La Mésopotamie est une région historique du Moyen-Orient située entre le Tigre et l’Euphrate. Elle correspond pour sa plus grande part à l’Irak actuel. Elle comprend au nord (nord-est de la Syrie et le nord de l’Irak actuel) une région de plateaux, qui est une zone de cultures pluviales, et au sud, une région de plaines où l’on pratique une agriculture qui repose exclusivement sur l’irrigation. La notion essentielle est celle de Croissant fertile. Il s’agit de la zone où l’irrigation n’est pas nécessaire pour l’agriculture. Ces terres sont humides, faciles à cultiver. Cette zone se trouve entre le Zagros, le Taurus et les côtes méditerranéennes et du Golfe Persique. C’est dans cette zone qu’a lieu la révolution néolithique. Le nord de la Mésopotamie est un vaste plateau désertique, tandis que le sud est une immense plaine alluviale très fertile où, de plus, la présence de nombreux bras de fleuve et de marécages permettait l’irrigation. Cette situation idéale en fit un des grands foyers de civilisation.
Entre 6 000 av. J.-C. et 5 000 av. J.-C., on distingue la succession de trois cultures de types différents :
- la Période de Hassuna (5 800 av. J.-C. – 5 500 av. J.-C.)
- la Période de Samarra (5 600 av. J.-C. – 5 000 av. J.-C.)
- la Période de Halaf (5 500 av. J.-C. – 4 700 av. J.-C.)
Puis viennent deux phases où le processus de complexification sociale s’accélère, jusqu’à la constitution de véritables États, puis la création d’une première forme d’écriture qui fait basculer la Mésopotamie dans l’Histoire :
- la Période d’Obeid (4 700 av. J.-C. – 4 100 av. J.-C.) ;
- la Période d’Uruk (4 100 av. J.-C. – 2 900 av. J.-C.).
Composition ethnique
Au IIIe millénaire avant J.-C, la Basse Mésopotamie est divisée entre deux ethnies : les Sumériens, parlant une langue sans parenté connue, et une population sémitique que l’on appelle par commodité les Akkadiens (bien que ce terme ne soit utilisé qu’à partir du règne de Sargon d’Akkad, à la fin du XXIVe siècle avant J.-C), parlant une langue sémitique, l’akkadien. Si ces derniers se rattachent bien aux autres populations que l’on connaît pour le Proche-Orient ancien, en majorité sémites, l’origine des Sumériens nous échappe, de même que l’époque à laquelle il faut dater leur disparition (fin du IIIe millénaire avant J.-C. ? ou au début du IIe millénaire avant J.-C. ?).
La fin du IIIe millénaire avant J.-C. voit l’entrée en scène de deux groupes ethniques importants : les Amorrites, des sémites, et les Hourrites, parlant une langue sans parenté actuelle. Les premiers établissent dans le Proche-Orient un ensemble de dynasties qui se succèdent pendant la première moitié du IIe millénaire avant J.-C, et se fondent dans la population sémite déjà présente en Mésopotamie, tandis que les seconds sont surtout présents dans le nord mésopotamien et en Syrie.
D’autres groupes de populations sans parenté identifiée (parce qu’ils sont mal connus) viennent des régions du Zagros : les Gutis, les Lullubis, et les Kassites. Les Subaréens, habitant au nord, sont peut-être des Hourrites. Ils sont pour la plupart des nomades, et numériquement peu importants.
À la fin du IIe millénaire avant J.-C, un nouveau peuple sémite reprend le chemin emprunté plus tôt par les Amorrites : les Araméens. Ils s’établissent dans toute la Mésopotamie, et finissent par en devenir une composante majeure. Leur langue s’impose dans la région durant le Ier millénaire avant J.-C.
Le Ier millénaire avant J.-C. voit aussi l’incursion de populations indo-européennes : les Mèdes et les Perses, qui restent cependant confinés au Plateau iranien, même si les seconds prennent le contrôle politique de la région après 539 avant J.-C., et ensuite les Grecs qui prennent la région en 331 avant J.-C, et finissent par y établir des colonies. Plus tard c’est un autre peuple iranien, les Parthes, qui s’établissent en Mésopotamie. mais la population de cette région reste en majorité sémite.
Organisation politique
De la cité-État à l’Empire
La Mésopotamie a vu l’aboutissement du processus de création de l’État, dans le courant du IVe millénaire avant J.-C, avec l’élaboration des premiers micro-États (les cités-États) dans sa partie méridionale. On a parfois imaginé l’existence d’une « démocratie primitive », ou bien d’une « oligarchie », ou encore d’un régime dirigé par un « roi-prêtre ». Quoi qu’il en soit, dès l’apparition de sources qui permettent d’analyser le système d’organisation politique des États mésopotamiens, on est en présence d’un système monarchique, dirigé par un souverain, en sumérien EN, ENSÍ, et LUGAL. Les deux premiers termes renvoient au domaine religieux : ils laissent envisageable l’existence d’un « roi-prêtre » dans certains États. Le dernier désigne clairement un « roi », šarrum en akkadien.
Après l’époque des cités-États, le premier État territorial, ou empire, est élaboré par Sargon d’Akkad vers la fin du XXIVe siècle av. J.-C. Dès lors, la Mésopotamie est dirigée en plusieurs royaumes, avant que la césure entre l’Assyrie au nord et Babylone au sud ne soit établie dans la seconde moitié du IIe millénaire avant J.-C. Dans la première partie du Ier millénaire avant J.-C. sont élaborés les premiers véritables empires à très grande échelle, le néo-assyrien (911 avant J.-C – 609 avant J.-C), le néo-babylonien (624 avant J.-C. – 539 avant J.-C.), avant la mise en place de l’empire perse des Achéménides, qui marque la fin de la Mésopotamie en tant que centre politique du Proche-Orient avant plusieurs siècles. Chaque cité possède alors son propre gouvernement.
L’idéologie du pouvoir
Quelle que soit la dimension des royaumes, l’idéologie du pouvoir reste basée sur les mêmes principes. Le véritable souverain du pays est sa divinité tutélaire, qui accorde la royauté à une personne qui est digne de lui, qui n’est jamais que son représentant terrestre, chargé d’assurer l’entretien des temples du pays et aussi de grandes conquêtes territoriales. Ces dieux sont les divinités tutélaires des cités-États du IIIe millénaire avant J.-C., puis le grand dieu Enlil avec l’avènement des États prétendant dominer les pays de Sumer et d’Akkad, et enfin les divinités au caractère plus « national » pour les royaumes et empires à partir de la fin du IIe millénaire avant J.-C. : Assur en Assyrie et Marduk à Babylone.
L’histoire sur la longue durée était considérée comme cyclique. Cela est bien marqué par des textes comme la Liste royale sumérienne, dont la chronologie est une succession de dynasties chacune régnant à son tour, leur avènement et leur chute étant due à la volonté des dieux. Chaque période de crise est considérée comme la punition infligée par les dieux à des souverains impies, tandis que la prospérité et le succès militaire sont au contraire la démonstration de la faveur divine.
Le roi et l’État
Les États mésopotamiens sont donc organisés autour de la figure royale. Celui-ci dirige l’administration, l’armée, la justice, et il est chargé d’assurer le bon déroulement du culte rendu aux dieux, entreprend des grands travaux. Il est entouré de « ministres » l’aidant dans ses tâches, et dirigeant une administration gérant ses terres, le prélèvement des taxes, la justice locale. Ce système se complexifie avec l’élaboration d’entités politiques plus vastes.
Les relations diplomatiques
La Mésopotamie est restée durant une grande partie de son histoire répartie en plusieurs États, qui ont eu à entretenir des relations diplomatiques entre eux, et ont aussi été en contact avec des royaumes extérieurs au Pays des deux-fleuves. Les pratiques diplomatiques sont diverses : correspondance entre cours, conclusion d’accords, mariages inter-dynastiques, échanges de présents. Ce système se remarque dès la fin du IIIe millénaire avant J.-C, mais on le voit mieux dans le IIe millénaire avant J.-C. (notamment grâce aux archives de Mari et aux lettres d’Amarna).
Lettres
Écriture
La Mésopotamie a vu l’élaboration de ce qui est actuellement considéré comme le plus ancien système d’écriture au monde. On date son apparition vers 3 500 avant J.-C. Ce système d’écriture est d’abord linéaire, puis il prend un aspect cunéiforme dans le courant de la seconde moitié du IIIe millénaire avant J.-C. On écrit alors essentiellement sur des tablettes faites en argile, matériau abondant en Mésopotamie. Ce support survit très bien à l’épreuve du temps (et encore plus quand il est cuit à la suite d’un incendie), et c’est ce qui nous permet d’avoir une quantité de documentation écrite considérable sur la Mésopotamie ancienne. À partir du début du Ier millénaire avant J.-C, cette forme d’écriture est concurrencée par l’alphabet araméen, rédigé sur parchemin ou papyrus, supports périssables dont aucun exemplaire ne nous est parvenu. Celui-ci finit par supplanter le cunéiforme vers le milieu du Ier millénaire avant J.-C., avant la disparition définitive de ce dernier au début de notre ère. L’écriture cunéiforme est caractérisée par des signes constitués de traits terminés en forme de « coins » ou « clous » (latin cuneus), auxquels elle doit son nom, « cunéiforme ».
Les scribes
Seule une minorité de la population est alphabétisée. Les spécialistes de l’écriture sont les scribes. Ils suivent une formation destinée à leur apprendre à maîtriser le cunéiforme, et s’initient au sumérien et à l’akkadien (à partir de la fin du IIIe millénaire avant J.-C.). Plusieurs niveaux de spécialisation coexistent, allant du simple scribe d’administration au lettré ayant suivi de nombreuses années de formation, travaillant souvent dans les temples.
On estime également qu’une certaine partie de la population, dans les couches supérieures, est en mesure de comprendre ou d’écrire des textes cunéiformes : personnel administratif, politique, ou bien de marchands.
Production écrite
La production écrite mésopotamienne qui nous est parvenue est constituée en majorité de textes de nature administrative. Il s’agit souvent de comptes liés à l’agriculture, l’élevage, des distributions de rations à des travailleurs, des comptes d’entrées et des sorties d’entrepôts.
À côté de cela, on trouve des textes de la pratique plus élaborés : des contrats (de prêt, de vente, de location) ou des lettres. Ils sont un apport inestimable pour nous aider à mieux approcher la vie quotidienne des anciens mésopotamiens.
Les textes littéraires sont minoritaires en quantité. Ils se composent en premier lieu de listes lexicales, mais aussi de textes d’apprentissage de certains métiers, ou bien des descriptifs de rituels, jusqu’à des productions de littérature plus savante, des textes mythologiques, épiques.
Religion
Les dieux
Les dieux mésopotamiens sont pour la plupart très anciens, et leur origine nous est souvent inaccessible. Les plus anciens ont un nom sumérien et un nom akkadien. Toutes les anthropogonies mésopotamiennes expliquent que les dieux ont créé les humains de manière à en faire leurs serviteurs, chargés de leur entretien. De manière concrète, cet entretien passe par le culte qui est rendu aux dieux dans ce qui est considéré comme leur résidence, le temple. Les hommes pieux sont en principe assurés de la bienveillance divine à leur égard. En revanche, quiconque offenserait les dieux se place sous la menace d’une punition divine : maladie, disgrâce, difficultés économiques, etc.
Les temples
Les temples sont considérés comme étant les résidences terrestres de leur divinité principale, et souvent de leur entourage (parèdre, enfants, personnel divin). Ils portent d’ailleurs le même nom que les résidences humaines (É en sumérien, bītu(m) en akkadien). Ils sont également souvent flanqués d’une tour à étages (ziggurat), monument emblématique de la civilisation mésopotamienne, passé à la postérité grâce au récit biblique de la Tour de Babel.
Les temples sont constitués d’une cella (salle close, plus souvent de forme rectangulaire avec une porte à 2 battants), abritant une statue divine, représentation terrestre qui garantit la présence de celle-ci en ce lieu, et qui doit constamment être entretenue. Les temples sont interdits au peuple. Leur perte, notamment après une défaite militaire et la mise à sac du temple, est considérée comme un grand malheur.
Parce qu’ils doivent assurer le très coûteux entretien des dieux (et leur personnel), les temples sont des agents économiques de premier plan : Ils bénéficient de dotations en terres, abritent aussi parfois des ateliers, et montent des opérations commerciales.
Le clergé
Le personnel officiant dans les temples est logé à proximité de celui-ci, dans des dépendances. Le personnel est divisé entre membres chargés de son administration, et d’autres qui s’occupent de la partie rituelle. En fonction de la tâche à accomplir lors des rituels, diverses spécialisations existent.
Les prêtres sont souvent des lettrés, qui suivent parfois de longues études. Certaines catégories de prêtres (devins, exorcistes et astrologues) exercent en dehors des temples et notamment dans le cadre du palais royal. Le souverain a besoin de leur aide puisque la fonction royale est aussi une fonction religieuse (le roi étant parfois lui-même considéré comme un prêtre). Il existe aussi un clergé féminin. Certaines de leurs membres vivent cloîtrées dans une résidence, et ne peuvent en sortir, même si elles disposent parfois de la possibilité de mener leurs propres affaires (par des achats de terrain notamment).
Sciences
Mathématiques
Le système numérique employé par les Mésopotamiens repose sur une base sexagésimale (base 60), avec quelques aspects d’un système décimal.
Les connaissances mathématiques des Anciens mésopotamiens enregistrent de grands progrès durant la période paléo-babylonienne, après quoi ils furent minimes. Mais il faut attendre le Ier millénaire avant J.-C. pour que ce savoir soit employé à sa pleine mesure dans le domaine de l’astronomie.
Astronomie
La séparation que l’on effectue entre astronomie et astrologie est inconnue des Anciens mésopotamiens, comme pour beaucoup d’autres peuples avant l’époque moderne. Les connaissances astronomiques des Mésopotamiens atteignent un très haut niveau durant le Ier millénaire avant J.-C., époque durant laquelle les astronomes « Chaldéens » sont réputés jusqu’en Grèce.
Les Mésopotamiens mettent au point le principe de la division de la voûte céleste entre douze signes du Zodiaque, qui sont sensiblement les mêmes que les nôtres. De la même manière, ils ont déjà nommé de nombreuses constellations et connaissent cinq planètes : Mercure (Sihtu), Vénus (Delebat), Mars (Salbanatu), Jupiter (Neberu) et Saturne (Kayamanu).
Au Ier millénaire avant J.-C., les prêtres astronomes babyloniens ont compilé de longues listes de relevés de phénomènes astraux. En les interprétant, ils établissent des éphémérides pour tous les astres observables, et réussissent presque à prédire des éclipses, dont ils ont repéré l’aspect cyclique.
Médecine
Pour les Mésopotamiens, la maladie est une malédiction envoyée par les dieux. Maîtres de tous les hommes, ceux-ci, lorsqu’ils sont insatisfaits par le comportement de certains d’entre eux, les punissent en envoyant des « démons » qui les rendent malades, à moins qu’ils ne se chargent eux-mêmes de la tâche.
Guérir un malade peut requérir des pratiques comme la magie et la médecine empirique, qui nous semblent être différentes, mais qui sont alors vues comme complémentaires. De longues listes techniques nous renseignent sur ces pratiques. Elles se présentent sous la forme de phrases avec une protase présentant l’état du malade, et une apodose disant le diagnostic, avec parfois à la suite le traitement à prodiguer. Elles s’appliquent à de multiples domaines : depuis la gynécologie jusqu’à des cas psychiatriques, en passant par l’ophtalmologie. On dispose aussi d’une longue liste de recettes de produits pharmacologiques.
Droit
Le droit mésopotamien est avant tout connu du néophyte par le fameux Code de Hammurabi. Celui-ci, avec les autres textes provenant de Mésopotamie et qui lui sont apparentés (comme le Code d’Ur-Nammu, le plus ancien du genre retrouvé, ou bien les Lois assyriennes), ne représentent qu’une petite partie des sources nous informant sur le droit dans cette région. Ce sont des recueils de sentences ayant vocation à servir de sortes de traités juridiques, plutôt que de codes juridiques au sens moderne du terme.
La majeure partie de nos sources écrites sur le droit mésopotamien sont les très nombreux actes légaux retrouvés dans les différents sites de la région des deux-fleuves, auxquels peuvent être ajoutés ceux retrouvés ailleurs dans le Proche-Orient, depuis Suse jusqu’à Alalakh et Ougarit. Il s’agit d’actes de prêts (contrat de base, le plus courant, et duquel sont inspirés les autres contrats, au moins pour leur formulaire), d’achats/ventes/locations de biens immobiliers, d’animaux ou d’esclaves, de contrats de mariage ou d’adoption, d’affranchissement, de contrats de société (commerciaux surtout), et aussi de compte-rendus de procès.
Urbanisme
L’archéologie de la Mésopotamie a porté uniquement sur des centres urbains, et jamais sur des sites ruraux (en dehors de la période pré-urbaine). L’attention s’est surtout portée sur les grands monuments (temples, palais) plus que sur les quartiers résidentiels.
Les villes sont souvent protégées par une muraille, voire plusieurs dans le cas des grandes cités. Trois types de résidences peuvent être distinguées : celles des gens du peuple, celles des dirigeants (les palais), et celles des dieux (les temples).
Économie
L’économie de la Mésopotamie antique est encadrée par ce que l’on appelle parfois les « Grands organismes » (à la suite de A. Leo Oppenheim). Ce sont le palais royal, les temples, et leurs dépendances. En plus de leur fonction politique, ceux-ci possèdent en effet un pouvoir économique important, reposant sur un patrimoine foncier souvent très important. Le plus souvent le palais apparaît comme celui qui peut mobiliser le plus d’avantages. Le roi redistribue les terres aux temples et à ses hommes tout en gardant une grande partie de celles-ci pour son compte. Les terres sont allouées à une personne contre une charge effectuée par celle-ci, pour l’aider à subsister (on parle parfois de « champs de subsistance »). Il arrive que ces terres, octroyées uniquement à titre temporaire, finissent par passer définitivement dans le patrimoine familial du détenteur de la charge. Les temples ont souvent une grande importance économique, surtout dans la Babylonie du début du Ier millénaire avant J.-C., où le pouvoir royal s’étant affaibli, ils demeurent les seuls organismes à peu près stables.
En marge de ces Grands organismes, la grande partie de la population vit de petites propriétés agricoles, ou bien d’un travail artisanal modeste qui peut être exercé à son propre compte. La vie de ces personnes n’est pas décrites par les archives cunéiformes que l’on a retrouvées, puisqu’ils vivent en dehors de la partie de la société pratiquant l’écrit. Les personnes travaillant pour les Grands organismes peuvent aussi mener des affaires pour leur propre compte, notamment au niveau commercial.
Agriculture
L’agriculture est la base des économies de type pré-industriel, et la Mésopotamie antique ne déroge pas à la règle.
Une grande partie de cette région étant située en dessous du seuil de pluviosité nécessaire pour la pratique de l’agriculture sèche, il a fallu développer un système d’irrigation pour mettre en valeur ses terres. Cela s’est d’abord fait de manière assez simple, dans le cadre de petites entités politiques, puis les grands royaumes mésopotamiens ont mis en place des projets d’aménagements de canaux à grande échelle. Il n’en demeure pas moins que l’irrigation était essentiellement une affaire gérée au niveau local, sans l’aide du pouvoir central. Les agriculteurs de Basse Mésopotamie ont dû faire face à un problème de salinisation des terres irriguées, qui a parfois abouti à la mise en friche de grands espaces.
Commerce
Le commerce est souvent défini comme une activité importante pour les Mésopotamiens, vu que la région où ils vivent est pauvre en matières premières (pierre, métal, bois de qualité). Dans les faits, ce sont surtout les plus riches qui profitent du commerce à longue distance.
Les entreprises commerciales sont initialement menées par des marchands (sumérien DAM.GAR, akkadien tamkāru(m)) engagés par un Grand organisme. À partir du début du IIe millénaire avant J.-C., la documentation abonde sur les systèmes commerciaux essentiellement « privés », à Larsa, Sippar, et surtout Assur, grâce aux archives des marchands de cette ville retrouvées à Kültepe en Cappadoce. Elle témoigne de l’existence d’un commerce très élaboré et fructueux.
De leur côté, les Mésopotamiens exportent surtout des produits manufacturés, avant tout du textile, ou bien jouent le rôle d’intermédiaires entre deux régions (en échangeant de l’étain d’Iran contre du cuivre d’Anatolie par exemple).
Le commerce local existe par ailleurs pour assurer l’approvisionnement des centres urbains en produits agricoles provenant de la campagne.
Société
La société mésopotamienne se divise en deux grands groupes : personnes libres et non-libres (les esclaves).
Les personnes libres
Les premiers sont une catégorie où l’on peut également distinguer deux groupes (moins évidents à repérer pour le IIIe millénaire avant J.-C.). Le premier (les awīlu(m) du Code de Hammurabi et des Lois assyriennes) est constitué par le personnel travaillant dans le cadre des « Grands organismes », le palais et le temple, qui dispose de ce fait d’une place importante dans la société. Le reste de la société (muškēnum dans le Code d’Hammurabi, aššurayu dans les Lois assyriennes) vit en dehors de ce cercle, dans le cadre de communautés urbaines ou rurales. La stratification sociale ne se fait pas autour d’une conception idéologique de la société distinguant des classes plus prestigieuses que les autres, ce sont les moyens financiers qui paraissent faire la différence, et pour en avoir il faut travailler avec le pouvoir royal ou les temples. Il est pour cela important d’être en bons termes avec le pouvoir royal.
Les esclaves
Les esclaves (sumérien ÌR, akkadien (w)ardu(m)) occupent le bas de l’échelle sociale. Ils sont considérés comme des objets, au service de leur maître. Il y a différentes façons de devenir esclave : s’il ne s’agit pas d’esclaves de naissance, la majorité sont des prisonniers de guerre, et on trouve également des hommes libres tombés en servitude à cause de dettes impayées (ce qui peut n’être que temporaire).
Les nomades
Une partie de la société se caractérise par son mode de vie nomade. Les nomades occupent une place importante durant toute l’histoire mésopotamienne (Amorrites, Kassites, Sutéens, Gutis, Araméens, Chaldéens, etc.). Ils vivent dans un cadre tribal, organisé autour de grands groupement de tribus et sont dirigés par un grand chef. La division entre libre et non-libre existe aussi au sein de cette partie de la société.
Les semi-nomades sont une partie de la population qui devient sédentaire à certains moments de l’année pour effectuer des travaux agricoles tandis que l’autre s’adonne au pastoralisme. Les nomades constituent parfois un danger pour les sociétés sédentaires : leur mode de vie assez précaire les rend plus fragiles aux coups durs (notamment climatiques). Ce qui les pousse souvent à se faire pillards en période de crise. De ce fait, ils sont souvent décrits en terme péjoratifs par les lettrés urbains. Ils vivent pourtant généralement en symbiose avec le monde sédentaire : ils se font pasteurs pour les grands organismes, parfois servent comme travailleurs saisonniers, et ils sont souvent appréciés en tant que soldats.
Les populations nomades finissent bien souvent par se sédentariser et adopter le mode de vie des sédentaires, et leurs chefs constituent parfois des royaumes promis à une grande prospérité, comme le firent Amorrites, Kassites et Araméens.
Différenciation sexuelle
Les codes d’Urukagina, de Lipit-Ishtar et de Hammurabi montrent l’évolution de la société vers une famille et organisation patriarcale. L’homme occupe alors dans la société mésopotamienne une place importante. La Femme Mésopotamienne est souveraine, elle s’occupe de l’éducation des enfants et d’instruire son homme ; même mariée elle reste souveraine dans sa maison, son homme habitant chez elle. Certaines femmes laissaient cependant à leur homme d’occuper des postes de direction, dans des domaines politiques et sociaux. La Femme Mésopotamienne est une dirigeante et instruite, même si elle s’occupe de l’entretien du foyer aidée de servantes et de l’éducation des jeunes enfants. Les activités agricoles sont apparemment réservées aux hommes, de même que le commerce et évidemment la guerre, ainsi que la plupart des métiers de l’artisanat, les femmes étant institutrices, professeurs, médecins, scientifiques, écrivains, mais ne dédaignent pas les tâches dans le domaine du textile (filage, tissage, couture) ni culinaire, domaine qui prend une part importante dans l’activité de la femme à la maison. Une maîtresse de maison sait habiller correctement sa famille, et lui apporte une nourriture saine pour le corps et l’intellect. La Femme Mésopotamienne fait de sa famille des instruits(es) et des lettrés(es). Les textes de la pratique (jugements, recueils d’incantation, textes et prières mythologiques, recettes de potions de fertilité) montrent l’importance de la procréation dans la famille mésopotamienne et qu’il y a des interdits sexuels, notamment le viol et l’inceste qui ne sont pas permis aussi chez les dieux. La prostitution et les maisons de rendez-vous sont interdites.
Rayonnement
Parce qu’elle a été la première région du Proche-Orient ancien à être étudiée, la Mésopotamie a longtemps été considérée comme le « centre » de celui-ci, le reste étant relégué au rang de « périphérie ». Les découvertes des civilisations sumérienne, babylonienne et assyrienne paraissaient abonder en ce sens. Mais la mise au jour de nouveaux centres fait apparaître que des régions considérées comme marginales étaient très avancées dès une époque reculée (notamment grâce aux archives d’Ebla et de Mari en Syrie, et aujourd’hui de Jiroft en Iran), et n’avaient pas grand-chose à envier à la Mésopotamie contemporaines. L’impossibilité de fouiller sur le sol irakien depuis le début des années 1990 n’a pas été sans effet sur ce changement de perspective.
La ressemblance entre la civilisation mésopotamienne et ses voisines peut s’expliquer par le fait qu’elles constituent un territoire ayant partagé une destinée commune depuis la période néolithique, phase que la Mésopotamie est la dernière à avoir expérimentée. Ceci explique pourquoi on retrouve partout dans cette région de l’Asie un fonds culturel commun, des organisations politiques et sociales similaires en dépit de sa disparité géographique.
Il n’empêche que la Mésopotamie, et en particulier la Basse Mésopotamie a exercé une influence indéniable sur le Proche-Orient ancien, comme aucune autre région. Cela débute avec la période d’Uruk, qui voit une expansion des habitants du futur pays de Sumer dans les régions voisines. La culture élaborée par les Sumériens, puis les Akkadiens a un rayonnement considérable. Son système d’écriture, avec ses méthodes d’apprentissage, sa littérature sont repris en Syrie, en Anatolie, au Levant, en Iran et jusqu’en Égypte à l’époque d’Amarna, quand l’akkadien est la langue des relations internationales.
Babylone, en reprenant cet héritage à partir du IIe millénaire avant J.-C., devient un centre culturel incomparable. C’est d’ailleurs par son nom, repris par la Bible et les auteurs grecs classiques, que la mémoire de la Mésopotamie va subsister avant sa redécouverte après les fouilles du XIXe siècle, marquant la naissance de l’assyriologie.1
L’écriture est née en Mésopotamie, c’est l’une des raisons pour lesquelles cette région est considérée comme le berceau de la civilisation.
L’Irak actuel couvre une grande partie de la Mésopotamie et sa capitale est BAGDAD.
BAGDAD = BAG DAD
« BAG » se prononce comme le mot « BAGUE ».
« DAD » signifie « PÈRE » en anglais.
La BAGUE de mariage est une alliance.
À travers BAGDAD, Dieu, notre PÈRE, nous fait ainsi comprendre qu'il nous transmet les termes de son Alliance par le biais de l'écriture, comme ce fut le cas avec la Bible et le Coran.
Je suis né à Cholet dans le département du Maine-et-Loire. La mairie de Cholet est surnommée « la machine à écrire » car l’édifice en a la forme.
Dieu m’a ainsi créé pour changer les «écritures » et vous transmettre les termes de la nouvelle Alliance à travers la traduction du langage des signes.
La mairie de Cholet a ouvert ses portes le 17 décembre 1976. Ce jour-là, le Pape François fêtait ses 40 ans.
Le chiffre 40 est l’un des chiffres symboliques de la Bible. Il représente la durée du Déluge mais également le nombre de jours de la tentation de Jésus dans le désert, le nombre d’années durant lesquelles les juifs ont erré dans le désert, et le nombre de jours que Moïse a passé sur le mont Sinaï avant de recevoir la parole de Dieu à travers les tables sacrées de l’Alliance.
La mairie de Cholet, qui a ouvert ses portes le 17 décembre 1976, se situe en face du Jardin du MAIL.
Un MAIL est un MESSAGE.
Dieu vous fait ainsi comprendre qu’il m’a créé pour écrire ses nouveaux MESSAGES.
L = 12
MAIL = MAI 12
Le 12 MAI est le 132e jour de l'année.
132 minutes sont égales à 2 heures 12.
2 12 = 2 L = 2 AILES
À travers la mairie de Cholet – la « machine à écrire » – qui se situe en face du Jardin du MAIL – Dieu nous transmet ainsi un MESSAGE en nous indiquant qu'il change les « écritures » – car pour obtenir 2 AILES dans le dos et nous envoler un jour au paradis, la nouvelle Alliance nous impose désormais de lutter pour construire un monde égalitaire.
Le Pape François est le 266e Pape de l'histoire.
266 = 133+133
13 3 = 13 mars
Le Pape François a été élu un 13 mars.
Dieu nous donne ainsi la preuve qu'il écrit l'histoire de chacun d'entre nous.
La mairie de Cholet – « la machine à écrire » – a ouvert ses portes le jour du 40e anniversaire du Pape François.
40 = DO
Dieu nous fait ainsi comprendre que pour obtenir 2 AILES dans DOS et nous envoler un jour au paradis – nous devons suivre les nouvelles « écritures ».
La maire de Cholet a ouvert symboliquement ses portes le 17 décembre 1976.
17 décembre = 17 12
17x12 = 204
Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, est né un 20 4 (20 avril).
1976 = 19 76
Le chef-lieu du département 19 est la ville de TULLE.
Le chef-lieu du département 76 est la ville de ROUEN.
François Hollande est né à ROUEN et c’est l’ancien maire de TULLE.
Dieu nous transmet ainsi le MESSAGE suivant : « TUE-LE ! » ; « TUE Adolf Hitler ! » ; « TUE LE serviteur du RICHE ».
À travers ROUEN, Dieu nous révèle que la « ROUE tourne » car il change désormais les écritures afin de mettre un terme à la N qui règne sur le monde.
Dieu nous demande désormais de « tuer » Adolf Hitler de manière pacifique en votant pour L.O. ou le NPA.
Je rappelle que le père d'Adolf Hitler se prénommait ALOIS.
ALOIS = SA LOI
À travers Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, Dieu nous fait comprendre que nous devons interdire au RICHE d’imposer SA LOI – car sa cupidité tue des millions de personnes chaque année.
Le Pape François a eu 40 ans le 17 décembre 1976.
Le département 40 est celui des LANDES. Dieu met une nouvelle fois en lumière François HOLLANDE, et le Pape François doit désormais combattre les hommes politique au service du RICHE.
Le Pape François a eu 40 ans le jour de l’ouverture de la mairie de Cholet, surnommée « la machine à écrire », car Dieu lui demande de transmettre les nouvelles écritures. Il doit ainsi intervenir dans le pouvoir temporel (politique) afin de combattre l'inégale redistribution des richesses.
Dans la Bible, le chiffre 40 fait notamment référence à l'esclavage. Dans le désert, les juifs mettent 40 ans à passer du statut d'esclaves à celui de liberté. Dieu change ainsi les écritures pour que nous ne soyons plus les esclaves de l'ARGENT-ROI.
Le Pape François est ARGENTIN, et il a eu 40 ans le 17 décembre 1976.
19 = TULLE
76 = 7x6 = 42
Le département 42 est celui de LA LOIRE.
LOIRE = LE ROI
Dieu change ainsi les écritures et il nous transmet le message suivant : « TUE LE ROI ARGENT ! ».
Le maire de Saint-Étienne, le chef-lieu du département de la LOIRE, est Gaël Perdriau. Il est né à Cholet.
Cholet se situe dans le département du MAINE-ET-LOIRE.
LOIRE = LE ROI
MAINE = MAIN E
E = 5
Dieu nous demande ainsi de tuer LE ROI Argent avec les 5 doigts de notre MAIN qui tiennent le bulletin de vote.
LE ROI Argent est bien évidemment le capitalisme.
Le code postal de la ville de Cholet est le 49300.
49x3 = 147
14 7 = 14 juillet
Le 14 juillet est le jour symbolique de la RÉVOLUTION française.
Dieu nous demande ainsi de faire la RÉVOLUTION pour renverser le règne du ROI Argent.
Le chef-lieu du MAINE-ET-LOIRE est la ville d’ANGERS.
ANGERS = ANGE
Si tu respectes le message de Dieu, tu deviendras un ANGE.
Le maire de Cholet est GILLES BOURDOULEIX.
Les Mésopotamiens écrivaient les codes de LOI sur des tablettes en ARGILE.
ARGILE = GILLES
BOURDOULEIX = BOURDOU LEX I
« LEX » signifie « LOI » en latin.
I = 9
Le chef-lieu du département 9 est la ville de FOIX.
Dieu te demande d’avoir FOI en lui et de suivre les nouvelles écritures car il change désormais la LOI.
BOURDOULEIX = BOURDOU LEIX
BOURDOU = 2+15+21+18+4+15+21 = 96
Les cahiers des écoliers sont traditionnellement composés de 96 pages.
LEIX = 12+5+9+24 = 50
Le chef-lieu du département 50 est la ville de Saint-Lô dont le maire, François Brière, est né un 30 avril – le jour qui symbolise la fin du IIIe REICH.
À travers Gilles BOURDOULEIX – le maire de ma ville de naissance – Dieu vous révèle que ma mission est de vous transmettre les nouvelles « écritures » – qui nous imposent de combattre le règne du RICHE pour devenir des ANGES. Dieu change ainsi la LOI.
Gilles Bourdouleix est né à ANGERS le 15 avril 1960 (15 4 1960).
15 4 19 = DOS
ANGERS = ANGE
Un ANGE possède deux ailes dans le DOS.
Dieu te fait comprendre que si tu combats les hommes politiques de droite comme Bourdouleix, tu obtiendras deux ailes dans le DOS afin de t’envoler un jour au paradis.
Depuis qu'il est devenu politicien professionnel, Gilles Bourdouleix s'est considérablement enrichi sur le DOS des contribuables choletais en cumulant plusieurs mandats électoraux. En 2016, par exemple, il touchait une indemnité de 7 000 euros brut mensuels en tant que député, soit environ 5 000 euros net par mois. Il gagnait également 1 320 euros mensuels en tant que maire de Cholet et 774 euros par mois supplémentaires en tant que président du comité d'Agglomération.
À ceci s'ajoutaient les frais de mandat dont il bénéficiait en tant que député. « Ces frais sont censés faire face aux différentes dépenses du député et qui ne sont pas pris en charge ou directement remboursées par l'Assemblée. Ce montant est de 5 770 € brut mensuel, les députés en font absolument ce qu'ils veulent et ils ne peuvent pas être contrôlés pour ce qu'ils en font. C'est de l'argent de poche en soi. De plus, ce montant n'est pas imposable2. » Le mandat de député de Gilles Bourdouleix lui permettait ainsi de gagner entre 5 000 et 9 500 euros net mensuels.
Si on enlève les frais de mandats, la vie politique permettait à Gille Bourdouleix de percevoir 7 100 euros de revenus mensuels, soit 85 200 euros par an, c'est-à-dire 425 000 euros en 5 ans. Bourdouleix étant resté député pendant 15 ans et maire de Cholet depuis plus de 20 ans, ses divers mandats électoraux lui ont permis d'accumuler une fortune de plus d'un million d'euros.
Vous trouver ça normal ? C'est ça la mission d'un homme politique ? S'enrichir en accaparant l'argent des citoyens ? Alors que nous aurions pu créer plusieurs postes de fonctionnaires avec la fortune accaparée par un seul homme politique. Le devoir de ces politiciens est-il d'empêcher les citoyens de travailler ? Non, mais c'est pourtant le cas actuellement. Il est temps de mettre un terme à ce braquage de fonds publics car Bourdouleix est loin d'être un cas isolé. Or ce système mafieux ne changera jamais si nous restons immobiles. « Les députés votent les lois qui les concernent directement, y compris les subventions qu'ils donnent par le biais de la réserve, leurs rémunérations, retraite, chômage, sécurité sociale... Comment voulez-vous qu'ils baissent leurs rémunérations ? S'interdisent les frais de mandat ? S'alignent avec les système de chômage, retraite et sécurité sociale des autres ? Ce serait possible dans un monde idéal où les gens ne chercheraient pas à faire de profit, mais impossible avec les députés que nous avons3. » Il est donc temps d'agir et de mettre un terme à cette monarchie corrompue.
Le 21 juillet 2013, en marge de la visite d'un champ occupé par des gens du voyage, Gilles Bourdouleix, excédé par des saluts nazis et les accusations de racisme, a dit à mi-voix, en référence à l'extermination des tziganes par Hitler pendant la Seconde Guerre mondiale : « Comme quoi, Hitler n'en a peut-être pas tué assez ». Ces propos ont été rapportés le 22 juillet par le journal Le Courrier de l'Ouest et ils ont provoqué un tollé.
Le soir, le journal de 20H de France 2 est revenu sur ce « dérapage ».
Dieu nous envoyait un signe lors de ce JT de 20H du 22 juillet (22 7).
22x7 = 154
Gilles Bourdouleix est né un 15 4 (15 avril).
La mairie de Cholet est surnommée « la machine à écrire », donc Dieu nous prouve qu'il écrit chaque ligne de l'histoire car Bourdouleix était programmé pour apparaître lors de ce JT de 20H.
Le 15 4 (15 avril) est une date symbolique car Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, est né 5 jours après, un 20 avril.
À travers le chiffre 5 et les propos nazis de Gilles Bourdouleix, Dieu nous fait comprendre que nous votons pour des nazis avec les 5 doigts de notre main qui tiennent le bulletin. En effet, le système capitaliste permet au RICHE d'exterminer des millions d'être humains chaque année en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre.
Le 23 janvier 2014, Gilles Bourdouleix fut condamné par le tribunal correctionnel d'Angers au paiement d'une amende de 3 000 euros avec sursis, pour apologie de crimes contre l'humanité, et il fut également reconnu coupable de diffamation envers le journaliste du Courrier de l'Ouest qu'il a traité de « petit merdeux ».4
Vous comprenez mieux pourquoi la mairie de Cholet a ouvert ses portes le 17 décembre 1976 :
17 décembre = 17 12
17x12 = 20 4
Adolf Hitler est né un 20 4 (20 avril)
19 = TULLE
76 = 7x6 = 42 = LE ROI
« TUE LE ROI ! »
TUE LE ROI Bourdouleix – un monarque millionnaire qui règne depuis plus de 20 ans sur Cholet. Il possède une fortune démesurée pendant que des enfants crèvent chaque jour de faim dans les pays du Tiers Monde. C'est à cause de la cupidité du RICHE que des milliards d'êtres humains sont condamnés à vivre dans la misère et que des millions d'entre eux meurent de pauvreté chaque année. C'est la raison pour laquelle Dieu associe Bourdouleix à Adolf Hitler, car l'inégale redistribution des richesses sur la Terre, entraîne le génocide de millions de pauvres chaque année.
RICHE = REICH
Dieu nous demande de supprimer le RICHE pour mettre un terme au IIIe REICH.
Quand Dieu nous demande de TUER LE ROI Bourdouleix, il nous demande de le détrôner en votant aux élections municipales pour un candidat de Lutte Ouvrière ou du NPA.
À Cholet, lors des élections municipales de 2014, il fallait voter pour ROBERT Cerisier, le candidat de Lutte Ouvrière, qui a récolté seulement 3,74 % des voix.
« ROBBER » signifie « VOLEUR » en anglais.
Dieu demandait ainsi aux Choletais de voter pour ROBERT Cerisier afin de mettre un terme au règne du VOLEUR : Gilles Bourdouleix.
Mais les Choletais ont réélu en masse Gilles Bourdouleix malgré sa condamnation pour crimes contre l'humanité.
La ville de Cholet se situe entre ANGERS et NANTES.
« NANTES » possède toutes les lettres du mot « SATAN » mais il y a un E en plus à « NANTES ».
E = 5
Dieu nous demande de tuer SATAN avec les 5 doigts de notre main qui tiennent le bulletin de vote.
Avant le règne de Gilles Bourdouleix, le maire de Cholet était Maurice LIGOT.
Dieu nous demande ainsi de LIGOTER SATAN en votant pour des partis politiques humanistes.
Le magazine Synergence est l'hebdomadaire de l'agglomération de Cholet. Mon père a travaillé pendant 16 ans aux Vins d'honneur à la mairie de Cholet ; et dans le cadre des élections municipales de 2014, le photographe de Synergence a voulu prendre en photo la main d'une personne déposant un bulletin de vote dans une urne. Il a demandé à mon père s'il pouvait prendre sa main en photo, et il a accepté. Ainsi, sur la couverture du magazine Synergence, durant la semaine des élections municipales, les Choletais ont pu voir la main de mon père en train de déposer un bulletin de vote dans une urne.
Mon père est né le 13 juillet 1955 (13 7 1955).
13 7 1955 = CAGES 5
À travers la main de mon père, Dieu, notre père, nous demande d'enfermer SATAN en CAGE avec les 5 doigts de notre main qui tiennent le bulletin de vote.
Le mot CAGES est au pluriel puisque SATAN dirige la quasi-totalité des villes du pays, donc nous devons enfermer ces hommes et femmes politiques de droite, en CAGES.
Je n'ai pas voté lors des élections municipales en 2014. Je n'avais pas encore traduit ce signe et j'avais préféré continuer l'écriture de ce site internet pour ne pas perdre de temps. C'était une erreur. Mon père m'avait d'ailleurs conseillé d'aller voter et il me demandait de voter pour Gilles Bourdouleix, ce dernier l'ayant embauché à la mairie de Cholet quand il s'est retrouvé au chômage après la perte de notre magasin qui était spécialisé dans les articles de pêche et de jardinage. Bourdouleix était en partie responsable, ayant autorisé Jardiland et Décathlon à s'installer à Cholet, et étant donné que dans le système capitaliste les plus forts écrasent les plus faibles, mes parents n'ont pas pu rivaliser avec ces deux multinationales. Ils ont alors fait faillite. Mes parents ont ensuite retrouvé du travail à la mairie de Cholet, et mon père m'a ainsi demandé de voter pour Bourdouleix aux élections municipales. Je lui ai alors expliqué que je ne voterai jamais pour un homme politique qui accapare chaque année des centaines de milliers d'euros en volant l'argent des contribuables. Mon père n'était pas choqué par ce vol d'argent public, il me disait que c'était normal, Bourdouleix travaillant beaucoup en cumulant plusieurs postes. Pourtant, mon père travaillait régulièrement 70 heures par semaine pour gagner un peu plus de 2 000 euros par mois, alors que Bourdouleix travaillait pratiquement autant mais il gagnait plus de 7 000 euros. Je n'ai pas essayé de convaincre mon père de se révolter car depuis son enfance, il est formaté, conditionné, endoctriné comme tous les Français, pour se soumettre aux plus RICHES, la bourgeoisie au pouvoir nous faisant croire à travers l'Éducation nationale et les médias, que les injustices sociales sont synonymes de « liberté, égalité, fraternité ». Dans notre pays, c'est le pauvre qui est diabolisé, il est considéré comme un « assisté » ; on l'accuse ainsi de voler l'argent des contribuables, alors que le RICHE, qui est pourtant le plus grand « assisté » du pays, est glorifié. Les médias et la classe politique nous répètent régulièrement qu'il est indispensable à la croissance du pays. Vous imaginez s'il partait à l'étranger ? Ce serait l'apocalypse en France ! J'ai donc laissé mon père voter pour Bourdouleix ; il ignorait alors le sujet de mon site internet, et je comptais bien lui ouvrir les yeux en lui traduisant les signes afin qu'il vote la prochaine fois pour enfermer SATAN en CAGE.
La Mésopotamie est appelée la région du CROISSANT FERTILE.
CROISSANT = CROIS SAT(A)N
FERTILE = ELIT FER
Dieu a ainsi écrit : « CROIS SATAN » et « ELIT LUCIFER ».
Les écritures se sont effectivement réalisées, les électeurs votent en majorité pour le diable.
Il n'y a que SATAN qui peut déclarer en parlant des tziganes : « Comme quoi, Hitler n'en a peut-être pas tué assez ».
Quand la polémique a éclaté, Bourdouleix s'est placé en position de victime, les Choletais ont CRU ses mensonges et l'ont ÉLU une nouvelle fois maire de la ville.
Il est temps que les électeurs choletais reviennent à la raison car comment peut-on accepter que nos enfants grandissent dans une ville dirigée par un homme qui était alors condamné pour apologie de crimes contre l'humanité ?
L’Irak actuel couvre une grande partie de la Mésopotamie et sa capitale est BAGDAD.
« DAD » signifie « PÈRE » en anglais.
BAG = 217
Gilles Boudouleix a tenu ses propos polémiques sur Hitler et les Tziganes, un 21 7 (21 juillet).
La BAGUE symbolise l'ALLIANCE.
Dieu, notre PÈRE, nous fait comprendre que la majorité des Choletais a fait ALLIANCE avec SATAN en votant pour Gilles Bourdouleix, un homme politique qui regrette qu'Adolf Hitler n'ait pas tué suffisamment de Tziganes pendant la Seconde Guerre mondiale.
La mairie de Cholet, où siège Gilles Bourdouleix, est surnommée la « machine à écrire ».
L'écriture est née en Mésopotamie.
À travers BAGDAD (21 7 / PÈRE) et les propos tenus par Boudouleix le 21 7, Dieu, notre PÈRE, nous montre qu'il écrit chaque ligne de notre histoire et il nous fait comprendre que lors de chaque élection, nous faisons ALLIANCE avec SATAN, puisque ce dernier défend un système économique qui extermine un enfant toutes les 5 secondes en laissant le RICHE accaparer la grande majorité des richesses de la Terre, d'où la référence à Hitler et au IIIe REICH dans les propos de Bourdouleix tenus le 21 7 2013.
2013 = TM
« T'M » se prononce « T'AIME ».
Or le 21 7 2013, le MAIRE de Cholet n'a pas dit « je T'AIME » aux gens du voyage, au contraire, il souhaitait leur mort.
Les mots ont un sens :
MAIRE = AIMER
Bourdouleix n'AIME pas son prochain. Il distille de la haine envers les minorités les plus vulnérables, et il ne pense qu'au pouvoir et à l'argent. Il est temps de mettre un terme à la politique-business.
AIMER signifie condamner et combattre politiquement ceux qui stigmatisent les musulmans, les immigrés, les Roms ou les gens du voyage.
AIMER signifie interdire aux hommes politiques de gagner 7 000 euros par mois, car si les richesses étaient équitablement redistribuées dans notre pays, la pauvreté disparaîtrait.
Le 15 décembre 2015, la Cour de cassation a annulé la condamnation de Gilles Bourdouleix, ayant estimée que c’est à tort que la cour d’appel l'avait condamné. Nous allons ainsi devoir enfermer nous-même SATAN en CAGE car ce n'est pas cette justice aux ordres des puissants qui le fera.
Dieu nous a envoyé un signe supplémentaire pour nous faire comprendre que nous courrons un grand DANGER si nous votons pour les défenseurs du RICHE le jour des élections – qu'elles soient présidentielles, européennes, régionales ou municipales.
Je rappelle que Gilles Bourdouleix est né dans la ville D'ANGERS, et chaque mois, il adresse aux Choletais une lettre d'information, une sorte de journal de propagande dans lequel il véhicule ses idées. Le journal s'appelle le 49-5 car Bourdouleix fut député de la 5e circonscription dans le département 49.
Dieu nous envoie un message clair à travers le chiffre 49-5.
495 = DIE
« DIE » signifie « MOURIR » en anglais.
Dieu fait comprendre aux Choletais qu'ils finiront par MOURIR, s'ils continuent à voter pour Gilles Bourdouleix avec les 5 doigts de leur main qui tiennent le bulletin de vote, puisqu'ils n'obtiendront jamais la vie éternelle en faisant ALLIANCE avec un homme politique qui défend un système économique injuste et criminel.
À travers Gilles Bourdouleix et le journal 49-5, Dieu ne s'adresse pas uniquement aux Choletais mais aux électeurs du monde entier. La ville de Cholet est symbolique, étant ma ville de naissance, et la mairie à la forme d'une machine à écrire ; par conséquent, Dieu écrit les termes de la nouvelle Alliance et il nous fait ainsi comprendre que lors des élections, nous devons couper la tête du ROI (SATAN) avec les 5 doigts de notre main qui tiennent le bulletin de vote – ou alors c'est la MORT qui nous attend. Je précise que le ROI (SATAN) c'est le RICHE, et plus généralement la cupidité et l'égoïsme, alors unissons-nous et votons pour mettre un terme au IIIe REICH capitaliste.
Le déluge sumérien
La civilisation mésopotamienne énonce pour la première fois dans l'histoire des religions, la notion du déluge, bien avant la Bible et l'Ancien Testament. Le mythe babylonien d'origine sumérienne remontant à 2700 av. J.-C., mentionne que les dieux ont décidé de provoquer un déluge afin de « détruire la semence du genre humain ». Le personnage de Ziusudra précède celui de Noé, c'est un roi pieu craignant les dieux et il doit construire un navire pour sauver sa vie. Les eaux du déluge ont ainsi submergé la terre pendant 7 jours et 7 nuits. La différence avec l'Ancien Testament réside notamment dans la durée qui est de 40 jours et 40 nuits dans le récit biblique.
Les Sumériens ont occupé la Mésopotamie à la fin du IVe millénaire av. J.-C. et durant le IIIe millénaire av. J.-C. Mais ils ont complètement disparus à partir du II e millénaire av. J.-C.
Les SUMERIENS ont été les premiers à énoncer la notion du Déluge.
SUMERIEN = SU MERIEN
SU = 19+21 = 40
SUMERIEN = 40 MER RIEN
Le Déluge biblique a duré 40 jours pendant lesquels la MER a enseveli la Terre et il ne restait alors plus RIEN, car l'homme a disparu de la surface de la Terre.
Les SUMERIENS ont disparu de l'histoire de l'humanité du jour au lendemain à l'instar des hommes après le Déluge.
Selon la chronologie de James Ussher, qui fait autorité, la Bible date le Déluge 1656 ans après la création d'Adam (le premier homme créé par Dieu) et 2348 ans avant la naissance du Christ.
James Ussher a donc établi que le Déluge a eu lieu 1656 ans après la création d'Adam et James Ussher est mort le 21 mars...1656.
1656 = OFF
« OFF » signifie « ÉTEINDRE » en anglais.
Après le Déluge, l'espèce humaine s'est ÉTEINTE.
Dieu a uniquement sauvé Noé et sa famille en lui donnant l'ordre de construire une arche pour se sauver du Déluge. La Terre a ensuite été repeuplée à partir de la famille de Noé.
James Ussher est mort le 21 mars 1656.
21 mars = 21 3
21 3 = BAC
En navigation, un BAC est un bateau à fond plat utilisé pour traverser un cours d'eau, un lac, un estuaire ou un bras de mer.5
Le BAC symbolise l'arche de Noé.
Les signes sont évidents, tu n'as pas besoin d'avoir le BAC pour les comprendre. Ce ne sont pas les plus diplômés qui obtiendront la vie éternelle mais seulement ceux qui comprendront que Dieu écrit chaque ligne de l'histoire de l'humanité.
NOÉ = 14x15x5 = 1050
1050 = 10 5 0
10 5 = JE
0 = le chiffre 0 a la forme de la lettre O (EAU).
Le « JE » symbolise l'individualisme et donc le capitalisme car ce système économique a permis à 8 personnes de posséder autant de richesses que 3,6 milliards de femmes et d'hommes sur Terre. À cause de cette inégale redistribution des richesses, 2,6 millions de personnes meurent chaque année faute d'avoir accès à l'EAU potable. L'ONU estime qu'en investissant 15 milliards d'euros annuels, nous pourrions fournir de l'eau potable à tous les habitants de la Terre, mais malheureusement, la majorité des citoyens occidentaux vote pour le règne du « JE » à chaque élection, donc les 15 milliards restent entre les mains des riches et 2,6 millions d'êtres humains meurent ainsi prématurément chaque année.
Pour être sauvé par Dieu, comme l'a été NOÉ, tu dois désormais t'unir politiquement avec tes frères et sœurs sur Terre – afin d'évoluer du « JE » au « NOUS » et ainsi mettre le diable à GENOUX.
Dans sa chronologie, James Ussher a établi que Dieu a créé le Ciel et la Terre, le soir du 22 octobre 4004 av. J.-C.
4004 = 44 00
Le chef-lieu du département 44 est la ville de NANTES.
Dans « NANTES », il y a toutes les lettres du mot « SATAN ».
44 00 = 00
Les chiffres 00 symbolisent les yeux de Dieu car à travers la date de la création du monde, il veut nous faire comprendre qu'il nous regarde tout au long de notre vie sur Terre, et il nous donnera la vie éternelle si nous ne tombons pas dans les pièges de SATAN. Tu dois donc notamment éviter les pièges de la société de consommation – qui glorifie l'argent, la drogue, la violence et la sexualité.
22 octobre 4004 = 22 10 4004
22x10x4004 = 880880
880880 = 8888 00
8888 = HHHH
Les 4 H – assemblés les uns sur les autres – forment une échelle.
00 = ce sont les yeux de Dieu.
À travers la date de la création du monde, Dieu nous fait ainsi comprendre qu'il nous regarde constamment, et si nous combattons SATAN en évitant de tomber dans ses pièges, nous pourrons monter l'échelle qui mène au paradis.
Dieu a créé la Terre en 7 jours.
Le 7e jour de l'année est le 7 janvier.
7 janvier = 7 1
Le chef-lieu du département 71 est la commune de MACON.
À travers le chiffre 7, Dieu nous fait ainsi comprendre qu'à l'instar d'un MAÇON qui construit une maisson, il a construit la Terre en bâtissant ses fondations en 7 jours.
Le 7e jour, Dieu s'est reposé. C'est la raison pour laquelle nous ne travaillons pas le dimanche.
Or l'ancien ministre de l'Économie, Emmanuel MACRON, a modifié cette loi sacrée en généralisant le travail le dimanche.
MACRON est un multimillionnaire, et depuis des millénaires, c'est le riche qui CONSTRUIT le monde à sa façon, c'est lui le MAÇON de la Terre ; il a pris la place de Dieu. Alors nous devons désormais lui prendre le pouvoir des mains parce que le riche DÉTRUIT tout : il DÉTRUIT la Terre, il DÉTRUIT la nature, il DÉTRUIT l'homme.
Le 7e jour de l'année 2015, Emmanuel MACRON a déclaré au journal Les Échos : « Il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires. »
Ne tombe pas dans les pièges de SATAN car les riches ne vont pas au paradis. Dieu multiplie les signes pour te donner la vie éternelle, alors combats les défenseurs du RICHE et tu monteras l'échelle qui mène au paradis.
Lorsqu'il était ministre de l'Économie, MACRON a déclaré qu'il voulait « réformer » l'Impôt sur la fortune, en reprochant aux gouvernements successifs de n'avoir « pas su développer un environnement fiscal favorable aux entrepreneurs ». Lui se faisait fort d'y arriver avec un projet qu'il intitulait « NOÉ ». La recette ? Un DÉLUGE de cadeaux et d'exonérations fiscales pour le patronat. Mais c'était difficile de faire plus que ce que faisait déjà le gouvernement.6
NOÉ = 14x15x5 = 1050
105 = JE
Macron symbolise le règne du « JE ». Sa politique est d'enrichir toujours plus une minorité de la population en faisant les poches des Français plus modestes. Il ose nous faire croire que plus les riches auront de l'argent et plus ils investiront leur fortune dans l'économie, alors que ça fait depuis plus de 30 ans que les gouvernements successifs gavent les riches de milliards sans qu'il n'y ait aucun impact sur la baisse du chômage. Il est donc évident qu'il faut plafonner les revenus des riches et prendre le contrôle des richesses que NOUS produisons pour les investir NOUS-mêmes afin de donner du travail à tous les citoyens. Dieu nous demande ainsi de nous unir afin d'évoluer du JE au NOUS pour mettre les riches et leurs serviteurs politiques à GENOUX le jour de l'élection présidentielle.
Période des dynasties archaïques
La période des dynasties archaïques est une phase de l'histoire de la Mésopotamie, parfois aussi appelée « dynastique archaïque », « proto-dynastique » ou encore « présargonique ». Elle dure d'environ 2900 av. J.-C., jusque vers 2340, date de l'unification de la région par Sargon d'Akkad. Succédant à la période d'Uruk qui a vu la formation des premiers États, des premières villes et l'invention de l'écriture, cette époque est caractérisée par l'existence d'États encore peu développés et peu étendus, désignés comme des « cités-États ». Leurs structures se consolident au fil du temps, jusqu'à la fin de la période qui est marquée par la constitution de l'empire d'Akkad. Du point de vue culturel, ces différentes entités politiques sont relativement homogènes, participant à une civilisation brillante qui rayonne sur une grande partie du Moyen-Orient. Les cités du pays de Sumer (Uruk, Ur, Lagash, Umma, Nippur, etc.), situées à l'extrême sud de la Mésopotamie, sont les plus influentes ; elles sont bordées au nord par des royaumes de peuplement sémite couvrant une grande partie de la Mésopotamie et de la Syrie (Kish, Mari, Nagar, Ebla, etc.).7
Le « premier Empire »
Avec Akkad, pour la première fois dans l'histoire du Moyen-Orient apparaît une grande construction étatique englobant pour plusieurs décennies un ensemble d'anciens micro-États. Cela entraîne progressivement un changement dans la conception de la fonction du souverain. Auparavant lié au cadre de la cité-État, celui-ci avait un rôle limité dans l'espace. Avec la constitution d'un vaste royaume sous la dynastie d'Akkad, le souverain prend peu à peu une nouvelle dimension. Cela est surtout perceptible sous le règne de Naram-Sin, qui développe une véritable pensée « impériale ». Il se dit « Roi des quatre rives (de la terre) » (c'est-à-dire de tout le monde connu), ce qui traduit une ambition de domination universelle, inédite dans le monde mésopotamien. De plus, nouveauté là aussi, dans ses inscriptions officielles il fait précéder son nom du déterminatif de la divinité, se fait à plusieurs reprise qualifier de « dieu d'Akkad », et dans les représentations il porte la tiare à cornes, attribut des dieux : le roi est donc d'essence divine. Même s'il n'est pas forcément considéré comme une divinité à part entière, il est au-dessus des autres hommes. On a donc les traits d'un « empereur » qui veut se démarquer des autres rois par son essence, son charisme et ses ambitions.
L'apparition d'une idéologie de nature impériale à l'époque d'Akkad n'est cependant pas une véritable révolution. On a longtemps voulu voir en Sargon un pionnier, mais il se situe en fait dans la continuité de plusieurs souverains de Basse Mésopotamie dont la puissance avait déjà excédé celle des rois de cités-États ordinaires. Une grande place doit être accordée à Lugal-zagesi, roi originaire d'Umma mais établi à Uruk, et prédécesseur direct de Sargon, dont il a vraisemblablement inspiré l'œuvre politique. De plus, Sargon débute ses conquêtes à partir du royaume de Kish, qui est depuis plusieurs siècles l'un des plus puissants de la Basse Mésopotamie et a une grande influence politique voire culturelle. Du reste, la tradition idéologique n'est réellement bousculée que sous les successeurs de Sargon, particulièrement Naram-Sin. Progressivement un nouvel art royal apparaît, suivant l'évolution de la conception de la royauté, et on met en place une administration centralisée sur les cadres territoriaux anciens. On effectue une standardisation des textes administratifs, qui sont écrits dans tous les centres provinciaux de l'empire avec une même graphie et dans un même type d'akkadien, pour être plus facilement compris et contrôlés par un personnel homogène sur tout le territoire, alors que pour les textes non officiels subsistent les habitudes locales
Malgré tout, la prise de pouvoir par Sargon d'Akkad est importante car pour la première fois dans l’Histoire une vaste région de Mésopotamie était politiquement unifiée sous l’autorité centrale d’un monarque, ce qui a fait dire de Sargon d'Akkad qu'il fut le premier empereur connu de l'histoire. D'autre part, la civilisation des Sémites de Haute Mésopotamie prenait l’ascendant sur celle des Sumériens de Basse Mésopotamie, ce qui se matérialisa par le recul très net de l’usage de la langue sumérienne, bientôt cantonnée aux activités d’élite (c’est-à-dire au culte, aux épopées et aux affaires d’État, puis bien vite seulement au culte et aux épopées) tandis que les domaines commercial et légal étaient gérés en akkadien.8
L'empire Assyrien
L'Assyrie est une ancienne région du Nord de la Mésopotamie, qui tire son nom de la ville d'Assur, qui est aussi celui de sa divinité tutélaire, le dieu Assur. À partir de cette région s'est formé au IIe millénaire av. J.-C. un royaume puissant qui est devenu par la suite un empire. Aux VIIIe et VIIe siècles av. J.-C., l'Assyrie contrôle des territoires s'étendant sur la totalité ou sur une partie de plusieurs pays actuels tels l'Irak, la Syrie, le Liban, la Turquie ou encore l'Iran.
L'assyriologie, discipline qui étudie l'Assyrie antique et plus largement la Mésopotamie antique, distingue trois phases dans l'histoire assyrienne, sachant qu'avant les environs de 700 av. J.-C. les dates sont approximatives : la période paléo-assyrienne, du XXe au début du XIVe siècle av. J.-C. ; la période médio-assyrienne, jusqu'à 911 av. J.-C. ; et la période néo-assyrienne, jusqu'à 612-609 av. J.-C., date de la fin du royaume assyrien. Schématiquement, durant la première période, l'Assyrie se résume à la cité-État d'Assur, connue surtout par le dynamisme de ses marchands. La deuxième période voit la naissance du royaume assyrien à proprement parler, en tant qu'État territorial puissant, qui connaît cependant un affaiblissement important au tournant des IIe et Ier millénaires av. J.-C. La troisième période voit l'Assyrie se muer progressivement en un empire, grâce notamment à sa redoutable armée. C'est notamment la puissance de cet Empire et de ses souverains qui a permis au souvenir de l'Assyrie de perdurer par la tradition de la Bible hébraïque et des auteurs grecs classiques.
La puissance assyrienne est alors sans précédent. Cependant, une crise politique grave, probablement renforcée par des faiblesses structurelles, conduit à la fin de cet empire à la fin du VIIe siècle. La fin de la puissance assyrienne ne signifie pas pour autant la fin de l'Assyrie, puisque plusieurs éléments indiquent les évolutions de cette région après l'effondrement de l'empire.9
Le Royaume de Babylone
L'empire Assyrien est une des composantes essentielles de la civilisation mésopotamienne ancienne, au même titre que celui qui est devenu son rival méridional, le royaume de Babylone. Ce dernier s'est épanoui en Mésopotamie du sud du début du IIe millénaire avant J.-C. jusqu'en 539 av. J.-C., date de la prise de sa capitale par le roi Cyrus II de Perse. Cet État s'affirme à partir de la cité de Babylone dans le courant du XVIIIe siècle av. J.-C., sous l'impulsion du plus grand roi de sa première dynastie, Hammurabi. Après son pillage par les Hittites en 1595 av. J.-C., Babylone passe sous l'autorité d'une dynastie d'origine kassite qui stabilise ce royaume pendant plus de quatre siècles. Cette période marque le début de la rivalité avec le royaume voisin situé au nord, l'Assyrie, qui marque les siècles suivants. Après plusieurs siècles d'instabilité entre 1100 et 800 av. J.-C., la Babylonie passe sous la coupe de l'Assyrie pendant plus d'un siècle (728-626 av. J.-C.), avant d'initier une réaction qui aboutit à la destruction de l'Assyrie et à la formation de l'empire néo-babylonien (626-539 av. J.-C.) par Nabopolassar et Nabuchodonosor II. Cette dernière phase de l'histoire du royaume de Babylone est brève, s'achevant en 539 av. J.-C. par sa conquête par le roi perse Cyrus II. Dès lors, Babylone n'est plus dominée par une dynastie d'origine autochtone : aux Perses Achéménides (539-331 av. J.-C.) succèdent les Grecs Séleucides (311-141 av. J.-C.), puis les Parthes Arsacides (141 av. J.-C.-224 ap. J.-C.). La Babylonie conserve néanmoins sa prospérité jusqu'aux débuts de notre ère, tandis que sa culture millénaire s'éteint lentement.
À partir du moment où il met la main sur les vieilles cités du sud mésopotamien héritières des civilisations de Sumer et d'Akkad, le royaume de Babylone devient l'héritier de leurs anciennes traditions, et un centre culturel et religieux rayonnant dans tout le Proche-Orient ancien et même le monde antique. Son prestige fut immense pendant la période antique, et s'est transmis jusqu'à nos jours par la tradition biblique et celle des auteurs de la Grèce classique, témoins de l'empire néo-babylonien.
Le nom de Babylone est resté bien vivant durant les siècles qui ont suivi sa chute grâce à la trace que la ville et son royaume ont laissé dans plusieurs écrits qui en parlaient, rédigés du temps où ils étaient encore prestigieux. À l'époque de la domination perse (Ve-IVe siècle av. J.-C.), Babylone est décrite par plusieurs auteurs grecs dont Hérodote et Ctésias, qui mentionnent la grandeur de la ville et quelques éléments de son histoire, non sans quelques approximations ou confusions, notamment la substitution de l'Assyrie à Babylone sur certains événements.
Mais c'est essentiellement par le biais de la tradition juive que Babylone survit dans le monde savant avant la période contemporaine : la Bible hébraïque s'inspire de cette ville pour le mythe de la Tour de Babel qui connaît un grand succès, et mentionne ce royaume et la Babylonie où ont été déportés des habitants du royaume de Juda au début du VIe siècle av. J.-C. Le Talmud de Babylone fournit également quelques informations sur la Babylonie et s'inspire en partie de ses savoirs, même s'il est une source à manier avec précaution. Ce sont avant tout les connaissances astronomique et astrologique des Babyloniens qui assurent leur postérité dans le monde savant.10
Sources