall Street, Federal Bank américaine et organismes financiers (Banque Mondiale, FMI, etc.).

Ses principes fondateurs visent à obtenir, le plus rapidement possible, la liquidation de toute instance de régulation, étatique ou non, la libéralisation la plus totale des marchés (des biens, des capitaux, des services, etc.) et l’instauration à terme d’un marché mondial unifié et entièrement autorégulé.

Le Concensus de Washington vise à la privatisation du monde par la mise en œuvre des principes suivants :

− Dans chaque pays, il est nécessaire d’engager une réforme de la fiscalité selon deux critères : l’abaissement de la charge fiscale des revenus les plus élevés, afin d’inciter les riches à effectuer des investissements productifs ; l’élargissement de la base des contribuables, c’est-à-dire la suppression des exemptions fiscales pour la masse des plus pauvres afin d’accroître le volume de l’impôt.

− La suppression de toutes les règles normatives concernant les marchés financiers.

− La garantie de l’égalité de traitement entre investissements autochtones et étrangers, afin d’accroître la sécurité des investissements étrangers et, donc, le volume de ceux-ci.

− Le démantèlement le plus complet possible du secteur public ; on privatisera notamment toutes les entreprises dont le propriétaire est l’État ou une entité para-étatique. Les écoles, les hôpitaux, les transports, les services de l’eau et de l’énergie, etc., seront privatisés, c’est-à-dire soumis à la loi du profit.

− La dérégulation maximale de l’économie du pays, afin de garantir le libre jeu de la concurrence entre les différentes forces économiques en présence.

− La protection renforcée de la propriété privée.

− La promotion de la libéralisation des échanges au rythme le plus soutenu possible, l’objectif étant la baisse progressive des tarifs douaniers jusqu’à leur disparition.

− Le libre commerce progressant par les exportations, il faut, en priorité, favoriser le développement de ceux des secteurs économiques qui sont capables d’exporter leurs biens.

− La réduction à zéro du déficit budgétaire des États.

− Les subsides d’État aux opérateurs privés doivent partout être supprimés. Ex : Les États du Tiers Monde qui subventionnent, afin de maintenir à bas niveau, les prix des aliments d’usage courant, doivent renoncer à cette politique. Au sein des dépenses de l’État, celles affectées au renforcement des infrastructures doivent avoir la priorité sur les autres. »15

 

La classe capitaliste a alors imposé dans le monde entier les principes du consensus de Washington, notamment par le biais du FMI et la Banque Mondiale. Ces deux institutions exigeaient la mise en place de ces principes pour l’octroi de prêts aux États qui leur demandaient de l’aide. Ainsi, avec d’autres groupements bancaires privés, le FMI et la Banque Mondiale ont favorisé l’endettement des pays du Tiers Monde et collaboré étroitement avec les sociétés multinationales pour piller les richesses des peuples des pays endettés. Le FMI a imposé ses sinistres « plans d’ajustement structurel » aux pays incapables de faire face à leur endettement les obligeant par exemple à instaurer la déréglementation générale des prix et des salaires. « L’abolition du "prix maximum" de quelques produits alimentaires de haute nécessité a jeté dans la malnutrition des millions de familles pauvres. Le "salaire minimum" disparaissait aussi, aggravant le phénomène. Le contrôle des prix et des salaires était présenté par la Banque mondiale et le FMI comme un outil "anti-économique", nuisant à la "dynamique concurrentielle". En fait l’ajustement n’a pour but que l’appel aux délocalisations.

Le coût humain des politiques d’ajustement structurel est énorme, incalculable avec précision : pour satisfaire la soif de profit d’une poignée de décideurs gagnés à la philosophie de l’ultralibéralisme, des millions d’hommes sont prématurément morts de malnutrition ou de maladies contractées à cause de l’affaiblissement dû au manque de nourriture. Un milliard de morts-vivants, dont l’existence quasi-animale est directement imputable aux choix stratégiques du capitalisme contemporain, viennent alourdir le catastrophique bilan de la mondialisation du capitalisme. »16

« De fait, les plans d’ajustement structurel imposés par le FMI ont mis en danger la sécurité alimentaire de nombreux pays. La suppression des subventions aux aliments de base − comme en Zambie − à l’achat de pesticides, d’engrais minéraux, des semences − comme au Ghana − la suppression des tarifs douaniers qui protégeaient les producteurs nationaux d’une concurrence mondiale inégale − comme à Haïti − ont fait passer ces pays de l’autosuffisance alimentaire à la famine et à l’extrême pauvreté. »17

 

Voilà le visage du capitalisme cannibale, et c’est la raison pour laquelle Anthony Hopkins a remporté l’Oscar du meilleur acteur en 1992, lors de la 64e cérémonie des Oscars, pour son interprétation d’Hannibal Lecter dans Le Silence des agneaux.

 

Le chef-lieu du département 64 est la ville de PAU.

 

Dieu nous fait ainsi comprendre qu’après la chute définitive du « communisme », l'espoir de créer un jour un monde solidaire fut abandonné par de nombreux citoyens et militants, alors dès 1992, le capitalisme cannibale a pu régner en maître dans le monde entier. Par conséquent, la PAU-VRETÉ est omniprésente, et dans les pays du Tiers Monde, plus d’un milliard d’êtres humains ont la « PAU » sur les os – l'idéologie régnante permettant aux capitalistes cannibales de s'engraisser de profits en dévorant leur chair.

 

HOPKINS = SKIN POH

 

« SKIN » signifie « PEAU » en anglais.

 

POH se prononce PEAU.

 

Dieu insiste pour nous faire comprendre que les PAU-VRES du Tiers Monde ont la PEAU sur les os car les capitalistes cannibales s’engraissent de profits en pillant leurs richesses – au lieu de les redistribuer pour engraisser les pauvres et ainsi les empêcher de mourir de faim.

 

GRAISSE = GRÈCE

 

Le démocratie est née en GRÈCE.

 

À travers Hannibal LECTER, Dieu nous révèle que l’ÉLECTEUR est responsable de l’ordre cannibale du monde car son vote permet au capitaliste de voler les richesses de la Terre, et il permet également au FMI, à la Banque Mondiale et l’OMC d’imposer le capitalisme cannibale dans le monde entier. C’est le Français Michel Camdessus qui a présidé le FMI destructeur du Tiers Monde de 1987 à 2000. C’est Dominique Strauss-Kahn qui a poursuivi le travail néolibéral au FMI jusqu’en 201118. Il fut ensuite remplacé par la Française Christine Lagarde qui a présidé l'institution jusqu'en 2019. Le Français Pascal Lamy a quant à lui dirigé l’OMC entre 2005 et 2013.

À travers Hannibal Lecter, Dieu nous fait comprendre que ces hommes et femmes politiques méritent l’Oscar du « meilleur acteur » et de la « meilleure actrice » en se faisant passer pour des humanistes au service des peuples, lorsqu'ils leur promettent plus de prospérité en appliquant les mesures néolibérales ; alors qu'en réalité, ces hommes et femmes politiques sont des cannibales car leur système économique permet à des capitalistes (banquiers, actionnaires...) de dévorer le corps de centaines de millions d’êtres humains pour s’engraisser de profits. L’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), conteste par exemple la gratuité de l’aide alimentaire, sous prétexte qu’elle pervertirait le marché. Les États ont donc l'interdiction « de donner aux pays en crise leurs surplus en nature car aucun prix n’est fixé, ce qui fausserait alors l’équilibre entre l’offre et la demande. L’aide doit donc être achetée sur les marchés internationaux19. » Ainsi, l’Inde a été rappelée à l’ordre parce qu’elle créait des stocks de nourriture pour permettre aux plus pauvres d’acheter les produits moins chers, ce qui constituait une intervention de l’État qui, selon les capitalistes cannibales, portait atteinte au libre jeu du marché. De façon plus générale, c’est cette théorie qui prévaut dans les institutions financières internationales qui édictent les plans stratégiques de réduction de pauvreté des pays du Sud. C’est donc le capitalisme cannibale qui règne sur le monde puisque les capitalistes préfèrent que les pauvres meurent de faim pour ne pas compromettre la maximisation de leurs profits.

 

Ainsi, l’année 1992 marquait le point de départ du règne quasi-total du capitalisme dans le monde, et l’organisation des Jeux Olympiques de Barcelone la même année était symbolique car le principe fondateur du système capitaliste est la concurrence impitoyable entre tous les individus et entre tous les peuples, avec la possibilité pour les plus forts d’écraser les plus faibles en les exterminant dans leur course au profit.

 

 

BARCA = BARCELONE

À l’instar des capitalistes, HANNIBAL BARCA avait plusieurs vices dont la cruauté, le goût immodéré du pillage et du butin, la ruse et même la perfidie.

Les Jeux Olympiques de BARCELONE ont eu lieu l’année où HANNIBAL Lecter a reçu un Oscar.

En 1992, Dieu mettait ainsi en lumière HANNIBAL BARCA et Carthage.

 

La victoire de Rome sur Carthage lors des guerres puniques symbolise la victoire du capitalisme sur le « communisme » en 1992.

Après la victoire de Rome sur Carthage, la République romaine avait « désormais acquis sa physionomie définitive, dont elle ne changera plus qu’à l’accession de César au pouvoir suprême un siècle plus tard ; Rome regorgeait alors des richesses conquises par les armes ; la main d’œuvre servile issue des guerres surabondait ; le Romain achevait de s’éloigner du travail de la terre, soit que, petit propriétaire, il ne pouvait lutter contre la nouvelle concurrence étrangère et se perdait par l’expédient fatal de l’emprunt, soit que, soldat, il vivait toujours davantage de butin, soit que, encore, résidant dans la Ville et assisté, il subsista des distributions gratuites de blé et se pressait au spectacle des jeux auxquels les grands prêtaient un faste grandissant. Ceux-ci descendants des patriciens des origines ou plébéiens ayant accédé aux plus hautes fonctions, formaient désormais une seule aristocratie, la nobilitas – ou les optimates – qui tendait à fermer étroitement ses rangs. »20

 

À partir de 1992, après la défaite du communisme, le monde a acquis sa physionomie que certains ont annoncé « définitive » ; le capitalisme régnait alors en maître sur la Terre. La mondialisation, au même moment, avait libéré une main d’œuvre servile qui surabondait dans le monde entier. Dans la République française, le citoyen s’éloigna alors du travail industriel car il ne pouvait plus rivaliser avec le travail des esclaves qui encourageait les entreprises à délocaliser pour bénéficier d'une main d'oeuvre à bas coût. Le pays regorgeait pourtant de richesses mais elles étaient accaparées par une minorité qui s’en servait désormais pour jouer au casino de la Bourse. Devenu sans emploi, le petit propriétaire se perdait dans l’expédient fatal de l’emprunt. Le chômage de masse se généralisa et une partie toujours plus importante de la population vivait de la distribution gratuite de blé en passant son temps à regarder des jeux à la télévision tout en pensant naïvement qu’elle aussi pourrait un jour s’enrichir et devenir César. « Comme le remarque Cyril Lemieux : "Les pauvres (…) attendent des riches qu’ils leur fassent vivre par procuration les loisirs de rêve auxquels eux-même ne peuvent pas accéder". Autrement dit, la domination des riches s’établit aussi dans les têtes et dans l’imaginaire. Elle doit se montrer sous certaines formes, dans certains lieux, pour divertir suffisamment les pauvres. On peut même faire l’hypothèse que si le spectacle de la richesse cessait d’être un divertissement pour les gens modestes, les riches risqueraient de perdre une grande partie de leur pouvoir social. Et c’est alors qu’ils seraient réellement menacés. »21

 

Rome est tombée après avoir notamment ouvert ses frontières aux barbares, l’avenir nous dira si un pays d’irréductibles Gaulois détruira le capitalisme en fermant ses frontières à des capitalistes barbares.

 

L’année 1992 consolidait ainsi les bases du capitalisme cannibale.

Cette année là, Deng Xiaoping profita d’un voyage à travers la Chine au début de l’année pour indiquer que le cap en matière économique n’avait pas changé ; le 14e Congrès du parti, en octobre, confirmait que l’objectif était bien de construire « un système économique socialiste de marché ».

La CHINE se préparait à entrer dans la guerre économique : une véritable MACHINE à détruire les emplois industriels occidentaux était en marche.

Dans le même temps, le traité de Maastricht fut signé le 7 février 1992. Il marquait la fondation de l’Union européenne qu’il définissait comme reposant sur trois piliers : les Communautés européennes, la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) et la coopération policière et judiciaire en matière pénale.

Le traité lançait également l’Union économique et monétaire (UEM) devant conduire à la création de l’euro.22

La Banque centrale européenne (BCE) a été créée par le traité de Maastricht et elle a été mise en place le 1er juin 1998 à Francfort en Allemagne

La BCE fonctionne avec une pure logique de banquier. Elle est « perméable aux exigences des grandes banques et des institutions financières dans leur ensemble, ainsi qu’à celles des dirigeants européens qui organisent la soumission des peuples grâce aux politiques néolibérales23. » L’UE « est devenue depuis le fer de lance de la mondialisation libérale : ainsi, l’ouverture de ses frontières aux capitaux a permis son adaptation à la nouvelle OMC, fondée en 1995, tandis que le Pacte de stabilité et de croissance adopté en 1997 sera une façon d’imposer un élargissement du dumping social et fiscal, ainsi qu’une multiplication des délocalisations. La fameuse directive Bolkenstein viendra consolider l’édifice. »24

Ces mesures ont ainsi libéré une main d’œuvre servile dont les capitalistes on pu bénéficier en délocalisant leurs entreprises pour accaparer de nouveaux profits avec le travail des esclaves.

La création de l’euro a également contribué à les enrichir. « La politique monétaire était désormais entièrement entre les mains de la Banque centrale européenne indépendante, soumettant le politique et le social à l’économique, soumettant l’Europe à une restriction budgétaire sous prétexte de combattre l’inflation qui éroderait la rente financière. Et si les États ne peuvent faire appel à la Banque centrale pour combler leurs déficits, ils peuvent en revanche emprunter sur les marchés financiers, où les attendent des fonds qui se délectent de tels placements en bons du trésor… Ainsi, contrairement à ce que prétendraient la Banque centrale européenne, la politique budgétaire de la communauté n’est pas une façon d’orienter les dépenses publiques vers la satisfaction des besoins collectifs, mais l’occasion d’un enrichissement privé… L’UE a peu à peu abandonné certaines des grandes valeurs fondatrices de toute société humaine. »25

« Le traité de Maastricht engage l’Europe à suivre une politique économique monétariste. Par la proclamation de l’indépendance de la Banque centrale, chaque pays perd son autonomie monétaire. Les gouvernements nationaux sont tenus d’équilibrer leurs budgets : le déficit budgétaire doit être inférieur à 3 % du PNB. Chaque État se trouve ainsi dans une difficulté croissante pour financer des programmes sociaux. Les pays qui dépassent cette limite entrent dans la zone rouge et sont soumis à des sanctions sévères. C’est ce que nos homologues italiens qualifient de "politiques sado-monétaristes".

Dans le contexte de compétition exacerbée créé par Maastricht, les gouvernements se voient acculés à consacrer la quasi-totalité de l’investissement à l’accroissement de la productivité. Cela permet aux industries comptant déjà parmi les plus performantes d’empocher des enveloppes budgétaires, autrement dit d’être subventionnées par les contribuables pour mieux réaliser leurs profits privés. C’est l’État-providence pour les firmes transnationales. Le comble, c’est que ce choix politique a été fait dans une Europe à majorité sociale-démocrate. »26

 

Dans MAASTRICHT, il y a « MAS » qui signifie « PLUS » en espagnol.

Le mot « PLUS » se dit « MORE » en anglais.

MORE = ROME

ROME symbolise César :  le riche capitaliste.

TRICHT = TRICHE

César TRICHE pour agrandir son empire car à travers les médias et des hommes politiques qu’il contrôle, il nous a fait croire que l’Union européenne créerait des emplois et qu’elle nous protégerait des ravages de la mondialisation. Mais au contraire de la coopération promise, nous avons eu le droit à une compétition sans cesse renforcée entre tous les travailleurs de l’U.E. car à travers la construction de l’Union européenne, l’objectif des capitalistes était notamment de délocaliser leurs entreprises dans des pays à la main d’œuvre à bas coûts pour accroître leur profits.

César à TRICHÉ. Lors du referendum organisé pour le traité de Masstricht, les titres de presse disaient qu’être « contre l’Europe », c’était être rétrograde et potentiellement fascisant. Le « non » de gauche fut complètement occulté par les grands médias. Endoctrinés, un bon nombre d’électeurs ont voté pour le « OUI » qui l’emporta d'une courte majorité.

Le capitaliste TRICHE pour agrandir son empire. D’ailleurs, le président qui a dirigé la Banque centrale européenne de 2003 à 2011, était Jean-Claude TRICHET.

Dieu veut nous faire comprendre que César TRICHE pour diriger le monde.

 

« Une fois écartée la crainte de Carthage, c’est d’une course effrénée qu’on abandonna la vertu et qu’on se jeta dans les vices »

Valléius Paterculus, Histoire romaine II,1,1.

 

Les inondations de Vaisons-la-ROMAINE ont eu lieu le 22 septembre 1992.

Ce fut un vrai déluge. Toute la nuit et durant plusieurs jours, les secouristes se sont affairé à retrouver les victimes. Cette montée des eaux restera marquée à jamais par les pertes humaines : 37 décès dont 3 à Séguret ; 4 disparus (dont un corps retrouvé en novembre 1993). Les pertes matérielles se chiffraient quant à elles à 500 millions de francs (soit un peu plus de 76 millions d’euros).27

 

22 septembre 1992 = 22 9 1992

22 9 19 = VIS

Une fois les règles du capitalisme cannibale mises en place, « on abandonna la vertu et on se jeta dans les VICES. »

En 1992, 1 % des plus riches détenaient 42 % de la richesse nationale, alors qu’en 1979, ils en détenaient 22 %.

Une société vertueuse partage équitablement les richesses entre chaque citoyen, mais une société vicieuse permet à une minorité de la population de s’enrichir de manière démesurée, condamnant ainsi des millions de citoyens à vivre sous le seuil de pauvreté.

À travers le déluge de Vaison-la-Romaine, Dieu met en lumière l’Alliance de l’EAU, car l’Alliance du VIN a autorisé César à prendre le pouvoir politique en main et ainsi permis au VICE de  régner sur la Terre. Dieu remplace désormais l'Alliance du VIN par celle de l'EAU – qui nous impose de construire une société vertueuse en mettant un terme au capitalisme cannibale.

L’ELECTEUR doit désormais changer le CD-ROME pour obtenir la vie éternelle.

 

L’année 1992 marquait également le 500e anniversaire de la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, une découverte rendue possible par le développement du capitalisme.

En 1492, la découverte de l’Amérique a provoqué progressivement l’extermination de dizaines de millions d’Amérindiens – notamment à cause de maladies transmises par les conquistadors européens.

500 ans plus tard, des dizaines de millions d’êtres humains continuent à être exterminés par la même maladie : le capitalisme cannibale.

 

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Anthony HOPKINS interprète Hannibal Lecter dans Le Silence des agneaux.

HOPKINS = 8+15+16+11+9+14+19 = 92

En 1992, Anthony HOPKINS a remporté l’Oscar du meilleur acteur lors de la 64e cérémonie des Oscars, pour son interprétation d'un cannibale.

64 = 6x4 = 24

Le chef-lieu du département 24 est la ville de PÉRIGUEUX.

Le GUEUX PÉRI car le capitaliste cannibale dévore sa chaire pour s’engraisser de profits.

24 se prononce 20 4.

Adolf Hitler est né un 20 4 (20 avril).

L’année 1992 symbolisait le triomphe du système économique le plus meurtrier de l’histoire de l’humanité. Depuis que le « communisme » a été vaincu, le capitalisme n’a reçu que des Oscars à la télévision : on nous répète à longueur de temps que c’est le meilleur système économique ; il serait miraculeux. La majorité des téléspectateurs croient ce mensonge parce qu’ils ne voient jamais à l’écran les millions de cadavres des enfants tués par la pauvreté afin de permettre notamment à Vincent Bolloré de s’acheter un yacht et des animateurs télé à son service. Certains intellectuels, comme Francis Fukuyama, nous disent que c’est la « fin de l’histoire », le capitalisme ayant gagné la guerre contre le « communisme », nous serions condamnés à appliquer ce système économique pour l’éternité, mais l’histoire va enfin évoluer puisque Dieu redescend sur Terre en multipliant les signes afin de nous réveiller et nous révolter contre l’ordre cannibale du monde.

 

Dieu nous transmet ainsi le message suivant à travers le chiffre 64 :

Le chef-lieu du département 64 est la ville de PAU.

6x4 = 24

Le chef-lieu du département 24 est la ville de PÉRIGUEUX.

64 = 40+24

40 = DO

24 = 12+12 = L+L = 2 L = 2 AILES

À travers le chiffre 64, Dieu nous fait ainsi comprendre qu'il nous donnera 2 AILES dans le DOS – nous permettant de nous envoler au paradis – si nous combattons le système capitaliste afin que plus aucun être humain n'ait la PEAU sur les os – et que le GUEUX ne PÉRISSE plus par millions chaque année.

 

64 = PAU

PAU = 16x1x21 = 336

Le 336e jour de l'année est le 2 décembre (2 12).

2 12 = 2 L = 2 AILES

Nous obtiendrons ainsi les 2 AILES qui mènent au paradis en luttant pour mettre un terme à la PAU-VRETÉ.

 

Les agneaux ne doivent donc plus rester silencieux le jour de l'élection présidentielle, et massacrer les cannibales en votant pour le partage équitable des richesses. C'est le chemin à suivre pour obtenir la vie éternelle.

 

Sources

(1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_Carthage
(2) https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_carthaginoise
(3) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_Carthage
(4) https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_carthaginoise
(5) https://fr.wikipedia.org/wiki/Hannibal_Barca
(6) https://fr.vikidia.org/wiki/Hannibal_Barca
(7) https://fr.wikipedia.org/wiki/Hannibal_Barca
(8) https://fr.wikipedia.org/wiki/Carthage
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Baal
(10) https://fr.wikipedia.org/wiki/Hannibal_Barca
(11) https://fr.wikipedia.org/wiki/Hannibal_Lecter
(12) https://fr.wikipedia.org/wiki/Tophet_de_Carthage
(13) http://plumecitoyenne.over-blog.com/article-capitalisme-cannibale-supreme-animal-102276402.html
(14) Jean Ziegler, « Retournez les fusils ! : Choisir son camp », Éd. du Seuil, 2014, , p.73.
(15) Ibid. p.74-75.
(16) Yves Frémion, Gilles Perrault, Roger Bordier « Le livre noir du capitalisme », le Temps des cerises, 2001, p.411-412.
(17) Claire Wiliquet  http://www.centreavec.be/site/le-monde-faim-constats-et-solutions
(18) Michel Collon  https://www.investigaction.net/fr/deux-defaites-mais/
(19) Ibid.
(20) Gérard Collin, « César, » Editions du Félin, 2010, 290 pages.
(21) Thierry Pech, « Le temps des riches », Éd. du Seuil, 2011, p.152-153.
(22) https://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_sur_l’Union_europ%C3%A9enne
(23) Damien Millet, Éric Toussaint, « Triple A : Audit, Annulation, Autre politique », Seuil, 2012, p.82-83.
(24) Paul Ariès, «  Cohn-Bendit,l’imposture », Max Milo Editions, 2011, p.116.
(25) Ibid.
(26) A.Bertrand, L.Kalafatides, « OMC,le pouvoir invisible », Fayard, 2002,  p.190.
(27) https://fr.wikipedia.org/wiki/Vaison-la-Romaine