La Rome antique est à la fois la ville de Rome et l’État qu’elle fonde dans l’Antiquité. L’idée de Rome antique est inséparable de celle de la culture latine. Ce regroupement de villages au VIIe siècle av. J.-C. parvint à dominer l’ensemble du monde méditerranéen et de l’Europe de l’Ouest du Ier au Ve siècle par la conquête militaire et par l’assimilation des élites locales, sa domination a laissé d’importantes traces archéologiques et de nombreux témoignages littéraires, et elle a façonné pour toujours l’image de la civilisation occidentale. Durant ces siècles, la civilisation romaine passe d’une monarchie à une république oligarchique puis à un empire autocratique.
Légende
La naissance de Rome est évoquée dans des récits légendaires racontés par Virgile, Tite-Live et Denys d’Halicarnasse, entre autres. Dans l’Énéide, long poème à la gloire de l’empereur Auguste, Virgile raconte les aventures du troyen Énée, fils de Vénus. Celui-ci parvient à s’enfuir de Troie quand celle-ci est saccagée par les Achéens avec son fils Ascagne (ou Iule), un groupe de Troyens et en portant son père Anchise sur ses épaules. Après de nombreuses aventures et des amours contrariées avec Didon, la reine de Carthage, il débarque dans le Latium où il fonde la ville de Lavinium. Son fils Ascagne fonde Albe-la-Longue. Cette légende permet de donner à Jules César et son héritier Auguste une origine divine puisqu’ils se présentent comme les descendants d’Ascagne.
Après Ascagne, douze rois se succèdent à Albe. Le treizième, Numitor, est détrôné par son frère Amulius. Pour écarter tout futur rival, celui-ci fait de sa nièce, Rhéa Silvia, une vestale, c’est-à-dire une prêtresse de Vesta ayant l’obligation de rester vierge. Mais le dieu Mars tombe amoureux d’elle et de leur union naissent des jumeaux, Romulus et Rémus. La jeune vestale est emmurée vivante et ses fils sont exposés sur le Tibre (selon Denys d’Halicarnasse de nombreuses versions existent, tout aussi bien sur le viol que sur la peine infligée). Ils sont d’abord recueillis par une louve qui les allaite puis par un couple de bergers qui les élève.
Devenus adultes, ils restaurent le trône de leur grand-père Numitor et décident de fonder une nouvelle ville. Ils s’en remettent aux auspices pour savoir lequel d’entre eux régnera sur la ville, mais une dispute éclate entre les deux frères. Au cours de la querelle, Romulus tue Rémus. Cette légende prend sa forme définitive à la fin du IVe siècle av. J.-C. Selon la tradition, la fondation de Rome remonte à 753 av. J.-C. Les Romains comptent les années à partir de la date supposée de la naissance de leur cité (Ab Urbe condita).
Premiers Romains
Les premiers Romains sont organisés en groupes héréditaires appelées gentes ou « clans ». Pendant longtemps, ce genre de divisions est familier de la majorité des Indo-Européens. Chaque clan se compose d’un agrégat de familles vivant sous la tutelle d’un patriarche, appelé pater (mot latin pour « père »). Chaque gens constitue une unité qui s’autogouverne et chaque membre d’une gens particulière partage les mêmes droits et les mêmes responsabilités que les autres membres. Chacun des clans se gouverne lui-même de façon démocratique (chaque membre peut voter) ou aristocratique (un groupe d’anciens gère les problèmes). Bien avant la date traditionnelle de la fondation de Rome, une communauté s’est fusionnée en confédération, la ville d’Albe-la-Longue (Alba Longa) constituant son point de rassemblement. Néanmoins, après un certain temps, le siège de cette confédération se déplace à Rome.
Débuts de la monarchie (VIIIe et VIIe siècles av. J.-C.)
La Monarchie peut être divisée en deux périodes. La première voit le règne des quatre premiers rois légendaires (Romulus/Titus Tatius, Numa Pompilius, Tullus Hostilius et Ancus Marcius), à qui les annalistes attribuent la fondation des institutions politiques et religieuses de la ville. Celle-ci est organisée en curies, le Sénat et les comices curiates deviennent officiels. Rome s’engage dans plusieurs guerres de conquête. C’est à cette époque que serait fondé le port d’Ostie et qu’est construit le premier pont sur le Tibre.
Familles patriciennes et leur division en curies
Selon ce que rapporte la tradition, les anciens Romains sont divisés en trois groupes ou Tribus romuléennes, les Tities, les Ramnes et les Luceres. L’origine et la composition des ces tribus restent un sujet de débat pour les historiens. Les familles appartenant à l’un de ces trois groupes constituent les premières familles patriciennes. Afin d’organiser la ville, ces familles patriciennes l’ont divisée en unités appelées curies, bien que, selon la légende, cette organisation soit imputée au premier roi, Romulus. Chacun des trois tribus est divisé en dix curies.
Création du sénat, des comices, et roi de Rome
Quelques-uns des clans se gèrent de façon démocratique avec chaque membre possédant le droit de vote. D’autres se gouvernent de façon aristocratique, organisés autour d’un conseil d’anciens. Quand ces clans ont fusionné pour donner naissance à une plus large communauté, les deux méthodes ont été conservées pour gouverner.
Les premiers Romains s’expriment démocratiquement au travers d’une comitia (« assemblée » ou « comice »). Les deux principales assemblées formées sont connues sous les noms de comices curiates et de comices calates. Les comices sont l’incarnation des tendances démocratiques des premiers clans. Pour mieux respecter la forme de démocratie directe utilisée par les clans confédérés, les deux comices sont organisées de façon à refléter au mieux les divisions tribales de la ville. Les comices sont donc organisées par curies. Les membres de chacun des trois tribus (Ramnes, Tities et Luceres) sont assignés à une curie précise, chaque groupe étant divisé en dix curies.
L’équivalent aristocratique des assemblées prend la forme d’un conseil municipal des anciens. Alors que les conseils de chaque clan se composent des anciens des familles dirigeantes du clan, le conseil municipal se compose des anciens appartenant aux clans dirigeants de la ville, conseil qui deviendra le Sénat. Celui-ci (selon la légende) se compose de 300 anciens (des patres) venant de chacun des trois tribus et constituant les premiers sénateurs romains.
Le peuple et les anciens reconnaissent la nécessité d’avoir un dirigeant politique unique, appelé le rex. Le peuple élit le roi tandis que les anciens le conseillent.
Monarchie tardive ( VIe siècle av. J.-C.)
La deuxième période, plus riche en événements que la première, voit le règne des trois derniers rois légendaires, l’importante expansion du territoire romain et le développement de la classe plébéienne avec son intégration partielle à la structure politique de la ville. Enfin, cette seconde période voit les seuls rois étrangers ayant régné sur Rome avec leurs successions basées sur l’hérédité. Les trois rois étrusques semi-légendaires entament une politique de conquête. Le premier roi étrusque de Rome, Tarquin l’Ancien, succède à Ancus Marcius. Il a été suggéré que Rome a été envahie par les Étrusques, bien que cela reste improbable. La ville est située sur une position facilement défendable et son expansion rapide attire les populations de toute la région. La politique libérale de la ville constitue une opportunité pour un dirigeant compétent de gagner le trône.
Apparition de la classe plébéienne
Le plus souvent, les habitants dont les villes ont été conquises y demeurent. Leur vie quotidienne et leur système de gouvernement restent les mêmes, mais leurs villes perdent leur indépendance vis-à-vis de Rome. Néanmoins, un certain nombre vient à Rome. Pour acquérir un statut économique viable et légal, les nouveaux arrivants doivent accepter une dépendance envers une famille patricienne ou envers le roi (qui est lui-même un patricien) ; ils deviennent alors clients d’une famille patricienne. En fin de compte, ceux qui s’étaient attachés au roi sont libérés de leur dépendance. Ces derniers constituent alors les premiers plébéiens. La plèbe est une partie du peuple romain, c’est-à-dire les citoyens romains, distincts des esclaves. La plèbe — les plébéiens — se définit par opposition aux patriciens ou plus tard à la nobilitas : c’est la partie du peuple qui s’oppose à l’organisation oligarchique de la cité. Dans le langage courant, la plèbe désigne la population, autrement dit, vous, et ceux qui vous gouvernent, l’oligarchie régnante, appartiennent a la classe des patriciens.
Comme Rome s’agrandit, de plus en plus de soldats sont nécessaires aux conquêtes. Les non-patriciens appartiennent à la même curie que leurs patrons. En ce temps, l’armée est organisée sur la base des curies, de sorte que les individus dépendants de familles doivent se battre. Néanmoins, quand ils sont délivrés de leur dépendance, ils quittent la curie à laquelle appartient leur patron. Ils ne sont alors plus obligés de se battre, mais ils perdent tout statut politique ou économique.
Pour faire revenir ces plébéiens dans l’armée, les patriciens ont dû faire des concessions, dont on ne connaît pas exactement la nature. Une des conséquences est que les plébéiens ont désormais le droit de posséder leurs propres terres. Devenus propriétaires terriens, ils ont maintenant tout intérêt à défendre la ville, car si elle venait à être conquise, ils perdraient toutes leurs terres. Néanmoins, il ne leur est donné aucun pouvoir politique. Tous ces éléments qui se mettent en place conduiront à la Guerre des ordres sous la République.
Réorganisation servienne de l’armée
Pour faire revenir les plébéiens dans l’armée, le roi Servius Tullius abolit l’ancien système qui organise les armées sur la base des curies et le remplace par un système basé sur la propriété terrienne. Suivant la réorganisation de Servius Tullius, deux nouvelles unités sont créées. L’armée est divisée en centuries (centuriae). De futures réorganisations seront plus efficaces en se basant sur les tribus. Les centuries se rassemblent dans une nouvelle assemblée appelée comitia centuriata (comices centuriates). À sa création, cette assemblée ne dispose d’aucun pouvoir politique ou législatif. Elle est simplement utilisée comme point de réunion de l’armée.
Avènement de la République (Ve et début du IVe siècles av. J.-C.)
Le mot « république » vient du latin res publica, ce qui signifie « la chose publique ». Gouverner la cité est donc une affaire publique et collective. La devise de la République est Senatus Populusque Romanus, « le Sénat et le peuple romain ». Elle symbolise l’union du Sénat romain, où siègent à l’origine les familles patriciennes, et de l’ensemble des citoyens romains. En effet, les Romains sont divisés en deux groupes, les patriciens et les plébéiens. Ces derniers forment la masse des artisans et paysans. Ils vivent en dehors de l’organisation patricienne et n’honorent aucun ancêtre particulier. Les patriciens sont souvent propriétaires de vastes domaines cultivés. Ils appartiennent à de célèbres familles, les gentes. Chaque gens a ses propres cultes dont celui des ancêtres et ses traditions. Elle comprend un nombre plus ou moins grand de clients qui doivent obéissance à leur « patron » et reçoivent en échange aide et assistance en cas de besoin.
Fin des rois étrusques et instauration de la République
Selon les traditions, Junius Brutus, le neveu du dernier roi Tarquin le Superbe, est le fondateur légendaire de la République romaine, en 509 av. J.-C. Tarquin est renversé, car il use de ses pouvoirs pour instituer une tyrannie. Ses abus sont si extrêmes que le Sénat et le peuple de Rome voient même le concept de la monarchie comme odieux. Le Sénat perd le contrôle de l’élection des nouveaux sous la dynastie étrusque des Tarquins, et c’est cette atteinte à la souveraineté du Sénat, plutôt qu’une tyrannie intolérable, qui pousse les patriciens, plutôt que le peuple entier, à chasser le dernier roi. Tarquin le Superbe soulève des villes étrusques contre la république naissante qui les vainc. Nombre de villes latines se défont du joug étrusque à la fin du VIe siècle av. J.-C. Le tyran se réfugie ensuite à Tusculum où il pousse son gendre Octavius Mamilius à la guerre. Allié des Latins, il mène l’ultime combat contre Rome au lac Régille où il est vaincu, puis meurt quelques années plus tard à Cumes où il fait de son hôte, le tyran Aristodème, son héritier.
Institutions primitives et lutte patriciat / plèbe
Au lendemain de la chute de la monarchie, le Sénat et surtout les deux seuls magistrats récupèrent le pouvoir suprême, et on passe d’un système monarchique à un système oligarchique. Ce changement de gouvernement ne profite qu’à une minorité, la nouvelle élite : le patriciat. De nombreux plébéiens sont très endettés, et subissent donc la loi du patriciat.
La première sécession de la plèbe a lieu en 495 av. J.-C. et la plèbe obtient la création de la magistrature du tribunat de la plèbe interdite aux patriciens, chargée de défendre son intérêt. Les tribuns de la plèbe sont inviolables. Ils peuvent s’opposer à n’importe quelle loi proposée par les autres magistrats : c’est l’intercessio. Les tribuns de la plèbe gagnent du pouvoir petit à petit. Par la Lex Publilia Voleronis, les plébéiens s’organisent par tribu, se rendant politiquement indépendants des patriciens.
Ensuite, ils réclament la mise par écrit des lois, par l’intermédiaire du projet de la Lex Terentilia, autour duquel Rome se déchire pendant une décennie, jusqu’à ce qu’une commission extraordinaire, les décemvirs, soit établie pour rédiger des lois écrites. La loi des Douze Tables est rédigée en deux fois. La seconde commission de décemvirs tente de maintenir son pouvoir absolu, mais devant la sécession de la plèbe, retirée sur le mont Sacré (l’Aventin), ils doivent démissionner, et la loi est approuvée par le peuple romain. Selon les études modernes, le second décemvirat ne serait jamais survenu. La loi des Douze Tables constitue le premier corpus de lois romaines écrites. Leur rédaction est l’acte fondateur du droit romain, de la constitution de la République romaine et du mos maiorum.
Une série de lois est ensuite votée, par lesquelles les plébiscites promulgués par les comices tributes ont force de loi sous réserve que le Sénat les ratifie, le droit d’appel au peuple est rétabli, la sacrosainteté et l’inviolabilité des tribuns de la plèbe sont proclamées : ce sont les leges Valeriae Horatiae, ainsi que la suppression de l’interdiction de mariage entre plébéiens et patriciens : la lex Canuleia. Le Sénat, pour faire face à la demande que le consulat s’ouvre aux plébéiens, propose la création du tribunat militaire à pouvoir consulaire, ouvert à tous, et ayant presque tous les pouvoirs du consulat, exceptés ceux donnés à une nouvelle magistrature patricienne, la censure. Au début, les patriciens accaparent la nouvelle magistrature, mais petit à petit, les plébéiens sont de plus en plus nombreux à accéder au tribunat militaire à pouvoir consulaire, qui devient presque systématique, remplaçant le consulat.
En 376 av. J.-C., une série de lois est proposée pour améliorer la situation de la plèbe à Rome. Il s’agit de lois politiques, économiques et sociales, visant à partager le pouvoir suprême entre plébéiens et patriciens, à lutter contre l’accaparement par les patriciens des terres récemment annexées autour de Rome (ager publicus), et à soulager la plèbe qui est écrasée de dettes : les mesures proposées sont le rétablissement du consulat, avec obligatoirement un élu plébéien parmi les deux consuls, l’interdiction d’occuper plus de 500 jugères sur l’ager publicus et la déduction du capital des intérêts déjà payés et l’étalement du remboursement des dettes sur trois ans, ainsi que la suppression du nexum. Les trois lois, unies en une seule pour le vote, sont approuvées. Le consulat plébéien ouvre implicitement l’accès à la dictature et à la censure. Durant toute cette période, la République romaine fait face à une multitude d’ennemis, et est sans cesse en guerre contre des peuples italiques, en ayant souvent recours à l’élection d’un dictateur pour faire face aux menaces extérieures, et est plusieurs fois proche de la catastrophe, comme lors du sac de Rome par les gaulois, menés par Brennus, en 390 av. J.-C.
Conquête de l’Italie (IVe et début IIIe siècles av. J.-C.)
Le IVe siècle av. J.-C. représente un tournant majeur dans l’histoire de Rome, car il pose les bases de l’expansion qui est suivie par l’extension du territoire romain jusqu’à la Campanie, malgré la résistance forte des montagnards samnites. Les historiens contemporains identifient plusieurs facteurs qui expliquent ces changements : le traumatisme des invasions gauloises et les difficultés qui suivirent avec ses voisins, semblent avoir persuadés les Romains de ne plus accepter de menaces et d’entamer une expansion que l’on peut parfois qualifier d’« impérialisme défensif ».
Guerre des ordres
La période qui suit le vote des lois licinio-sextiennes voit l’émergence de tendances alarmantes, tel que le rapprochement continu des tribuns et des sénateurs. Vers le milieu du IVe siècle av. J.-C., le concile plébéien ratifie la Lex Ovinia qui permet aux censeurs de décider de l’entrée de n’importe quel magistrat nouvellement élu au Sénat. Les plébéiens détenant déjà de nombreuses magistratures, leur nombre au Sénat augmente probablement rapidement. Le rapprochement entre les tribuns et le Sénat facilite la création d’une nouvelle aristocratie plébéienne : la plupart des plébéiens élus aux magistratures proviennent d’une de ces familles plébéiennes. Cette nouvelle aristocratie plébéienne se fond bientôt dans l’ancienne aristocratie patricienne, créant une aristocratie combinée « patricio-plébéienne ».
En 287 av. J.-C., les plébéiens font sécession. Pour mettre un terme à cette nouvelle sédition, les lois hortensiennes sont adoptées, qui donnent force de loi aux résolutions de l’assemblée de la plèbe (plébiscites) sans ratification du Sénat. La signification fondamentale de cette loi dans les faits est qu’elle retire aux patriciens toute possibilité de s’opposer aux plébéiens, ce qui entraîne que les sénateurs plébéiens ont dorénavant les mêmes droits que les sénateurs patriciens. Par conséquent, le contrôle de l’état ne retombe pas sur les épaules de la démocratie, mais sur les épaules de cette nouvelle aristocratie « patricio-plébéienne ».
Une armée de citoyens
Seuls les citoyens propriétaires ont le devoir de se battre pour la République. Les plus riches combattent dans la cavalerie (equites), les autres sont fantassins (pedites). Après les réformes de Camille, ils forment des légions d’environ 4 500 hommes, composées notamment des hastati, les jeunes citoyens (iuniores) bien entraînés en première ligne, des principes, eux aussi iuniores, mais plus expérimentés, en deuxième ligne, et des triarii, les seniores, qui forment la dernière ligne et la réserve. Les plus pauvres combattent en tant que vélites. Il existe aussi des troupes auxiliaires composées de soldats ne jouissant pas de la citoyenneté romaine qui assistent les légions. Il règne dans la légion une discipline rigoureuse.
La conquête
En 390 av. J.-C., Rome est prise par les Gaulois et subit son premier sac. Pour les Romains, cet épisode est vécu comme une catastrophe nationale. La cité met longtemps à se relever de ce désastre. Par la suite et durant toute l’époque républicaine, l’état Romain reprit l’offensive et mena une longue série de guerres : il conquit l’Étrurie, prit des territoires aux Gaulois dans le nord et repoussa les autres Latins et les populations samnites au sud. En 290 av. J.-C. plus de la moitié de la péninsule était dominée par Rome. Au IIIe siècle av. J.-C. même les cités grecques furent soumises.
La République romaine domine alors une grande partie de l’Italie et permet à la péninsule de se stabiliser et de prospérer pour la première fois de son histoire, l’économie romaine et italienne est florissante. À Rome même, les institutions se consolident et se diversifient, la guerre des ordres prend fin, et l’État se trouve un seul et unique maître du pouvoir : le Sénat.
Économie, société et organisation
À la suite de la chute de Tarente en 272 av. J.-C., toutes les terres de la péninsule italienne situées au sud du fleuve Arno sont sous domination plus ou moins directe de Rome. De tous ces peuples et villes, aucun n’a réussi à s’opposer longtemps à l’avancée romaine, aucune coalition assez forte n’a réussi à se former pour résister aux forces romaines, car tous ces peuples et ces villes étaient désunis en temps de paix. Rome apporte à l’Italie une stabilité au début du IIIe siècle av. J.-C., à la même époque où les institutions de la République se stabilisent aussi.
Toutes les populations et toutes les cités italiennes étaient divisées avant que Rome ne s’impose, et cette dernière réussit à entretenir des différences entre chaque, traitant avec chaque ville et chaque peuple, sous des conditions différentes et pour des statuts différents. De toute l’Italie centrale et méridionale, il ne reste plus que « les Romains, les Latins et les alliés italiens », les seuls à être des hommes libres au sein de la communauté romaine. Il s’agit donc de Rome et des peuples ou cités qui ont été totalement intégrés, des territoires semi-intégrés, et des alliés de Rome, au début par des alliances entre égaux qui deviennent très vite des pactes dominés par Rome.
Il existe deux types de citoyenneté romaine : les citoyens de plein droit qui jouissent donc de tous les droits et de tous les devoirs, c’est-à-dire notamment le droit de voter et d’être élu, de propriété, de recevoir une solde dans l’armée ainsi que le devoir de servir sous les armes et de payer des impôts ; et ceux qui ont les mêmes droits et devoirs hormis celui de voter et de pouvoir être élu magistrat. Une partie des anciens Latins qui formaient la Ligue latine est incorporée à Rome avec la citoyenneté. Rome, de concert avec les Latins, va fonder de nombreuses colonies latines à des endroits stratégiques du territoire romain. Ce système de colonie latine, où les colons ne sont pas citoyens romains, mais possèdent un certain nombre de droits au sein de la colonie quasi-indépendante de Rome, va perdurer longtemps, étant à l’avantage de Rome et des colons. Enfin, les alliés sont en bas de la structure administrative romaine. Ils sont le plus souvent liés à Rome par une alliance inégale, et dans tous les cas, ces alliés doivent fournir à Rome un certain nombre de troupes et de fournitures militaires, sans que Rome doive les payer, ce qui soulage les citoyens romains.
Ainsi, Rome a su créer autour d’elles, parmi une mosaïque de statuts, un certain équilibre et surtout une prospérité que l’Italie n’a pas connue avant, effaçant en partie les inégalités au sein de l’organisation romaine.
Institutions politiques
Alors qu’aux débuts de la République ce sont les consuls qui détiennent le pouvoir, petit à petit le Sénat émerge et s’impose au sein des institutions romaines. L’assemblée devient permanente et assoit son autorité sur les magistrats romains à la fin du IVe siècle av. J.-C., passant d’un conseil des anciens à l’organe principal du pouvoir dont les magistrats sont les subordonnés. Le Sénat romain est tourné essentiellement vers la politique étrangère. Alors que son rôle dans les conflits armés se limite théoriquement à celui de conseiller, le Sénat finit par superviser ces conflits. Le Sénat gère également l’administration civile au sein de la ville. Alors que le Sénat peut influencer la promulgation de lois, il ne fait pas officiellement ces lois. Les assemblées législatives, qui sont considérées comme l’incarnation du peuple de Rome, font les lois domestiques qui gouvernent le peuple. Le Sénat promulgue des décrets appelés senatus consultum. Officiellement, il s’agit de « conseils » donnés aux magistrats, bien qu’en pratique, ces décrets sont souvent suivis à la lettre par ceux-ci.
Pendant toute la République, les citoyens sont répartis en centuries à des fins militaires, et en tribus à des fins civiles. Chacun des deux groupes se rassemble pour des buts législatifs, électoraux et judiciaires. Les comices centuriates sont organisées d’une manière très aristocratique. Selon cette organisation, les classes les plus élevées contrôlent suffisamment de centuries pour obtenir la majorité à chaque vote. Seules, les comices centuriates peuvent élire les consuls, préteurs et censeurs, déclarer une guerre offensive, ou encore valider le cens. Les comices tributes élisent les questeurs, les édiles curules et les tribuns militaires. Elles ont également le pouvoir d’instruire des cas judiciaires. Le concile plébéien ne représente pas tout le peuple, car les patriciens en sont exclus. Le concile plébéien élit ses propres représentants (tribuns de la plèbe et édiles plébéiens, considérés comme des magistrats). En effet, le concile plébéien est l’assemblée des tribus plébéiennes alors que les comices tributes sont l’assemblée des tribus « patricio-plébéiennes ».
Les magistratures sont électives et annuelles, hormis la censure et la dictature. Tous les magistrats ont un certain rang de pouvoir. Les dictateurs possèdent plus de pouvoirs que n’importe quel autre magistrat, suivi des consuls et des préteurs, magistrats ordinaires. Chaque magistrat peut seulement bloquer par son veto une action prise par un magistrat de rang égal ou inférieur au sien. Par conséquent, aucun magistrat ne peut s’opposer par son veto aux décisions du Sénat ou des assemblées. Comme les tribuns de la plèbe et les édiles plébéiens ne sont pas à proprement parler des magistrats, ils ne sont pas concernés par la répartition des « pouvoirs majeurs ». En général, cela fait d’eux des magistrats indépendants des autres. Ils ne peuvent voir leurs actes bloqués par le veto des consuls. Si un magistrat, une assemblée ou le Sénat ne se conforment pas aux ordres d’un tribun, celui-ci, en usant de l’intercessio, pourra bloquer cette action particulière. Chaque magistrat républicain détient certains pouvoirs constitutionnels (potestas), qui comprennent l’imperium, la coercitio et l’auspicia (pouvoirs religieux). Ces pouvoirs sont équilibrés par plusieurs contraintes constitutionnelles, incluant la collégialité (collega), le droit des citoyens d’en appeler au peuple (provocatio) et une division constitutionnelle des pouvoirs (provincia). Seul le peuple de Rome (plébéiens et patriciens) a le droit de conférer ces pouvoirs à un magistrat.
Conquête de la méditerranée (IIIe et IIe siècles av. J.-C.)
Les guerres contre les diverses cités italiennes, celles contre les Gaulois, les guerres puniques et celle contre Philippe de Macédoine, permirent de consolider la domination sur l’Italie et d’entamer l’expansion en Espagne et en Macédoine. La date marquante de cette expansion en Méditerranée est l’an 146 av. J.-C., année au cours de laquelle, après un siège de trois ans et tant de guerres menées pendant un siècle contre Rome, Carthage tomba définitivement et fut complètement rasée au sol et aspergée de sel par les armées romaines de Scipion Émilien ; Corinthe, ville symbole de la résistance grecque à la politique d’expansion romaine, fut également conquise et détruite ; par ces deux grandes victoires, Rome abandonna son rôle de puissance régionale en Méditerranée occidentale pour assumer celui de superpuissance incontestée dans l’ensemble du bassin méditerranéen, qui depuis lors prit le nom de mare nostrum. Les classes dirigeantes s’ouvrirent à l’influence de la culture grecque et des œuvres d’art et d’artisanat artistique furent importées en grand nombre de Grèce et des provinces orientales de culture hellénique.
Les problèmes induits par une expansion aussi importante que soudaine que dut affronter la République furent énormes et de plusieurs sortes : les institutions romaines étaient jusqu’alors conçues pour administrer un petit État ; désormais les provinces (comparables aux colonies des États modernes, à ne pas confondre avec les colonies romaines proprement dites, lesquelles étaient des implantations de citoyens romains à plein titre, cives optimo iure, hors du territoire de la République mais relevant de l’administration directe de l’État romain) s’étendaient de l’Ibérie, à l’Afrique, à la Grèce et à l’Asie.
Rome et l'Italie au IIe siècle av. J.-C.
La fin du IIe siècle av. J.-C. voit une aggravation des problèmes financiers pour de nombreux plébéiens. Les longues campagnes militaires tiennent de nombreux citoyens loin de chez eux pour se battre, sans qu’ils ne puissent plus s’occuper de leurs terres, laissées à l’abandon. Les petits fermiers font faillite et convergent alors vers Rome, grossissant les rangs des assemblées populaires, où leur statut économique leur permet, pour la plupart, de voter pour le candidat qui leur promet le meilleur avenir. Une nouvelle culture de dépendance apparaît qui favorisera la montée en puissance des meneurs les plus populaires.
Durant toute la deuxième Guerre punique, hormis quelques défections dans le Sud, les territoires latins et alliés de Rome sont restés fidèles à la République, et ont très largement contribué à l’effort de guerre, tant humainement que matériellement. Cependant, la citoyenneté romaine n’est que très peu étendue et les rancœurs et motifs de révolte s’accumulent contre le pouvoir central à Rome, aveugle.
L’organisation générale de l’Italie n’a pas évolué depuis près de deux siècles, alors que le territoire romain s’étend maintenant sur une grande partie du bassin méditerranéen. Ce blocage entraînera une guerre civile terrible au début du Ier siècle av. J.-C., connue sous le nom de « guerre sociale », entre les Romains et leurs alliés.
La République se retrouve seule maître de toute une partie du bassin méditerranéen où les territoires sont florissants. La prise de la Grèce et d’une partie de l’Asie augmente l’afflux de richesses dans toute la République. Le nombre d’esclaves est démultiplié et leurs biens acquis par Rome. L’apport financier consécutif à toutes ces guerres et ces territoires absorbés est extrêmement important. L’esclavage devient le moteur de la société romaine après la deuxième Guerre punique, lorsque les riches Romains commencent à créer des grandes propriétés (Latifundium) dans les provinces conquises.
Crises de la République (fin IIe et Ier siècles av. J.-C.)
La fin de la République est marquée par les nombreuses guerres civiles et extérieures qui ont des incidences considérables sur l’économie et la société romaine. Les institutions politiques républicaines sont peu à peu vidées de leur contenu au profit des généraux à la tête d’armées de vétérans qui leur sont dévouées.
Guerres civiles et fin de la République
La guerre profite surtout aux riches. Les rangs des citoyens petits propriétaires se sont éclaircis, surtout pendant la deuxième Guerre punique. Il y a donc moins d’agriculteurs. Les campagnes se couvrent de vastes pâturages. Le blé importé de Sicile concurrence celui des petits producteurs latins qui, ruinés, vendent leurs terres à bas prix aux grands propriétaires et s’en vont à Rome rejoindre la plèbe urbaine. Les grandes familles se constituent ainsi d’immenses domaines, les latifundia, où sont installés des paysans non propriétaires, les colons, et de nombreux esclaves. Elles forment la nobilitas, la noblesse qui accapare les magistratures et remplit le Sénat. À côté de cette noblesse foncière, apparaît une nouvelle classe d’hommes d’affaires qui s’enrichissent dans le commerce, la banque et le crédit. Leur richesse leur permet de tenir une place importante dans l’ordre des chevaliers. La noblesse et les chevaliers s’entendent pour exploiter l’empire naissant qui est divisé en provinces. Hommes d’affaires et magistrats issus de la noblesse s’enrichissent en les pillant souvent de manière systématique.
En ville par contre, le chômage s’accroît, la main-d’œuvre salariée est concurrencée par la masse des esclaves apportées par les conquêtes. Rome devient une ville bigarrée rassemblant, à côté des citoyens romains, des Italiques, des Grecs, des affranchis de tous horizons. Cette foule entretient une agitation constante dans la cité. À partir de 133 av. J.-C., les tensions se multiplient entre les riches et les pauvres, d’autant plus que le luxe le plus tapageur a fait son apparition à Rome. Pourtant une tentative de réforme se dessine avec les Gracques, issus d’une grande famille noble. Ils pensent qu’une réforme agraire est nécessaire pour résoudre le problème de la plèbe, mais les deux frères sont massacrés tour à tour, et leurs réformes abandonnées.
Des Germains envahissent la Gaule et écrasent à plusieurs reprises les armées romaines. Une réforme militaire profonde est entamée, en admettant, dans les rangs de l’armée, les prolétaires, c’est-à-dire les citoyens non propriétaires, qui n’avaient pas, jusque-là, accès aux légions. Une armée de pauvres et de non-citoyens succède ainsi aux armées de citoyens propriétaires terriens, mais c’est une armée de métier, prête à se dévouer à son chef et à lui ouvrir la route du pouvoir, d’autant plus si celui-ci est généreux. La nouvelle armée permet à Rome et à Marius de triompher face à deux menaces.
Après les Gracques, vient le temps des ambitieux qui luttent pour le pouvoir. Grâce à la réforme militaire et à ses victoires en Afrique et en Gaule, Marius domine la vie politique, associant les chefs du parti populaire à son pouvoir. En 91 av. J.-C., commence la guerre sociale, qui oppose le Sénat et les Italiens, qui tentent d’obtenir la citoyenneté romaine. En effet, ceux-ci, bien que faisant partie depuis longtemps de la République et bien que fournissant d’importants contingents militaires à l’armée romaine, n’ont pour la plupart pas acquis le statut de citoyens et sont toujours considérés comme des sujets. Rome réussit à endiguer la rébellion en concédant le droit de cité aux alliés qui ne s’étaient pas révoltés et ensuite à tous ceux qui déposeraient les armes. Par la suite Sylla parvient à vaincre les dernières cités irréductibles. À l’issue de la guerre sociale, les Italiens obtiennent donc le droit à la citoyenneté romaine et l’Italie est unifiée sous un seul statut juridique. Mais les problèmes subsistent. Les institutions républicaines ont du mal à fonctionner normalement. Les chevaliers et la nobilitas s’affrontent pour l’exploitation des provinces. S’ensuit les guerres civiles entre Sylla et Marius, tour à tour massacrant leurs opposants dans les rues de Rome, et finissant par la dictature de Sylla, qui opère ensuite d’importantes réformes politiques, renforçant le pouvoir des aristocrates et diminuant celui des tribuns de la plèbe. Il se retire ensuite de la vie politique.
Mais rapidement de nouvelles révoltes entraînent de nouvelles expéditions militaires favorisant ainsi l’émergence de nouveaux généraux vainqueurs qui se disputent le pouvoir.1
Jules César
César était issu de la famille des Iulii, historiquement connu comme une famille patricienne d’importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie, au Ier siècle av. J.-C., de la cinquantaine de familles de la nobilitas qui fournissaient la plupart des consuls. Les Julii connurent des revers de fortune, et Jules César grandit dans une insula assez modeste du bas quartier de Subure, de mauvaise réputation.
La jeunesse de Jules César s’inscrit dans un contexte de violentes luttes politiques qui opposent les optimates aux populares. Les premiers maintiennent une ligne conservatrice et aristocratique qui place le sénat romain au cœur de la République. Les seconds veulent satisfaire les revendications sociales et accorder plus de place politique aux Italiens et aux provinciaux.
Jules César grandit ainsi au milieu de troubles sanglants (première guerre civile) : combats de rue à Rome en 88 av. J.-C. entre les partisans de Caius Marius, chef des populares, et ceux de Sylla, puis victoire des légions de Sylla sur les marianistes aux portes de Rome en 82 av. J.-C., suivie d’impitoyables chasses à l’homme contre les proscrits du camp adverse.
Ses relations familiales placent Jules César parmi les populares dans le jeu politique romain. Malgré ces alliances familiales, Jules César ne semble pas s’être joint aux marianistes les plus extrémistes lors de la guerre civile qu’ils menèrent contre Sylla. Il est possible que César ait suivi les modérés lorsqu’ils se rallient à Sylla.
L'ascension de César
César développe activement ses relations, dépensant beaucoup en réceptions, et entame le parcours politique classique (cursus honorum) : tribun militaire, questeur en 69 av. J.-C. en Espagne, puis édile en 65 av. J.-C., il capte la faveur du peuple en rétablissant le pouvoir des tribuns de la plèbe et en relevant les statues de Marius. Chargé de l’organisation des jeux, il emprunte massivement pour en donner de spectaculaires, alignant selon Plutarque le nombre record de 320 paires de gladiateurs.
Parallèlement, César poursuit son activité judiciaire, pour des causes qui flattent le courant des populares.
César se fait élire en 63 av. J.-C. au titre de pontifex maximus grâce à une campagne financée par Crassus. Il dépense d’importantes sommes d’argent et contracte de nombreuses dettes, afin de remporter les suffrages des comices tributes, contre deux anciens consuls (Servilius Isauricus et Q. Catulus), plus âgés et expérimentés que lui. Selon l’usage, César s’installe dans la demeure du pontife à la Regia, et exercera la fonction de grand Pontife jusqu’à sa mort.
Envoyé comme propréteur en Bétique (Espagne) en 60 av. J.-C., il ne peut partir qu’après avoir donné des cautions à ses créanciers. Son départ précipité de Rome est motivé par sa volonté d’échapper à une action judiciaire éventuellement engagée à la fin de sa charge. César mène son premier commandement par une offensive contre les peuples ibères encore insoumis. Après avoir pacifié la province, il revient à Rome afin d’y défiler en triomphe pour son succès militaire puis de briguer le consulat. Mais les préparatifs du triomphe lui imposent de stationner hors de Rome, tandis qu’il doit y être présent pour poser sa candidature dans les délais. Il demande une dérogation, que Caton fait traîner en palabres. César doit choisir, et renonce à son triomphe pour viser le consulat.
Triumvirat et Consulat
L’homme le plus en vue à cette date est Pompée, après sa victoire en Orient contre le roi Mithridate VI Eupator. Cette campagne a permis à Rome de s’étendre en Bithynie, au Pont et en Syrie. Pompée revient couvert de gloire avec ses légions mais conformément à la règle, il les licencie après avoir reçu le triomphe, en 61 av. J.-C.
Au faîte de la gloire, Pompée demande des terres pour ses anciens soldats et la confirmation des avantages qu’il a promis pour les cités et princes d’Orient, mais le Sénat refuse. César exploite opportunément la déception de Pompée, le rapproche de Crassus, et forme avec eux le premier triumvirat. Cet accord secret scelle une alliance entre les trois hommes, chacun s’abstenant de réaliser des actions nuisibles à l’un des trois. César renforce peu après cette alliance en mariant sa fille Julia à Pompée.
Grâce au financement de sa campagne électorale par Crassus, César est élu consul en 59 av. J.-C., en ralliant notamment à sa cause Lucius Lucceius un de ses éventuels compétiteurs. Il peut désormais légiférer comme un tribun, selon l’expression de Plutarque, satisfaire les revendications des populares, rendre des gages à Pompée et gagner de nouveaux soutiens auprès des chevaliers et des provinciaux.
César profite de sa popularité pour préparer l’étape suivante de sa carrière : normalement, le Sénat prolonge le mandat d’un consul par le proconsulat d’une province pour un an. César contourne cette règle avec l’aide du tribun de la plèbe Publius Vatinius : celui-ci fait voter par le peuple un plébiscite qui confie à César et pour cinq ans deux provinces, la Gaule cisalpine et l’Illyrie, avec le commandement de trois légions (lex Vatinia). Pour sauver une apparence d’autorité, le Sénat lui accorde en plus la Gaule transalpine et une quatrième légion.
Proconsul en Gaule
Dès le début de son proconsulat, César engage la conquête de la Gaule en profitant de la migration des Helvètes en mars 58 av. J.-C. Cette expédition militaire est motivée par ses ambitions politiques, mais aussi par des intérêts économiques qui associent les Romains à certaines nations gauloises clientes de Rome (Éduens, Arvernes, etc.).
À Rome, les conservateurs réagissent à la guerre que mène César : son affrontement contre le germain Arioviste, qui a la qualité d’ami du peuple romain, accordée lors du consulat de César, scandalise Caton, qui proclame qu’il faut compenser cette trahison de la parole romaine en livrant César aux Germains.
En 55 av. J.-C., César traverse la Manche et réalise une première incursion en Bretagne (l’actuelle Grande-Bretagne), terre inconnue et quasi mythique pour les Romains de l’époque. Ultérieurement, il réalise un autre exploit par une démonstration militaire au-delà du Rhin. Mais à partir de l’hiver 54/53 av. J.-C., la situation en Gaule se détériore, et des révoltes se multiplient.
Le début de l’année 52 av. J.-C. est difficile pour César : la révolte en Gaule se généralise sous l’impulsion de l’Arverne Vercingétorix. À Rome, les désordres sont tels que Pompée est nommé consul unique, avec l’assentiment de Caton et des conservateurs. Pompée épouse Cornélie, la jeune veuve de Publius Crassus et la fille du conservateur Metellus Scipion, qu’il prend au milieu de l’année comme collègue au consulat. Pompée est désormais le défenseur du clan des conservateurs.
En 52 av. J.-C., Jules César remporte une victoire décisive au siège d’Alésia, où il reçoit la reddition de Vercingétorix. En 51 av. J.-C., après avoir étouffé les derniers foyers de révolte, César affirme la souveraineté de Rome sur les territoires de la Gaule situés à l’ouest du Rhin.
Selon Velleius Paterculus, en neuf campagnes, on n’en trouverait à peine une où César n’aurait pas mérité le triomphe, et il massacra plus de quatre cent mille ennemis et en fit prisonniers un plus grand nombre encore. Pour Plutarque, la conquête de la Gaule fut l’une des plus grandes victoires de Rome et place son commandant César au rang des plus illustres généraux romains, tels les Fabius, les Métellus, les Scipions.
« En moins de dix ans qu’a duré sa guerre dans les Gaules, il a pris d’assaut plus de huit cents villes, il a soumis trois cents nations différentes, et combattu, en plusieurs batailles rangées, contre trois millions d’ennemis, dont il en a tué un million, et fait autant de prisonniers. »
Tandis qu’il termine son mandat de proconsul, César prépare son retour à Rome par la conquête de l’opinion romaine : il répond aux critiques sur sa conduite de la guerre par la publication de ses Commentaires sur la Guerre des Gaules, sobre compte-rendu où il se présente à son avantage, puis en 51 av. J.-C., il annonce la construction d’un magnifique et nouveau forum, financé par le butin des Gaules, sur lequel est érigé le temple dédié à Vénus Genitrix dont il est censé descendre. L’objectif de César est maintenant de se présenter aux élections de 50 av. J.-C. pour un second consulat en 49 av. J.-C., conformément à la loi qui impose un intervalle de dix ans entre chaque consulat. Pour éviter l’attaque en justice que lui a jurée Caton et qui l’empêcherait de faire campagne, il lui faut conserver son mandat de proconsul en Gaule, et être candidat malgré son absence de Rome.
La guerre civile
César peut se présenter comme la victime de l’acharnement des conservateurs et comme le défenseur des tribuns de la plèbe. Prenant l’initiative de l’illégalité, il décide le 11 janvier 49 av. J.-C. de pénétrer en armes en Italie, et franchit le Rubicon, rivière marquant la frontière entre l’Italie et la Gaule cisalpine. Plutarque et Suétone mettent en scène ce tournant historique et attribuent à César la citation « Alea jacta est » (« Le sort en est jeté »), signifiant qu’il tentait la destinée. Pour César, il n’y a plus que deux issues : la mort et le déshonneur ou la victoire et le pouvoir. Il mise sur l’audace et la rapidité de ses déplacements militaires et sur l’expérience et la fidélité de ses légions, et se démarque des atrocités de la précédente guerre civile par sa politique de clémence, n’exerçant ni proscriptions ni représailles.2
La guerre civile commence entre les partisans de César et les partisans de Pompée et du Sénat, qui abandonnent Rome puis sont chassés d’Italie. César poursuit et bat en Espagne les lieutenants de Pompée. Puis César remporte sur Pompée une victoire décisive à Pharsale (en Thessalie) en 48 av. J.-C. Pompée doit fuir en Égypte où il est assassiné sur ordre du pharaon le jeune Ptolémée XIII. César parvient à Alexandrie début octobre 48 où il trouve, horrifié, le corps de Pompée. Il passe alors l’hiver 48/47 à Alexandrie, et la guerre s’engage alors entre Ptolémée et César. Ce dernier n’a qu’un faible effectif et doit mener un combat difficile ; lors d’un engagement dans l’île de Pharos, il est même obligé de fuir à la nage. Il sort vainqueur de l’affrontement en mars 47, et détrône le jeune souverain au profit de Cléopâtre VII et du plus jeune de ses frères.
D’Égypte, César passe en Asie en 47 av. J.-C., bat et détrône en trois jours le roi de Pont, Pharnace, fils de Mithridate, qui s’était révolté (c’est à cette occasion qu’il écrivit au Sénat ces mots célèbres : Veni vidi vici) ; puis il se rend en Afrique, où il détruit à la bataille de Thapsus l’armée républicaine que commandaient Metellus Scipion et Caton d’Utique en 46 av. J.-C. De là César se rend en Espagne où il bat le jeune Pompée à la bataille de Munda et ce qui achève d’anéantir le parti pompéien.3
Le triomphe
Lorsque César revient à Rome, la paix est revenue, l’Italie n’a pas connu les atrocités des précédentes guerres civiles. Tous les écrivains loueront la clémence de César, qui a accueilli sans restriction les pompéiens qui se rendaient et n’a exercé aucune proscription contre la classe politique. César peut annoncer au peuple que l’annexion des Gaules et de la Numidie et le protectorat sur l’Égypte vont permettre d’obtenir du blé et de l’huile en abondance et définitivement résoudre les problèmes de ravitaillement de Rome.
En août et septembre 46, César célèbre par un quadruple triomphe ses victoires sur les Gaules, le Pont, l’Égypte et la Numidie. La durée et le faste des cérémonies, l’énormité du butin éclipsent tous les triomphes précédents. À chaque cérémonie, César vêtu de pourpre parcourt en char la Voie Sacrée, suivi du butin, des captifs, des soldats qui ont toute liberté pour scander les plaisanteries les plus osées sur son compte. Pour monter au Capitole offrir un sacrifice au temple de Jupiter Capitolin, le char de César passe entre deux rangées d’éléphants qui tiennent des flambeaux.
César offre au peuple des représentations théâtrales, des courses, des joutes d’athlètes, des spectacles de chasse et de gladiateurs, des reconstitutions de combat terrestre et nautique, cette dernière est la première naumachie montrée à Rome. Des banquets publics réunissent près de 200 000 convives. La vente du butin rapporte plus de 600 millions de sesterces, et l’argent est distribué à flot : les 75 deniers que César avait promis sont donnés à chaque citoyen, avec 25 deniers de plus pour compenser le retard, les légionnaires reçoivent 24 000 sesterces chacun, et des lots de terre. Les loyers de moins de 1000 sesterces à Rome et moins de 500 sesterces en Italie sont annulés.
La plupart des revendications des populares sont maintenant satisfaites, et César entreprend les réformes nécessaires à l’administration du monde romain. Il fait procéder à un recensement, et ajuste à la baisse le nombre d’allocataires des distributions de blé. Il compense cette mesure en installant 80 000 citoyens pauvres et des soldats démobilisés dans de nouvelles colonies dans les provinces, dont Carthage et Corinthe qu’il fait reconstruire.
Le pouvoir absolu
La paix ne dure que quelques mois. En 46 av. J.-C., les dernières forces du parti pompéien s’insurgent en Espagne, menées par Pompée le Jeune, fils de Pompée, et Titus Labienus. Consul pour la quatrième fois, César arrive à marches forcées en Espagne en décembre 46 av. J.-C. Cette guerre est longue et sans merci, avec des exécutions de part et d’autre. César achève en avril 45 av. J.-C. ses derniers adversaires à Munda, dans la bataille la plus acharnée des guerres civiles. Retardé par une maladie, son jeune neveu Octave le rejoint en Espagne malgré les dangers du trajet, geste que César apprécie hautement. Dans le dernier testament qu’il rédige, il déclare adopter Octave et le désigne comme héritier principal avec comme autre héritier Quintus Pedius, son autre neveu qui a combattu à ses côtés en Espagne.
Revenu à Rome en octobre 45 av. J.-C., César y célèbre son cinquième triomphe. César commet là une erreur politique que Plutarque soulignera : la règle veut qu’un triomphe honore une victoire sur un peuple ennemi de Rome, ce qui n’est pas le cas dans cette guerre civile. Ni Pompée vainqueur de Sertorius, ni Sylla vainqueur des marianistes n’avaient célébré de triomphe. De plus, César accorde deux autres triomphes, à Fabius et son neveu Quintus Pedius. Là encore, c’est une entorse aux usages qui réservent le triomphe au général doté de l’imperium et non à ses lieutenants.
César, nommé dictateur pour dix ans, est désormais le centre du pouvoir ; il reconstitue les effectifs du Sénat, en radie quelques sénateurs responsables de concussion dans leur province, et y inscrit des Gaulois cisalpins et des Espagnols, une première qui marque le début de la promotion des provinciaux. Il nomme lui-même les magistrats, sauf les tribuns de la plèbe et les édiles plébéiens, encore élus, et désigne des consuls pour quelques jours de charge seulement. Obtenir un titre, un avantage ou une faveur dépend de son approbation. Ainsi, Cicéron par des discours emplis d’adulation où il qualifie la clémence de César de « divine » fait gracier plusieurs de ses amis.
Cicéron propose de décerner à César des honneurs, les autres sénateurs suivent en une surenchère de plus en plus excessive. Ainsi César reçoit le nom de Liberator et le titre d’Imperator transmissible à ses descendants, quoiqu’il n’ait plus d’enfant. Il réforme le calendrier, on renomme le mois de Quintilis de son nom de famille. Pompée avait eu l’honneur de porter les emblèmes du triomphe, robe pourpre et couronne de lauriers, lorsqu’on célébrait des jeux à Rome. César reçoit le même honneur, mais par décret du sénat à titre permanent, la couronne lui permettant notamment de cacher sa calvitie qu’il supportait mal car source de nombreuses railleries ; il peut siéger sur un siège plaqué d’or. Certains privilèges accordés par les sénateurs vont jusqu’à l’extravagance, comme l’autorisation d’avoir commerce avec toutes les femmes qu’il voudra. Pour l’historien Dion Cassius, les sénateurs agissent par excès de flatterie, ou par raillerie. Plus préoccupant, selon Plutarque, c’est pour certains une manœuvre destinée à déconsidérer César et le rendre odieux, et se préparer plus de prétextes de l’attaquer un jour.
Le complot
En nommant lui-même les magistrats supérieurs, César arrête le cycle corrupteur des campagnes électorales ruineuses financées par l’extorsion financière sur les provinces, et soulage enfin la charge de celles-ci ; mais ceci réduit les profits des brasseurs d’argent que sont les publicains et remplace la compétition politique par un arbitraire et une flagornerie indigne qui suscitent des oppositions : pour l’année 44 av. J.-C., César désigne Marc Antoine comme consul et Marcus Junius Brutus et Cassius comme préteurs. Selon Plutarque, la déception de Cassius qui espérait le consulat est une des raisons qui l’amènent à comploter. Tous les historiens romains le présentent comme l’instigateur principal du complot contre César. Cassius regroupe peu à peu une coterie d’opposants, d’anciens pompéiens graciés par César, mais également, notent les historiens modernes, des césariens qui ont servi lors de la guerre des Gaules. Ces derniers redoutent vraisemblablement l’expédition militaire que prépare César contre les Parthes qui serait suivie d’un retour par la Scythie et la Germanie.
Les comploteurs cherchent en Marcus Junius Brutus le chef symbolique idéal : il porte le nom mythique de Brutus qui chassa Tarquin le Superbe, le dernier roi qui régna sur Rome en tyran. Neveu et admirateur de Caton, Brutus, souvent tenu pour stoïcien mais en réalité bien plus proche de l’Académie pouvait de surcroît trouver dans ses convictions philosophiques des raisons d’agir contre un « tyran ». Il a épousé Porcia, fille de Caton et veuve de Bibulus, et par conséquent il est l’héritier moral des derniers républicains. Toutefois, César l’a comblé de faveurs et l’a nommé préteur urbain. Les comploteurs mènent donc une approche psychologique : ils parsèment chaque jour le tribunal que préside Brutus de messages anonymes qui invoquent le Brutus chasseur de roi : « Brutus, tu dors, tu n’es pas le vrai Brutus ! ». Ensuite, Cassius convainc Brutus d’agir contre César. Présenter Brutus comme l’inspirateur du complot contre César permet de fédérer d’autres opposants.
Les rumeurs de complot parviennent à César, qui ne s’en soucie pas, répondant qu’il est au courant, ou même en plaisante : quand on l’informe que Brutus complote, César rétorque en se pinçant « Il attendra bien la fin de cette carcasse ! ».
Le 14 février 44 av. J.-C., le Sénat confère à César la dictature perpétuelle. Son pouvoir est désormais sans limite, même l’intercessio des tribuns ne peut s’exercer sur son imperium. Tout espoir d’une abdication comme celle de Sylla et d’un retour à la République d’avant la guerre disparaît. César prend alors des décisions surprenantes : il décrète une amnistie générale, et licencie sa garde personnelle.
La mort de César
Les conjurés ont prévu leur attentat aux Ides de Mars (15 mars de l’an 44 av. J.-C.), au début de la réunion du Sénat dans la Curia Pompeia sur le Champ de Mars. Seul César est visé, Marc Antoine qui accompagne César est attiré à l’écart par des faux solliciteurs, tandis que César est entouré par le groupe des conjurés. Métellus s’assure que César ne porte aucune protection, et tous l’assaillent : il tombe percé de 23 coups de poignard. Le coup ultime vient de Brutus. Les derniers mots de César auraient été pour ce dernier, en grec, et non en latin comme on l’affirma à l’époque moderne « Toi aussi, mon fils ».
Après César
Le complot n’atteignit cependant pas ses objectifs, car le consul Marc Antoine avait été épargné, à la demande de Brutus, et Lépide, qui stationnait avec des troupes à proximité de Rome, tandis qu’Octave, qui se trouvait en Épire, était hors d’atteinte. En revanche, l’attentat contre César guida les prétendants à sa succession sur la conduite à tenir : ils firent symboliquement rayer la dictature des magistratures romaines, et la remplacèrent par un triumvirat quinquennal. La politique de clémence avait prouvé son danger suicidaire, les triumvirs commencèrent une vague de proscriptions sanglantes, suivie par 14 ans de guerre civile, contre les assassins de César, contre Sextus Pompée, puis entre triumvirs. Octave finit par l’emporter en 31 av. J.-C., et devint Auguste, maître unique et absolu de l’Empire. Il confirma et continua les réformes entamées par César, organisant un Empire pacifié, stabilisé et géré avec plus d’équité. Comme Auguste et la plupart des empereurs à sa suite, Jules César fut divinisé après sa mort.
Le titre de Caesar
Le nom de César, pris par Octave comme fils adoptif de J. César, devint par la suite un titre que portèrent tous les empereurs et les princes romains, quoique étrangers à la famille des Césars. Il fut ensuite attribué aux héritiers présomptifs de l’empire, usage qui devint une règle à partir de Dioclétien. Depuis cette époque les empereurs prirent le titre d’Auguste et s’adjoignirent avec le titre de César un prince qui devait leur succéder. Le nom de César a donné le mot « Kaiser » en allemand, ainsi que le mot « Tsar » (ou « Czar ») en russe et en bulgare.4
Après avoir conquis le pouvoir à Rome, César est devenu le maître du monde connu.
En 44 av. J-C., il a reçu le titre de dictateur à vie et effectivement, il a par la suite continuellement imposé sa dictature dans le monde puisque Dieu lui a donné le pouvoir politique entre les mains lorsque Jésus a déclaré : « Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu. »
Le pouvoir temporel (politique) appartient ainsi à l’empereur et le pouvoir spirituel (religieux) au Pape.
Le Pape François n’est donc pas habilité à unir politiquement les 2 milliards de chrétiens dans le monde afin de combattre le pouvoir de César.
Aujourd’hui, César est le riche capitaliste qui contrôle le pouvoir politique, économique, médiatique, et bien souvent judiciaire.
Dieu change aujourd’hui le dogme chrétien, il appelle le Pape François à intervenir dans le pouvoir temporel pour mettre un terme à la dictature de César.
La parole de Jésus : « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu » – apparaît trois fois dans la Bible : Marc, 12:17 ; Matthieu, 22:21 ; Luc, 20:25.
Dieu a envoyé des messages au Pape François à travers ces chiffres.
La locution de Jésus apparaît ainsi dans l’évangile selon saint Marc au chapitre 12, verset 17.
12 17 = 17 12
Le Pape François est né un 17 12 (17 décembre).
17x12 = 204
20 4 = 20 avril
Adolf Hitler est né un 20 avril.
Actuellement, l’une des missions du Pape François est de transmettre le message de Jésus DE NAZARETH.
DE = 4+5 = 9
9 = I
NAZARET+I = NAZI ARET
Le message de Dieu est : « ARRETE le NAZI ».
Le NAZI, c’est César, le RICHE qui extermine un enfant toutes les 5 secondes en accaparant les richesses de la Terre.
RICHE = REICH
Adolf Hitler dirigeait le troisième REICH.
CESAR = RACES
Adolf Hitler avait établi une division hiérarchique de l’espèce humaine en RACES, hiérarchie au sommet de laquelle se situait la « RACE aryenne ».
Actuellement, CESAR, le RICHE qui dirige le monde, a établi que les habitants du Tiers Monde appartiennent à une RACE inférieure car il refuse de taxer une partie de sa fortune pour sauver la vie de millions d’entre eux chaque année, et il endoctrine des millions de citoyens par l’intermédiaire de médias qu’il contrôle afin de leur imprimer dans le cerveau que le pauvre du Tiers Monde appartient à une RACE inférieure.
C’est ce que Dieu voulait nous faire comprendre à travers le dernier journal de 20H présenté par Claire Chazal, le 13 septembre 2015, après 24 ans de bons et loyaux services rendus à César, le milliardaire propriétaire de la chaîne.
Ainsi, à la fin du journal, Claire Chazal a prononcé un discours pour remercier la rédaction de TF1 et nous dire qu’elle s’était efforcée durant ces 24 ans de nous informer le mieux possible. Après ses adieux, TF1 a diffusé les images marquantes des JT présentés par Claire Chazal durant 24 ans, nous avons alors vu les images de Claire Chazal lorsqu’elle présentait ces différents événements : les attentats du 11 septembre, l’arrestation de Saddam Hussein, la mort du Pape Jean-Paul II, la mort de Mickaël Jackson, le tsunami au Japon en 2011, l’attentat du 7 janvier 2015 à Paris, puis les interviews de Dominique Strauss-Khan, Zinedine Zidane, Liliane Bettencourt, Nicolas Sarkozy, François Hollande, Richard Gere, Johnny Hallyday, Madona, Zlatan Ibrahimovitch, Mylène Farmer, Jamel Debouze et Jim Carrey.
Il n’y avait aucune trace des 400 millions d’êtres humains morts de faim durant ces 24 années, et pour cause, Claire Chazal n’en a jamais parlé lors du journal télévisé alors que c’était l’événement le plus marquant de ces deux dernières décennies. Par contre, TF1 considérait que la mort de Mickaël Jackson était un événement marquant car cet homme noir devenu blanc appartenait à une RACE supérieure à l’instar des 3 000 victimes tuées lors des attentats du 11 septembre, contrairement aux 400 millions d’êtres humains morts de faim dans les pays du Tiers Monde. Donc César, le milliardaire Martin Bouygues, a imprimé dans le cerveau de millions de téléspectateurs que la mort des pauvres du Tiers Monde n’était pas grave, elle était naturelle et sans aucun intérêt alors que c’était la plus grande tragédie de l’histoire de l’humanité parce qu'il y avait suffisamment de richesses sur Terre pour sauver la vie de ces centaines de millions d’hommes, femmes et enfants, mais ces richesses avaient été accaparées par une minorité d’individus dont faisait partie la famille Bouygues. Si César n’avait pas reçu le titre de dictateur à vie, nous aurions vécu dans une démocratie et le journal de 20H aurait alors sensibilisé régulièrement les téléspectateurs pour trouver une solution afin de sauver ces millions d’êtres humains tués par la pauvreté. Mais étant donné que César contrôle les médias, lors du JT, il n’a pas invité des humanitaires à s’exprimer pour nous parler de la faim dans le monde, au contraire, il a donné la parole à Richard Gere, Johnny Hallyday, Madonna, Zlatan Ibrahimovitch, Mylène Farmer, Jamel Debouze ou Jim Carrey ; donc les 1 % les plus riches ont été invités pour faire leur promotion dans le but de s’enrichir toujours plus, alors qu’au même moment, des enfants mourraient de pauvreté toutes les 5 secondes, justement parce que ces RICHES ne partageaient pas leur fortune.
C’est la raison pour laquelle, Claire Chazal, qui est née dans la ville de THIERS, a présenté le journal télévisé de TF1 durant 24 ans.
Le chiffre 24 se prononce 20 4.
Adolf Hitler est né un 20 4 (20 avril).
Le chef-lieu du département 24 est PÉRIGUEUX.
Dieu nous fait comprendre que César – le capitaliste qui possède les médias – considère le pauvre du THIERS Monde comme un GUEUX, un sous-hommes, et il PÉRI par millions chaque année parce que César a imprimé dans le cerveau de millions de téléspectateurs que leur mort est sans intérêt, contrairement à la mort de célébrités qui fait la « Une » du journal, marquant ainsi leur appartenance à une RACE supérieure établie par les nazi-capitalistes.
Lorsque TF1 a diffusé les images marquantes des JT présentés par Claire Chazal durant 24 ans, nous pouvions la voir interviewer des STARS de cinéma, de la musique et du sport.
STAR = TSAR
« TSAR » est un nom RUSSE dérivé de la forme latine du mot « CESAR ».
CESAR, le milliardaire propriétaire des médias, RUSE en utilisant les STARS pour nous divertir, nous éblouir, nous jeter de la poudre aux yeux afin de cacher pendant ce temps-là la mort quotidienne d’un enfant toutes les 5 secondes.
Juste après le dernier journal présenté par Claire Chazal, TF1 a diffusé le film STARS 80.
80 se prononce 4 20.
Adolf Hitler est né un 20 4 (20 avril).
Dieu multiplie les signes pour nous faire comprendre que nous vivons toujours sous le IIIe REICH car la cupidité du RICHE extermine des millions d’êtres humains chaque année, et le RICHE possédant les médias, il diffuse quotidiennement des programmes avec des STARS pour divertir les citoyens au lieu de les révolter contre la misère du monde. Le RICHE nous fait idolâtrer des STARS richissimes afin de mieux nous faire accepter les écarts de richesses, et tout est fait pour que nous désirions leur ressembler en devenant aussi RICHE que ces STARS cupides et égoïstes. Le IIIe REICH nous endoctrine ainsi quotidiennement.
Les initiales de Claire Chazal sont C C.
CC = 33
Le chef-lieu du département 33 est la ville de Bordeaux, mondialement connue pour son VIN.
Claire Chazal a présenté son dernier journal de VIN heures à l’âge de 58 ans.
Le département 58 est celui de la NIÈVRE.
NIÈVRE = ÈRE VIN
L’ÈRE du VIN est terminée : Dieu change le VIN en EAU. On ne voit rien à travers le VIN, c’est la raison pour laquelle nous n’avons jamais vu les cadavres des pauvres du TIERS Monde lors du journal de VIN heures de Claire Chazal. Dieu change ainsi le VIN en EAU pour que nous puissions voir les crimes de César à travers les signes, et il nous demande désormais de le combattre afin de l’empêcher de tuer.
Dieu nous a également envoyé le signe suivant à travers le chiffre VINGT du journal de VINGT HEURES :
VINGT = VIN GT
GxT = 7x10 = 70
Le chef-lieu du département 70 est la ville de VESOUL.
VESOUL = VE SOUL
VE = 22+5 = 27
Le département 27 est celui de l'EURE.
VINGT = VIN HEURE SOUL
Dieu écrit clairement que le journal de VIN HEURE nous SAOULE afin de nous empêcher de voir la nature criminelle du règne du RICHE. Voilà pourquoi Dieu change le VIN en EAU.
Martin Bouygues, le propriétaire de TF1, est né un 3 mai (3 5).
3x5 = 15
15 = O
O = EAU
TF1 = 20x6x1 = 120
120 se prononce SANS VIN.
Le 120e jour de l'année est traditionnellement le 30 avril : le jour symbolique de la fin du IIIe REICH.
Dieu nous fait ainsi comprendre que TF1 emploie tous les moyens afin que nous ne mettions jamais un terme au règne du RICHE.
Le message de Dieu est donc : « SANS VIN » – car il change le VIN en EAU afin que nous ne soyons plus manipulés par le journal de VIN heures de TF1.
Les initiales du propriétaire de TF1 – Martin Bouygues – sont M B.
M B = 13 2
132 minutes sont égales à 2 heures 12.
2 12 = 2 L = 2 AILES
Dieu nous révèle ainsi que pour obtenir les 2 AILES qui mènent au paradis, la nouvelle Alliance de l'EAU nous impose de lutter afin de mettre un terme au règne criminel de César.
La dictature à vie de César est terminée donc Dieu supprime cette parole de Jésus : « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu ».
J’ai expliqué précédemment que cette phrase apparaît dans l’évangile selon saint Marc au chapitre 12, verset 17.
Le Pape François est né un 17 12 (17 décembre).
17x12 = 204
Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, est né un 20 4 (20 avril).
Dieu fait ainsi comprendre au Pape François qu’il doit dorénavant intervenir dans le pouvoir temporel afin de combattre le règne de César : le RICHE.
Ainsi, en multipliant les chiffres du jour de naissance du Pape François, nous obtenons la date de naissance d’Adolf Hitler.
17 FOIS 12 = 204
Le Pape François doit avoir FOI en Dieu et suivre son message : « ARRETE le NAZI ».
La capitalisme TUE des millions d’êtres humains chaque année et le Pape François en a pleinement conscience. Il écrit dans La joie de l’Évangile :
« De même que le commandement de “ne pas tuer” pose une limite claire pour assurer la valeur de la vie humaine, aujourd’hui, nous devons dire “non à une économie de l’exclusion et de la disparité sociale”. Une telle économie tue. Il n’est pas possible que le fait qu’une personne âgée réduite à vivre dans la rue, meure de froid ne soit pas une nouvelle, tandis que la baisse de deux points en bourse en soit une. Voilà l’exclusion. On ne peut plus tolérer le fait que la nourriture se jette, quand il y a des personnes qui souffrent de la faim. C’est la disparité sociale. Aujourd’hui, tout entre dans le jeu de la compétitivité et de la loi du plus fort, où le puissant mange le plus faible. Comme conséquence de cette situation, de grandes masses de population se voient exclues et marginalisées : sans travail, sans perspectives, sans voies de sortie. On considère l’être humain en lui-même comme un bien de consommation, qu’on peut utiliser et ensuite jeter. Nous avons mis en route la culture du “déchet” qui est même promue. Il ne s’agit plus simplement du phénomène de l’exploitation et de l’oppression, mais de quelque chose de nouveau : avec l’exclusion reste touchée, dans sa racine même, l’appartenance à la société dans laquelle on vit, du moment qu’en elle on ne se situe plus dans les bas-fonds, dans la périphérie, ou sans pouvoir, mais on est dehors. Les exclus ne sont pas des "exploités", mais des déchets, "des restes". »5
Le Pape François constate ainsi à sa manière que le pauvre appartient à une « RACE » inférieure, il est considéré comme un « déchet » dont la mort n’émeut personne. Le Pape François condamne le nazi-capitalisme sans jamais le nommer précisément et il ne peut pas le combattre politiquement puisque les paroles de Jésus ne lui permettent pas de soutenir un parti politique, et lui-même n’en a pas forcément la volonté, mais Dieu demande désormais au Pape d’unir politiquement les chrétiens en leur demandant de combattre le nazi-capitalisme : le règne du RICHE.
La locution « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu » apparaît également dans l’évangile selon saint Matthieu au chapitre 22 verset 21.
22+21 = 43
43 = DC
D C se prononce DÉCÉS.
Le règne de César entraîne le DÉCÈS de millions d’êtres humains chaque année, donc Dieu demande au Pape François de combattre César en unissant les citoyens du monde entier contre le nazi-capitalisme. Dieu a envoyé des signes clairs pour convaincre François :
La parole de Jésus « Rendez à César ce qui appartient… » apparaît ainsi dans l’évangile selon saint Marc au chapitre 12 verset 17 et dans l’évangile selon saint Matthieu au chapitre 22 verset 21.
12x17 = 204
22x21 = 462
462+204 = 666
Dans l‘Apocalypse, le chiffre 666 est le nombre de la BÊTE.
Dieu veut nous faire comprendre que la parole de Jésus « Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu » – a permis au pouvoir de la BÊTE de régner.
Dans l’Apocalypse, le pouvoir de la BÊTE est le pouvoir ROMAIN, et aujourd’hui, le pouvoir de la BÊTE est le capitalisme – qui permet à César d'accaparer l'OR que les travailleurs produisent de leurs MAINS.
Il y a actuellement 2 milliards de chrétiens dans le monde, donc si Jésus leur avait demandé de prendre le pouvoir en main afin de diriger collectivement le monde en redistribuant équitablement les richesses de la Terre entre chaque être humain, le capitalisme n’aurait pas pu régner dans tous les pays, les chrétiens s’y seraient opposés, notamment en Angleterre, le pays de naissance du capitalisme industriel. Par conséquent, la parole de Jésus « Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu », a permis au pouvoir de la BÊTE de régner.
Les chiffres sont donc symboliques :
12x17 = 204
22x21 = 462
462+204 = 666
462 = 264
Le 264e Pape de l’histoire est Jean-Paul II. Il est mort le 02 04 2005.
BÊTE = 02 05 2005
Le Pape Jean-Paul II est mort un MOIS - jour pour jour - avant la date obtenue avec la valeur numérique des lettres du mot BÊTE.
Dieu associe Jean-Paul II à la BÊTE car ce Pape a combattu le communisme mais il s’est prosterné devant le pouvoir de la BÊTE – le capitalisme – symbolisé par le « MOI » : l'égoïsme.
Jean-Paul II a condamné les excès du capitalisme mais il ne l’a pas combattu politiquement donc il s’est couché devant le pouvoir de César.
Jean-Paul II est mort le 02 04 2005.
02 04 = 20 04
Adolf Hitler est mort un 20 04.
Dieu associe Adolf Hitler aux Pape François et Jean-Paul II, parce que ces deux Papes n’ont pas combattu le NAZI-capitalisme ; ils n’ont pas dénoncé publiquement le GÉNOCIDE des pauvres. Leur neutralité politique les amène à collaborer avec le diable, leur silence sur la nature génocidaire du capitalisme légitimant cette idéologie aux yeux de milliards de chrétiens.
Dieu transet aujourd’hui au Pape François un message clair : « ARRETE le NAZI », mais également « ARRETE d’être un NAZI », car ne pas combattre Adolf Hitler et le recevoir chaleureusement au Vatican, c’est collaborer avec lui.
La parole de Jésus « Rendez à César ce qui appartient… » apparaît une dernière fois dans l’évangile selon LUC au chapitre 20 verset 25.
LUC = CUL
CUL se prononce comme la lettre Q.
Q = 17
Cette parole de Jésus se situe au chapitre 20 verset 25.
20 et 17 = 2017
En 2017, nous devions élire le 25e président de l’histoire de la République.
Le chef-lieu du département 25 est la ville de BESANCON.
Dieu demandait ainsi au Pape François d’intervenir dans le pouvoir temporel et de soutenir politiquement le parti politique d'Olivier BESANCENOT, lors de l’élection du 25e président de la République française en 2017.
L'élection est désormais passée mais ce signe signifie que le devoir du Pape est de combattre politiquement César afin d’éradiquer le nazi-capitalisme.
Le Pape s’appelle FRANÇOIS car Dieu lui adresse des messages en FRANÇAIS.
La seule différence entre les mots FRANÇOIS et FRANÇAIS se situe au niveau du O dans FRANÇOIS à la place du A de FRANÇAIS.
Dieu met ainsi en lumière la lettre O dans FRANÇOIS.
O = EAU
Dieu remplace l’Alliance du VIN par celle de l’EAU et il adresse son message au Pape FRANÇOIS en FRANÇAIS.
FRANÇAIS se dit FRENCH en anglais.
FRENCH = 181440
181440 = 18 144 0
18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH.
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
0 = le chiffre 0 a la forme de la lettre O (EAU).
Dieu s'adresse ainsi au Pape FRANÇOIS en FRANÇAIS afin de lui indiquer que la nouvelle Alliance de l'EAU nous impose de lutter contre le règne de César : le RICHE.
La langue de l'église chrétienne est le LATIN.
LATIN = 12x1x20x9x14 = 30240
30240 = 30 4 20
Le IIIe REICH a pris fin un 30 4 (30 avril).
20 = VIN
À travers le LATIN, Dieu précise aux chrétiens qu'il met un terme à l'Alliance du VIN avec Jésus ; désormais, nous devons lutter pour mettre un terme au règne du RICHE – afin d'obtenir la vie éternelle.
Le maire de VESOUL est Alain CHRÉTIEN.
Dieu fait ainsi comprendre aux CHRÉTIENS que l'Alliance du VIN rend SAOUL car ils ne se rendent même pas compte que César : le RICHE, extermine le pauvre.
VESOUL est le chef-lieu du département 70.
70 = 7 0
7 = SEPT
SEPT = 19x5x16x20 = 30400
Le IIIe REICH a pris fin un 30 4 (30 avril).
0 = le chiffre 0 a la forme de la lettre O.
À travers VESOUL, Dieu nous révèle qu'il transmet aux CHRÉTIENS l'Alliance de l'EAU afin qu'ils aient désormais la lucidité nécessaire pour comprendre que le RICHE extermine le pauvre, et qu'ils doivent mettent un terme à son règne sur le monde.
Alain CHRÉTIEN, le maire de VESOUL, est né un 17 mars (17 3).
17x3 = 51
Le chef-lieu du département 51 est la commune de Châlons-en-Champagne dont le maire est Benoist APPARU.
Dieu fait ainsi comprendre aux CHRÉTIENS qu'il APPARU devant eux à travers ces signes, afin de leur indiquer clairement qu'il met un terme à l'Alliance du VIN qui rend SAOUL.
Seuls des CHRÉTIENS complètement SAOULS seront incapables de voir Dieu apparaître à travers ces signes clairs.
Le VIN symbolise le SANG et ce dernier a trop coulé, donc il est temps de prendre le pouvoir des mains de César afin que les hommes arrêtent de s’entretuer.
ROME = MORE
Le nom « César » était un titre impérial dans la ROME antique, et actuellement, les puissances impérialistes multiplient le nombre de MORTS dans les pays du Tiers Monde à cause de leurs interventions militaires et leurs manœuvres politiques, provoquant l’émergence des bandes armées – islamistes ou pas – qui font régner la barbarie sur le Moyen-Orient et sur des régions de plus en plus vastes de l’Afrique. L’impérialisme est ainsi le premier responsable du SANG qui coule sur la Terre.
Jules César est né le 12 ou 13 juillet 100 av. J.-C.
Le chiffre 100 se prononce comme le mot SANG.
L’Alliance avec le SANG de Jésus a autorisé César à diriger le monde.
SANG = SA NG
SA = 19+1 = 20
20 = VIN
Lors du repas de la Cène, Jésus a demandé à ses disciples de boire une coupe de VIN qui symbolisait son SANG.
SANG = NG
NG sont mes initiales : Nicolas Gerberon.
Ma mission est de remplacer l’Alliance du VIN par celle de l’EAU. Je dois alors convaincre les peuples du monde entier de s’unir politiquement pour prendre le pouvoir des mains de César.
NG = 14 7
Le 14 7 est le 14 juillet, le jour symbolique de la Révolution française.
Pour que le SANG arrête de couler, nous devons faire la révolution afin de renverser le système capitaliste et l’impérialisme qui est son prolongement.
Désormais, seuls les révolutionnaires humanistes seront admis à entrer dans le royaume de Dieu.
En effet, le passage « Rendez à César… » apparaît notamment dans les évangiles de Mathieu et Luc aux chapitres 22 et 20 versets 21 et 25.
22+20+21+25 = 88
88 = HH
« HH » est l’abréviation de « Heil Hitler », le signe d'allégeance au IIIe REICH.
Laisser les pleins pouvoir entre les mains de César – le RICHE capitaliste – revient à laisser Hitler diriger le monde. Donc ne pas combattre César, c’est collaborer avec lui, c’est faire le salut nazi.
88 = HH
HH = les deux H assemblés forment une échelle.
Si tu combats César, tu monteras l’échelle pour entrer dans le royaume de Dieu, mais si tu collabores avec César, tu descendras l’échelle pour aller en enfer.
J’ai expliqué précédemment que l’indexe et le majeur de la main forment la lettre V.
V = 22
Les 5 doigts de la main forment 4 fois la lettre V.
22x4 = 88
88 = HH
HH = les deux H assemblés forment une échelle.
Les 5 doigts de ta main qui posent le bulletin de vote dans l’urne, le jour de l’élection présidentielle, déterminent si tu monteras l’échelle pour entrer dans le royaume de Dieu ou la descendre pour aller en enfer.
Lors de l’élection présidentielle de 2007, la majorité des électeurs français a voté pour NICOLAS SARKOZY.
NICOLAS = 14+9+3+15+12+1+19 = 73
SARKOZY = 19+1+18+11+15+26+25 = 115
115+73 = 188
188 se prononce SANG 88.
Le SANG symbolise César – qui est né en l'an SANG av.J-C.
88 = HH
HH = Heil Hitler
Nicolas Sarkozy défendait la dictature à vie de César, il luttait pour que le NAZI-capitalisme puisse régner perpétuellement sur la Terre.
HH = l’échelle
Si tu votes pour un clone de Sarkozy, tu voteras pour l’extermination des pauvres. Tu descendras alors l’échelle pour aller en enfer.
SARKOZY = 115
Le numéro de téléphone 115 vient en aide aux sans abris et aux plus démunis en les mettant en relation avec des particuliers susceptibles de les héberger. Mais le service est submergé d’appels et les plus démunis sont bien souvent dans l’incapacité d’obtenir des places dans un centre d’accueil.
Il y a actuellement 2,9 millions de logements laissés vacants en France. Le NPA et L.O. prévoient dans leurs programmes d’appliquer la loi de réquisition des logements vides afin que tous les démunis puissent avoir un abris.
Sarkozy se fiche royalement des plus démunis, il les considère comme des sous-hommes dont la vie ne vaut rien, c’est la raison pour laquelle, lorsqu'il était président de la République, des centaines de SDF sont morts de froid dans la rue, tous les hivers. Et rien n'aurait changé si Fillon était arrivé au pouvoir ; pourtant, les chrétiens ont voté majoritairement pour lui lors de l'élection présidentielle de 2017.
Dieu multiplie les signes pour te faire comprendre que tu dois tendre la main à ton prochain le jour de l’élection présidentielle car si tu lui plantes un couteau dans le dos en votant pour un parti nazi-capitaliste, tu descendras l’échelle pour aller directement en enfer.
Le Pape François écrit dans son ouvrage La joie de l’Évangile : « Je voudrais que nous écoutions le cri de Dieu qui demande à nous tous : « Où est ton frère ? » (Gn 4, 9). Où est ton frère esclave ? Où est celui que tu es en train de tuer chaque jour dans la petite usine clandestine, dans le réseau de prostitution, dans les enfants que tu utilises pour la mendicité, dans celui qui doit travailler caché parce qu’il n’a pas été régularisé ? Ne faisons pas semblant de rien. Il y a de nombreuses complicités. La question est pour tout le monde ! Ce crime mafieux et aberrant est implanté dans nos villes, et beaucoup ont les mains qui ruissellent de sang à cause d’une complicité confortable et muette. »6
Comprends bien une bonne fois pour toute que voter TUE car le bulletin de vote est une arme de destruction massive quand les nazi-capitalistes arrivent au pouvoir ; alors réfléchis bien avant de déposer ton bulletin dans l’urne parce que tes crimes ne resteront pas impunis.
Le bulletin de vote de L.O et du NPA est le seul qui te permettra de sortir du bureau de vote sans avoir les mains qui ruissellent de sang, et le vote pour L.O. (L’EAU) lavera tout le sang qu'il te restait sur les mains après avoir voté pendant des années pour le système capitaliste. À partir de la prochaine élection présidentielle, c’est un nouveau départ pour tout le monde car c’est le début de la nouvelle Alliance avec Dieu, donc il pardonne tous nos pêchés passés – quels qu’ils soient – cette société perverse nous ayant corrompu : elle nous a divisé, elle a glorifié l’individualisme, la compétition, la concurrence, l’écrasement du plus faible, elle nous a fait idolâtrer l’argent, la violence, le sexe... donc Dieu pardonne tous nos péchés passés puisque nous avons été conditionnés, formatés, pour les commettre ; mais à partir de maintenant, Dieu ne pardonnera aucune erreur, car il nous prouve son existence et son message est clair, alors il ne laissera rien passer.
Le Pape François est le 266e Pape.
266 = 133+133
13 3 = 13 mars
François a été élu Pape un 13 mars.
Dieu nous a adressé un message le jour de l’élection du Pape François.
Il a été élu le 13 mars 2013, soit le 13/3/13.
13 3 13 = AC C AC
A C C A C se prononce ASSEZ C’EST ASSEZ.
1 = A 3 = C donc 13 = AC
La 13e lettre de l’alphabet est le M.
13 3 13 = M C M
M C M se prononce AIME C’EST AIME.
Le message de Dieu à travers l’élection du Pape François est : « ASSEZ C’EST ASSEZ », « AIME C’EST AIME ».
Quand Dieu te dit « AIME ton prochain », il ne te dit pas : « VOTE pour son extermination » ; « VOTE pour accroître les revenus des plus riches » ; « VOTE pour laisser les SDF mourir de froid dans la rue » ; « VOTE pour détruire l’environnement » ; il ne te dit pas non plus : « VOTE pour piller les richesses du Tiers Monde » ; « VOTE pour privatiser la Terre » ; « VOTE pour démanteler les camps de Roms » ; « VOTE pour expulser les migrants » ; « VOTE pour détruire les services publics » ; « VOTE pour inonder le monde d’armes toujours plus dévastatrices » ; « VOTE pour multiplier les guerres impérialistes ». Quand Dieu te dit « AIME », c’est « AIME ! », c’est-à-dire qu’il te demande de prendre soin des plus démunis ; de partager équitablement les richesses entre chaque citoyen ; de protéger l’environnement ; de ne jamais stigmatiser les musulmans ; d’accueillir les réfugiés ; de continuer à verser l’aide médicale gratuite aux « étrangers » en situation précaire ; d’interdire les expulsions locatives des familles en difficulté ; il te demande ainsi de tendre la main aux plus démunis et non de les poignarder dans le dos le jour de l’élection présidentielle en votant pour Fillon, Le Pen, Macron ou Mélenchon.
Le Pape François est ARGENTIN car Dieu lui demande désormais de combattre la dictature de l’ARGENT.
CESAR a accaparé une bonne partie de l’ARGENT circulant sur Terre.
Les GAULOIS ont lutté avec acharnement contre CESAR lors de la guerre des Gaules.
Le Pape François s’appelle Jorge BERGOGLIO.
BERGOGLIO = BERG GOLOI
BER G se prononce BERGER.
Le BERGER GOLOI était Vercingétorix car il a fédéré et guidé les GAULOIS pour combattre César.
Le Pape François doit devenir un BERGER GOLOI en prenant exemple sur Vercingétorix. Sa mission est d’unir les peuples du monde pour combattre César. Dieu change les termes de l’Alliance : « ASSEZ C’EST ASSEZ », César a ASSEZ régné sur le monde.
César est né le 12 ou le 13 juillet 100 av. J.-C.
13 juillet = 13 7
13 7 = GA C
G A C se prononce J’AI ASSEZ.
100 = SANG
Dieu nous dit : « J’AI ASSEZ de SANG ».
« ASSEZ C’EST ASSEZ ». Il est temps d’arrêter de verser le SANG, car César multiplie les guerres en ensanglantant la planète pour agrandir son empire. Dieu considère que le SANG a ASSEZ coulé. Désormais, il ne veut plus voir le Pape François rencontrer chaleureusement le terroriste qui siège à la Maison-Blanche, et ses alliés occidentaux. Le sang a ASSEZ coulé.
« WAR » signifie « GUERRE » en anglais.
WAR = 23x1x18 = 414
414 = 144
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
Dieu nous révèle ainsi que César est responsable des GUERRES qui ensanglantent le monde.
il est temps de tuer César pour que la paix règne enfin sur Terre. Le plus grand fléau de l’histoire de l’humanité, c’est l’ARGENT, donc nous allons abolir la dictature de l’ARGENT : le capitalisme.
Le Pape Benoît XVI, le prédécesseur du Pape François, est né en Allemagne. Benoît XVI était un BERGER allemand, un chien de garde du capitalisme puisqu’il ne combattait pas politiquement ce système économique criminel, par conséquent, il le renforçait en légitimant son existence alors qu’il aurait dû le combattre avec acharnement. Désormais, rester neutre, c’est collaborer avec Hitler, c’est faire le salut nazi.
« GOD » signifie « DIEU » en anglais.
GOD = DOG
« DOG » signifie « CHIEN ».
Le Pape François doit suivre le message de DIEU et ne pas se comporter comme un DOG argentin, car s’il reste neutre, il se comportera comme un chien de garde du capitalisme en protégeant le règne de César.
Le Pape François est le 266e Pape de l’histoire.
Le chiffre de la Bête est le 666.
GOD ou DOG, le Pape François doit faire un choix : suivre le message de Dieu ou se soumettre au pouvoir de la Bête.
Dieu a envoyé au Pape François des signes évidents pour le convaincre d’intervenir dans le pouvoir temporel afin de combattre César.
Jules César est mort en 44 av. J.-C.
44x44 = 1936
Le Pape François est né en 1936.
Dieu associe la naissance du Pape François à la mort de César car le devoir de François est de tuer César, c’est-à-dire lutter pour signer l’arrêt de mort du capitalisme.
44+44 = 88
88 = HH
Les deux H assemblés forment une échelle.
Dorénavant, seuls ceux qui combattront César pourront monter l’échelle qui mène dans le royaume de Dieu.
88 = HH
HH est également l’abréviation de « Heil Hitler », le salut nazi.
Le Pape François est né un 17 décembre.
17x12 = 204
Adolf Hitler est né un 20 4 (20 avril).
En multipliant par 2, l’année de mort de César (44), nous obtenons le chiffre 88 (HH=Heil Hitler). Dieu associe ainsi César et Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.
Dieu nous fait comprendre que César : le RICHE – extermine des millions des millions de pauvres en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre.
Nous obtenons la date de naissance d’Adolf Hitler (20 4) en multipliant les chiffres de la date de naissance de François, car la mission du Pape François est désormais de combattre César – Hitler : le RICHE – pour mettre un terme à l’extermination de millions de personnes chaque année.
Dans les pays anglo-saxons, le Pape FRANÇOIS est appelé « Pope FRANCIS ».
FRANCIS = 6x18x1x14x3x9x19 = 775656
775656 = 77 56 56
77 = SEPT SEPT
SEPT = 19x5x16x20 = 30400
Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 (30 avril) à l'âge de 56 ans.
Dieu révèle au Pape FRANCIS qu'il doit lutter politiquement afin de signer l'arrêt de mort du RICHE – en encourageant les chrétiens à voter pour le partage équitable des richesses.
Pour l’instant, le Pape François doit combattre le règne du RICHE – le capitalisme – en soutenant publiquement lors de l'élection présidentielle L.O. et le NPA. Dieu ne demande pas forcément au Pape de soutenir des candidats anticapitalistes dans d’autres pays du monde, car L.O. et le NPA sont les deux seuls partis politiques à avoir été clairement désignés. Dieu demande ainsi à François d’intervenir pour l’instant uniquement dans la vie politique française, c’est la raison pour laquelle les signes nous indiquent que le Pape est un BERGER GAULOIS : il doit guider les Français vers le royaume de Dieu en les convainquant de voter contre la dictature de l'argent.
Le Pape François est né un 17 décembre, soit 8 jours avant le 25 décembre qui célèbre la naissance de Jésus.
8 = H
La lettre H symbolise une échelle.
La mission du Pape François est de transmettre aux hommes le message de Jésus afin de leur permettre de monter l’échelle qui mène au paradis.
Dieu change uniquement une seule phrase du dogme chrétien en supprimant la locution : « Laissez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu. »
Le chrétien doit dorénavant combattre César pour obtenir la vie éternelle. La nouvelle Alliance de l’EAU consiste simplement à déposer un bulletin de vote dans l’urne. L’enseignement et les rites chrétiens restent identiques.
Dieu fait désormais couler l’EAU pour laver le SANG que César a fait couler sur la Terre.
Saint Pierre est considéré par l'Église de Rome comme le premier Pape de l'Histoire. Il a été désigné par Jésus comme son successeur : « Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Eglise. »
PIERRE se prononce PI - R.
PI = 16x9 = 144
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
R = 18
18 = AH
AH sont les initiales d'Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH.
En désignant PIERRE comme successeur de Jésus – Dieu nous fait comprendre que l'Alliance avec Jésus – le christianisme – donne les pleins pouvoir à César : le RICHE.
En effet, l'Alliance du VIN lui donne le pouvoir politique entre les mains.
Actuellement, César est le riche capitaliste à l’instar de Bernard Arnault, Jeff Bezos, Lakshmmi Mittal, Carlos Sims, Warren Buffet...
Le dernier Pape décédé est le prédécesseur de François : Benoît XVI. Il est mort le 31 décembre 2022 : le 365e jour de l'année.
365 = 212+153
2 12 = 2 L = 2 AILES
153 = Jules César a été tué un 15 3 (15 mars).
À travers la mort de Benoît XVI, Dieu nous fait ainsi comprendre qu'il met un terme à l'Alliance du VIN avec Jésus car pour obtenir les 2 AILES qui mènent au paradis, nous devons désormais lutter afin de signer l'arrêt de mort de César – en prenant collectivement le pouvoir politique en main.
AIMÉ CÉSAIRE est un poète et homme politique français, né le 26 juin 1913 à Basse-Pointe en Martinique et mort le 17 avril 2008 à Fort-de-France. Anticolonialiste, AIMÉ CÉSAIRE est l’un des fondateurs du mouvement littéraire de la négritude. Pour CÉSAIRE, « ce mot désigne en premier lieu le rejet. Le rejet de l’assimilation culturelle ; le rejet d’une certaine image du Noir paisible, incapable de construire une civilisation. »7
AIMÉ CÉSAIRE a été enterré le 20 avril 2008.
Adolf Hitler est né un 20 avril.
AIMÉ CÉSAIRE = AIMER CÉSAR
La majorité des citoyens AIME CÉSAR car ce dernier leur fait croire que sa richesse entraîne la prospérité du plus grand nombre. Les citoyens votent alors pour le règne de César puisqu’ils n’assistent jamais à l’enterrement des millions de pauvres tués chaque année par son règne – en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre.
Dieu nous demande désormais d’arrêter d’AIMER CÉSAR et de l’enterrer définitivement.
Jules CÉSAR a été tué par 23 coups de couteaux.
Le département 23 est celui de la CREUSE.
Dieu nous demande ainsi de CREUSER sa tombe le jour de l’élection présidentielle pour l’enterrer définitivement.
Dieu m’est apparu le 20 avril 2008, le jour de l’enterrement d’AIMÉ CESAIRE car ma mission est d’enterrer CESAR le jour de l’élection présidentielle.
Aimé Césaire a forgé le thème de négritude.
Négritude vient du mot à connotation raciste : « NÈGRE ».
NÈGRE = RÈGNE
À travers Aimé CESAIRE, Dieu nous fait comprendre que nous devons mettre un terme au RÈGNE de CESAR.
CESAR = RACES
Aimé CESAIRE a été enterré un 20 avril, le jour de naissance d’Adolf Hitler.
Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, avait établi une hiérarchie des RACES dans laquelle le juif se situait tout en bas.
Actuellement, CESAR – le RICHE qui dirige le pays – a établi une hiérarchie des RACES dans laquelle le NÈGRE est tout en bas, car il est exterminé par millions en Afrique sans que jamais les journaux télévisés aux mains de CESAR n’en parlent.
Ainsi, le 1er avril 2015, le journal de 20H de France 2 a évoqué pendant seulement 1 minute, l’élection du président Muhummadu Buhari au Nigeria.
Le journaliste précisait que le nouveau président avait désigné comme adversaire principal du pays la secte islamiste Boko Haram, et le reportage diffusait un extrait du discours de Buhari dans lequel il déclarait : « Boko Haram va bientôt sentir la force de notre détermination et notre engagement à débarrasser ce pays de la terreur. » Le journaliste ajoutait que Boko Haram avait plongé le Nord-Est nigérian dans le chaos depuis plus d’un an, et l’organisation avait par ailleurs revendiqué l’enlèvement de 200 lycéennes. Le journaliste concluait le reportage en déclarant : « Le Nigeria est le pays le plus peuplé d’Afrique avec 173 millions d’habitants. Son économie, grâce à l’argent du pétrole, est la plus prospère avec un taux de croissance de 7 %. »
C’est tout ce qu’on saura sur le Nigeria. Le journaliste n’a pas voulu mentionner que 800 000 enfants y mourraient de faim et de maladies chaque année alors que l’entreprise Total réalisait de nombreux profits dans le pays en produisant notamment 257 000 barils par jour en 2014. César, le riche actionnaire de Total, aurait pu sauver ces centaines de milliers d’enfants, or César ne considère pas les enfants africains comme des êtres humains mais comme des NÈGRES, donc il se fiche qu’ils soient exterminés en masse chaque année par la faim ou la maladie. Il considère ainsi qu’ils appartiennent à une RACE inférieure car si 800 000 enfants mourraient de faim en France chaque année, César interviendrait probablement pour les sauver, et les journalistes seraient autorisés à parler des victimes de la malnutrition dans le journal de 20H afin de sensibiliser l’opinion française sur ce fléau.
Dans le reportage de France 2, le journaliste précisait que le président Buhari avait déterminé que son principal adversaire était Boko Haram, et on voyait alors le président déclarer : « Boko Haram va bientôt sentir la force de notre détermination et notre engagement à débarrasser ce pays de la terreur. »
Boko Haram était ainsi désigné par France 2 et le président Buhari comme le principal adversaire du pays, mais pourtant, ce groupe islamiste, aussi ignoble et meurtrier soit-il, ne tuait pas 800 000 enfants par an au Nigeria, donc le principal adversaire du pays était la malnutrition et la pauvreté. Pour parvenir à éradiquer ces fléaux, le Nigeria devait surtout vaincre la corruption et exproprier les multinationales pétrolières comme Total, Shell et Chevron, qui, certes, payent des impôts dans le pays, mais accaparent tout de même des richesses phénoménales qui pourraient sauver la vie de ces centaines de milliers d’enfants chaque année. Le journal de VIN heures de France 2 a donc caché le vrai visage du RÈGNE de César en cachant ses victimes, le journaliste précisant uniquement que l’économie du pays, grâce à l’argent du pétrole, était la plus prospère d’Afrique avec un taux de croissance de 7 %. Il n’a pas révélé que 800 000 enfants y mourraient de faim et de maladies chaque année pour ne pas compromettre le RÈGNE de César, car le capitalisme est censé apporter la prospérité dans le monde entier. Par ailleurs, les millions de téléspectateurs français auraient certainement vu d’un mauvais œil que Total s’enrichisse dans un pays où les enfants mourraient de faim. L’Alliance du VIN a donné les pleins pouvoirs à César, donc il contrôle le journal de VIN heures et manipule ainsi l’information afin de préserver son RÈGNE.
À travers le mot « RÈGNE », Dieu nous fait comprendre que le NÈGRE est la principale victime du RÈGNE de César. En effet, c'est en Afrique que le taux de mortalité infantile est le plus important. Dieu emploie le mot NÈGRE pour refléter le racisme de César car il considère les Africains comme des GUEUX, des sous-hommes ; ainsi, le journal de 20H de France 2 n’a parlé que pendant une minute de l’élection du président au Nigeria alors que c’est le pays le plus peuplé d’Afrique, et il vit une tragédie étant donné qu’il regorge de richesses mais les enfants y meurent de pauvreté en masse. Par conséquent, le journal de 20H aurait dû essayer de répondre à la question : pourquoi ? Mais les victimes étant des NÈGRES, César juge que leur mort n’est pas importante et en parler serait dangereux : ce massacre de masse montrerait à des millions de téléspectateurs le vrai visage du RÈGNE capitaliste. Si nous vivions dans une véritable démocratie, le journal de 20H aurait répondu à la question « pourquoi ? » en commençant par préciser que le Nigeria est devenu indépendant en 1960, il fut alors habitué aux coups d’État et aux dictatures militaires et, même lorsqu’il fut dirigé par un pouvoir civil, l’armée n’était jamais bien loin. Les dirigeants et les autorités du pays, profondément corrompus, sont surtout à la botte des majors pétrolières, comme Shell et Chevron. En effet, depuis la découverte, dans les années cinquante, d’importantes ressources pétrolières et gazières, notamment dans la région du delta du Niger, le Nigeria est devenu le premier producteur africain et le sixième à l’échelle du monde. Mais les retombées de cette richesse n’ont profité qu’aux multinationales et aux classes dirigeantes, qui ont détourné des milliards de dollars à leur profit. Le pays et l’immense majorité de la population, eux, n’ont cessé de s’enfoncer dans la misère et le sous-développement. Cela n’empêche pas les grandes puissances occidentales d’entretenir de bonnes relations avec les couches dirigeantes nigérianes qui, à l’échelle du continent africain, s’efforcent de défendre les intérêts généraux de l’impérialisme8.
Si les actionnaires des sociétés américaines et européennes en profitent, ainsi que les dirigeants nigérians et une mince couche de petits bourgeois locaux, la population vit dans la misère. C’est en particulier le cas dans le Nord du pays, et c’est sur ce terreau qu’a grandi Boko Haram.
Le mouvement est né en 2002 et son créateur a trouvé l’oreille des habitants non seulement en prônant l’application de la loi islamique, mais aussi en dénonçant la corruption des dirigeants qui détournaient la rente pétrolière et laissaient la population du Nord dans la misère. Dès le début Boko Haram a entretenu des liens troubles avec le milieu politique. Gouverneurs et sénateurs du Nord ont utilisé les gangs de la secte pour se faire élire, en échange de la promesse d’appliquer la loi islamique. Certains généraux, qui forment le vrai pouvoir au Nigeria, en ont été complices, sous les yeux du gouvernement central. Aujourd’hui l’armée est bien incapable de combattre la secte. On voit au Nigeria jusqu’où peut aller la cruauté de groupes islamistes ennemis mortels des travailleurs et de la population pauvre. Mais, à l’origine de leur développement, il y a le pillage des ressources de la planète par l’impérialisme et le maintien des régimes corrompus qui le servent. Boko Haram est donc la conséquence du RÈGNE de César.9
César contrôlant le journal de VIN heures, il vous dira que les 800 000 enfants au Nigeria ne meurent pas de faim et de maladies à cause du pillage des richesses du pays par les multinationales occidentales, mais à cause de la corruption de la classe politique dirigeante. Or dans ce cas-là, pourquoi César ne fait-il rien pour sensibiliser l’opinion publique dans ses médias afin de contraindre cette classe politique à investir une partie de l’argent détourné pour sauver ces centaines de milliers d’enfants ? Car lorsque les 276 lycéennes nigérianes ont été enlevées par Boko Haram, il y a eu une mobilisation internationale lancée par de nombreuses personnalités politiques et médiatiques qui sont venues apporter leur soutien au mouvement « Bring back our girls » – (ramenez nos filles) – dont notamment Michelle Obama, Hillary Clinton, Wyclef Jean, Puff Daddy, Christiane Taubira et Malala Yousafzai.
De nombreuses célébrités et femmes politiques se sont ainsi prises en photo avec une pancarte sur laquelle était écrit en anglais « Ramenez nos filles » – afin de sauver les 276 lycéennes nigérianes. Mais pourquoi n’y a t-il eu aucune mobilisation politique et médiatique pour sauver les 800 000 enfants dont majoritairement des fillettes, qui meurent de faim et de maladies chaque année au Nigeria ? Tout simplement parce que le RICHE ne veut pas « perdre » de l’argent pour sauver la vie des NÈGRES. Et la campagne médiatique « Bring our Girl » n’était pas destinée à sauver ces lycéennes mais avant tout à protéger les intérêts économiques de César, car cette campagne cherchait à décrédibiliser les institutions nigérianes, l’armée, la police mais aussi le pouvoir politique en place. En effet, les critiques sur l’incapacité des autorités nigérianes à retrouver les lycéennes enlevées et à faire face à Boko Haram ont été très vives aussi bien dans la population nigériane qu’au sein des chancelleries occidentales, alors que ces mêmes chancelleries n’émettent aucune critique contre la classe politique nigériane qui détourne l’argent du pétrole et provoque la mort de 800 000 enfants par an, en les laissant mourir de faim et de maladies. En fait, la campagne médiatique lancée par César voulait déstabiliser le pays pour éventuellement intervenir en cas de révolte populaire afin de changer le pouvoir en place ou alors forcer le gouvernement à combattre Boko Haram, puisque l’insécurité permanente constitue un danger pour les investissements de César dans le pays ; c’est la raison pour laquelle, depuis 2014, Total se désengage de plus en plus du Nigeria. Ainsi, le 30 mars 2015, le groupe a annoncé la cession des parts qu’il détenait dans le projet onshore OML 29 pour 569 millions de dollars. Fin 2014, le pétrolier français s’était déjà désengagé des blocs OML 24 et 18 ce qui lui avait permis de récupérer 1 milliard de dollars. César avait ainsi suffisamment d’argent pour sauver les centaines de milliers d’enfants qui mourraient de faim et de maladies au Nigeria, mais son but n’était pas de sauver des NÈGRES ; par conséquent, il s'en fichait des 276 lycéennes nigérianes, ce qu’il désirait à travers cette campagne médiatique, était de renverser ou convaincre le gouvernement en place de se bouger pour combattre plus efficacement Boko Haram afin de protéger ses investissements.
Comprenez bien que César n’a jamais un sursaut d’humanité par hasard, car qu’est-ce qui est le plus important : sauver 276 lycéennes ou 800 000 enfants qui meurent de pauvreté chaque année ? Sauver 276 lycéennes ne coûte rien à César alors que pour sauver 800 000 enfants, il devrait débourser chaque année plusieurs centaines de millions d’euros, voir des milliards, donc il cache ce massacre aux yeux des citoyens occidentaux pour ne pas être obligé de débourser cette somme qui réduirait alors la taille de son empire. De fait, il n’y aura jamais de campagne médiatique au niveau international pour sauver ces enfants, César refusant de lâcher ses millions pour sauver des NÈGRES.
Ainsi, à travers la mort d’AIMÉ CÉSAIRE, Dieu nous demande d’arrêter d’AIMER CÉSAR, car nous aimons son RÈGNE étant donné qu’il nous manipule en nous cachant son vrai visage à travers des médias qu’il contrôle.
CESAIRE = CESAR IE
IE = 9x5 = 45
Le département 45 est celui du LOIRET.
LOIRE = LE ROI
T = 20
20 = VIN
Dieu nous fait comprendre que LE ROI Argent dirige le monde grâce à l’Alliance du VIN avec Jésus qui a laissé le pouvoir politique entre les mains de CESAR, et nous aimons ainsi son règne parce qu’il cache quotidiennement ses crimes, notamment lors du journal de VIN heures.
Dieu nous a envoyé un signe supplémentaire pour nous faire comprendre que notre AMOUR pour CESAR est responsable de la barbarie qui règne actuellement sur la Terre.
Adolf Hitler est né le 20 avril 1889 et AIMÉ CESAIRE a été enterré le 20 avril 2008, c’est-à-dire 119 ans - jour pour jour - après la naissance du dirigeant du IIIe REICH.
11 9 = 11 septembre
Dieu nous révèle ainsi que CESAR est responsable des attentats du 11 septembre car le RICHE capitaliste et ses serviteurs politiques ont multiplié les guerres impérialistes en finançant notamment Oussama ben Laden lors de la guerre en Afghanistan : ce qui a créé Al-Qaïda comme l’a reconnu publiquement Hilary Clinton. Les impérialistes ont par la suite construit des bases militaires dans le monde entier dont notamment en Arabie saoudite, afin de sécuriser leur accaparement des richesses au Moyen-Orient, et c’est l’un des motifs pour lesquels Al-Qaïda a détruit les TOURS du Word Trade Center, les terroristes considérant cette présence militaire étrangère comme un sacrilège car l’Arabie saoudite abrite les lieux sacrés de l’Islam. Donc à l’origine, les attentats du 11 9 ont eu lieu parce que CESAR voulait prendre le contrôle des richesses du Moyen-Orient afin d’agrandir son empire, c'est la preuve que le RICHE capitaliste génère le terrorisme islamiste.
L’épisode de la TOUR de Babel se situe au chapitre 11 de la Genèse et il est composé de 9 versets.
Dieu met ainsi en lumière le chiffre 11 9.
À travers BABEL, Dieu nous transmet le message « JE SUIS UN DIEU » pour nous révéler sa présence.
Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, est donc né 119 ans - jour pour jour - avant l’enterrement d’AIMÉ CESAIRE – car Dieu nous demande désormais d’arrêter d’AIMER CESAR, c’est-à-dire d’arrêter d’aimer le RICHE et de le supprimer en détruisant la TOUR de l’injustice sociale.
JE SUIS UN DIEU = JE SUIS DIEU UN
UN = 21x14 = 294
Le 29 4 (29 avril) est la VEILLE du 30 avril qui célèbre la fin du IIIe REICH.
À travers la TOUR de Babel, Dieu nous révèle ainsi sa présence : « JE SUIS DIEU » – et il nous transmet le message suivant : « VEILLE à mettre un terme au règne du RICHE – afin de construire un monde égalitaire – en détruisant la TOUR de l'injustice sociale. »
Comprenez bien que des millions d’êtres humains sont tués chaque année à cause de cette TOUR parce que tant que le RICHE siégera au sommet en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre, la BASE sera condamnée à vivre dans le misère, alors une partie de ses membres rejoindront des organisations terroristes pour survivre ou pour exprimer leur colère. Dieu nous demande ainsi d’arrêter d’AIMER CESAR, c’est-à-dire d’arrêter de voter pour le capitalisme, car la course au profit du RICHE est responsable de la barbarie qui règne sur la Terre.
Désormais, depuis le 20 avril 2008, AIMÉ CÉSAIRE EST MORT, donc Dieu nous fait comprendre qu’ « AIMER CÉSAR EST MORT » – ce qui signifie qu’il supprime la parole de Jésus : « Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu. »
Nous devons ainsi combattre César pour entrer dans le royaume Dieu.
Aimé CÉSAIRE est mort en 2008 et Jules CÉSAR en 44 av. J.-C.
2008+44 = 2052
2052 = BET
Pour tuer CESAR – le capitaliste et plus généralement le RICHE – nous devons tuer la BÊTE : l'homme politique – le jour de l’élection présidentielle.
Il y a plusieurs BÊTES à abattre le jour de l’élection présidentielle, et Dieu nous montre ainsi le chemin à suivre :
BÊTES = 2x5x20x5x19 = 19000
Le code postal 19000 est celui de la ville de TULLE.
François Hollande est l’ancien maire de TULLE.
À travers l'ancien président de la République, Dieu nous dit : « TUE-LE ! » – afin de prendre le pouvoir politique des mains de César.
César est mort le 15 mars 44 av. J-C. (15 3 44).
15 3 44 = DCOD
D CO D se prononce DÉCODER.
Nous devons DÉCODER les signes pour obtenir le message de Dieu, et son message central est de TUER démocratiquement CESAR afin que le SANG arrête de couler sur Terre.
César est mort en 44 av. J.-C.
Le chef-lieu du département 44 est la ville de NANTES.
« NANTES » possède toutes les lettres du mot « SATAN », avec un E en plus.
E = 5
Pour obtenir la vie éternelle, nous devons tuer SATAN avec les 5 doigts de notre main qui tiennent le bulletin de vote.
Il faut ainsi DÉCODER les signes pour obtenir le message de Dieu.
César est mort pendant les IDES de mars, un jour festif dédié au dieu Mars, correspondant au 15 mars dans le calendrier romain.10
IDES = 9x4x5x19 = 3420
3420 = 34 20
34 se prononce 30 4.
Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, est mort un 30 4 (30 avril).
20 = VIN
À travers la mort de César lors des IDES de Mars, Dieu nous fait ainsi comprendre qu'il met un terme à l'Alliance du VIN avec Jésus, car désormais, la nouvelle Alliance nous impose de signer l'arrêt de mort de César : le RICHE.
IDES = 3420
3420 = 432 0
432 = DC2
D C 2 se prononce DÉCÉDE.
0 = le chiffre 0 a la forme de la lettre O (EAU).
Dieu précise ainsi que l'Alliance de l'EAU nous impose de lutter afin que César DÉCÈDE.
IDES = 3420 = 03420
Le code postal 03420 est celui de la commune de Marcillat-en-COMBRAILLE dans le département de l’Allier.
Cette commune se situe dans les COMBRAILLES, à quelques kilomètres du département du Puy-de-Dôme.
COMBRAILLES = COM BRAILLE
Le BRAILLE est un système d’écriture tactile à points saillants, à l’usage des personnes aveugles ou fortement malvoyantes.11
Dieu m’a programmé pour traduire le langage des signes afin de DÉCODER ses messages et ainsi permettre à des aveugles de voir son visage.
Je vous transmets le langage des signes par internet, symbolisé par le « .COM ».
Le maire de Marcillat-en-Combraille est Christian CHITO.
CHITO = CHIO
La démocratie est née à CHIO.
Dieu veut nous faire comprendre que nous devons tuer César démocratiquement.
Marcillat-en-Combraille se situe dans le département de l’ALLIER.
Ne sois pas l’ALLIÉ de César le jour de l’élection présidentielle : « COM.BATS-LE ! ».
« NICOLAS » est une enseigne française de magasins spécialisés dans la vente de VIN. Son siège social est installé à Thiais dans le département 94.
94 = ID
Jules César est mort durant les « IDES de Mars ».
Dieu met ainsi en lumière mon prénom « NICOLAS » qu’il associe au VIN et à la mort de César car il vous fait comprendre qu’il m’a créé pour mettre un terme à l’Alliance du VIN : il nous demande désormais de lutter afin de tuer César.
Le siège social de l’enseigne « NICOLAS » est installé à Thiais, dont le maire, Richard Dell’Agnoala, est né à RABAT, au Maroc.
RABAT = ABATR
Dieu met ainsi un terme à l’Alliance du VIN et il nous demande désormais d’ABATTRE César.
Richard Dell’Agnoala est né le 6 février 1949.
6 février = 6 2
6x2 = 12
12 = L = AILES
1949 = 49
Le chef-lieu du département 49 est la ville d’ANGERS.
Un ANGE possède deux AILES dans le dos.
Dieu te fait ainsi comprendre que si tu ABATS César le jour de l’élection présidentielle en votant pour L.O. ou le NPA, il te donnera deux AILES dans le dos afin que tu puisses un jour t’envoler au paradis.
Ma mission est ainsi de vous DÉCODER les messages de Dieu à travers les multiples signes qu’il nous envoie.
Quand j’étais jeune, mes parents étaient abonnés à Canal+ et nous avions besoin d’un DÉCODEUR pour recevoir la chaîne. L’image était alors cryptée et pour l’avoir en clair, nous devions appuyer sur la touche « AVE » de la télécommande.
Aujourd’hui, à travers le langage des signes, je vous donne un DÉCODEUR pour obtenir le son et l’image de Dieu en clair, et il nous demande de ne plus dire « AVE César ! ».
L’expression « AVE César » était à l’époque impériale romaine une formulation rapide utilisée pour saluer l’empereur, elle symbolisait la soumission à son pouvoir.
Tous les jours de la semaine, après 20h55, les programmes de Canal+ sont cryptés, sauf une fois dans l’année, lors la retransmission de la cérémonie des CESAR qui est diffusée en clair ; donc personne n’a besoin d’un DÉCODEUR ce soir-là pour regarder la chaîne.
Je rappelle le signe initial : Jules CESAR est mort le 15 mars 44 (15 3 44).
15 3 44 = DCOD
D CO D se prononce DÉCODER.
Les signes sont clairs.
Les César du cinéma sont des récompenses cinématographiques créées en 1976 et remises annuellement à Paris, à des professionnels du 7e art dans diverses catégories pour saluer les meilleures productions françaises.12
Dieu nous fait comprendre que César mérite le César du « meilleur acteur » : il se fait passer pour un saint en nous faisant croire que sa richesse profite à tous les peuples alors qu’il condamne des milliards d’êtres humains à vivre dans la misère, et des millions d’entre eux meurent de pauvreté chaque année.
La 47e cérémonie des César se déroulait en 2022.
2022 = TV
Le chef-lieu du département 47 est la ville d'AGEN.
AGEN = ANGE
Dieu nous fait ainsi comprendre que les chaînes TV nous font croire que le capitaliste est un ANGE – car elles sont possédées par César : le capitaliste milliardaire.
Effectivement, les chaînes TV nous donnent l'impression que César est un ANGE lorsqu'elles affirment qu'il apporte la prospérité par ses investissements et sa consommation, alors que César crée la PAUVRETÉ en accaparant la majeure partie des richesses.
C'est pourquoi cette 47e cérémonie des César se déroulait 64 jours avant le 30 avril qui célébrait la fin du IIIe REICH.
Le chef-lieu du département 64 est la ville de PAU.
Dieu nous révèle que César : le RICHE capitaliste – est responsable de la PAU-VRETÉ dans le monde.
Par conséquent, les journalistes et les hommes politiques méritent le César du « meilleur acteur » quand ils jouent la comédie en glorifiant le système capitaliste sur les chaînes TV aux mains de César.
Lors de cette 47e cérémonie des César, le film le plus récompensées fut Les illusions perdues avec 7 récompenses.
Ce film est l'adaptation du roman Illusions perdues d'Honoré de Balzac, un des romans-clés de La Comédie humaine : titre sous lequel il a regroupé un ensemble de plus de 90 ouvrages
Dieu nous fait ainsi comprendre que La Comédie humaine symbolise la comédie jouée par les hommes politiques et les journalistes lors des émissions TV.
Honoré de Balzac – l'auteur de La Comédie humaine – est mort un 18 août.
18 août = 18 8
18x8 = 144
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
Honoré de Balzac est mort le 18 août 1850.
1850 = 18 50
18 = AH
AH sont les initiales d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.
50 = le chef-lieu du département 50 est la ville de Saint-LO, dont le maire, François Brière, est né un 30 avril : le jour qui symbolise la fin du IIIe REICH.
À travers l'auteur de La Comédie humaine – Dieu précise ainsi que la nouvelle Alliance de LO nous impose de mettre un terme au règne de César : le RICHE – qui joue sans cesse la comédie en se faisant passer pour un ANGE, alors qu'il plonge des milliards d'êtres humains dans un film d'horreur.
Illusions perdues se déroule au début du XIXe siècle. Il raconte l’échec de Lucien de Rubempré, jeune provincial épris de gloire littéraire. Sa relation avec une femme mariée de la petite noblesse locale est l'occasion pour lui de monter à Paris pour y satisfaire ses ambitions. Bientôt livré à lui-même dans cette ville trépidante et cruelle, il va découvrir que la vie littéraire, intellectuelle et artistique parisienne n'est que la façade d'un vaste système économique cynique, où « tout s’achète et se vend, la littérature comme la presse, la politique comme les sentiments, les réputations comme les âmes. »13
Au cours du film, le narrateur, Nathan, explique : « Pour lancer une nouvelle pièce, il fallait se protéger en achetant la critique, c'était l'usage, on n'avait pas le choix, question de survie. Alors les jeunes journalistes faisaient la loi dans les théâtres et tous les chantages étaient possibles.(...) Pour se protéger, les directeurs de salle devaient d'abord souscrire des centaines d'abonnements à ces journaux et ensuite offrir des loges gratuites à ces critiques qui pouvaient les sous-louer de leur côté et empocher l'argent. Pour compenser ce manque à gagner dans leurs recettes, les patrons de salle avaient cherché des nouvelles sources de profits, comme la vente de confiseries aux spectateurs. Car le plus important, c'était de payer la ''claque'', c'est-à-dire les applaudissements ou les sifflets que l'on achetait à des spécialistes.(...) Les comédiennes, elles aussi devaient acheter les applaudissements et surtout empêcher les sifflets par leurs rivales. Forcément démunies, elles devaient donc se trouver un riche protecteur pour payer ce qu'on appelait leurs ''frais de réputation''. La plupart du temps, c'était un gros commerçant du textile ou de l'industrie des cosmétiques, alors en pleine explosion. Les filles les plus chanceuses devenaient même égéries d'une marque de produits de beauté. Ces marques qui achetaient les encarts publicitaires dans les journaux, dont on rétribuait ainsi la bienveillance critique et des dizaines d'articles complaisants sur ces mêmes égéries. Ces annonces publicitaires rapportaient tellement d'argent aux journaux que ces industriels et commerçants allaient devenir en sous-main les vrais patrons de la presse moderne, et les politiques l'avaient bien compris. Ces politiques étaient prêts à tous les arrangements avec ces barons de l'industrie pour éviter d'être attaqués par leurs journaux. Tout ce petit monde grenouillait dans la même flaque d'intérêts et de compromissions. Mais encore au dessus d'eux, tout la haut la haut au sommet de la pyramide, il y avait la finance et les oligarques : les Lafite, les Rothschild, et toutes leurs intrigues à la bourse. Dans les coulisses du spectacle, ce sont eux qui tiraient les ficelles de toutes ces marionnettes. La nouvelle aristocratie était celle de l'argent et on était pas prêt de lui couper la tête. Un jour ou l'autre, allez savoir, un banquier entrerait au gouvernement. »
200 ans plus tard, en 2014, un ancien banquier de chez Rothschild, Emmanuel MACRON, est entré au gouvernement en devenant ministre de l'Économie.
C'est la raison pour laquelle le comédien André MARCON joue dans le film.
MARCON = MACRON
À travers le narrateur du film, Dieu nous fait ainsi comprendre que « les industriels sont les vrais patrons de la presse moderne, et les politiques l'ont bien compris. Ces politiques sont prêts à tous les arrangements avec ces barons de l'industrie pour éviter d'être attaqués par leurs journaux. Tout ce petit monde grenouille dans la même flaque d'intérêts et de compromissions. Mais encore au dessus d'eux, tout la haut la haut au sommet de la pyramide, il y a la finance et les oligarques : les Rothschild, et toutes leurs intrigues à la bourse. Dans les coulisses du spectacle, ce sont eux qui tirent les ficelles de toutes ces marionnettes. La nouvelle aristocratie est celle de l'argent ».
Dieu nous fait ainsi comprendre que les hommes politiques et les journalistes sont au service de César : l'industriel, le RICHE capitaliste de la finance. Ce sont des marionnettes entre ses mains : « Tout ce petit monde grenouille dans la même flaque d'intérêts et de compromissions. »
Ces hommes sont corrompus, ils cachent un génocide : la mort de millions de pauvres, tués chaque année par le RICHE capitaliste qui accapare la majeure partie des richesses de la Terre, grâce à des hommes politiques comme Emmanuel MACRON.
Le plus important pour le RICHE capitaliste est de « payer la claque » : les applaudissements que l'on achète à des spécialistes : économistes, éditorialistes, journalistes, historiens, célébrités, que l'on fait intervenir dans les médias pour acclamer le système capitaliste qui enrichit le RICHE de manière phénoménale, au détriment du reste de la population.
Par conséquent, pour « payer la claque », le RICHE capitaliste doit acheter les médias ; voilà pourquoi 90 % des grands médias sont détenus par 9 milliardaires.
Les « spécialistes » qui travaillent pour ces médias, sont des acteurs : ils font partie de la « comédie humaine » qui n'a rien d'une comédie car ils applaudissent un système économique qui tue des millions d'innocents chaque année.
À travers le film ILLUSION PERDUES – Dieu nous fait comprendre qu'il nous transmet des signes évidents afin que nous PERDIONS nos ILLUSIONS : le RICHE n'apporte pas la prospérité mais la mort, la guerre et la PAUVRETÉ dans le monde.
Illusions Perdues a obtenu SEPT récompenses.
SEPT = 19x5x16x20 = 30400
Le IIIe REICH a pris fin un 30 4 (30 avril).
Dieu nous demande clairement de mettre fin au règne du RICHE.
L'acteur principal du film est Benjamin VOISIN.
Lorsque le film a été récompensé aux César, deux pays VOISINS – la Russie et l'Ukraine – étaient en guerre.
Les initiales de Benjamin Voisin sont « B V ».
BV = 2x22 = 44
Jules César a été tué en 44 av. J-C.
Dieu nous demande ainsi de signer l'arrêt de mort de César : le RICHE capitaliste – afin que les peuples VOISINS ne se fassent plus la guerre. Cette guerre, c'est avant tout le système capitaliste : la guerre économique.
Lors de cette 47e cérémonie, le César du meilleur acteur a été décerné à Benoît Magimel dont les initiales sont « B M ».
BM = MB
MB = 132
132 minutes sont égales à 2 heures 12.
2 12 = 2 L = 2 AILES
Le César de la « meilleur actrice » a été décerné à Valérie Lemercier dont les initiales sont « V L ».
VL = 22x12 = 264
264 = 132+132
132 minutes sont égales à 2 heures 12.
2 12 = 2 L = 2 AILES
Le César du « meilleur second rôle » a été décerné à Vincent Lacoste dont les initiales sont « V L ».
VL = 22x12 = 264
264 = 132+132
132 minutes sont égales à 2 heures 12.
2 12 = 2 L = 2 AILES
À travers cette 47e cérémonie des César, Dieu nous fait ainsi comprendre que pour obtenir les 2 AILES menant au paradis, la nouvelle Alliance nous impose de lutter afin de mettre un terme au règne de César – qui joue « la comédie » en se faisant passer pour un ANGE sur les chaînes TV et les médias qu'il contrôle – alors qu'il condamne des millions d'êtres humains à vivre dans la PAUVRETÉ en accaparant les richesses de la Terre.
Je rappelle le signe initial :
Jules César est mort le 15 mars 44 (15 3 44).
15 3 44 = DCOD
D CO D se prononce DÉCODER.
La cérémonie des César est l'équivalent de la cérémonie des Oscars aux États-Unis.
Un mois après la 47e cérémonie des César, le film CODA a obtenu l'Oscar du « meilleur film » lors de la 94e cérémonie des Oscars.
94 = ID
Jules César a été tué lors des IDES de Mars.
94 = 47+47
Le chef-lieu du département 47 est la ville d'AGEN.
AGEN = ANGE
À travers la victoire de CODA lors de la 94e cérémonie des Oscars, Dieu nous révèle qu'il nous transmet des messages CODÉS – afin de nous préciser les termes de la nouvelle Alliance – qui nous impose désormais de lutter contre le règne de César afin de devenir un ANGE.
Dieu nous fait comprendre que César joue la comédie : c'est un acteur – contrairement aux messages CODÉS qui révèlent la vérité.
CODA est le remake du film français La famille Bélier, qui racontre l'histoire d'une adolescente dont les membres de sa famille sont sourds. Ils communiquent entre eux avec le langage des signes.
Dieu nous fait ainsi comprendre qu'il nous transmet des messages CODÉS à travers la langue des signes.
Ma mission est de vous DÉCODER ses messages.
Dieu vous prévient : les comédiens sur les chaînes TV vont contredire ses messages en essayant par exemple de vous faire croire que César, le capitaliste, ne tue pas des millions de pauvres chaque année en accumulant les richesses ; ils tenteront ainsi de vous manipuler avec pour résultat de brûler vos 2 AILES si vous décidez de les croire en rejoignant le camp capitaliste.
Dieu a donc multiplié les signes, les messages CODÉS, pour vous convaincre de rejoindre le camp des révolutionnaires humanistes, qui luttent pour la construction d'un monde égalitaire.
La cérémonie des César est diffusée chaque année sur Canal+.
Cette chaîne existe depuis le 4 novembre 1984.
4 novembre = 4 11
4x11 = 44
Jules César est mort en 44 av. J.-C.
Le roman 1984 dénonce le totalitarisme.
Dans le roman, le Parti au pouvoir endoctrine la population notamment par le biais d’un télécran qui diffuse continuellement sa propagande.
À travers les signes, Dieu associe Canal+ au roman 1984 pour nous faire comprendre que la télévision – aux mains de César – endoctrine les citoyens.
Canal+ est entre les mains de César, le milliardaire Vincent Bolloré, qui en a pris le contrôle lorsqu’il est devenu le principal actionnaire de Vivendi. Bolloré a fait sa fortune avec le pillage et le contrôle de l’Afrique de l’Ouest et il a investi dans les groupes de médias et communication. Pour lui, ces derniers doivent servir son image et ses idées. À ceux qui reprochent son autoritarisme dans la chaîne, il répond : « J’ai mis quatre milliards dans la maison, c’est mon argent. » Comme tout patron, d’ailleurs, il a voulu montrer que c’était lui le chef en changeant les équipes, y compris de direction, et en imposant sa ligne éditoriale. En juillet 2015, il s’est ainsi attaqué aux Guignols de l’Info, trop irrespectueux selon lui envers les puissances d’argent et aussi envers son ami Sarkozy. En août, il obtenait l’annulation définitive de la diffusion sur Canal+ du reportage sûrement trop intrusif à son goût : « Évasion fiscale, une affaire française ». Mais pour éviter de provoquer des réactions indignées à chaque nouvelle censure, il a placé directement ses amis au comité de rédaction. I-Télé a donc été confiée à un proche, Guillaume Zeller, l’ex-directeur de la rédaction de D8, qui a le profil de l’emploi. D’abord chargé d’enquêtes pour le service historique de l’armée de terre, il s’est fait connaître comme spécialiste et défenseur du catholicisme. Invité régulièrement sur Radio Courtoisie, la radio d’extrême droite, il a aussi participé au site Boulevard Voltaire de Robert Ménard, devenu élu du Front national. Il y a écrit des billets, dont un sur le général Aussaresses, tortionnaire en chef pendant la guerre d’Algérie, intitulé « Aussaresses aurait pu être un héros national… ». Sûr que, pour les élections à venir, Bolloré et Sarkozy pouvaient compter sur un vrai homme de leur camp pour « informer » les téléspectateurs.14
Ainsi, étant donné que Bolloré contrôle une partie des médias, il peut piller les richesses de l’Afrique en toute impunité, car jamais Canal+ ne révélera qu’il a pu acquérir une fortune de 7 milliards d’euros en laissant mourir de faim des millions d’enfants. Nous vivons ainsi dans une démocratie totalitaire, en étant endoctrinés par des médias qui nous cachent les crimes de César afin que nous continuions à voter pour son règne.
En juillet 2016, Vincent Bolloré a réclamé 50 millions d’euros à France 2 pour avoir rediffusé un reportage de Complément d’enquête. Il dénonçait « une volonté avérée de lui nuire en le dénigrant gravement ».
Pourtant, ce reportage ne faisait que dire la vérité, à savoir que ce grand bourgeois a bâti l’essentiel de sa fortune sur l’exploitation des travailleurs africains. Le reportage évoquait aussi les méthodes qui ont permis à Bolloré d’obtenir les concessions portuaires, les transports et les plantations.
C’est le passage concernant une plantation au Cameroun, où est extraite de l’huile de palme, qui a provoqué la colère de César. On y voyait des ouvriers sans autre équipement qu’une lourde perche terminée par une serpe, s’échinant à cueillir des noix de palme pour un salaire d’à peine un euro par jour. Parmi les ouvriers se trouvaient des vieillards et des mineurs, dont deux avouaient n’avoir que 16 et 14 ans.
Bolloré a accusé France 2 d’avoir forcé ces enfants à mentir sur leur âge, ce que la chaîne a démenti. Mais c’était aussi faire l’aveu que tout le reste était vrai !
Faire pression sur la presse est pour Bolloté une habitude. Il venait alors de perdre son procès contre le site d’information Bastamag, qui avait dénoncé les méthodes d’accaparement des terres en Afrique par les multinationales.
La presse en général est un instrument au service des patrons. France 2 n’est pas la dernière à calomnier les travailleurs quand ils se mettent en grève. Mais, quand il arrive que des reportages instructifs soient programmés, cette petite liberté est encore de trop pour un Bolloré.15
Précisons que la diffusion de ce genre de reportages est plutôt rare sur France 2 et il était diffusé en deuxième partie de soirée quand il n’y a pas beaucoup de téléspectateurs devant leurs écran. Il est généralement interdit de montrer le vrai visage du règne de César à une heure de grande écoute. Ainsi, en juin 2016, le journal de 20H de France 2 a caché à des millions de téléspectateurs que Lafarge, la multinationale française numéro 1 du ciment, avait coopéré avec Daech pendant plus d’un an. En effet, « le 21 juin 2016, le journal Le Monde publiait une enquête édifiante et détaillée sur les arrangements de Lafarge avec Daech en Syrie. On y apprenait notamment que pour continuer à faire prospérer ses activités, l’entreprise a procédé à maintes négociations avec le groupe terroriste et accepté de lui payer des taxes. Aucun montant n’était précisé mais ce “partenariat” ayant duré plus d’un an, entre 2013 et 2014, on pouvait aisément imaginer qu’il s’agissait de plusieurs milliers d’euros (on apprendra par la suite qu'il s'agissait de 13 millions d'euros). Contre toute attente, ces révélations n’ont pas fait grand bruit, et peu nombreux ont été ceux qui s’en sont émus16. » Elles ont, certes, été relayées par la presse nationale et internationale mais ont vite disparu de nos radars, et les journaux télévisés de TF1 et France 2 n’en ont même pas parlé. « Pire encore, rares sont les responsables politiques à s’être emparés du sujet et à avoir exigé que lumière soit faite. Les mêmes qui sont habitués à répéter en boucle qu’il faut lutter contre Daech par ''tous les moyens à notre disposition'' et qu’il ne faut faire aucune distinction entre les terroristes, ceux qui les protègent et ceux qui les financent, ont tout à coup brillé par leur silence. Pourtant, si un kebab du 93 avait été accusé de tels arrangements, le gouvernement et les médias auraient dépêchés des équipes en Syrie pour enquêter et nous en aurions entendu parler des semaines et des semaines17. » Alors pourquoi les hommes politiques et les médias, d’ordinaire si prompt à se dresser publiquement contre les alliés du terrorisme, se sont curieusement tus dans cette affaire ? Tout simplement parce que Lafarge est une grande entreprise française et les intérêts des multinationales passent avant la lutte contre le terrorisme. Nous vivons ainsi dans une démocratie totalitaire ; César contrôle les médias et il camoufle des informations importantes pour protéger ses intérêts et ceux de sa classe sociale, mais il arrive parfois que certains articles ou reportages nous montrent le vrai visage de son règne à condition de faire des recherches pour obtenir ces informations parce que ce n’est pas le journal de VIN heures qui nous les donnera.
La classe dominante cache ainsi le vrai visage de César, elle ne veut pas qu’on sache que le capitaliste français est prêt à collaborer avec des terroristes islamistes pour s’enrichir, alors vous comprenez bien que ces capitalistes n’ont aucun scrupule à exterminer des enfants dans les pays du Tiers Monde lorsqu’ils accaparent leurs richesses. C’est ce visage-là de César que les médias nous cachent.
Je précise que le journal de 20H de France 2 a finalement réalisé un reportage sur les liens entre Daesh et Lafarge, le 17 novembre 2016, soit 5 mois après la révélation de cette affaire par Le Monde ; et les médias ne se sont pas attardés sur ce sujet pour ne pas porter atteinte à l’image de marque de Lafarge.
César est mort le 15 mars 44 av. J.-C. (15 3 44).
15x3x44 = 1980
À partir des années 1980, le nombre de César dans le monde a été démultiplié. Cette période marque le début de la conversion de nombreux pays au néolibéralisme, dont Margaret Thatcher et Ronald Reagan ont été les fers de lance au Royaume-Uni et aux États-Unis. « Dès lors, les États ont progressivement abdiqué leur pouvoir au bénéfice des multinationales et des banques. Ils ont privatisé et déréglementé massivement l’économie, en faisant disparaître la quasi-totalité des contraintes et des contrôles, laissant se développer les paradis fiscaux afin de faciliter l’évasion fiscale, et permettant aux grandes entreprises et aux plus fortunés d’échapper presque totalement à l’impôt. Les États se sont également désengagés de l’économie, abandonnant toute politique industrielle, cessant de préparer le long-terme, et privatisant tout ce qui pouvait devenir une source de profit pour le secteur privé, détruisant ou abandonnant les services publics. La mesure clé a été la suppression des barrières douanières et du contrôle des changes. C’est ce qui a rendu possible la "mondialisation", c’est-à-dire la libre circulation des marchandises et des capitaux, permettant aux entreprises de "délocaliser" pour exploiter la main d’œuvre à bas coût dans les pays du Tiers Monde, et augmenter ainsi la concurrence sur un marché du travail désormais mondialisé lui aussi.
Cela a été possible grâce à la complicité des dirigeants de droite et de gauche, du fait de leur liens avec les multinationales et les banques, directement ou à travers les think tanks ou "clubs de réflexion" où se retrouvent l’élite des pouvoirs financiers, économiques, politiques et médiatiques.
Les délocalisations massives qui s’en sont suivi ont provoqué la désindustrialisation des pays occidentaux et un appauvrissement sans précédent de la population ordinaire, au point de faire disparaître les classes moyennes par le chômage, la précarité généralisée et la baisse des salaires réels. Dans le même temps, les délocalisations favorisaient l’essor spectaculaire de la Chine et quelques autres "pays émergents" où se concentraient les délocalisations, bouleversant au passage les équilibres géopolitiques.
Mais pendant qu’une majorité de la population s’appauvrissait, la minorité bénéficiaire de la mondialisation s’enrichissait, dont une extrême minorité de façon astronomique, ce qui permettait à des statistiques en trompe-l’œil d’afficher une hausse moyenne des revenus de 2 % par an. »18
Ainsi, « les années 1980, que l’on a parfois qualifiées d’"années fric", ont de ce point de vue marqué un tournant idéologique et psychologique : elles furent à la fois un temps de désinhibition de l’enrichissement et un moment d’ouverture aux valeurs de l’individualisme libéral. »19
CESAR est donc mort le 15 mars 44 (15 3 44).
15x3x44 = 1980
CESAR = RACES
« RACES » signifie « COURSES » en anglais.
Les années 1980 ont glorifié la COURSE au profit, et le nombre de CESAR s’est démultiplié lorsque l’économie a été libéralisée pour permettre à une minorité d’individus de s’enrichir au détriment de la majorité de la population.
Rome a été fondée en 753 av. J.-C.
7x5x3 = 105
105 = JE
Le « JE » symbolise César, car Dieu lui a permis de régner égoïstement sur le monde.
« Du pain et des JEUX » est une expression latine utilisée dans la Rome antique pour dénoncer l’usage délibéré fait par les empereurs romains de distributions de pain et d’organisation de JEUX dans le but de flatter le peuple afin de s’attirer la bienveillance de l’opinion populaire (politique d’évergétisme).20
À partir des années 1980, César a pris le contrôle des chaînes de télévision. Il a alors multiplié les JEUX d’argent à la télévision pour glorifier la COURSE aux richesses, et ainsi endoctriner les citoyens en leur transmettant les valeurs du capitalisme.
Les JEUX et les émissions de divertissement à la télévision, permettent à César de donner l’image d’un monde où tout le monde est heureux alors que chaque jour, des dizaines de milliers de personnes meurent de faim et de maladies à cause de sa COURSE au profit.
Les JEUX favorisent ainsi le règne du « JE ».
« Du pain et des JEUX » proclamait Jules César pour calmer la plèbe. « Pour lui le pain comptait plus que les JEUX car la faim pouvait emmener la révolte et le désordre. Deux mille ans après Jésus-Christ, les JEUX sont planétaires et la malnutrition frappe plus d’un milliard d’êtres humains. Les JEUX sont devenus hyper médiatisés et utilisés pour détourner l’attention des peuples et l’endormissement généralisé des masses, le sport de haut niveau devient l’opium du pauvre21. » « L’image du sportif et de ses salaires démesurés donne l’impression que tout le monde peut réussir. Le sportif sert à cautionner un système, à canaliser l’agressivité de la population. Tant que le citoyen lambda s’occupe de sport, il ne pense pas à autre chose. Le prochain match de son équipe, ou la performance de son idole est parfois plus important que sa fiche de paye, sa retraite ou l’avenir de ses enfants. De nombreux parents inscrivent leur enfant au foot ou au tennis avec le secret espoir qu’il réussira, malheureusement pour eux il y a peu d’élus, mais cela permet d’accepter les salaires exorbitants des sportifs, des fois que…, on cautionne le système sans trop se poser de questions.
Dans nos sociétés civilisées, le sport a été élevé au rang de valeur suprême. Tout smicard est heureux d’aller applaudir, regarder et encourager des milliardaires qui s’amusent. L’amour du sport est devenu obligatoire. La véritable mise en scène de toute manifestation sportive est digne de la propagande et du culte de la personnalité des régimes dictatoriaux. Le sport est le nouvel opium du pauvre. »22
Dans la Rome antique, César s’attirait ainsi la bienveillance du peuple en lui distribuant du PAIN et en organisant des JEUX.
PAIN = 16x1x9x14 = 2016
Depuis que j'ai mis en ligne ce site internet en 2016 – Dieu redescend sur Terre pour ramener le peuple à la raison. Il met désormais un terme au règne du « JE » en multipliant les signes pour nous faire évoluer du « JE » au « NOUS » afin que nous mettions César à GENOUX. Que la révolution commence !
César est né le 12 ou le 13 juillet 100 av. J.-C.
12x7x100 = 8400
8400 = 84 00
Le chef-lieu du département 84 est Avignon dont la maire est Cécile HELLE.
« HELL » signifie « ENFER » en anglais.
Dieu associe ainsi la naissance de César au diable et il te fait clairement comprendre que si tu votes pour le règne de César, tu iras en enfer.
8400 = 84 00
84 = 1984
00 = ce sont les yeux de Big Brother et nos yeux qui regardent le télé-écran.
Dans le roman 1984, le Parti au pouvoir a la mainmise sur les archives et fait accepter sa propre vérité historique en la truquant ; il pratique la désinformation et le lavage de cerveau pour asseoir sa domination. Il fait aussi disparaître des personnes qui deviennent trop encombrantes, modifie leur passé, ou les fait passer, faux témoignages des intéressés à l’appui, pour des traîtres, des espions ou des saboteurs. C’est le principe de la « mutabilité du passé » car « qui détient le passé détient l’avenir23. Nous vivons dans l’univers du roman 1984, César faisant actuellement disparaître des personnes qui lui sont gênantes. Il a ainsi fait disparaître lors du journal de 20H, les 10 millions d’êtres humains qui meurent chaque année de faim ou de maladies évitables ou soignables ; il a également fait disparaître, le 4 février 2016, la remise par François Hollande de la Légion d’honneur au prince héritier d’Arabie Saoudite, l’une des dictatures les plus meurtrières de la planète, dans laquelle, en 2015, 153 personnes ont été exécutées par pendaison, lapidation ou décapitation. Par conséquent, afin que des millions de téléspectateurs ne puissent pas se rendre compte que nos dirigeants dont alliés avec les pires criminels de la Terre, César a fait disparaître lors du journal de 20H la remise de la Légion d’honneur à ce membre d’une famille qui décapite des têtes, sponsorise le terrorisme islamiste, mais rapporte à César et l’État français plusieurs milliards d’euros en contrat d’armement, d’où la remise de la Légion d’honneur, et peu importe si ce prince héritier d’Arabie Saoudite est la copie conforme d’un membre de Daech. César a également fait disparaître de l’Histoire les crimes de la République française dont notamment le génocide perpétré par l’armée française au Cameroun dans les années 1960, sur l’ordre du général de Gaulle. Des centaines de milliers de Camerounais issus de l’ethnie bamiléké ont alors été exterminés pour briser le mouvement indépendantiste et permettre à la France d’avoir la parfaite maîtrise du pays. Lors de sa visite au Cameroun, le 3 juillet 2015, François Hollande a reconnu lors d’une conférence de presse qu’il y avait eu des « événements tragiques dans l’histoire. Il y a eu une répression dans la Sanaga-Maritime en pays Bamiléké et je veux que les archives soient ouvertes pour les historiens. » Cette déclaration était la première d’un chef d’État français sur ce drame de l’histoire franco-camerounaise, mais César a fait disparaître cette déclaration lors du journal de 20H pour ne pas avoir à dévoiler les crimes commis par le général de GAULLE.
La Guerre des GAULES, est un ouvrage d’histoire en sept livres de Jules César, constitué de notes rédigées au fur et à mesure de la guerre et rassemblées vers 52-51 av. J.-C., dans lequel il relate ses opérations militaires lors de la Guerre des Gaules qui se déroula de 58 à 52 av. J.-C. et dont il fut le généralissime victorieux. La Guerre des Gaules est la seule source de première main disponible pour ceux qui s’intéressent à cette guerre et nous n’avons que le point de vue de César sur cet événement. Michel Rambaud analyse dans sa thèse les subtils procédés rhétoriques qui permettent de présenter César sous un jour qui convient aux intérêts d’alors du proconsul : descriptions systématiquement mélioratives du général, minoration du rôle de ses légats, valorisation de la vaillance des adversaires dans le seul but de valoriser sa victoire, etc.
La Guerre des Gaules est donc un ouvrage de propagande, destiné à valoriser le général vainqueur aux yeux du Sénat, afin qu’il puisse affermir son influence à Rome. Cependant, il faut tempérer ce jugement : la valeur factuelle de l’ouvrage est reconnue, et les spécialistes de l’Antiquité considèrent que César n’aurait pu trop déformer la réalité, étant donnée la multiplicité des sources d’information dont disposaient ses contemporains (notamment par ses lieutenants lors de la campagne, choisis par le Sénat, parfois opposants à César sur la scène politique). Comme toujours, en matière historique notamment, il faut prendre d’indispensables précautions face à un instrument de travail incontournable. Au total, on peut considérer que tout l’art de César à cet égard est de parvenir à un équilibre subtil en présentant les choses à son avantage sans perdre sa crédibilité par des manipulations excessives de la réalité. Pour ce faire, il met en œuvre des techniques qui sont encore fréquemment utilisées dans la propagande. Par exemple, comme le montre Rambaud, César ne nie jamais un fait qui pourrait lui être reproché : il affirme le contraire.24
Aujourd’hui, César contrôle les chaînes de télévision et il dicte le contenu des journaux télévisés, or comme dans La Guerre des Gaules, les manipulations ne doivent pas être excessives, César risquerait de perdre sa crédibilié. Il déforme alors subtilement la réalité et cache de nombreuses informations pour cacher le vrai visage de son règne et ainsi parvenir à gagner chaque élection présidentielle lorsque son serviteur arrive au pouvoir.
Dieu nous envoie un autre signe à travers la mort de Jules César le 15 mars 44 av. J.-C.
J.-C. sont les initiales de Jésus-Christ.
« AV » est le diminutif de « AVANT ».
AV = AVE
AVE est un terme latin, utilisé par les Romains signifiant « bonjour » ou « salut ». Le terme fut utilisé spécifiquement pour saluer l’empereur comme par exemple : Ave Caesar, morituri te salutant, « Salut à toi César, ceux qui vont mourir te saluent », phrase supposément utilisée par les gladiateurs avant un combat.25
Le terme « AVE » symbolise la soumission envers César, et à travers le sigle « AV. J.-C. », Dieu nous fait comprendre que Jésus-Christ nous a soumis au pouvoir de César en lui laissant le pouvoir politique entre les mains.
AV = AVANT
AVANT = 1x22x1x14x20 = 6160
Le nombre de la Bête est le « 666 » mais certains manuscrits évoquent le nombre « 616 ».
O = EAU
Dieu nous fait comprendre qu’AVANT la nouvelle Alliance de l’EAU, c’était le pouvoir de la Bête qui régnait, César ayant le pouvoir politique entre les mains, mais désormais, Dieu change les termes de l’Alliance afin que les peuples dirigent collectivement le monde ; alors arrêtons de dire « AVE César ».
La ville de Rome a été fondée le 21 avril 753 av. J-C.
21 avril = 21 4
214 = BAD
« BAD » signifie « MAL » en anglais.
753 = 7+5+3 = 15
15 = O = EAU
À travers la ville de Rome dont César était le chef, Dieu nous fait ainsi comprendre que l'Alliance de l'EAU nous impose de mettre un terme au MAL : le règne de César sur le monde.
Le département 12 est celui de l'AVEYRON.
12 = L = AILES
AVEYRON = AVE YRON
YRON = 25x18x15x14 = 94500
94500 = DIE 00
« DIE » signifie « MOURIR » en anglais.
00 = ce sont les yeux de Dieu qui nous verront dans l'isoloir le jour de l'élection présidentielle.
Par conséquent, à travers le département numéro 12, Dieu nous révèle que si nous disons « AVE César » – le jour de l'élection présidentielle – en laissant les pleins pouvoir au RICHE, nous finirons par MOURIR car Dieu ne nous donnera jamais deux AILES dans le dos pour monter au paradis.
Le principal employeur privé de l'AVEYRON est l'entreprise BOSCH.
Lors de la Première et Seconde Guerre mondiale, les BOCHES étaient le surnom donné aux soldats du REICH.
Dieu nous révèle ainsi que les électeurs qui diront « AVE César » – le jour de l'élection présidentielle – seront les soldats du RICHE ; et à l'instar du IIIe REICH, ils provoqueront la mort de millions d'êtres humains en permettant au RICHE d'accaparer la majeure partie des richesses de la Terre. Voilà pourquoi il finiront par MOURIR car Dieu ne leur donnera jamais les AILES qui mènent au paradis.
César est mort le 15 mars 44 av. J.-C.
15 mars 44 = 15 3 44
J C = 10 3
15x3x44x10x3 = 59400
59400 = DIE 00
« DIE » signifie « MOURIR » en anglais.
Selon la légende, durant l’Empire romain, les gladiateurs prononçaient la locution « AVE César » avant de MOURIR, donc Dieu nous fait une nouvelle fois comprendre que les électeurs qui se battront pour César en votant pour lui, finiront par MOURIR : le vote en faveur du règne du RICHE les condamnant à MORT.
59400 = DIE 00
Le sigle « 00 » symbolise ainsi les yeux de Dieu car il verra chacun d’entre nous dans l’isoloir le jour de l’élection présidentielle.
VOTER = 20x15x20x5x18 = 594000
En multipliant les chiffres de la date de MORT de César, nous obtenons le nombre 59400. Les chiffres sont identiques à ceux obtenus avec le mot VOTER.
Dieu nous demande ainsi de VOTER pour la MORT de César.
VOTE = 22x15x20x5 = 33000
Le code postal 33000 est celui de la ville de BORDEAUX, mondialement connue pour son VIN.
BORDEAUX symbolise ainsi l’Alliance du VIN qui donne les pleins pouvoirs à César, or désormais, Dieu te donne le message suivant : Ne VOTE pas pour le serviteur de César ou alors c’est la MORT qui t’attend.
En multipliant les chiffres de la date de MORT de César, nous obtenons le nombre 59400.
VOTER = 20x15x20x5x18 = 594000
Il y a un 0 en plus au nombre 594000 par rapport au nombre 59400 obtenu avec la date de mort de César.
Le 0 symbolise la lettre O.
O = EAU
Dieu nous fait comprendre que la nouvelle Alliance de l’EAU nous impose de VOTER pour la MORT de César.
César est né un 13 juillet, son signe astrologique est le CANCER.
Le VIN provoque le CANCER du FOI.
Dieu nous révèle que l’Alliance du VIN provoque un CANCER de la FOI car laisser le pouvoir politique entre les mains de César va à l’encontre de la FOI chrétienne étant donné que Jésus nous demande d’aider notre prochain ; or laisser le pouvoir politique entre les mains de César, c’est le laisser exterminer notre prochain en lui permettant d’accaparer la majeure partie des richesses de la Terre. C’est la raison pour laquelle Dieu remplace désormais l’Alliance du VIN par celle de l’EAU – qui nous impose de VOTER pour la MORT de César afin d’aider notre prochain en respectant ainsi la FOI chrétienne. Dieu nous fait donc comprendre que l’EAU ne provoque pas le CANCER de la FOI.
PARADIS = PARIS AD
AD = 14
Le chef-lieu du département 14 est la ville de CAEN.
Pour aller au PARADIS, tu dois choisir ton CAMP en faisant un PARIS sur l’Alliance du VIN ou celle de l’EAU.
Jésus a transmis l’Alliance du VIN lors du repas de la CÈNE.
CÈNE se prononce comme le mot SEINE.
La SEINE est un fleuve qui traverse la ville de PARIS.
La SEINE symbolise l’EAU.
Dieu te fait ainsi comprendre qu’il remplace l’Alliance du VIN par celle de l’EAU, alors aie FOI en lui et PARIS sur L.O. le jour de l’élection présidentielle afin de renverser le pouvoir de César.
La SEINE est un fleuve long de 776 km.
Le département 76 est celui de la SEINE-MARITIME, dont le chef-lieu est ROUEN.
Dieu fait ainsi « tourner la ROUE » en remplaçant l’Alliance du VIN par celle de l’EAU – afin de mettre un terme à la N que César fait régner sur le monde en accaparant la majeure partie des richesses de l'humanité.
Lorsque j'ai déchiffré ces messages, le maire de ROUEN était Yvon ROBERT.
ROBERT = ROBE RT
R = 18
Le chef-lieu du département 18 est la ville de BOURGES.
T = 20 = VIN
Dieu nous révèle que l'Alliance du VIN avec Jésus a permis aux BOURGES de DÉ-ROBER les richesses de la Terre – en laissant le pouvoir politique entre les mains de César.
C'est la raison pour laquelle la SEINE est longue de 776 km :
7 = SEPT
SEPT = 19x5x16x20 = 30400
Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, est mort un 30 4 (30 avril).
30x4 = 120
Le chiffre 120 se prononce SANS VIN.
120 = LO
LO = L'EAU
Dieu remplace ainsi l'Alliance du VIN par celle de L'EAU car il nous impose désormais de signer l'arrêt de mort du RICHE, du BOURGE, afin que nous partagions équitablement les richesses mondiales entre chaque être humain.
Le successeur d'Yvon ROBERT à la mairie de ROUEN est Nicolas Mayer-Rossignol. Il est né un 8 avril, le jour de la Saint JULIE.
Le prénom « JULIE » est dérivé de la « gens JULIA » : la famille de JULES César.
Dieu nous révèle ainsi qu'il met un terme au règne de César : « la ROUE tourne. »
8 avril = 8 4
Le chef-lieu du département 84 est la ville d'Avignon dont la maire est Cécile HELLE.
« HELL » signifie « ENFER » en anglais.
Dieu précise que tu iras en ENFER si tu refuses de combattre César.
Le maire de ROUEN est né en 1977.
19 = le chef-lieu du département 19 est la ville de TULLE.
77 = SEPT SEPT
SEPT = 19x5x16x20 = 30400
Le IIIe REICH a pris fin un 30 4 (30 avril).
Dieu te transmet ainsi le message suivant : TUE LE RICHE – en votant pour le partage équitable des richesses – et tu éviteras de finir en ENFER. »
La ROUE tourne : Dieu change le VIN en EAU.
Mon prénom est NICOLAS.
NICOLAS = CALINS O
Ma mission est de verser l'O de la nouvelle Alliance afin que tous les hommes se prennent dans les bras.
Par conséquent, Dieu nous demande de ne plus exterminer notre prochain, le jour de l'élection présidentielle, mais de lui faire un CALIN en votant pour L.O. ou le NPA.
Dieu met ainsi un terme à l'Alliance du VIN qui nous divise. César a transformé le monde en un vaste marché sans frontière dans lequel les hommes – les travailleurs – sont en compétition les uns contre les autres, avec pour objectif de remporter la guerre contre leurs concurrents et rapporter un maximum d'argent à César : le capitaliste propriétaire des entreprises. Dieu nous demande désormais de renverser l'empire de César en mettant un terme à la compétition. Nous devons ainsi remplacer la concurence par la coopération et l'entraide : faisons-nous des CALINS au lieu de nous faire la guerre.
Jules César est né un 12 ou 13 juillet.
Le chiffre 13 est l'inverse du 31.
Dieu nous envoie alors signe clair à travers la date du 31 juillet (31 7), qui est l'INVERSE du 13 juillet.
317 = CAG
7 - (3-1) = 5
5 = E
CAG+E = CAGE
Jésus a demandé aux chrétiens de laisser le pouvoir politique entre les mains de César, or Dieu nous demande aujourd'hui l'INVERSE car nous devons enfermer César en CAGE afin de mettre un terme aux guerres et au pillage des richesses de la Terre.
31x7 = 217
217 = BAG
Une BAGUE de mariage est une ALLIANCE.
Cette ALLIANCE a la forme de la lettre O.
Elle symbolise la nouvelle ALLIANCE de l'EAU qui nous impose de combattre César – le capitaliste – afin de l'enfermer en CAGE, c'est-à-dire de l'empêcher définitivement de nuire à l'humanité.
217 = BAG = ALLIANCE
21x7 = 147
Le 14 7 (14 juillet) est le jour symbolique de la RÉVOLUTION française.
La nouvelle ALLIANCE de l'EAU nous impose ainsi de faire la RÉVOLUTION contre le pouvoir de César : le capitalisme.
Nous obtenons ces signes à travers la date du 31 juillet (31 7), qui est l'INVERSE de la date de naissance de Jules César (13 7).
Le 31 juillet est le 212e jour de l'année.
2 12 = 2 L
2 L = 2 AILES
Nous obtiendrons ainsi les 2 AILES menant au paradis en rejoignant la nouvelle ALLIANCE de l'EAU qui est l'INVERSE de l'ancienne Alliance du VIN avec Jésus : Dieu nous demande désormais de combattre le pouvoir de César afin d'obtenir la vie éternelle.
Le 31 juillet est le 212e jour de l'année (non bissextile). Il reste alors 153 jours avant la fin de l'année.
Jules César est mort un 15 3 (15 mars).
Dieu associe ainsi le nombre 212 (2 AILES) à la mort de César (15 3), car nous obtiendrons 2 AILES dans le dos – en faisant la RÉVOLUTION contre le système capitaliste – afin de signer l'arrêt de mort de César (le capitaliste, le riche).
Une année est composée traditionnellement de 365 jours.
365 = 212+153
2 12 = 2 L = 2 AILES
153 = Jules César a été tué un 15 3 (15 mars).
Dieu nous révèle ainsi que pour obtenir les 2 AILES qui mènent au paradis – nous devons lutter toute l'année afin de signer l'arrêt de mort de César.
Nous combattrons César toute l'année en rejoignant l'économie révolutionnaire dont j'explique le principe dans la partie suivante consacrée à la Gaule.
Les 16 et 17 septembre sont des dates symboliques :
16 septembre = 16 9
16x9 = 144
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
17 septembre = 17 9
179 = AGI
17x9 = 153
Jules César a été tué un 15 3 (15 mars).
Dieu te transmet le message suivant : « AGIS – en signant l'arrêt de mort de César, le jour de l'élection présidentielle. »
Le QI est le sigle du Quotient Intellectuel qui mesure l'intelligence humaine.
Q I = 17 9
179 = AGI
17x9 = 153
Jules César a été tué un 15 3 (15 mars).
À travers le QI, Dieu nous révèle ainsi que faire preuve d'intelligence signifie repescter les termes de son Alliance qui nous impose d'AGIR afin de signer l'arrêt de mort de César : le RICHE capitaliste.
C'est ainsi que nous obtiendrons la vie éternelle.
Le 7 avril (7 04) est également une date symbolique :
704 = GOD
« GOD » signifie « DIEU » en anglais.
Le lendemain du 7 avril est le 8 avril (8 4).
Le chef-lieu du département 84 est la ville d'Avignon dont la maire est Cécille HELLE.
« HELL » signifie « ENFER » en anglais.
À travers les 7 et 8 avril – DIEU met ainsi en lumière l'ENFER.
Le 8 avril célèbre la sainte JULIE.
Le prénom JULIE vient du latin JULIUS – JULES en français.
À travers le 8 avril, Dieu met en lumière JULES César afin de nous révéler que nous irons en ENFER si nous votons pour son règne.
Les initiales de Cécile HELLE sont C H.
CH = 38
Le département 38 est celui de l'ISÈRE.
Cécile HELLE est née un 8 mai (8 5).
8+5 = 13
13 = M
M+ISÈRE = MISÈRE
Dieu précise que nous irons en ENFER car César crée la MISÈRE sur Terre en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre.
La ville de Rome a été fondée le 21 avril 753 av. J.-C.
21 avril = 21 4
21 4 = BAD
« BAD » signifie « MAL » en anglais.
Dieu nous fait comprendre qu’en laissant le pouvoir politique entre les mains de César, il a autorisé le MAL à régner sur la Terre.
Il nous demande désormais de changer le CD-ROME pour créer un monde solidaire.
Rome a été fondée en 753 av. J.-C.
7x5x3 = 105
105 = JE
Le « JE » symbolise l’égoïsme et donc le capitalisme qui permet à César de régner actuellement sur le monde.
Dieu nous demande désormais d’évoluer du « JE » au « NOUS » afin de mettre César à GENOUX et ainsi redistribuer équitablement les richesses de la Terre entre chaque être humain.
10 5 = 10 mai
En France, le 10 mai est la journée commémorative de l’abolition de l’esclavage.
Dieu nous demande ainsi de changer le CD-ROME afin de mettre un terme à l'esclavage : le système capitaliste qui permet à César d'exploiter la majorité des travailleurs du monde entier pour bâtir et agrandir son empire.
Rome a été fondée le 21 avril 753 av. J.-C.
21 4 = BAD
« BAD » signifie « MAL » ou « MAUVAIS » en anglais.
753 =
Le département 75 est celui de PARIS.
3 = T ROIS
T ROIS se prononce TES ROIS .
TES ROIS sont les capitalistes qui règnent sur le monde.
À chaque élection présidentielle, tu PARIS sur TES ROIS et tu fais ainsi le MAUVAIS shoah.
J’ai voté pour la première fois à l’âge de 18 ans lors de l’élection présidentielle du 21 avril 2002. J’ai voté ce jour-là pour Jean-Marie Le Pen car chaque jour, le midi, quand je rentrais du lycée pour manger chez moi, je regardais le journal télévisé de 13H sur TF1, qui multipliait quotidiennement les reportages sur la délinquance des jeunes de banlieue. Je voyais ainsi tous les jours des agressions, des vols, des viols, et des victimes apeurées. J’ai alors eu peur des jeunes de banlieue en pensant qu’ils pourraient m’agresser à chaque coin de rue, j’ai donc voté pour le Front National en croyant naïvement que ce parti politique réglerait les problèmes d’insécurité. J’ai commis une grave erreur ce jour-là car j’ai été endoctriné par les médias, et par ailleurs, je ne savais pas que dans le secret de l’isoloir Dieu me regardait. J’ai voté au second tour pour Jacques Chirac. Les médias ayant diabolisé Le Pen entre les deux tours, ils m’ont fait comprendre que j’avais fait quelque chose de mal, or j’ai finalement voté pour un clone de Le Pen – un nazi – parce que je ne me rendais pas compte à l’époque qu’en votant pour Chirac, je votais pour l’extermination d’un enfant toutes les 5 secondes.
Les initiales de Jacques Chirac sont J C.
Ce sont les initiales de Jules CESAR.
CESAR = RACES
Adolf Hitler a exterminé des millions juifs parce qu'il avait établi une hiérarchie des RACES.
« RACES » signifie « COURSES » en anglais.
CESAR – le RICHE capitaliste – extermine des millions de pauvres dans sa COURSE au profit.
Jules CESAR est né à Rome qui a été fondée un 21 avril.
J’ai donc fait un PARI ce 21 avril qui s’est révélé être le MAUVAIS shoah. J’avais 18 ans et aucun berger pour me montrer le chemin alors j’ai été guidé par des médias qui ont véhiculé la peur pour permettre à la droite de garder le pouvoir une nouvelle fois pendant 5 ans.
Rome a été fondée le 21 avril 753 av. J.-C., et mon premier vote lors d’une élection présidentielle s'est déroulé le 21 avril 2002.
2002-753 = 1249
Les termes de la nouvelle Alliance sont inscrits dans les chiffres composant le nombre 1249.
Le chiffre 49 est le numéro de département du MAINE-et-LOIRE dans lequel je suis né.
MAINE LOIRE = MAIN LE ROI E
E = 5
Lors de l’élection présidentielle, nous devons combattre LE ROI Argent – le capitalisme – avec les 5 doigts de notre MAIN qui tiennent le bulletin de vote.
12 = L
L = AILE
En combattant LE ROI Argent avec les 5 doigts de ta MAIN qui déposent le bulletin de vote dans l’urne, Dieu te donnera deux AILES dans le dos pour que tu puisses t’envoler un jour au paradis.
Mais si tu ne déposes pas le bulletin de vote de L.O. ou du NPA dans l’URNE, c’est toi qui finira en cendres dans une URNE funéraire.
Le 21 avril 2002, Olivier Besancenot participait en tant que candidat à sa première élection présidentielle.
Lors de cette élection, Robert HUE se présentait sous les couleurs du Parti communiste, un parti situé à « gauche ».
« HUE ! » est un mot dont se servent les charretiers pour faire avancer les chevaux, ou pour les faire tourner à droite.
Robert HUE a tourné à droite car en 1997, il est entré dans la « gauche plurielle » en affiliant le Parti communiste au Parti socialiste, qui a toujours appliqué une politique de droite quand il était au pouvoir. Cédant aux sirènes de la social-démocratie, Robert Hue collabora avec le gouvernement Jospin lors de la cohabitation précédant l’élection présidentielle de 2002. Les ministres communistes ont alors soutenu les privatisations, la rigueur salariale et les reculs des services publics. Ce virage à droite fit perdre au Parti communiste une partie de son électorat.
Robert HUE fut ensuite pendant sept ans le président du Mouvement unitaire progressiste (MUP), proche de la majorité socialiste.
MUP = PMU
Le PMU est une entreprise française de paris hippiques.
PMU = UMP
L’UMP – devenu Les Républicains – est un parti politique de droite.
« HUE » est un mot dont se servent les charretiers pour faire avancer les chevaux, ou pour les faire tourner à DROITE.
HUE = DROITE
À travers Robert HUE, Dieu associe la DROITE au PS et au Parti communiste car ce sont bien évidemment des partis politiques de DROITE.
Dieu veut nous faire comprendre que les partis politiques de la « gauche plurielle », dont faisaient partie le PS, le PCF, le Parti radical de gauche et les Verts, sont des partis politique de DROITE à l’instar de l’UMP, puisqu’ils sont tous soumis au pouvoir de CESAR, c’est-à-dire au capitalisme. Ils placent leur activité politique dans le cadre de la propriété privée des entreprises, des lois du marché, du profit, de la concurrence et de la bourgeoisie. Donc ces partis politiques ne veulent pas renverser le pouvoir de César, à l’inverse de L.O. et du NPA qui veulent exproprier César de l’économie afin que les profits générés par les travailleurs servent enfin à garantir les emplois, à garantir les salaires, les services publics et donc garantir les conditions d’existence de tous les citoyens.
La « gauche plurielle » est arrivée au pouvoir en 1997, suite à la dissolution de l'Assemblée nationale par le président Jacques Chirac. De nouvelles élections législatives ont eu lieu et les Français ont élu majoritairement les députés de la « gauche plurielle ».
Le chef de la « gauche plurielle » était Lionel Jospin. Il est alors devenu Premier ministre.
Lionel Jospin est né le 12 juillet 1937.
Jules César est né un 12 juillet ou 13 juillet selon les sources.
1937 = 13 7 = 13 juillet
À travers Lionel Jospin – le chef de la « gauche plurielle » – Dieu nous révèle ainsi que les partis politiques qui la composaient sont au service de César : le RICHE capitaliste.
Lors de la dernière élection présidentielle de 2022, pour la première fois depuis 2007, le Parti communiste avait décidé de présenter son propre candidat, en la personne de son secrétaire national : Fabien ROUSSEL.
Dieu met ainsi en lumière la SELLE que le Parti communiste veut maintenir sur le dos du travailleur – afin que César puisse continuer à monter sur lui, en le faisant galoper dans ses entreprises pour accaparer les richesses qu'il produit.
FABIEN = 6x12x9x5x14 = 45360
45360 = 30 4 56
Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 (30 avril) à l'âge de 56 ans.
Dieu nous fait ainsi comprendre que FABIEN ROUSSEL et son parti politique ne sont pas communistes parce qu'ils ne veulent pas signer l'arrêt de mort du RICHE et construire une société égalitaire.
Le précédesseur de Fabien Roussel à la tête du Parti communiste est PIERRE LAURENT.
PIERRE se prononce PI - R.
PI = 16x9 = 144
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
R = 18
18 = AH = ce sont les intiales d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.
LAURENT = 12x1x21x18x5x14x20 = 6350400
6350400 = 30 4 56 00
Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 à l'âge de 56 ans.
00 = ce sont des yeux.
À travers PIERRE LAURENT, Dieu nous montre (00) une nouvelle fois que le Parti communiste est un parti de DROITE car il ne lutte pas pour signer l'arrêt de mort de César : le RICHE capitaliste.
Lors de la dernière élection présidentielle, Fabien ROUSSEL a obtenu 2,28 % des voix.
2,28 = 22 8
22 8 = 22 août
Ma mère est née un 22 août et son nom de jeune fille est ROUSSELLE.
Dieu vous fait ainsi comprendre qu'il m'a donné naissance pour vous convaincre d'enlever la SELLE que le capitaliste a fixé sur le dos des travailleurs.
Cette SELLE symbolise l'exploitation de l'homme par l'homme, qui condamne des milliards d'êtres humains à vivre dans la misère.
À travers le nom de famille ROUSELLE, Dieu nous révèle ainsi qu'il fait « tourner la ROUE » en mettant un terme au règne de César : le cavalier.
En avril 2021, Fabien Roussel avait critiqué le caractère trop socialiste à son goût du programme des Insoumis, qui auraient eu le tort de considérer « que chacun doit avoir un travail et que si quelqu’un n’en trouve pas, l’État doit être employeur en dernier ressort ». Roussel avait alors précisé que « nous ne partageons pas du tout cette philosophie-là ; ça, c’est l’époque soviétique, le kolkhoze ». Loin d’être le fruit d’un moment d’égarement, cette déclaration s’inscrit dans une révision des horizons programmatiques du PCF, que Roussel développe dans Ma France.
De manière souvent très pertinente, Roussel s’y pose en défenseur des services publics, des salaires ou encore d’un revenu pour les jeunes. Toutefois, sa défense des classes populaires ne s’inscrit pas dans une perspective de lutte des classes, puisqu’il explique que « la France du travail est aussi celle des petits patrons et même si cela peut paraître surprenant de la part d’un secrétaire national du Parti communiste, je souhaite prendre leur défense ».
Ce discours populiste l’amène à se livrer à une dénonciation des « charges qui pèsent sur ces petits entrepreneurs », avant d’expliquer qu’il n’est « pas opposé aux dividendes que se versent des petits patrons » et qu’il souhaite soutenir les PME et les TPE face aux grandes entreprises. Roussel l’affirme : il n’est « pas favorable à ce que tous les secteurs de l’économie soient mis sous la coupe d’un État patron ». Il se prononce donc pour une économie de marché régulée par « un État stratège », en considérant que « des nationalisations restent bien sûr indispensables, mais l’étatisme, que certains prônent encore à gauche, a montré ses limites ».
La France dont rêve Roussel prend ainsi l’aspect d’une société de petits propriétaires, avec « une agriculture à taille humaine » et une économie laissée aux mains de petits capitalistes bien régulés, qui associeraient leurs salariés à la gestion de leurs entreprises.26
Fabien ROUSSEL et le Parti communiste veulent ainsi maintenir la SELLE que le patron fixe sur le dos du travailleur, afin de monter sur lui et le faire galoper dans son entreprise, pour accaparer les richesses qu'il produit.
Fabien ROUSSEL soutient l'exploitation des travailleurs et donc l'inégale redisbution des richesses. Ça, ce n'est pas le communisme, ce n'est pas la gauche, c'est la DROITE.
Les deux seuls partis de GAUCHE en France, L.O. et le NPA, sont issus de la mouvance trotskiste.
Les trotskistes se réclament du communisme révolutionnaire, et des idées de Karl Marx, de Friedrich Engels, de Lénine, et bien sûr de Léon Trotski. Ils s’accordent à considérer que la société est fondamentalement divisée en deux grands camps opposés, la bourgeoisie et le prolétariat, ainsi que l’écrivaient Marx et Engels dans le Manifeste du Parti communiste. Ils conçoivent donc la lutte du prolétariat comme une lutte internationale visant à la destruction de la puissance économique et politique de la bourgeoisie.
Le prolétariat est, selon Karl Marx, la classe sociale opposée à la classe capitaliste. Elle est formée par les prolétaires, également désignés couramment comme travailleurs.
Le prolétaire ne possède ni capital ni moyens de production et doit donc, pour subvenir à ses besoins, avoir recours au travail salarié.27
« Les trotskistes prônent une lutte des classes incessante jusqu’à la mise en place du socialisme. Ils estiment que la paix ne pourra venir que d’une révolution socialiste mondiale conduite par les populations laborieuses afin d’utiliser les moyens de production pour satisfaire les besoins de l’humanité et non pour le profit d’une minorité. »28
CESAR est né le 12 ou 13 juillet 100 av. J.-C.
100 = SANG
CESAR = RACES
Le Pur-SANG est la plus connue des RACES de chevaux à sang chaud, c’est le cheval le plus rapide et le plus prisé pour les courses au GALOP.
Après la victoire de CESAR lors de la guerre des Gaules, les Gaulois sont devenus des GALLO-Romains avec la romanisation de la Gaule.
Dieu nous fait comprendre que nous sommes des GALOP-Romains car César dirige le monde et nous sommes les Pur-SANG sur lesquels il monte quotidiennement – en nous faisant courir au GALOP – afin d’agrandir son empire.
CESAR = RACES
« RACES » signifie « COURSES » en anglais.
Dieu nous fait comprendre que nous sommes les chevaux de COURSES de César : le capitaliste.
En effet, le capitaliste monte sur le dos des travailleurs en les faisant courir chaque jour au galop – dans ses entreprises – à des cadences bien souvent infernales pour augmenter la taille de son empire.
Par exemple, ces dernières années, les médias ont salué le dynamisme du secteur de l’automobile, une société comme Renault a déclaré avoir 14 milliards d’euros de trésorerie et elle a versé 500 millions aux actionnaires en 2013 et autant en 2014. Le PDG de PSA, Carlos Tavares, gagnait 5 millions d’euros annuels en 2016, c’est-à-dire environ 13 500 euros par jour, samedi et dimanche compris, et le PDG de Renault, Carlos Ghosn, touchait 7,3 millions d’euros par an auxquels s’ajoutaient les 8 millions qu’il percevait également en tant que PDG de Nissan. Ces profits, ils les font non seulement sur des marchés qui sont loin de s’écrouler, mais surtout sur une exploitation accrue des travailleurs de l’automobile.
En changeant la loi à partir d’un accord national interprofessionnel (ANI), le gouvernement a directement soutenu PSA et Renault pour qu’ils puissent imposer des accords de compétitivité. Ils ont été tout de suite appliqués dans les usines, pour bien signifier aux travailleurs qu’ils allaient devoir travailler plus pour moins cher, avec moins de droits. Première mesure immédiate chez Renault : un allongement considérable du temps de travail suite à la suppression pure et simple de jours de congés, jusqu’à vingt jours, remplacés par autant de jours de travail sans la moindre augmentation du salaire annuel.
Ensuite ce sont les pauses, déjà très courtes, qui ont été rognées chez les deux constructeurs. Et chez PSA, la direction a voulu faire passer les congés annuels d’été de quatre semaines à trois semaines, alors que les salariés en avaient bien besoin pour pouvoir récupérer un peu leur santé. Elle n’y a qu’en partie réussi. Et, à côté de cela, les heures supplémentaires pleuvent un peu partout, ainsi que les fameux « overtime », temps imposé jour par jour à la dernière minute sous prétexte que la production n’aurait pas été faite.
Le plus aberrant, c’est qu’en même temps qu’on force les salariés à travailler plus longtemps en leur disant qu’il faut augmenter la production, des secteurs entiers sont mis au chômage, parfois dans la même usine. Et des usines entières ferment, comme à PSA-Aulnay.
Il faut rappeler que, dans ces usines de production, les ouvriers sont soumis à des cadences de travail très strictes, calculées au centième de minute, avec une maîtrise sur le dos en permanence, que les accidents y sont fréquents, ainsi que les maladies professionnelles. Les horaires de travail en équipe, souvent très tôt le matin, déstructurent toute la vie sociale et usent la santé encore plus vite.
Certains, comme Toyota à Onnaing, s’illustrent par une politique répressive faite de sanctions, de licenciements pour de prétendues fautes, et qui frappent encore plus ceux qui relèvent la tête, dont les militants syndicaux.
Après avoir, ces dernières années, intensifié le travail en augmentant la productivité, ces patrons augmentent maintenant le temps de travail. Cela veut dire que, mécaniquement, ils diminuent les salaires. Donc zéro augmentation sur les salaires de base pendant trois ans chez Renault comme Peugeot, mais, en plus, des primes ne sont plus distribuées, ou carrément supprimées. En 2014, PSA s’est payé le ridicule de verser des primes de participation de quelques euros. Auxquelles les salariés ont répondu en collectant ces euros pour les reverser aux Restos du cœur29.
Le 24 février 2016, Carlos Tavares, le PDG, a annoncé à grands renforts de publicité les très bons résultats de PSA pour 2015, 1,2 milliard d’euros. C’était un résultat multiplié par trois par rapport à l’année précédente. Ce résultat s’est fait sur la peau des travailleurs : 17 000 emplois supprimés, les suppressions d’emplois qui continuent, les salaires bloqués, une augmentation des cadences, des heures supplémentaires non payées etc…
Du coup, une prime d’intéressement de 2 000 euros en moyenne a été versée à chaque salarié. Une prime en trompe l’œil car ces 2 000 euros incluaient une prime de 450 euros déjà promise. Surtout c’était loin de compenser le blocage des salaires, c’est-à-dire leur baisse, depuis 4 ans maintenant.
C’est une véritable augmentation des salaires qui est nécessaire et légitime pour les travailleurs de PSA qui produisent toutes les richesses du groupe.
Et le secteur de l’automobile est loin d’être est un cas isolé.30
Dans le monde hippique, l’entraînement et la sélection des Pur-SANG est une source d’accidents et de problèmes de santé chez la RACE. Le taux d’accidents dans les courses hippiques est le plus élevé parmi les sports légaux impliquant des animaux. Les Pur-SANG ont fréquemment des saignements de poumons, une fertilité anormalement basse et un cœur et des pieds trop petits par rapport à leur masse.31
Dans le monde du travail, les Pur-SANG sont victimes d’accidents fréquents et de maladies professionnelles. En 2015, il y a eu en France 625 000 accidents du travail avec arrêt, un chiffre en hausse de 4 000 par rapport à 2014.
En équitation, le cheval se déplace à différente allure : le pas, le trot, et le galop.
Le trot est une allure qui correspond à environ 14 kilomètres par heure chez le cheval de selle.
Le galop correspond à environ 21 kilomètres par heure.
Le NPA et L.O. sont des partis politiques issus du mouvement TROTSKISTE.
TROTSKISTE = TROT
Les TROTSKISTES luttent pour exproprier les capitalistes afin que le Pur-SANG – le travailleur – arrête de courir au GALOP, et puisse marcher au TROT afin d’arrêter sa COURSE.
Les TROTSKISTES ne conçoivent pas la vie comme une COURSE individuelle mais comme une MARCHE solidaire.
Jules César a été tué un 15 MARS.
15 = O = EAU
« MARS » se dit « MARCH » en anglais.
Dieu nous fait ainsi comprendre que la nouvelle Alliance de l'EAU nous impose de signer l'arrêt de mort de César : le capitaliste – en remplaçant la COURSE individuelle par une MARCHE solidaire.
« MARCHER » se dit « WALK » en anglais.
WALK = 23x1x12x11 = 3036
3036 = 336 0
Le 336e jour de l'année est traditionnellement le 2 décembre (2 12).
2 12 = 2 L = 2 AILES
0 = le chiffre 0 a la forme de la lettre O.
Dieu précise ainsi que pour obtenir 2 AILES dans le dos et nous envoler un jour au paradis, la nouvelle Alliance de l'O nous impose de MARCHER et non plus COURIR pour enrichir César.
En France, jusqu'à la débâcle de la candidature de François Fillon en 2017, le parti politique préféré de CESAR était l’UMP, fidèle serviteur des riches.
UMP = PMU
Le PMU symbolise les COURSES de chevaux.
« COURSES » se dit « RACES » en anglais.
RACES = CESAR
Un cheval possède 64 chromosomes.
Nicolas Sarkozy a été élu en 2014 à la tête de l’UMP avec 64 % des voix.
Dieu associe clairement l’UMP au cheval.
L’UMP est devenu en 2015 Les Républicains. Son candidat pour la présidentielle, François Fillon, prévoyait dans son programme de faire galoper le cheval – le travailleur – jusqu’à 48h par semaine, 7 jours sur 7, jusqu’à l’âge de 65 ans (au lieu de 62).
À l’opposé, L.O. et le NPA veulent arrêter la COURSE du travailleur en le faisant marcher au TROT afin de baisser sa productivité et ainsi créer des emplois supplémentaires. De plus, ils veulent diminuer le temps de travail à 30 ou 32h par semaine afin de partager le travail pour qu’il n’y ait plus aucun cheval dans l’écurie de Pôle emploi. Le NPA écrit dans son programme : « Contre le chômage et la précarité, le problème qui se pose est bien celui d’un véritable partage du temps de travail qui, bien entendu, ne peut être séparé du partage des richesses. Pour permettre à chacunE de vivre au moins correctement. Dans une société où tout s’achète et se vend (même la santé), le problème du revenu est vital. Et le revenu, directement ou pas, est lié au travail : salaire direct ou salaire socialisé.
Il faut donc réduire le temps de travail jusqu’à l’abolition du chômage. Le temps passé à travailler serait ainsi beaucoup moins long et contraignant pour chacunE. Parce que le travail imposé n’est pas un but dans la vie, ni un plaisir ni une activité épanouissante, il doit prendre le moins de temps de notre vie. Alors, « Travailler tous pour travailler moins » paraît être un mot d’ordre très juste et clair sur le sujet ! Et chacunE pourrait au moins vivre décemment sur le plan matériel et il n’y aurait plus cette menace du chômage et de la précarité qui empoisonne la vie.
Le partage du temps de travail est vraiment crucial : pour les privéEs d’emplois comme pour les salariéEs précaires et l’ensemble des salariéEs. Et n’oublions pas non plus la masse de salaire socialisé que représenteraient des millions de cotisations sociales supplémentaires pour toutes les caisses. On voit comment le gouvernement se sert des déficits des caisses pour justifier et présenter comme nécessaires ses attaques sur les retraites, la santé…
Parler du « travail » ne signifie pas en faire l’apologie ou lui donner on ne sait quelle valeur morale. Mais le travail est une nécessité pour faire fonctionner la société. Il a une place prépondérante que cela nous plaise ou pas. Pour se nourrir, se loger, se vêtir, se soigner, se distraire… il y a de l’activité humaine, du temps passé, donc du travail. C’est une réalité toute simple. C’est le travail qui crée la richesse distribuée et permet à la société de fonctionner. Il y a, bien sûr, des travaux qui épanouissent et d’autres qui sont plus des corvées parfois très dures et désagréables qu’il faut accomplir. Il est certes plus enrichissant de soigner une personne malade ou faire du pain que de ramasser les ordures dans la rue ou de faire les 3×8 à l’usine ! Une véritable alternative, solidaire et juste, passe bien entendu par le partage aussi de ce qui n’est pas forcément agréable mais tout de même nécessaire.
Il faut rendre moins durs les travaux les plus ingrats, les plus pénibles, les transformer, voire en supprimer aussi. Et faire tout pour soulager les salariéEs qui les réalisent. Il existe et il existera encore plus dans l’avenir des possibilités de réduire beaucoup les souffrances liées au travail. Se battre pour le droit au travail ne doit pas signifier accepter tous les travaux à n’importe quelles conditions. On ne peut rêver et imaginer sa vie à faire les 3×8 à l’usine… Le travail sera vraiment attractif quand il permettra de bien vivre et que son utilité sociale sera seule prise en compte et non le profit des gens qui nous exploitent.
Et puis, il n’est pas acceptable que d’un côté de plus en plus de travailleurs doivent se contenter au mieux de petits boulots mal payés ou de pas de boulot du tout, pendant que d’autres perdent leur vie à la gagner, comme on disait en 1968, et à qui on dit de faire des heures supplémentaires et de travailler plus longtemps pour avoir droit à la retraite !
Oui, il y a urgence à réduire le temps, l’intensité et les cadences du travail. Travailler moins pour travailler tous et toutes. Travailler moins pour avoir du temps libre pour vivre.
Notre projet de société est clair : déterminer collectivement et démocratiquement ce qui doit être produit pour satisfaire nos besoins et, de là, partager le temps de travail nécessaire à cette production. La question de l’emploi est évidemment centrale dans notre projet de transformation sociale. Il faut privilégier la création d’emplois socialement et écologiquement utiles fondés sur la satisfaction des besoins sociaux, notamment dans les services publics. »32
Ainsi, le NPA et L.O. ne considèrent pas les travailleurs comme des CHEVAUX de COURSES mais comme des êtres humains. Alors le jour de l’élection présidentielle, vous allez devoir faire un choix de civilisation : soit continuer à vivre dans une société bestiale ou construire une société humaine.
Olivier Besancenot a été pour la première fois candidat à une élection présidentielle en 2002, sous les couleurs de la LCR dont le candidat précédant était Alain Krivine. Et lors de sa première participation à une émission télévisée, dans On ne peut pas plaire à tout le monde, le présentateur, Marc-Olivier Fogiel, lui a demandé : « Vous êtes donc le poulain de Krivine ? ». Olivier a répondu au tac au tac : « La LCR, ce n’est pas une écurie. »
Effectivement, Oliver ne considère pas les travailleurs comme des Pur-Sang mais comme des êtres humains. La LCR devenu en 2009 le NPA, n'est donc pas une écurie.
En 2017, lorsque Emmanuel Macron est devenu président de la République, il a nommé Édouard PHILIPPE en tant que Premier minisitre.
Le prénom « PHILIPPE » vient du grec « Philippos » qui signifie « celui qui aime les chevaux ».
Dieu nous fait ainsi comprendre que le gouvernement est au service de « celui qui aime les chevaux », c'est-à-dire César : le capitaliste – qui a besoin des chevaux : les travailleurs – pour construire et agrandir son empire.
Avant d'être nommé Premier ministre, Édouard PHILIPPE était le maire du HAVRE.
HAVRE = AVE HR
HR = 8x18 = 144
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
À Rome, la locution « AVE César » marquait la soumission envers l'empereur.
À travers l'ancien Premier ministre Édouard PHILIPPE, redevenu maire du HAVRE, Dieu nous révèle que le gouvernement est au service de César : le capitaliste.
Lors des trois dernières élections présidentielle, le candidat du NPA était PHILIPPE Poutou – qui à l'inverse d'Édouard PHILIPPE – lutte pour que le travailleur quitte sa condition de cheval en prenant les rênes de son entreprise.
Le NPA n’est pas soumis à César car il prévoit dans son programme de nationaliser sans indemnité les grands secteurs de l’économie. C’est-à-dire que si le NPA arrivait au pouvoir, les banques, les groupes pharmaceutiques, le secteur de l’énergie et des télécommunications, appartiendraient à tous les citoyens, sans que l’État ne donne un seul centime à leurs riches propriétaires. Ce ne serait que justice. « Les détenteurs du capital accaparent les fruits de notre travail, ils utilisent nos muscles et notre matière grise, ils épuisent notre temps et notre énergie. Ce sont bien nos savoir-faire, nos compétences manuelles ou intellectuelles, nos talents et notre inventivité qui développent la production de richesses, de biens ou de services. Les possédants, eux, ramassent la mise donc il est temps de renverser les rôles en prenant le contrôle des richesses qui nous appartiennent. »33
Je précise pour ma part que je ne suis ni trotskiste ni communiste, je lutte simplement pour la juste redistribution des richesses et la création d’une société sans classe. Donc si lutter pour établir une égalité parfaite entre les hommes signifie être communiste, alors je suis communiste mais je me considère avant tout comme un humaniste.
Lors de l’élection présidentielle du 21 avril 2002, j’ignorais que je devais voter à GAUCHE pour rejoindre le royaume de DIEU.
DIEU = 4x9x5x21 = 3780
3780 = GOCH
GOCH se prononce comme le mot GAUCHE.
DIEU nous demande ainsi de voter pour la GAUCHE.
« DROITE » se dit « RIGHT » en anglais.
RIGHT = 18x9x7x8x20 = 181440
181440 = 18 144 0
18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH.
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
À travers le mot « RIGHT » – Dieu nous fait ainsi comprendre que les partis politiques de DROITE permettent à César – le RICHE – de régner.
DIEU nous demande désormais de voter à GAUCHE pour mettre un terme au règne de César.
À travers Robert HUE, Dieu précise que les partis politiques de l'ancienne « gauche plurielle » appliquent une politique de DROITE une fois au pouvoir ; alors ne vous laissez pas manipuler par ces semeurs d’illusions.
Lors de mon premier vote lors d’une élection présidentielle, le 21 avril 2002, il y avait seulement deux partis politiques de GAUCHE : la LCR (devenue le NPA) et Lutte Ouvrière (L.O.) dont la candidate était Arlette LAGUILLER.
LAGUILLER = L’AIGUILLE
Le 21 avril 2002, Dieu voulait m’AIGUILLER en désignant celle pour qui je devais voter mais je ne comprenais pas encore le langage des signes.
Jésus a déclaré : « Il est plus facile à un chameau d’entrer par le trou d’une AIGUILLE qu’à un RICHE d’entrer dans le royaume de Dieu. »
Pour entrer dans le royaume de Dieu, je devais voter pour Arlette LAGUILLER car elle était la seule avec Olivier à vouloir exproprier le RICHE capitaliste de l’économie – afin de redistribuer plus équitablement les richesses entre les citoyens.
RICHE = REICH
Mais ce jour-là, j’ai voté comme de nombreux français pour le nazi-capitaliste Jean-Marie Le Pen, et j’ai ensuite une nouvelle fois vendu mon âme au diable en votant pour Jacques Chirac au second tour de l’élection. Pourtant, Arlette m’avait AIGUILLÉ puisque ce fut la seule représentante d’un parti politique qui a refusé d’encourager ses électeurs à voter pour Jacques Chirac au second tour. Elle avait raison car en votant pour lui, j’ai voté en faveur d’un système économique qui a exterminé plus de 60 millions d’êtres humains en 5 ans. À l’âge de 18 ans, j’avais déjà les mains tachées de sang.
Le sigle de Lutte Ouvrière est L.O.
LO = L’EAU
Si j’avais voté pour L.O. je n’aurais jamais eu les mains sales.
Les trotskistes appellent les travailleurs du monde entier à s’unir pour renverser le pouvoir de César. Ainsi, dans son ouvrage C’est tout ma vie, publié en 1998, Arlette Laguiller écrit : « La seule solution conforme à la raison et à l’intérêt du plus grand nombre est la socialisation des grands moyens de production, l’organisation de la production en fonction des besoins des hommes et non plus au profit individuel, la disparition des États nationaux et des frontières qui les séparent, leur remplacement par une confédération universelle des nations qui pourra mettre à la disposition de tous les peuples, de tous les hommes, toutes les ressources de la planète, tous les moyens de la science et de la technique. Ce serait en outre la seule manière de rendre justice à tous ces peuples que le capitalisme occidental a opprimé, pillé pendant des siècles. »34
Effectivement, Dieu m’a AIGUILLÉ vers Arlette LAGUILLER car il aurait tenu exactement le même discours s’il avait vécu sur Terre avec nous. Arlette et les trotskistes veulent ainsi supprimer les frontières pour que les hommes ne fassent QU’UN.
QU’UN se prononce comme le mot QUINT.
Charles QUINT est un empereur qui a dirigé l’un des plus grands empires de l’histoire. Il est né le 24 février 1500.
24 février = 24 2
24÷2 = 12
12 = L
1500 = 15
15 = O
L+O = LO
L.O. est le sigle de Lutte Ouvrière.
1500 =
00 = ce sont des yeux.
À travers ce signe, Dieu met L.O. en lumière car à l’instar d’Arlette Laguiller, il nous demande de nous unir avec les peuples du monde entier afin que nous ne formions QU’UN seul et même peuple.
QUINT = UNI TQ
TQ = 2017
En 2017, Dieu nous demandait d’être tous UNIS afin de ne faire QU’UN derrière L.O. et le NPA pour renverser le système capitaliste le jour de l’élection présidentielle.
C’est la raison pour laquelle, lors de la prochaine élection, L.O. et le NPA doivent s’unir pour nous montrer l’exemple.
César est mort en 44 av. J.-C.
44x44 = 1936
En France, l’année 1936 est symbolique : elle prouve que lorsque les travailleurs ne font QU’UN, ils dictent leur loi à César.
Avant de vous en donner la preuve, il est important de replacer l’année 1936 dans son contexte, celui de la France de la fin des années 1920 et des années 1930. La France de cette période là est touchée par 3 crises qui sont liées entre elles : une crise économique, une crise sociale et une crise politique. Si la crise économique se déclenche en 1929 aux États-Unis, ce n’est qu’à l’automne 1931 que la France est touchée par la crise. Pour autant, elle n’en est pas moins forte. Par exemple, la production industrielle chute de 30 %. Cette crise touche ainsi les travailleurs, dont 500 000 d’entre eux sont au chômage en 1936. Dans les années 1930-1935, le revenu moyen des Français a diminué de 30 % alors que le coût de la vie ne baissait que de 20 % environ (22 % à Paris, 19 % en province ). Et enfin dernier aspect de la situation française, la crise politique. Cette crise touche les partis de gouvernement et plus largement le régime parlementaire lui-même35. C’est dans ce contexte que les élections du 21 avril et du 3 mai 1936 virent la victoire électorale du Front populaire, une coalition de partis de gauche. Or les grèves qui s’étaient enchaînées dans les usines, les mois précédents, ne vont pas s’arrêter, et au lendemain de la victoire du Front Populaire, un puissant mouvement de grèves paralyse la France et les grèves illimitées dans les usines, les bureaux, les magasins, confluèrent en une grève générale qui, dans les derniers jours de mai se transforma en vague d’occupations d’usines.
Il existe sur toute cette période de multiples témoignages qui montrent la profondeur de la mobilisation ouvrière, de la politisation des travailleurs. Mais l’un des témoignages les plus probants est celui du président du Conseil des ministres en 1936, Léon Blum, qui lors de son procès à Riom, s’exprima en ces termes, le 10 mars 1942 :
« Je vous demande messieurs de vous souvenir. Rappelez-vous que les 4 et 5 juin (1936), il y avait un million de grévistes. Rappelez-vous que toutes les usines de la région parisienne étaient occupées. Rappelez-vous que le mouvement gagnait d’heure en heure et de proche en proche la France entière (…).
La panique, la terreur étaient générales. Je n’étais pas sans rapports moi-même avec les représentants du grand patronat… Je me souviens qu’on me disait ou me faisait dire par des amis communs : Alors quoi ? c’est la révolution ? Alors quoi ? Qu’est-ce qu’on va nous prendre ? Qu’est-ce qu’on va nous laisser ? »
Et Blum d’expliquer comment il fut prié par Albert Lebrun, le président de la République de ne pas attendre l’investiture légale de son gouvernement pour prendre des mesures :
« Monsieur Lebrun me répondit alors : ''les ouvriers ont confiance en vous. Puisque vous ne pouvez convoquer la Chambre avant samedi, et que certainement dans votre déclaration ministérielle vous allez leur promettre le vote immédiat des lois qu’ils réclament, alors, je vous en prie, dès demain, adressez-vous à eux par la voie de la radio. Dites-leur que le Parlement va se réunir, que, dès qu’il sera réuni, vous allez lui demander le vote rapide et sans délai des lois dont le vote figure sur les cahiers de revendications en même temps que le relèvement des salaires. Ils vous croiront, ils auront confiance en vous, peut-être ce mouvement s’arrêtera-t-il ?'' »36
Les ouvriers ont alors remporté une victoire avec les accords de Matignon, signés dans la nuit du 7 au 8 juin 1936 à l’hôtel Matignon.
À la suite de ces accords, en échange de l’évacuation des usines occupées, les ouvriers ont gagné des acquis sociaux :
- Sans faire grève dans chaque usine, ils obtiennent des avantages pour toute la profession.
- Les salaires sont augmentés de 7 à 15 %.
- Les ouvriers obtiennent des délégués pour les défendre, on ne peut pas les licencier sans autorisation de l’inspecteur du travail. C’est la fin des « syndicats jaunes », créés par le patronat. Les salariés obtiennent la liberté d’exercice du droit syndical.37
Mais du 8 au 12 juin 1936, la vague de grèves avec occupation qui avait commencé à se développer à partir de la mi-mai atteignit son maximum en France, et ce malgré la signature des accords Matignon, sur lesquels le patronat comptait pour tout faire rentrer dans l’ordre.
L’extension des occupations d’usine, qui montrait la profondeur de la combativité ouvrière, avait fait craindre aux bourgeois de tout perdre : leurs usines, leurs propriétés, leurs capitaux et jusqu’au droit de continuer à prospérer par l’exploitation.
Le gouvernement socialiste de Léon Blum, soutenu activement par le Parti Communiste et la CGT, était venu à leur secours en signant les accords de Matignon mais cela n’a pas arrêté les grèves. Bien au contraire. Les travailleurs enregistraient bien sûr le recul que représentaient les accords Matignon, mais ils ne le jugeaient pas suffisant. Jacques Danos et Marcel Gibelin racontent dans leur livre intitulé Juin 36 que le patron de l’usine Sauter et Harlé, voulant inciter dès le 9 juin les ouvriers à reprendre le travail, décida de s’adresser directement à eux sans passer par le comité de grève. Il fut aussitôt obligé de s’enfuir sous une haie de poings levés tandis que les métallos scandaient : « À la porte ! » et chantaient l’Internationale.
En fait, du 8 au 12 juin, les grèves se développèrent de plus belle. Après les métallos, ce furent les travailleurs du bâtiment qui furent appelés à se mettre en grève dès le 8 juin. Ce même jour, la grève était quasiment totale dans les grands magasins. La grève éclatait également le 8 juin dans les assurances. Bien des travailleurs, employés des Galeries Lafayette, de la Samaritaine ou du Bon Marché, ou serveurs des cafés et des restaurants, se mettaient en grève pour la première fois. La grève s’étendit à tout le pays. Pour ne donner qu’un exemple, le journal conservateur Le Temps indiquait le 9 juin que huit à neuf dixièmes des entreprises étaient en grève dans le Nord et le Pas-de-Calais.
C’est sous cette « grandiose pression » exercée par les travailleurs sur les classes dirigeantes, pour reprendre l’expression utilisée par Trotsky en juillet 1936, que le gouvernement fit voter de nouvelles lois sur les congés payés et les 40 heures.
Les dirigeants syndicaux et des partis de gauche allaient alors mettre tout leur poids dans la balance pour arrêter le mouvement. Les dirigeants de la CGT multiplièrent les réunions dans les usines pour tenter de faire reprendre le travail. Ainsi le représentant de la CGT Gauthier déclarait, le 9 juin, devant 700 délégués des usines de la métallurgie parisienne en grève : « Sans doute les accords CGT-CGPF (le Medef de l’époque) ne contiennent pas toutes les dispositions que désiraient les métallos. Mais il ne faut pas perdre de vue que nous vivons dans d’autres conditions qu’auparavant ; ainsi pouvons-nous envisager la reprise du travail, en restant vigilants. »
De leur côté, les dirigeants du PCF réunissaient militants et sympathisants, dans les usines, dans les quartiers, pour expliquer que « tout n’est pas possible maintenant ». Maurice Thorez, le dirigeant du Parti Communiste Français, martelait qu’il fallait « savoir terminer une grève dès que satisfaction a été obtenue. Il faut même savoir consentir au compromis si toutes les revendications n’ont pas été encore acceptées, mais que l’on a obtenu la victoire sur les plus essentielles des revendications. » « Il faut savoir terminer une grève » fut le leitmotiv de tous les discours des dirigeants communistes à partir du 12 juin. Ainsi, bien qu’avec beaucoup de difficultés, le PC et la CGT finirent par parvenir à faire reprendre le travail, ne permettant pas à la classe ouvrière d’aller jusqu’au bout des possibilités de sa lutte.
Aujourd’hui, la plupart de ceux qui évoquent Juin 36 ne parlent que des congés payés, et comme s’ils découlaient de la victoire électorale du Front Populaire. Avec bien souvent des arrière-pensées électoralistes. Mais ce que montre l’exemple de Juin 36, c’est que les travailleurs, comme toujours, n’ont obtenu quelques avancées que par la lutte. Et aussi qu’ils doivent se méfier comme de la peste de leurs faux amis que sont les dirigeants des partis « socialiste » et « communiste », plus soucieux de servir la bourgeoisie que de défendre les intérêts de la classe ouvrière.38
« La grève générale de mai-juin 1936 en France est donc non seulement un événement historique important du mouvement ouvrier mais une action collective qui a marqué durablement la conscience ouvrière. Juin 36 n’est pas seulement une date mais un symbole et, pour les participants, une fierté. Il y a un avant et un après 1936. Avant, c’est le patronat de droit divin et l’usine où l’on rentre comme dans une prison. En 1936, les travailleurs occupent les usines et c’est les patrons qui doivent plaider pour négocier, pour demander quelles sont les revendications ouvrières et même pour se voir autoriser l’entrée dans leurs entreprises. »39
L’année 1936 est donc symbolique : les OUVRIERS ont fait preuve d’UNITÉ pour soumettre César, le capitaliste.
César est mort en 44 av. J.-C.
44x44 = 1936
OUVRIERS = 15+21+22+18+9+5+18+19 = 127
12 7 = 12 juillet
César est né un 12 ou 13 juillet.
À travers l’année 1936, Dieu nous fait comprendre que nous réussirons à signer l'arrêt de mort de César, le capitaliste, lorsque les OUVRIERS s’uniront avec les autres citoyens – le jour de l’élection présidentielle – pour prendre le contrôle des richesses qu’ils produisent.
Jules Guesde est le fondateur du premier parti OUVRIER de France, lorsqu’il se lança dans la campagne législative de 1881. À l’époque, il était candidat à Roubaix, je cite sa profession de foi électorale : « La lutte qui va s’engager à coup de bulletin est une lutte de classe, c’est la lutte de l’OUVRIER contre le patron, la lutte de ceux qui produisent tout sans jouir de rien contre ceux qui jouissent de tout sans rien produire. » De nouveau candidat en 1889, Jules Guesde affirmait : « Je serai donc, si vos suffrages m’envoyait au Palais Bourbon, l’homme d’une classe, la vôtre, celle des déshérités, celle des volés, qui n’ont rien à attendre, rien à espérer, en dehors de l’expropriation des expropriateurs de l’humanité. »40
Jules Guedes nous montre ainsi le chemin à suivre en expropriant César – le capitaliste – pour jouir des richesses que nous produisons. Ne laissons plus ce parasite de César accaparer la majeure partie des fruits de notre travail.
Les accords de Matignon ont été signés dans la nuit du 7 au 8 juin 1936.
7 juin = 7x6 = 42
Le département 42 est celui de la LOIRE.
LOIRE = LE ROI
Actuellement, le capitaliste, c’est LE ROI, mais en juin 1936, l’OUVRIER était LE ROI parce qu’il s’est uni avec ses frères et sœurs de classe pour imposer légitimement sa loi.
Car que s’est-il passé en mai-juin 1936 ? C’est le patronat qui a convoqué les syndicats pour convoquer le gouvernement en disant « il faut que ça s’arrête cette grève générale, il faut que les occupations d’usines s’arrêtent, il faut que l’on trouve quelque chose pour mettre de l’ordre dans tout ça parce que c’est en train de nous échapper. » C’était tellement imprévisible qu’il fallait y mettre un coup d’arrêt. Ce sont les patrons qui ont mis sur la table ces avancées sociales qui étaient importantes. Car payer les ouvriers pour qu’ils puissent partir en vacances ne faisait pas partie de l’univers mental des patrons donc ce sont les grèves et les mobilisations qui l’ont introduit dans leur tête41. À partir de là, les PUR-SANG ont pu partir en vacances en bénéficiant de 15 jours de congés payées. Or 80 ans plus tard, selon une étude du Secours populaire, un enfant sur trois ne part toujours pas en vacances. Et en 2014, parmi les salariés ayant un salaire mensuel inférieur à 1 200 euros, seuls 40 % avaient pu partir en vacances. Autant dire qu’il faut refaire comme en 1936 !42 En prenant exemple notamment sur les mobilisations contre la « loi Travail » en 2016. Des centaines de milliers de travailleurs ont alors relevé la tête pour s’opposer à cette loi scélérate en envoyant un message au patronat et à ses laquais au pouvoir, pour leur faire comprendre que ce n’était qu’un début puisque le gouvernement et ceux qui suivront, seront loin d’en finir avec le monde du travail. Les travailleurs se battront à chaque fois que leurs droits seront remis en cause et piétinés sur l’autel d’une minorité qui en veut toujours plus ; sur l’autel des profits d’un grand patronat qui n’en a jamais assez d’amasser des fortunes incroyables, qu’on voit ensuite être spéculées sur des marchés financiers ou alors gaspillées dans des caprices de riches. Cette mobilisation a sonné le réveil du monde ouvrier et espérons que cela va prendre de plus en plus de consistance et que ça va devenir un réflexe à chaque fois que les travailleurs seront attaqués, en luttant, en résistant pour dire qu’ils ne sont pas d’accord, et protester ainsi contre les mensonges patronaux sur la flexibilité et sur le coût du travail43. Il est évident que ces politiciens bourgeois au pouvoir ne nous représentent pas, donc nous n’avons pas d’autre choix que de nous représenter nous-mêmes, prendre le pouvoir pour décider de nos propres vies. Pour cela, il faudra rompre avec les institutions qui permettent à un gouvernement minoritaire d’imposer une politique massivement rejetée, rompre aussi avec les institutions et les traités de l’Union européenne qui interdisent toute politique en rupture avec l’austérité. Il nous faut un gouvernement des travailleurs, un gouvernement des citoyens, un gouvernement de rupture anticapitaliste, qui devra exproprier les banques et les grands groupes capitalistes qui nous imposent leur productivisme destructeur, et construire les outils pour décider, produire, contrôler, organiser en commun pour tout ce qui est essentiel : de l’énergie à l’éducation et au logement, de la santé à l’eau, des transports à la nourriture…44
TRAVAILLEURS = 20+18+1+22+1+9+12+12+5+21+18+19 = 158
158 = 15x8 = 120
120 se prononce SANS VIN.
L’Alliance du VIN avec Jésus a laissé les pleins pouvoirs à César donc Dieu nous transmet désormais le message : « SANS VIN » – car la nouvelle Alliance impose aux TRAVAILLEURS de renverser le pouvoir de César afin de prendre le contrôle des richesses qu’ils produisent.
120 = LO
L.O. est le sigle de Lutte Ouvrière.
Dieu nous demande ainsi de ne faire QU’UN derrière L.O. le jour de l’élection présidentielle. C’est le seul parti politique avec le NPA qui défend les intérêts des TRAVAILLEURS, c’est-à-dire les intérêts de la grande majorité de la population. Or actuellement, les TRAVAILLEURS sont tentés par le vote Rassemblement National, alors n’oubliez pas ce qui s’est passé en octobre 2015. Lorsque les salariés d’Air France ont un peu chahuté leurs dirigeants pour protester contre un plan de 2 900 licenciements injustifiés, la famille Le Pen a accusé le gouvernement de ne pas avoir envoyé les CRS pour mater la protestation ; par conséquent, il est clair que si le RN arrivait au pouvoir, le jour où les TRAVAILLEURS feraient grève afin de défendre leurs droits ou en obtenir de nouveaux, comme en 1936, le RN enverrait les CRS pour les gazer et les matraquer afin de faire régner l’ordre capitaliste.
Dieu nous fait donc comprendre à travers les signes que L.O. et le NPA sont les deux seuls partis politiques en France qui défendent nos intérêts.
Nous devons ainsi ne faire QU’UN derrière ces deux partis le jour de l’élection présidentielle.
Charles QUINT est né à GAND en Belgique.
La résidence des Papes se situe à Castel GANDOLFO, à 20 km de Rome.
GANDOLFO = GAND
Le devoir du Pape est d’unir politiquement les peuples afin qu’ils ne fassent QU’UN pour éradiquer le capitalisme de la surface du globe.
Castel GANDOLFO fut construite à l’emplacement de la célèbre cité d’Albe La Longue, détruite en 665 av. J.-C. pour ne plus jamais être reconstruite.
Le chiffre de la Bête est le « 666 » mais on trouve parfois dans certains manuscrits les nombres « 665 » et « 616 ».
Dieu associe ainsi GANDOLFO au pouvoir de la Bête.
GANDOLFO = GAND OLFO
OLFO = 15x12x6x15 = 16200
Le code postal 16200 est celui de la commune de JARNAC, la ville de naissance de l’ancien président de la République, François Mitterrand. Dieu le met en lumière car Mitterrand a converti la France au néolibéralisme au début des années 1980, ce qui a permis à César de démultiplier la taille de son empire.
JARNAC = J’ARNAQUE
François Mitterrand a bien ARNAQUÉ ses électeurs puisqu’il a été élu pour mettre en œuvre un programme socialiste, ce qu’il a fait en 1981, mais il est revenu en arrière en 1982 pour convertir progressement la France au néolibéralisme. Ainsi, alors qu'il avait été élu pour réduire les inégalités et construire une société plus solidaire, il n’a fait qu’accroître les inégalités en privatisant le pays, en réduisant les taxes des plus riches, tout en instaurant une compétition et une concurrence acharnée entre tous les citoyens – car le néolibéralisme considère qu’atténuer la compétition par des procédures de solidarité revient alors à diminuer la liberté de l’individu45. Mitterrand a donc ARNAQUÉ ses électeurs en construisant une société ultra-individualiste qui rend un culte quotidien au dieu Argent.
Je rappelle le signe initial : Castel GANDOLFO fut construite à l’emplacement de la célèbre cité d’Albe La Longue, détruite en 665 av. J.-C.
GANDOLFO = GAND OLFO
OLFO = 16200 = JARNAC = ville de naissance de François Mitterrand.
En associant le chiffre de la BÊTE « 665 » et J’ARNAQUE, Dieu nous fait comprendre que la BÊTE – l’homme politique – manipule les électeurs lors de la campagne présidentielle, et il les ARNAQUE une fois arrivé au pouvoir. Nous en avons eu la preuve avec François Hollande car a-t-il été élu pour démolir le Code du travail ? A-t-il été élu pour augmenter la TVA, pour généraliser le chantage à la compétitivité ? A-t-il été élu pour faire un cadeau de 41 milliards d’euros au patronat, avec le pacte de responsabilité ? Non, cela, c’était le programme de Sarkozy ! François Hollande a été élu pour notamment « combattre la finance » comme il l’avait promis lors de la campagne présidentielle, or il ne l’a pas combattu une seule fois, il a trahi ses promesses, ARNAQUÉ ses électeurs en menant une politique de droite pendant 5 ans.
Les deux François ont donc été les serviteurs de César et espérons que le Pape François ne soit pas non plus un arnaqueur – car il nous assure qu’il est dans le camp des pauvres, alors nous verrons bien s’il choisit le camp de César ou celui des pauvres après avoir lu la traduction des signes.
César essaiera de manipuler le Pape François en affirmant qu’exproprier c’est voler, mais Dieu nous fait clairement comprendre que ce sont les capitalistes qui nous ARNAQUENT, leur argent étant extirpé jour après jour sur l’exploitation de millions de travailleurs dans les usines, les mines, les chantiers du monde entier ; cet argent est fabriqué avec la sueur, les nerfs, les muscles des ouvriers.
Les richesses de ce pays, c’est nous tous et nous toutes qui les fabriquons avec notre force de travail manuelle et intellectuelle, on donne une valeur ajoutée aux choses, aux biens, aux services qu’on produit, qu’on crée, sauf que quand vous faites la différence entre la valeur ajoutée qu’on a créé nous-même grâce à notre travail et puis nos salaires, il y a une grande différence. Elle est là l’ARNAQUE.
Nous devons donc mettre nos GANTS de boxe, monter sur le ring et multiplier les combats pour parvenir à mettre le système capitaliste K.O.
Le Pape François est né en Argentine dans le pays du plus célèbre révolutionnaire anticapitaliste de l’Histoire : Che Guevara.
CHE = 3x8x5 = 120
120 se prononce SANS VIN.
Le 120e jour de l'année est le 30 avril qui célèbre la fin du IIIe REICH.
Dieu demande ainsi au Pape François de changer le VIN en EAU et de combattre le règne du RICHE.
Le Pape François doit dorénavant verser L.O. de la nouvelle Alliance pour unir les hommes et les femmes du monde entier dans le combat anticapitaliste, et plus précisément dans le combat humaniste – car Dieu nous demande de renverser le capitalisme pour construire un monde où l'humain sera placé avant le profit.
Le code postal de Castel GANDOLFO est le 00040.
Le chiffre 40 est l’un des chiffres les plus symboliques de la Bible, il symbolise notamment le nombre d’années durant lesquelles les juifs ont été condamnés à errer dans le désert après avoir été esclaves de Pharaon en Égypte. Par ailleurs, en 2016, l'OIT recensait 40 millions de personnes victimes d'« esclavage moderne ».
À travers le code postal du lieu de résidence des Papes, Dieu nous fait comprendre que le christianisme nous a rendu « esclave » de César : Jésus lui ayant laissé le pouvoir politique entre les mains.
Le Pape François a eu 40 ans le 17 décembre 1976.
Je suis né à Cholet et le 17 décembre 1976, la mairie de Cholet, surnommée la « machine à écrire », a ouvert ses portes au public.
Je suis une « machine » programmée par Dieu pour changer les écritures. Dieu multiplie les signes pour nous faire comprendre que nous devons quitter notre condition d’esclave car nous sommes avant tout les esclaves de l’ARGENT, et c’est la raison pour laquelle, Dieu demande au Pape ARGENTIN de guider les hommes en les unissant politiquement pour les libérer de la dictature de l’ARGENT, c’est-à-dire les libérer du capitalisme.
Dans une société capitaliste, ceux qui ont le pouvoir, ce sont ceux qui ont l’ARGENT. Leur force vient de leur capital, alors que contrairement à eux, nous devons nous vendre parce que justement nous on a rien, on est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche, on a pas hérité d’une fortune, ni d’un groupe, ni d’une entreprise, ni d’un paquet d’actions, alors pour vivre, pour avoir le droit de vivre, il faut aller se vendre manuellement, vendre ses capacités intellectuelles, etc., c’est ça la société capitaliste, car il y a un capitaliste qui va vous acheter ou pas, et celui qui va vous acheter a le pouvoir sur vous, c’est ça le pouvoir fondamental. Alors il va également pouvoir vous vendre, vous revendre à d’autres, vous louer à d’autres puisque les capitalistes sous-traitent aussi les salariés, donc on est dans une société comme ça avec des classes sociales, et il y a une classe qui a le pouvoir, le véritable pouvoir, le pouvoir de décider de votre vie, ce qui n’est pas rien quand même, le pouvoir de dire que demain et bien toi tu peux repartir, je n’ai plus besoin de toi, tu vis comme tu veux, c’est plus mon problème, je m’en lave les mains, parce que tout ce que veut le capitaliste, c’est amasser toujours plus de profits, de bénéfices, de capital, et il n’en a jamais assez46. Nous sommes donc les esclaves du capitaliste, de celui qui possède l’ARGENT. Mais comme l’écrit Frank Horkheimer : « Les esclaves forgent continuellement leurs propres chaînes ». « D’où l’urgence de se libérer de ces chaînes, ici et maintenant, sans forcément attendre les résultats prometteurs de nos combats collectifs – et par ailleurs nécessaires car l’émancipation n’est pas qu’un plaisir solitaire. Cela commence par ce rappel quotidien et simple : je garde dans un coin de ma tête que, sans moi, la production n’aurait pas lieu. Le tôlier ou ses sbires ont beau me mettre la pression, ou me faire des reproches, je suis l’acteur de cette réalisation. Je crée donc je suis, et je suis autre chose qu’une variable d’ajustement ou qu’un souffre-douleur. Si toutes les caissières arrêtaient leur activité, plus d’argent dans les caisses ; si le chauffeur-livreur bazarde les clefs par la fenêtre, pas de livraison, pas de facture payée ; si l’ouvrier du bâtiment pose ses outils, pas de construction ; si le régisseur stoppe, pas d’émission ; si le journaliste ne rédige pas son papier, autre ambiance dans la salle de rédaction… Nous sommes les réalisateurs du "travail concret", nous avons le pouvoir de faire et de défaire. Et si la méthode Coué ne suffit pas, ouvre la calculatrice de ton portable : fais la soustraction du chiffre d’affaires de l’entreprise et de l’addition de tous vos salaires. Ainsi, parce que mieux que quiconque, tu connais le juste prix des choses au boulot, tu te souviendras en une fraction de seconde qu’il y a autour de toi un employeur ou une poignée d’actionnaires qui se gavent à tes dépens. Le parasite, ce n’est pas toi ; toi, te voilà enfin légitime47. » Alors libère-toi de tes chaînes en t’unissant avec tous les esclaves de ton pays le jour de l’élection présidentielle.
Spartacus était un esclave et gladiateur d’origine thrace (un peuple antique qui vivait dans les Balkans). Il fut le principal chef des révoltés lors de la Troisième Guerre servile en Italie entre 73 et 71 av. J.-C. Cette guerre fut la dernière d’une série de rébellions d’esclaves contre la République romaine. La Troisième Guerre servile fut la seule à menacer directement le cœur romain de l’Italie et fut doublement préoccupante pour le peuple romain entre 73 et 71 av. J.-C. en raison des succès répétés contre l’armée romaine de cette bande d’esclaves rebelles qui augmentait rapidement. Ils étaient à l’origine un petit groupe d’environ 70 gladiateurs et ils finirent par atteindre une multitude de 120 000 hommes, femmes et enfants. Les adultes en bonne santé de cette bande furent une surprenante mais efficace force armée qui démontra de nombreuses fois pouvoir tenir tête à l’armée romaine, aux patrouilles locales de Campanie, à la milice romaine et aux légions entraînées sous commandement consulaire. Plutarque décrivit les actions des esclaves comme une tentative d’échapper à leurs maîtres et de fuir à travers la Gaule cisalpine, alors qu’Appien et Florus ont peint la révolte comme une guerre civile durant laquelle les esclaves mirent en place une campagne pour capturer la ville de Rome. La rébellion fut finalement écrasée en 71 av. J.-C., après que toutes les forces militaires furent concentrées dans les mains d’un seul commandant, Marcus Licinius Crassus. Malgré cette victoire, la révolte eut des effets indirects sur la politique romaine durant les années suivantes.48
Cette rébellion, interprétée par certains comme un exemple pour les peuples opprimés qui luttent pour leur liberté contre une oligarchie esclavagiste, a été une source d’inspiration pour certains penseurs politiques (communistes notamment, mais aussi tels qu’Arthur Koestler), et a été présente dans la littérature.49
La révolte des esclaves a débuté en 73 av. J.-C.
Le département 73 est celui de la SAVOIE.
Dieu nous fait désormais entendre SA VOIX pour unir les esclaves du monde entier afin qu’ils se révoltent contre le pouvoir de César.
En 73 av. J.-C, le chef de la révolte des esclaves était Spartacus, un esclave et gladiateur d’origine THRACE.
Nous sommes des esclaves car on TRACE tous les jours au travail pour enrichir nos maîtres : les capitalistes – donc Dieu nous demande désormais de nous révolter afin de briser nos chaînes.
La révolte des esclaves a pris fin en 71 av. J.-C.
Le chef-lieu du département 71 est la commune de MACON.
Dieu nous fait comprendre que les esclaves doivent reprendre la lutte pour CONSTRUIRE les fondations d’un nouveau monde, à l’instar d’un MAÇON qui construit les fondations d’une maison. Pour y parvenir, nous devons prendre la place d'Emmanuel MACRON.
La révolution haïtienne constitue la première révolte d’esclaves réussie du monde moderne. Elle établit en 1804 Haïti en tant que première république noire libre du monde, succédant à la colonie française de Saint-Domingue.50
Les esclaves sont ainsi devenus libres en 1804.
Olivier Besancenot, le porte-parole du NPA, est né un 18 04 (18 avril).
Le 18 04 est le jour de la Saint PARFAIT.
Dieu nous demande ainsi de nous libérer de nos chaînes en votant pour le NPA et L.O., afin de prendre le pouvoir en main et ainsi construire un monde PARFAIT dans lequel les richesses de l'humanité seront équitablement redistribuées entre chaque être humain.
Que la révolution recommence !
Je vais conclure ce passage par cette citation de Jean Jaurès (1859-1914) :
« Je fus saisi, un soir d’hiver, dans la ville immense, d’une sorte d’épouvante sociale. Il me semblait que les milliers et milliers d’hommes qui passaient sans se connaître, foule innombrable de fantômes solitaires, étaient dénués de tous liens. Et je me demandais avec une sorte de terreur impersonnelle comment tous ces êtres acceptaient l’inégale répartition des biens et des maux, et comment l’énorme structure sociale ne tombait pas en dissolution. Je ne leur voyais pas de chaînes aux mains et aux pieds, et je disais : "Par quel prodige ces milliers d’individus souffrants et dépouillés subissent-ils tout ce qui est ?…" La chaîne était au cœur, la pensée était liée, la vie avait emprunt ses formes dans les esprits, l’habitude les avait fixées. Le système social avait façonné ces hommes, il était en eux, il était en quelque façon devenu leur substance même, ils ne se révoltaient pas contre la réalité parce qu’ils se confondaient avec elle. Cet homme qui passait en grelottant aurait jugé sans doute moins insensé et moins difficile de prendre dans ses deux mains toutes les pierres du grand Paris pour se construire une maison que de confondre le système social, énorme, accablant et protecteur, où il avait, en quelque coin, son gîte d’habitude et de misère. »51
Nous devons ainsi briser « la chaîne qui est dans notre cœur, dans notre pensée » et prendre « toutes les pierres du grand Paris » et d’ailleurs pour construire les fondations d’un nouveau monde. N’ayons pas peur de renverser le système en place : que la révolution commence !
Castel GANDOLFO, le lieu de résidence des Papes, se situe sur l’ancien emplacement d’ALBE la LONGUE, détruite en 665 av. J.-C.
ALBE = ABEL
Dans la Bible, ABEL est tué par son frère CAIN, c’est le premier meurtre de l’histoire de l’humanité. « Ce qui fait la valeur de ce mythe fondateur, c’est l’attitude de Dieu à l’égard de Caïn car il se porte garant de sa vie et interdit donc à quiconque de le toucher. Caïn sera ainsi protégé et nul ne portera la main sur lui pour venger Abel. »52
AMERICAIN = AIMER CAIN
Les habitants des États-Unis sont couramment appelés les AMÉRICAINS.
Les États-Unis symbolisent CAIN car dans l’histoire humaine, « aucun pays n’a été responsable d’autant d’agressions, directes ou indirectes, contre d’autres nations : des invasions militaires, des bombardements, des occupations, du parrainage d’actes terroristes, des sabotages, des blocus, des déstabilisations, des assassinats ciblés et des séquestrations extrajudiciaires.
Le Pape François déplore et dénonce les trois génocides du siècle dernier : le massacre des Arméniens, les massacres nazis contre les juifs et les massacres du stalinisme communiste. Pourquoi être comptable de seulement trois génocides et autres suggérés accessoires par le non-dit, et pourquoi sur un seul siècle ? Les AMERICAINS (États-Uniens) comptent, à eux seuls, plus de 2 000 agressions militaires directes contre des pays souverains, 402 traités de paix violés, et résultat de la course : plus de 10 millions d’êtres humains massacrés par leurs armées dans les cinq continents. »53
Ces dernières décennies, les Papes ont toujours entretenu de bonnes relations avec les dirigeants AMERICAINS malgré les millions de meurtres qu’ils ont commis dans le monde entier. Les Papes agissent ainsi comme Dieu lorsqu’il a pris la défense de CAIN. Le premier meurtrier de l’histoire de l’humanité a donc toujours été protégé.
Malgré ses nombreux crimes, la plupart des habitants occidentaux continuent à AIMER CAIN car il les éduque à travers l’exportation de sa culture, son cinéma, ses séries télévisées, sa musique, ses multinationales. CAIN peut ainsi endoctriner des milliards d’êtres humains et tous ses crimes lui sont alors pardonnés.
Donc à l’instar de CAIN dans la Bible, les AMERICAINS sont protégés et nul n’a le droit de leur porter atteinte pour venger ABEL.
En Irak, les AMERICAINS ont provoqué la mort de 1 à 2 millions d’Abel suite aux conséquences des guerres du Golfe de 1991 et 2003. Lors de cette guerre, en 2003, les AMÉRICAINS sont intervenus militairement en Irak pour piller les ressources naturelles du pays, et malgré les massacres – transformés par la propagande médiatique en « frappes chirurgicales » – les AMERICAINS n’ont subi aucune sanction internationale : personne n’ayant le droit de s’en prendre à CAIN. Et quand les terroristes d’Al-Qaïda ont tué environ 3 000 personnes, le 11 septembre 2001, pour se venger des AMERICAINS, les habitants de la planète ont pleuré les victimes parce qu’ils AIMENT CAIN, mais à l’inverse, ils étaient beaucoup moins nombreux à verser des larmes quand des millions d’Abel irakiens – dont au moins 500 000 enfants – sont décédés suite aux bombardements de l’armée US et de l’embargo décrété par les AMERICAINS en 1991.
Les médias nous racontent que les États-Unis font la guerre pour défendre la paix et la démocratie mais on commence à avoir des doutes depuis le temps. On nous dit : « "Les États-Unis combattent le terrorisme". Vraiment ? En armant ben Laden contre l’Afghanistan, puis une section d’Al-Qaïda contre la Libye et enfin Al Nosra et Daech contre la Syrie ? On nous dit également : "Les États-Unis nous protègent contre les armes de destruction massive". Vraiment ? Tout en étant le pays qui les a le plus utilisées ? Nucléaires à Hiroshima, napalm en Corée, au Cambodge et au Vietnam, armes biologiques contre Cuba, uranium appauvri, mines antipersonnel et bombes à fragmentation un peu partout. Sans parler des deux cents têtes nucléaires confiées à Israël. On nous dit : "Les États-Unis veulent la démocratie en Syrie". Vraiment ? Avec l’aide de l’Arabie Saoudite et du Qatar ? ». 54
On veut nous forcer à AIMER CAIN mais combien de temps allons-nous encore le laisser plonger une partie de la planète dans le chaos ?
Les États-Unis ont pillé l’Irak en 2003 et ravagé le pays, l’État Islamique est né de cette agression et il a contrôlé par la suite une partie de l’Irak. Quand les chrétiens ont été persécutés par des islamistes en 2014, le Pape François et les médias ont dénoncé ces agressions mais sans reconnaître la responsabilité des Américains, alors que c’était de leur faute si l’État Islamique avait pu émerger et ainsi persécuter les chrétiens en Irak. Or personne n’a le droit de s’en prendre aux AMERICAINS car Dieu avait écrit que CAIN serait toujours protégé.
En 1991 et 2003, les États-Unis sont intervenus militairement en Irak pour prendre le contrôle du pétrole.
L’adversaire de Jules César, pour prendre le pouvoir à Rome, s’appelait POMPÉE.
Une POMPE est un dispositif permettant d’aspirer le PÉTROLE.
Le PÉTROLE tient aujourd’hui une place comparable à celle dévolue au charbon au XIXe siècle : il constitue la première source d’énergie et joue un rôle central de fournisseur de matières premières pour des pans entiers de l’industrie. Quant aux entreprises qui dominent ce marché, elles figurent parmi les plus puissantes et les plus prospères.
« La puissance qui contrôle les approvisionnements peut donc contrôler, voire affaiblir le développement économique de ses concurrents. Cela explique toute la politique actuelle de domination US au Moyen-Orient et partout où il y a du pétrole.
Les États-Unis, même s’ils sont de gros consommateurs, n’ont pas besoin de tant de réserves pour leurs besoins propres. Leur véritable objectif est de pouvoir faire pression sur leurs concurrents : Europe, Japon, Inde et surtout la Chine.
Au stade actuel du capitalisme, la bataille pour les matières premières fait rage et ne fera que s’aiguiser étant donné le gaspillage existant. Caractéristique importante : on se bat non seulement pour tirer de gros profits de ces matières premières, mais aussi – et même surtout – pour en priver les rivaux. Qu’ils soient officiellement des "adversaires" ou des "alliés", ne change rien à l’affaire.
Chaque guerre récente a été marquée par ces rivalités. Les États-Unis se sont emparés de l’Irak pour en évincer la France qui était mieux placée. Pour contrôler le pétrole libyen, la France et la Grande-Bretagne ont rivalisé avec l’Italie et l’Allemagne qui avaient acquis de meilleurs contrats. »55
CESAR doit donc mettre la main sur le PÉTROLE pour construire le plus grand empire possible.
CESAR a été assassiné par BRUTUS.
On dit que le pétrole est « BRUT » lorsqu’il provient directement de l’exploitation d’un puits de pétrole.
Pour devenir CESAR, il faut ainsi prendre le contrôle du BRUT.
BRUTUS = BRUT US
Le sigle US est l’abréviation de United States (les États-Unis).
Les États-Unis ont pris le contrôle du BRUT pour prendre la place de CESAR et ils règnent actuellement sur le monde, à l’instar de l’Empire romain, en établissant des colonies militaires partout sur la planète.
Ce pays est une menace constante pour la paix dans le monde. Il est temps que les citoyens des États-Unis ouvrent les yeux car le monde ne sera jamais en paix tant qu’ils éliront des psychopathes à la tête du pays.
Spartacus : Le Sang des gladiateurs est le nom de la première saison de la série télévisée américaine Spartacus, sur la vie du célèbre gladiateur Spartacus et diffusée entre le 22 janvier 2010 et le 16 avril 2010 sur Starz.
Andy Whitfield, l’acteur qui joue le rôle de Spartacus, est décédé le 11 septembre 2011 des suites d’une maladie, ce qui avait conduit à repousser, en mars 2010, le tournage de la deuxième saison. Il a été remplacé par Liam McIntyre pour la suite de la série.56
L’acteur qui incarnait Spartacus est donc mort le 11 septembre 2011, c’est-à-dire 10 ans - jour pour jour - après les attentats du 11 septembre 2001.
10 ans est égal à 120 mois.
120 se prononce SANS VIN.
120 = LO
Dieu nous fait comprendre qu’il remplace l’Alliance du VIN par celle de L’EAU – donc Dieu appelle tous les esclaves des États-Unis, c’est-à-dire tous les travailleurs exploités par le système capitaliste, à se révolter contre l’Empire romain afin de le détruire de l’intérieur. Car à travers le 11 septembre 2001, Dieu nous fait comprendre que les guerres impérialistes – menées par César pour prendre le contrôle des ressources naturelles de la Terre – génèrent le terrorisme islamiste. En effet, les motivations des attentats du 11 septembre 2001, étaient notamment liées aux conséquences de la guerre du Golfe en 1991 avec la mort de plus de 500 000 enfants irakiens, et la présence des bases militaires US en Arabie saoudite. L’intervention impérialiste en Irak a ainsi généré les attentats du 11 septembre.
Pour mettre un terme à l’impérialisme américain, il n’y a qu’un seul moyen : la révolte des esclaves aux États-Unis, car ces esclaves possèdent le droit de vote alors ils sont les seuls à pouvoir renverser César et ainsi détruire l’Empire romain pour apporter enfin la paix dans le monde.
L'acteur qui interprète Spartacus est donc décédé 120 mois - jour pour jour - après la destruction des Tours du World Trade center.
Le IIIe REICH a pris fin le 120e jour de l'année 1945.
Les Tours du World Trace Center symbolisaient les inégalités sociales avec le RICHE qui trône tout en haut et le pauvre qui essaie de survivre en bas.
À travers la mort de « Spartacus » – 120 mois après la destruction des Tours – Dieu nous fait ainsi comprendre que nous ne serons plus les esclaves du RICHE : le capitaliste qui dirige l'économie – en détruisant la Tour de l'injustice sociale afin de partager équitablement les richesses entre ceux et celles qui les produisent.
Pour y parvenir, nous devons désormais prendre la place de César : le capitaliste.
Andy Whitfield est mort le 11 septembre 2011. L'acteur LIAM McIntyre l'a ensuite remplacé dans le rôle de Spartacus.
LIAM = MAIL
Un MAIL est un MESSAGE.
Dieu nous envoie ainsi un MESSAGE à travers les deux acteurs qui ont interprété Spartacus.
LIAM McIntyre est né le 8 février 1982 (8 2 1982).
8x2x1982 = 31712
31712 = 317 12
Le 31 7 (31 juillet) est le 212e jour de l'année.
12 = L = AILES
2 12 = 2 L = 2 AILES
Après le 31 juillet, il reste 153 jours avant la fin de l'année.
Jules César a été tué un 15 3 (15 mars).
À travers LIAM McIntyre, Dieu nous envoie ainsi un MESSAGE : il nous révèle que nous obtiendrons les 2 AILES qui mènent au paradis – en luttant pour signer l'arrêt de mort de César : le RICHE capitaliste.
Jules César a été tué par 23 ou 35 coups de couteaux selon les commentaires.
23 = BC
B C se prononce BAISSER.
Actuellement, César trône sur le monde, donc nous devons le « tuer », de manière démocratique, pour l’obliger à se BAISSER.
Le département 23 est celui de la CREUSE.
Dieu nous demande de CREUSER sa tombe le jour de l’élection présidentielle afin de l’empêcher d’accaparer les richesses de la Terre et de multiplier les guerres aux quatre coins du monde.
César a été tué par 23 ou 35 coups de couteaux.
Le chef-lieu du département 35 est la ville de RENNES – donc Dieu nous demande de tuer César en prenant les RÊNES du pays.
Nous allons ainsi prendre le contrôle du pouvoir politique, économique, médiatique, et judiciaire.
23+35 = 58
Le département 58 est celui de la NIÈVRE.
NIÈVRE = ÈRE VIN
L’ÈRE du VIN est terminée.
Lorsque Jésus a demandé aux apôtres de boire la coupe de VIN, il leur demandait de boire ses paroles dont notamment la locution « rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu ».
L’ÈRE du VIN et la soumission au pouvoir de César font dorénavant partie du passé car Dieu change le VIN en EAU.
Il nous demande dorénavant de tuer démocratiquement César.
Dans la Bible, Jésus nous demande de partager le PAIN mais actuellement le PAIN est accaparé par CESAR.
PAIN = 16x1x9x14 = 2016
Depuis 2016 – l'année de la mise en ligne de ce site internet – Dieu nous demande de renverser le pouvoir de CESAR afin de prendre le contrôle du PAIN et le redistribuer équitablement entre chaque être humain.
Dans le secteur de la boulangerie, le PAIN est parfois monopolisé par de grandes chaînes qui provoquent à terme la disparition de petits commerces indépendants. L’une de ces chaînes en France porte le nom « KAYSER ».
KAISER est un mot allemand dérivé de la forme latine de « CESAR ».
Les boulangeries ÉRIC KAYSER sont localisées à Paris et dans le monde entier. En 2014, l’entreprise était la première des boulangeries non industrielles à l’international, et vendait 2 millions de miches par mois. Elle comptait 82 boutiques, 2 200 salariés, et générait 100 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2009.57
ÉRIC KAYSER a ainsi construit un véritable EMPIRE du pain, et il y est parvenu en montant sur le dos de ses 2 200 salariés : ses 2 200 Purs-Sang.
Éric KAYSER est né à LURE en 1964.
CESAR fait courir ses Pur-Sang à toute ALLURE pour se bâtir un empire.
Un cheval possède 64 chromosomes.
Dieu multiplie les signes pour nous faire comprendre que nous sommes les chevaux de courses de CESAR ; car sans nous, il ne pourrait pas remporter sa course au profit.
Éric KAYSER a fait fortune en produisant un pain à base de LEVAIN naturel, un levain liquide entretenu au sein d’une machine appelée fermento-levain, qu’il a inventé en 1994.
LEVAIN = LE VIN
Éric KAYSER a ainsi gagné une fortune grâce à une recette à base de LEVAIN.
Dieu nous fait comprendre que LE VIN donne les pleins pouvoirs à CESAR.
ÉRIC = ÉCRI
Dieu ÉCRIT l’histoire de chacun d’entre nous.
Éric KAYSER a les CHEVEUX ROUX car la « ROUE tourne » : Dieu appelle désormais les CHEVAUX à se révolter pour prendre le contrôle du PAIN qu’ils produisent de leurs mains – et ainsi retrouver leur dignité en devenant enfin des hommes.
ÉRIC KAYSER est né à LURE.
LURE = RULE
« RULE » signifie « RÈGLE » en anglais.
À travers les signes, Dieu ÉCRIT de nouvelles RÈGLES, car désormais, pour obtenir la vie éternelle, nous devons combattre CESAR et le renverser afin de prendre le contrôle du PAIN et le redistribuer équitablement entre chaque citoyen.
Dès que nous aurons les moyens de production et les richesses entre les mains, nous pourrons BAISSER le temps de travail afin de permettre à un plus grand nombre de citoyens de travailler.
Dieu nous demande ainsi d’arrêter de COURIR, et de MARCHER pour le bien être de la collectivité.
Le temps est venu de placer l’humain avant le profit, la ROUE tourne : construisons un monde enfin civilisé.
Jules César est né le 12 ou 13 juillet 100 av. J.-C.
Dans la nuit du 12 au 13 juillet 1998, des millions de Français ont fêté la victoire de l’équipe de France de football qui venait de battre le Brésil en finale de la Coupe du Monde.
Le sigle de la Fédération Française de Football est « FFF ».
FFF = 666
Dans l’Apocalypse, le nombre de la BÊTE est le « 666 ».
Cette BÊTE possède plusieurs TÊTES.
La France a battu le BRESIL 3 à 0 grâce notamment à deux buts de la TÊTE de Zinedine Zidane.
BRESIL = LIBRES
Dieu nous fait comprendre que nous serons LIBRES lorsque nous couperons définitivement la TÊTE de la BÊTE le jour de l’élection présidentielle.
Juste après la victoire de l’équipe de France contre le BRESIL, 1,5 millions de Français se sont réunis sur les CHAMPS-ÉLYSÉES.
Les CHAMPS-ÉLYSÉES signifient que des millions de Français ÉLISENT des BÊTES dont la place est uniquement dans DES CHAMPS.
BÊTES = 2x5x20x5x19 = 19000
Le code postal 19000 est celui de la ville de Tulle dont l’ancien maire est François Hollande.
François Hollande est la BÊTE que les Français ont élu président de la République en 2012.
Le capitaine de l’équipe de France en 1998 était Didier DESCHAMPS.
Dieu associe les joueurs de l’équipe de France 98 à des BÊTES.
En effet, les défenseurs de l’équipe lors de la finale étaient Frank LEBOEUF et Marcel DESSAILLY.
Une SAILLIE est un accouplement d’animaux.
Le meneur de jeu de l’équipe de France était Zinedine ZIDANE.
ZIDANE = ANE
Un ANE est dirigé par une carotte, à l’instar des joueurs de football qui sont uniquement dirigés par l’argent tout au long de leur carrière, donc Dieu nous fait comprendre que nous avons acclamé des animaux après leur victoire en Coupe du Monde.
Ce soir-là, sur les CHAMPS-ÉLYSÉES, l’arc de triomphe affichait le portrait géant de Zidane accompagné du message : « Zizou on t’aime ».
Nous avons ainsi éprouver de l’amour pour un âne.
Dieu a multiplié les références au monde animal puisque nous sommes en admiration devant le pouvoir de la BÊTE : le capitalisme, de la même manière que nous sommes en admiration devant des sportifs uniquement dirigés par l’argent dans une pure logique capitaliste.
Emmanuel PETIT a marqué le 1 000e but de l’histoire de l’équipe de France, le soir de la finale contre le Brésil, en inscrivant le 3e et dernier but du match.
PETIT = PETI T
T = 20 = VIN
PETI = 16x5x20x9 = 14400
144 = 100 44 = années de naissance et de mort de Jules César.
00 = ce sont des yeux.
À travers Emmanuel PETIT, Dieu nous montre (00) que l'Alliance du VIN donne les pleins pouvoirs à César.
Emmanuel PETIT a marqué le 1 000e but de l'histoire de l'équipe de France.
Dans l‘Apocalypse, le diable est enchaîné puis libéré après 1 000 ans.
Le 1 000e but de l’équipe de France a été marqué le jour de l’anniversaire de César, et le sigle « FFF » était imprimé sur le maillot de chaque joueur.
FFF = 666 = le nombre de la BÊTE
BETE = 2x5x20x5 = 1000
Le 1 000e but de l’équipe de France à été marqué contre le BRESIL.
BRESIL = LIBRE
Dieu associe la BÊTE, César et le diable, à la plus belle victoire du sport collectif français dans une compétition internationale.
Il veut nous faire comprendre que nous serons LIBRES quand nous renverserons le pouvoir de la BÊTE : le capitalisme. Il nous demande ainsi de renverser César en jouant collectivement le jour de l’élection présidentielle. Nous y parviendrons en construisant une équipe black-blanc-beur.
L’équipe de France 98 ne nous ressemblait pas car elle était composée de joueurs multimillionnaires qui n’éprouvaient pas spécialement d’amour ni de reconnaissance envers les clubs qui les avaient formé, dans la mesure où ils les ont quitté prématurément afin de partir à l’étranger pour gagner un maximum d’argent, et c’est la raison pour laquelle Dieu les compare à des animaux. « Ainsi, pour ne pas payer d’impôt, nos sportifs s’établissent à l’étranger. Après avoir profité des infrastructures sportives et des centres de formations payés par nos impôts, ils ne veulent pas contribuer à perpétuer le système. Ces assistés n’ont bien souvent aucune conscience du monde qui les entoure. Le smicard qui a du mal à joindre les deux bouts les comprend : "il faut faire quelque chose, car si l’on continue à taxer les sportifs ils vont tous partir" ! Et au café du commerce il pourra dire : "t’a vu l’équipe de France ? On est fort, on est les meilleurs" ! »
Par contre ça ne les gênent pas de revenir pour représenter la France, empocher les primes et se faire de la pub : profiteurs jusqu’au bout. »58
Ces sportifs sont donc des ANES uniquement dirigés par la carotte : l’argent, et ils font la promotion du capitalisme à chaque fois qu’ils sont sur le terrain. En effet, « le football est une organisation spécifique du capitalisme avancé – à la fois sa vitrine populaire privilégiée (un fantastique marché de consommateurs spectateurs), son terrain d'expérimentation capitaliste (pour des montages financiers inédits qui flirtent avec la légalité), et l’une des plus efficaces agences idéologiques de légitimation (un opium pour le peuple, une publicité permanente pour le culte de la "réussite"). Le football est à cet égard l’un des appareils idéologiques les plus pernicieux du capitalisme parce qu’il semble "apolitique" »59. « Et dans cet eldorado footballistique qui brasse des centaines de millions d’euros et engrange des droits télévisés faramineux, les investissements, budgets, recettes, salaires, revenus et transferts flambent dans une spirale inflationniste où chaque acteur tente de pomper un maximum de "valeur ajoutée". Les équipementiers, les agences de marketing, les sponsors, les actionnaires, les joueurs, les agents des joueurs, les télévisions, les journaux, chacun, à sa manière, cherche à accaparer la manne miraculeuse du ballon rond. »60
Les joueurs de football travaillent ainsi pour César et ils portent la MARQUE de la Bête (les sponsors) sur leur maillot.
Tant que tu seras en admiration devant eux, Dieu te considérera comme un adorateur de la BÊTE.
C’est la raison pour laquelle, le capitaine de l’équipe de France 98 était Didier DES CHAMPS, et qu’il est l’actuel sélectionneur de l’équipe de France.
Dans l’Apocalypse, la MARQUE de la BÊTE est le chiffre 666.
666 = FFF = Fédération Française de Football.
Sur le maillot de l’équipe de France, la MARQUE de la BÊTE est donc le sigle FFF.
La BÈTE est l’homme politique qui permet à César de régner sur le monde.
Le 12 juillet 1998, le jour de l’anniversaire de César, Dieu nous faisait comprendre que nous devions combattre César.
Ce soir-là, ZIDANE a marqué le 999e but de l’équipe de France de football.
En 1999 est sorti au cinéma le film Astérix et Obélix contre César, réalisé par Claude ZIDI.
ZIDI = ZIDANE
Dieu appelle ainsi les Gaulois à s’unir en formant une équipe de France black-blanc-beur pour combattre César.
Notre jeu collectif renversera le pouvoir de la BÊTE – le capitalisme – et nous serons alors enfin LIBRES d’écrire nous-même notre futur.
Le 1 000e but de l’équipe de France a été marqué par Emmanuel PETIT.
Nous allons prochainement fonder notre équipe, et PETIT à PETIT, nous apprendrons à jouer collectivement pour former une équipe de France qui sera un jour capable de renverser le pouvoir de César.
Actuellement, nous sommes PETITS parce que nous restons à genoux devant César mais une fois que nous aurons pris conscience de notre force qui est notre nombre, nous allons nous redresser et ce sera un jour César qui finira par se BAISSER à nos pieds.
Dans l’Ancien Testament, « EMMANUEL » est le nom par lequel le prophète Isaïe désigne le messie à venir, annonçant qu’il naîtra d’une vierge. Pour les chrétiens, c’est un adjectif qui qualifie Jésus-Christ (l’Emmanuel) en souvenir de sa naissance terrestre.61
Dieu multiplie les signes pour nous faire comprendre qu’il modifie le dogme chrétien et il nous demande dorénavant de combattre politiquement César pour lui prendre le pouvoir des mains. Actuellement, la BÊTE au pouvoir qui permet à César de régner, est EMMANUEL Macron.
En 1998, EMMANUEL Petit jouait à ARSENAL.
Le bulletin de vote est l’arme principale de notre ARSENAL militaire. Alors que la révolution commence !
Le coronavirus : symbole du règne de César sur le monde
Dans la Bible, lors du repas de la Cène, Jésus prend une coupe de VIN et dit à ses disciples : « Buvez-en tous, car ceci est mon sang, le sang de l'Alliance ».
Le VIN symbolise le SANG que Jésus versera le lendemain lors de sa mort sur la croix.
À travers l'image de la coupe de VIN, Jésus demande aux chrétiens de « boire » ses « paroles » dont l'une est de laisser le pouvoir politique entre les mains de César.
VIN = 20
2020 = VIN VIN
En 2020, Dieu nous a donc envoyé un message clair lorsque le coronavirus a paralysé le monde entier, afin de nous donner la preuve que le règne de César – le capitalisme – rend le monde malade.
Le coronavirus a ainsi révélé l’irresponsabilité de notre organisation économique et sociale. En France, face à la catastrophe, le gouvernement a pris des mesures inédites en fermant crèches, écoles, collèges, lycées, facultés ainsi que tous les lieux de sociabilité. Emmanuel Macron déclarait que la santé devait passer avant tout le reste, or depuis qu’il était au pouvoir, c’est la santé des profits et des banquiers qu’il avait fait passer avant tout le reste, exactement comme l’ont fait tous ses prédécesseurs. Désormais, le mal était fait. On l'a vu avec ce qui s'est passé à Mulhouse et à Colmar : les hôpitaux furent incapables d’encaisser le choc d’un trop grand afflux de malades. Ils remettaient à plus tard des interventions importantes, renvoyaient des malades chez eux et faisaient prendre de plus en plus de risques à leur personnel.
Macron ne pouvait pas dire qu’il ne savait pas, cela faisait des mois que le personnel hospitalier tirait la sonnette d’alarme. Cela faisait des années que l’on déplorait les déserts médicaux. Des années aussi que les chercheurs, y compris en virologie, dénonçaient la baisse de leurs moyens.62
Entre 2003 et 2017, 69 000 lits d’hôpitaux ont été supprimés. Le budget de l’hôpital public a perdu en dix ans 8,4 milliards d’euros. Ces choix budgétaires sont des choix politiques. Les gouvernants successifs, au service des intérêts des financiers, des banques, des capitalistes, les ont assumés et continuent de les assumer avec plus ou moins d’aplomb, plus ou moins d’arrogance, en fonction de l’urgence des besoins… de celui qui dicte les ordres : César – le capitaliste.
Prendre pendant des années sur les services publics indispensables à la population, et surtout au monde du travail, est un pillage irresponsable. Il s'est traduit par un service de santé aux abois, des soignants en nombre très insuffisant, sans assez de lits d’hospitalisation, de masques, de tenues, de gel hydroalcoolique…63
Autour de 2011, le ministère de la Santé avait décidé d’abandonner le stockage de masques pour économiser 60 malheureux millions d’euros par an ! On mesurait combien toutes ces économies étaient criminelles. Tout cela ne se rattraperait pas. La catastrophe était là.
En plein confinement, le week-end, les travailleurs étaient sommés de se cloîtrer, ils étaient regardés de travers quand ils se permettaient de faire le tour du pâté de maisons avec leurs enfants. Et le lundi, ils devaient prendre les transports, franchir à plusieurs centaines les mêmes tourniquets et se confiner à 50, 100, 200 dans un atelier où ils se partageaient les outils, les uns à côté des autres à Airbus, Amazon, La Redoute…
Le gouvernement mettait alors en danger la vie de millions d’ouvriers, d’employés, de techniciens et prenait le risque d’affaiblir l’efficacité du confinement général. Pourquoi ? Uniquement pour assurer la continuité des profits de César : le capitaliste.
En effet, ce n'est pas en fabriquant des hélicoptères de combat, des paquebots de croisière ou du rouge-à-lèvres que nous allions combattre le virus ! La ministre du Travail, Murielle Pénicaud, a poussé les capitalistes du BTP à redémarrer. Si ça avait été pour lancer la construction d’hôpitaux de campagne, comme la Chine a su le faire, on aurait compris, mais ce n’était pas le cas !
Faire tourner les entreprises à l’heure où le personnel de santé suppliait que nous respections un confinement strict, était une décision criminelle. Et cela n’avait rien d’inconscient, c’était volontaire et réfléchi : c’était un choix de classe. Durant l’épidémie, chaque décision gouvernementale fut pesée, calculée en fonction des intérêts des capitalistes. Quant à la vie des travailleurs, elle ne comptait que pour suer des profits !
Les travailleurs servaient ainsi de chair à profits pendant que les dirigeants et les actionnaires étaient planqués à l’arrière.64
Le 16 mars 2020, lors d'une allocution télévision, Emmanuel Macron a répété à 6 reprises : « Nous sommes en guerre ». Un ton martial, visant à sonner la « mobilisation générale » contre un « ennemi (…) invisible, insaisissable ». «
La rhétorique militaire de Macron nous alertait sur une caractéristique supplémentaire de la période. Il était interdit d’enterrer sa grand-mère, de visiter des amis, de participer à des réunions, mais on pouvait travailler. On devait fournir une autorisation écrite — qu’on devait imprimer ou copier à la main, ce qui requérait d’avoir une imprimante ou de savoir écrire le français – pour faire ses courses, et montrer patte blanche à la police, en attendant l’armée. On nous exhortait même à ne pas partir en vacances.
Concrètement, on a supprimé toute vie sociale, culturelle, politique. La vie était organisée autour du seul travail, les libertés individuelles et collectives étaient restreintes à la plus simple expression. Comme dans les États totalitaires.65
Dans le même temps, le pouvoir a accéléré le tournant autoritaire et raciste de l’État pour contrôler la population et faire rentrer dans le rang les récalcitrants : loi sécurité globale, loi « séparatisme », décrets liberticides et confinement autoritaire ont été les principales réponses du gouvernement face à la pandémie.66
Cette crise sanitaire fut un miroir grossissant du manque de démocratie, des inégalités et du mépris de classe du monde capitaliste. Elle jeta une lumière crue sur l’incurie de nos gouvernants et sur l’irresponsabilité de notre organisation sociale.67
Face à la propagation du virus, c’est la concurrence entre capitalistes qui a dominé, par exemple concernant la production et l’approvisionnement des masques. Ils ont été incapables de planifier la production, de mettre sous contrôle le secteur privé pour répondre dans l’urgence aux besoins sanitaires. Ce fut la même chose pour les tests : le monopole des laboratoires privés a freiné pendant des mois le dépistage à grande échelle alors que le secteur public de recherche ainsi que les labos vétérinaires auraient pu contribuer massivement aux tests dès le printemps.
En ce qui concerne le vaccin, la recherche a été confiée à des centaines de labos privés qui se sont fait concurrence entre eux à travers la planète, chacun voulant annoncer en premier avoir « trouvé » le bon vaccin pour engranger des profits colossaux. Tout cela s’est fait au détriment du respect des protocoles en accélérant les différentes phases de tests. De plus, les vaccins étant brevetés, la transparence sur les résultats n’était pas au rendez-vous, ce qui a nourri la défiance des populations face aux futurs vaccins.68
Les scientifiques ont pourtant mené une véritable course contre la montre et ils ont réalisé, en dix mois, ce qui prend habituellement plusieurs années. Mais un temps précieux a été perdu à cause des calculs de rentabilité des uns et des autres. La propriété privée, la loi du profit et la concurrence furent les causes de ce gâchis.
En mai 2020, Macron déclarait : « Il est nécessaire que ce vaccin soit un bien public mondial, extrait des lois du marché ». C’était de belles paroles… en l’air ! On a vérifié, une fois de plus que ce sont les groupes capitalistes, leurs actionnaires : César – qui détient le véritable pouvoir.
Les États avaient leurs plans de vaccination, mais les multinationales pharmaceutiques ont eu le dernier mot en fixant leurs prix, leurs délais et leurs volumes. Les gouvernements leur ont demandé poliment d’accélérer les cadences, mais en bons défenseurs de la propriété privée, ils se sont inclinés devant les choix des labos.
Les labos pharmaceutiques imposent leur diktat en vertu de la sacro-sainte propriété privée. Mais d’où viennent ces capitaux privés sinon de l’exploitation des travailleurs ? Et combien de ces capitaux proviennent du pillage de l’argent public ?
Le domaine de la santé est un de ceux que les États subventionnent le plus. Combien les gouvernements ont-ils dépensé pour aider la recherche sur le vaccin ? Combien ont-ils avancé pour qu’ils soient développés ? Combien de subventions les usines de production ont-elles encaissé ? On n’arrive même pas à le savoir parce que toutes ces informations sont tenues secrètes.
L’opacité des contrats et des prix, la rapacité des trusts pharmaceutiques, les difficultés de production et de livraison ont illustré les tares du capitalisme. Il n’y aura rien de collectif et de constructif dans cette société tant que domineront la propriété privée des grands moyens de production, les lois du marché et la concurrence.69
Les défenseurs invétérés du capitalisme ont expliqué que l’appât du gain et la concurrence ont accéléré les découvertes de vaccins. Ils confondent tout. Les profits promis par la vaccination anti-covid ont donné à la recherche l’allure d’une ruée vers l’or, mais ce n’est pas ce qui a motivé les chercheurs à travailler nuit et jour !
Si les épidémiologistes, les biologistes ou les généticiens passent leur vie à étudier, sans garantie que leurs travaux aboutiront un jour, ce n’est certainement pas pour s’enrichir personnellement et encore moins pour grossir les fortunes d’une poignée de parasites. Et pour eux, la concurrence et le secret ne sont pas des avantages : ils freinent l’avancée des connaissances et entravent la réflexion collective.70
La guerre commerciale entre capitalistes et les rivalités internationales ont poussé à mépriser et ignorer les vaccins découverts en Chine, en Russie ou à Cuba. Elles ont poussé chaque pays à vouloir son propre vaccin pour favoriser son champion national, et ensuite, à se concurrencer pour passer commande et être servis en premier. C’était d’une bêtise sans nom. Ce nationalisme vaccinal a freiné la lutte contre la pandémie. Il ne pouvait que se retourner contre tout le monde.
« Sans une action internationale rapide, efficace et solidaire, nous prenons le risque que le virus nous échappe », avait affirmé Macron. Même un libéral comme lui était forcé de le reconnaître : pour lutter contre la pandémie, la coopération devait être supérieure à la concurrence et à la guéguerre entre nations. La planification supérieure aux lois du marché.
Oui, pour combattre efficacement le virus, il fallait mettre en commun les connaissances, y compris celles des scientifiques chinois, russes ou cubains. Il fallait supprimer le secret commercial et la sacro-sainte propriété intellectuelle des laboratoires. Il fallait les forcer à partager leurs découvertes pour que les vaccins soient fabriqués dans toutes les entreprises qui en étaient capables. Il fallait que la production des vaccins soit collective et ne serve pas à faire du profit. En un mot, il fallait rejeter la concurrence et la propriété privée.
C’était une nécessité objective que Macron avait exprimée en disant que le vaccin devait être un « bien commun ». Mais ni lui, ni aucun des politiciens qui aspiraient au pouvoir n'étaient capables de la réaliser. Une telle mobilisation exigeait des réquisitions et des expropriations. Elle était une déclaration de guerre à César. Il ne fallait pas l’attendre de ces politiciens dévoués corps et âme à la bourgeoisie et à son système.
Les dirigeants de la planète ne sont même pas parvenus à obtenir des trusts pharmaceutiques qu’ils renoncent à une partie de leurs profits pour rendre les vaccins accessibles aux pays pauvres. Ils se sont refusé à tout bras de fer contre les labos quand bien même il aurait été salutaire pour toute la société et pour les capitalistes eux-mêmes. Cette crise a montré la nature réelle des dirigeants politiques qui prétendent gouverner : des serviteurs prêts à tout accepter ! Des paillassons ! 71
En temps de guerre, il est arrivé aux États de réquisitionner et de prendre le contrôle de certaines industries pour les mettre au service de l’effort de guerre. Si ces réquisitions ont dépossédé temporairement les propriétaires bourgeois, elles se sont toujours accompagnées d’indemnités et de dédommagements conséquents. Eh bien, en 2020, dans la guerre contre la pandémie, ce minimum-là ne fut même pas imaginé !
Les trusts se sont caché derrière le secret commercial et industriel pour échapper à tout contrôle. Les chefs d’État ne savaient même pas combien de vaccins leur seront livrés, ni à quelle date, et ils l’ont accepté car il s’agissait du fonctionnement normal du capitalisme qu’ils défendent ardemment.
Le grand capital fait ce qu’il veut comme il veut dans les autres domaines aussi. Si les logements abordables pour un salaire d’ouvrier manquent, c’est que cela n’intéresse pas les promoteurs. Si les investissements, la recherche et l’innovation ne décollent pas, malgré tout l’argent que l’État met sur la table, c’est que les grands groupes sont plus intéressés à spéculer pour faire fructifier leurs capitaux dans la finance.
Pour lutter efficacement contre la pandémie et fabriquer les vaccins en masse, et cela au niveau mondial, il aurait fallu s’appuyer sur tous les centres de production existants et sur la planification. Les droits de propriété et la soif de profits d’une poignée de parasites richissimes s’opposaient à ce qui aurait dû être un effort de production collectif. Ce fut un gâchis sans nom et ce fut criminel car cette pénurie a été payée par des dizaines, des centaines de milliers de nouveaux morts à l’échelle du monde.72
Le comble de l’absurdité ou de l’aveuglement des décideurs politiques, c’est que, concernant la pandémie, en 2003, des chercheur·es belges et français sont arrivé·es à la conclusion que les coronavirus constituent une catégorie très stable de virus et qu’il serait donc possible assez facilement de trouver un traitement qui serait valable non seulement pour le SRAS-1 mais aussi pour d’autres coranovirus qui viendraient après. Ils estimaient le coût de ces recherches à 200 ou 300 millions d’euros. Il leur fallait bien évidemment des subsides publics qu’ils n’ont pas obtenus, parce que les gouvernements considèrent que la recherche sur les médicaments appartient à l’industrie pharmaceutique, alors que celle-ci ne fait pas de recherche pour le bien de l’humanité ou la santé publique mais pour le profit. Il lui faut donc un marché et des clients solvables. Or l’épidémie de SRAS était passée, il n’y avait donc plus de marché, plus de clients, donc on n’a pas fait la recherche. Cela illustre la marque de l’attitude politique des décideurs et des responsables économiques face aux grandes menaces écologiques, dont la pandémie fait désormais partie. C’est cette incapacité de prendre compte ce qui est connu et les avertissements qui leurs sont lancés.73
Durant l'épidémie, les gouvernements « dépensaient tous de l’argent qu’ils prétendaient ne pas pouvoir dépenser. L’austérité qui était si nécessaire hier a eu pour conséquence la réduction des services de santé qui étaient en crise face au virus. Soudain ces libéraux devenaient brièvement Keynésiens. Ils pouvaient soudain dépenser de l’argent qu’ils refusaient de dépenser hier. Soudain, Facebook fut capable d’éliminer les fake news, ce qu’il ne pouvait pas faire hier au nom de la liberté d’expression. Soudain le gouvernement sud-africain disait qu’il pouvait trouver des terres pour reloger les habitants des townships et des bidonvilles surpeuplés, alors qu’hier il attaquait les occupations de terres. Les travailleurs sociaux et les soignants, généralement marginalisés, étaient maintenant reconnus comme essentiels.
Il est clair qu’ils reconnaissaient le virus comme une crise majeure, alors qu’ils n’ont jamais reconnu la pauvreté et le chômage de masse comme une crise. Ils pouvaient contracter la maladie et en mourir eux-mêmes, donc elle devait être stoppée à tout prix. La pauvreté, la faim, le chômage et le mal-logement ne sont pas des crises, les éliminer reste un vague projet sans échéance.74
Selon l'Organisation internationale du travail (OIT), l'équivalent de 255 millions d'emplois à temps plein ont été supprimés en 2020 dans le monde. C'est quatre fois plus qu'au cours de la crise de 2009. Les travailleuses et les jeunes, qui occupaient des emplois plus précaires, ont été les plus touchés. L’OIT rend responsable le virus, mais celui-ci n'a fait qu'aggraver la crise dans laquelle l'économie capitaliste s'enfonçait déjà, mettant en évidence les tares congénitales de ce système. La propriété privée des moyens de production était responsable de cette catastrophe sociale, car plutôt que de mettre l'humanité à l'abri des effets de l'épidémie, ils ont permis à une infime minorité de possédants de s'enrichir encore plus, en jetant par-dessus bord les travailleurs.75
Entre mars 2020 et avril 2021, la fortune boursière de 650 milliardaires américains a bondi de 55 %, soit un gonflement du portefeuille boursier de 1 600 milliards de dollars. Il en allait de même dans toutes les places boursières sur la planète.76
Jeff Bezos, principal actionnaire d’Amazon, a vu sa fortune augmenter de 63 milliards de dollars.
La presse a relaté qu’il avait acheté une propriété luxueuse à Los Angeles pour la somme record de 165 millions de dollars. Mais dans la seule journée du lundi 20 juillet, il a gagné 13 milliards, de quoi acheter près d’une centaine de palaces. C’était loin d’être le seul magnat à s’être enrichi pendant la crise sanitaire. Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, a vu sa fortune croître de 9 milliards et celle d’Elon Musk, à la tête du groupe Tesla, de 41 milliards de dollars.
Les milliardaires français sont passés de 39 à 42 et ils ont vu leur fortune augmenter de pas moins de 68 %, passant de 249 à 420 milliards d’euros entre 2020 et 2021.
Rien d’étonnant si le magnat du luxe Bernard Arnault, PDG de LVMH, remportait la palme avec 123 milliards d’euros. En effet le luxe se vendait très bien dans cette période de crise, évidemment chez les plus riches. La majeure partie de la fortune d’Arnault est placée en Bourse. Grâce aux fluctuations de la spéculation, le 24 mai 2020, il est même devenu pour quelques heures l’homme le plus riche du monde.
Trois petits nouveaux ont rejoint le club des milliardaires français. Ce sont des bourgeois que la pandémie a directement engraissés, comme Stéphane Bancel, PDG de l’entreprise Moderna Therapeutics, devenu multimilliardaire en l’espace d’une année. Grâce au vaccin vendu dans 49 pays, sa fortune atteignait la modique somme de 5 milliards d’euros.
Tous ces bourgeois ont vu leur richesse augmenter avec les cadeaux généreusement distribués par le gouvernement Macron, les milliards destinés prétendument à sauver les entreprises de la faillite, les exonérations fiscales diverses, la fin de l’ISF. Mais, en dernier ressort, toutes ces fortunes viennent de l’exploitation accrue des travailleurs, ici et dans le monde entier, de la baisse des salaires, de l’augmentation des cadences. Un groupe comme LVMH produit des sacs de cuir qu’il sous-traite en Italie, en exploitant des travailleurs sénégalais 13 heures par jour. Alors que l'entreprise a fait 4,7 milliards d’euros de profits en 2020, elle a supprimé 13 000 emplois la même année...
D’aucuns prétendent encore que ces patrons l’ont bien mérité, qu’ils ont travaillé dur pour posséder cette fortune. Mais 80 % de ces milliardaires sont des héritiers, des hommes et des femmes qui sont nés avec une petite cuillère en or dans la bouche et qui n’ont même pas à se baisser pour ramasser l’argent.77
L’ONG Oxfam prévoyait, pour la fin 2020, jusqu’à 12 000 victimes de la faim supplémentaires, chaque jour, en raison de la crise économique et sociale.
Extrême richesse à un bout, misère et famine de l’autre… c’est ça le capitalisme : le règne de César.78
Non seulement le corona fut un virus de classes en termes médicaux, mais la pandémie a considérablement approfondi le fossé entre riches et pauvres. Selon le Washington Post, la récession provoquée par le COVID-19 a été la plus inégalitaire de l’histoire moderne.
Alors que des centaines de millions de personnes sont tombées dans le chômage et la pauvreté, les 32 plus grandes multinationales ont vu leurs bénéfices augmenter de 109 milliards de dollars en 2020. 493 milliardaires se sont ajoutés à la liste mondiale, un record selon Forbes. Au moins 40 de ces nouveaux milliardaires sont liés à des entreprises impliquées dans la lutte contre le COVID-19. Les géants pharmaceutiques ont pu bénéficier de subventions très généreuses et du soutien du gouvernement pour développer les vaccins, mais ils ont pu empocher eux-mêmes les méga-profits.
La richesse combinée de ces super-riches a augmenté de 5 100 milliards de dollars entre mars 2020 et mars 2021, soit une augmentation de 62 %. Ce montant fabuleux est aussi important que la richesse produite chaque année par trois milliards de personnes.79
Selon la légende véhiculée sans cesse dans les médias, ce sont les entrepreneurs qui créent la prospérité. Grâce à leurs capitaux, leur audace et leur innovation, ils créent de l’emploi et accroissent la richesse d’un pays. Dans les différents pays les confinements ont révélé partout le contraire, à savoir que c’est le travail de la population active qui produit la richesse. Quand une partie de la population active a été contrainte de cesser le travail, la croissance économique s’est effondrée comme un soufflé. C’est le travail qui crée du capital et non l’inverse. Le confinement a également montré que ce sont souvent les boulots les plus essentiels qui sont le moins bien rémunérés.
L’être humain est capable du bien, mais il est mauvais par nature. Il est avant tout motivé par son propre intérêt. C’est ce que les gourous néolibéraux nous ont seriné pendant des décennies. En fin de compte ce mantra est utile à leurs yeux car l’intérêt personnel mène à la concurrence et c’est justement ce qui fait avancer notre économie.
La solidarité spontanée et massive qui a jailli pendant la crise COVID-19 détruit cette vision cynique de l’humain. Des jeunes ont fait les courses pour leurs voisins âgés, des milliers de bénévoles ont confectionné des masques ou se sont proposés aux banques alimentaires. Alors qu’ils manquaient encore de matériel de protection, les soignants allaient s’occuper de leurs patients au risque de leur propre santé – donc de leur vie. Bien sûr il y a eu des groupes qui se moquaient totalement des mesures de sécurité, mais c’est l’exception qui confirme la règle. Plus que jamais, la crise COVID-19 démontre que l’être humain est fondamentalement un supercoopérateur, comme l’ont décrit Dirk Van Duppen et Rutger Bregman.80
2020 = VIN VIN
En 2020, à travers le coranovirus, Dieu nous a ainsi donné la preuve que le règne de César – auquel l'Alliance du VIN avec Jésus donne les pleins pouvoirs – est le « virus » qui rend le monde malade.
Le coranovirus était appelé COVID-19.
COVID = 3x15x22x9x4 = 35640
35640 = 30 4 56
Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 (30 avril) à l'âge de 56 ans.
19 = le chef-lieu du département 19 est la ville de TULLE.
À travers le COVID-19 – Dieu nous transmet le message suivant : « TUE LE RICHE en mettant un terme à la loi du profit. »
« CORONA » signifie « COURONNE » en latin.
À travers le CORANOVIRUS, Dieu met ainsi en lumière le RÈGNE de César sur le monde.
CORONA = 3+15+18+15+14+1 = 66
CORONA = 6 lettres
CORONA = 666
Dans l'Apocalypse, le chiffre de la Bête est le 666 : il symbolise l'Empire Romain : l'Empire de César.
666 = 6+6+6 = 18
18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.
À travers le CORONAVIRUS, Dieu nous fait ainsi comprendre que César : le RICHE capitaliste – est le VIRUS : le PARASITE de l'humanité.
C'est la raison pour laquelle, en 2020, le film PARASITE – qui dénonce les inégalités sociales – a obtenu l'Oscar du « meilleur film » à LOS ANGELES.
« LOS ANGELES » signifie « LES ANGES » en espagnol.
Le film PARASITE dure 2 heures 12.
2 12 = 2 L = 2 AILES
Dieu nous fait ainsi comprendre que pour devenir des ANGES avec 2 AILES dans le dos, la nouvelle Alliance de l'EAU nous impose de lutter afin d'éradiquer le VIRUS qui PARASITE l'humanité : César, le capitaliste, le RICHE
Le 24 mai 2020, le Français BERNARD Arnault est devenu l'homme le plus RICHE du monde, l'espace de quelques heures.
BERNARD = 2x5x18x14x1x18x4 = 181440
181440 = 18 144 0
18 = AH = initiales d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
0 = le chiffre 0 a la forme de la lettre O (EAU).
24 mai = 24 5
24x5 = 120
120 = SANS VIN
120 = LO
À travers BERNARD Arnault, devenu l'homme le plus RICHE du monde le 24 mai 2020 (VIN VIN) – Dieu précise ainsi qu'il remplace l'Alliance du VIN avec Jésus par celle de L'EAU – qui nous impose de mettre un terme au règne de César : le RICHE.
Le coronavirus était originaire de la province de HUBAI en Chine.
HUBAI = 8x21x2x5x9 = 15120
15120 = 15 120
15 = O = EAU
120 = SANS VIN
À travers l'origine de ce virus – Dieu nous fait ainsi comprendre qu'il remplace l'Alliance du VIN par celle de l'EAU – afin d'éradiquer le virus qui contamine l'humanité : le pouvoir dictatorial de César.
HUBEI = 15120
Le code postal 15120 est celui de la commune de LEUCAMP.
Dieu nous impose ainsi de choisir LE CAMP auquel nous voulons appartenir : celui de l'Alliance du VIN qui autorise le RICHE à diriger le monde – ou celui de l'Alliance de l'EAU qui combat son règne destructeur.
Or Dieu précise que seul LE CAMP de l'EAU nous permettra de devenir des ANGES avec 2 AILES dans le dos.
Le foyer de l'épidémie du coronavirus était la ville de WUHAN – située dans la province de HUBEI.
WUHAN = 23x21x8x1x14 = 54096
54096 = 54 609
54 = le département 54 est celui de la MEURTHE-et-MOSELLE.
MOSELLE se prononce MOTS AILES.
609 = FOI
La FOI est la croyance en Dieu.
À travers la ville à partir de laquelle s'est propagée le virus – Dieu nous précise que pour obtenir deux AILES dans le dos et nous envoler un jour au paradis – la nouvelle FOI nous impose de commettre un « MEURTRE » – celui de César : le RICHE – avec les MOTS qui seront écrits sur notre bulletin de vote, le jour de l'élection présidentielle.
Le laboratoire P4, à Wuhan, fut accusé d'être à l'origine de la fuite accidentelle du coronavirus.
P4 = 16x4 = 64
Le cheval possède 64 chromosomes.
À travers le laboratoire P4 – Dieu nous révèle que nous parviendrons à éradiquer le « virus capitaliste » – lorsque nous refuserons d'être les chevaux de courses de César – qui nous exploite en nous faisant galoper dans « ses » entreprises, même lorsqu'une épidémie tue à grande échelle.
Le virus était originaire de CHINE continentale.
CHINE = CHIEN
« CHIEN » se dit « DOG » en anglais.
« DOG » est l'inverse de « GOD » – qui signifie DIEU.
À travers l'épidémie de coronavirus – DIEU nous demande ainsi de construire une économie « inverse » – débarrassée de la loi du profit.
Du 11 au 13 avril 2020 (VIN VIN), le week-end de Pâques fut inédit : partout dans le monde, les messes furent célébrées sans fidèles, à cause du confinement. Des centaines de millions de chrétiens ont donc dû célébrer la plus importante fête de la tradition chrétienne – la résurrection du Christ – en restant seuls, à l'image du Pape François, le dimanche de Pâques, lorsqu'il a prononcé sa traditionnelle bénédiction pascale « Urbi et orbi », à l'intérieur de l'immense basilique Saint-Pierre presque vide à l'heure du confinement. Un an auparavant, le pape avait célébré cette messe en plein air, acclamé par 70 000 fidèles massés sur la place Saint-Pierre au Vatican, avant sa bénédiction Urbi et Orbi (à la ville de Rome et au monde).
Le code postal 70 000 est celui de la ville de VESOUL dont le maire est Alain CHRÉTIEN.
À travers les 70 000 fidèles qui ont acclamé le Pape en 2019 – Dieu nous fait comprendre que l'Alliance du VIN a rendu les CHRÉTIENS complètement SAOULS – car ils votent majoritairement en faveur du règne de César – alors que ce dernier crée des milliard de miséreux sur Terre en accaparant la majeure partie des richesses mondiales.
En 2020 (VIN VIN) – Dieu a donc empêché les CHRÉTIENS de se rendre dans les églises – car il met désormais un terme à l'Alliance du VIN avec Jésus.
Dieu nous transmet dorénavant l'Alliance de l'EAU, car l'année 2020 (VIN VIN) nous a montré que César empêche des milliards d'êtres humains d'avoir accès à l'EAU.
En effet, alors que la pandémie touchait progressivement tous les pays, des milliards d'êtres humains ne pouvaient même pas faire le plus simple et le plus efficace des « gestes-barrières », se laver les mains. Selon l'Unicef, trois milliards de personnes sur la planète n'ont pas d'accès direct à l'eau potable ou pas de moyens pour se payer du savon. Quant aux habitants des bidonvilles ou des camps de réfugiés surpeuplés, comment envisager la moindre « distanciation » !
Les multinationales de l'eau comme Veolia, Suez et d'autres ont bâti leurs fortunes en rachetant les réseaux d'eau existants et en obtenant le monopole de la distribution, y compris dans des pays pauvres.81
La nouvelle Alliance de l'EAU nous impose ainsi d'exproprier César : le capitaliste – afin de permettre à chaque être humain d'avoir accès à l'EAU potable.
Le 24 décembre 2020, en raison du Covid-19, les chrétiens ont dû s'adapter. Dans les églises, le nombre de personnes autorisées a été limité et chacun devait respecter les gestes barrières. Lors du repas de Noël, le nombre d'invités était limité à 6 personnes. Une distance de 2 mètres entre les invités devait également être respectée.
2020 = VIN VIN
Lors des fêtes de Noël 2020 – Dieu a ainsi réduit drastiquement la présence des chrétiens dans les églises – car il met un terme à l'Alliance du VIN avec Jésus – dont la naissance est célébrée à Noël.
Voilà pourquoi lors de Noël 2020, Dieu ne voulait pas que les chrétiens remplissent les églises.
Par ailleurs, lors de ces fêtes, de nombreuses familles n'ont pas pu être entirèrement réunies car Dieu nous fait comprendre que l'Alliance du VIN avec Jésus désunit les hommes – en laissant le pouvoir politique entre les mains de César : le RICHE – qui a construit un monde dans lequel règne la lutte de tous contre tous.
Noël 2020 et ses « distances de sécurité » – symbolisaient ainsi un monde divisé – séparé par le règne de l'individualisme.
Or en 2020, jamais dans l'Histoire de l'humanité, l’existence humaine n’avait été mise à si haut prix. Pour la première fois, la vie était la valeur ultime.
L'épidémie a déplacé le focus médiatique et politique : en temps normal, de quoi nous parle-t-on ? On nous parle de la croissance du PIB, de la balance des paiements, on nous parle de l’inflation, du taux de change, des taux d’intérêt, etc. Tous des indicateurs abstraits de l’accumulation du profit capitaliste, de l’accumulation de valeur abstraite…
Et désormais, avec cette pandémie, le focus était tout à fait différent : l’attention politique, médiatique était focalisée complètement sur le travail des infirmières et infirmiers, leur surcharge de travail, sur les malades qui meurent, ceux qui guérissent, sur le travail des éboueurs ou du personnel dans les magasins d’alimentation, le sort des personnes confinées, des non-confinés, etc.
En résumé, en temps normal on nous parle de l’abstraction de la non-vie, et dorénavant, on nous parlait de la vie et de la mort c’est-à-dire du vivant. Il y avait là un changement très important au niveau de l’ambiance idéologique générale.82
« Rêvant d’usines sans ouvrier, de caisses sans caissière, de médecine sans soignant, de taxis sans chauffeur, d’école sans enseignant, d’humanisme sans humain, le capital voulait ''quoi qu’il en coûte'' se débarrasser des corps.
Eh bien voici le scoop : les corps se vengent. La corporalité irréductible du monde revient comme un boomerang planétaire. Elle vient mettre en danger la virtualité de la finance. Les corps sont là comme sur les places, comme sur les ronds-points, comme dans la rue. Non pour affirmer leur puissance de vie mais parce que leur détresse rappelle cette vérité fondamentale : il n’y a pas de vie sans corps. Il n’y a même pas de profit sans corps, quelque part, au bout de la chaîne démoniaque de la finance. Et c’est toujours le corps qui a le dernier mot, pour le meilleur et pour le pire. »83
À travers l'année 2020 (VIN VIN), Dieu nous envoie ainsi un message afin de nous faire comprendre que la nouvelle Alliance de l'EAU nous impose de construire un monde qui place l'humain avant le profit.
« Dès avant l’apparition du premier contagieux, ce monde comptait 820 millions d’affamés, 2,2 milliards de personnes dépourvues d’eau potable, 4,2 milliards privées de services d’assainissement sûrs, et 3 milliards sans même aucune installation pour simplement se laver les mains !
Un monde pareil est d’autant plus inadmissible que, tous les ans, environ 618,7 milliards de dollars s’envolent en publicité, que 1 800 milliards de dollars est englouti en dépenses militaires et en armements dont absolument aucun n'a servi à combattre la menace que faisait peser le Covid-19, qui a causé des millions de morts.
Ce virus ne faisait pas de discrimination entre les uns et les autres. Il ne le faisait pas non plus entre les riches et les pauvres. N’empêche que ses effets dévastateurs ont empiré là où vivaient les plus vulnérables, les gens aux moindres revenus, dans le monde pauvre et sous-développé, dans les poches de pauvreté des grandes cités industrialisées. Et ses retombées ont été spécialement fortes là où les politiques néolibérales et les réductions des dépenses sociales ont limité les capacités de gestion publique de l’État.
Il a fait plus de victimes là où les gouvernements ont réduit les budgets consacrés à la santé publique. Il a causé plus de dommages économiques là où l’État a peu de possibilités ou aucune de venir à la rescousse de ceux qui perdent leur emploi, doivent fermer boutique et voient leurs revenus personnels et familiaux se réduire drastiquement ou disparaître purement et simplement. Dans les pays les plus développés, c’est chez les pauvres, chez les immigrés qu’il a causé le plus de morts ; aux Etats-Unis en particulier, c’est chez les Afro-étasuniens et les latinos. »84
« Un exemple : sans vouloir minimiser l’épidémie, il est intéressant de savoir que le nombre de morts faits par le COVID-19 en quatre mois (environ 30 000) est à peu près identique au nombre de personnes qui meurent de faim chaque jour. Ou que le paludisme cause encore plus de 450 000 décès chaque année. Sans qu’on ne s’alarme, dans ces deux cas, des mesures à mettre en place pour éviter pareilles hécatombes. »85
Les capitalistes « laissent ainsi mourir de faim six millions d’enfants par an, qui pourraient être sauvés à peu de frais par un vaccin qui s’appelle nourriture, en renonçant seulement à 0,00000001% de leurs vertigineux revenus d’escrocs, et vous croyez que des génies du Business comme Bill Gates protègent notre santé ? Rien que l’idée en serait ridicule ! Malheureusement, des millions sinon des milliards d’hommes y croient, et cette croyance est une forme de collaborationnisme. Il ne pourrait pas y avoir 1000 psychopathes super-milliardaires au sommet de la gouvernance mondiale sans des milliards de collaborationnistes plus ou moins conscients, plus ou moins volontaires, plus ou moins passifs.
Nous vivons dans le roman le plus dystopique jamais écrit. Les élites dominantes, les nouveaux patrons universels savent bien que leur système est au bord de l’effondrement économique, politique, financier, écologique, éthique et culturel. Ils savent bien qu’il n’est plus promesse d’un avenir meilleur pour des milliards d’hommes, et qu’il est devenu une menace pour les fondements écologiques mêmes de l’existence humaine.86 » L'épidémie de coranovirus a permis « de réaliser des expériences socio-orwelliennes pour (...) saccager les droits, prévenir des révolutions, distancier les corps, les soumettre à des tests d’obéissance totale, non par d’inconvenantes dictatures militaires comme au siècle dernier, mais sous le fouet des Pandémies.
Nous avons assisté à des événements (…) que même la fantaisie des auteurs de romans dystopiques les plus célèbres ne pouvait imaginer : JT transformés en bulletins de guerre, panique alimentée et répandue, tous médias confondus, nombre des morts gonflé à dessein, processions de cercueils exhibés en guise d’avertissement, quarantaines, distanciation des corps, masques, psychopolice, microchips, délations, policiers municipaux transformés en SS, enterrements interdits, cadavres brûlés sans l’autorisation des familles. Si, quatre mois auparavant, quelqu’un avait prédit ces événements, on l’aurait pris pour un fou. Mais ce qui est folie chez les humains peut devenir normalité.
Une chose est sûre. Les mesures prises par les gouvernements pour faire face à la contagion nous donnent la mesure parfaite, sur le plan symbolique, de la place réservée au dernier homme dans le capitalisme absolu : une pure et simple unité statistique, un simulacre bio-politique, un sujet sans références, distancié, dés-identifié, qui n’a pour seule fonction que d’assister passivement au spectacle macabre et avilissant du nouveau Léviathan. Un zombi qui circule au milieu de longues files, patient, docile et muet, pour acheter des marchandises et payer des factures. Un paria qui se méfie de son semblable. Le capitalisme de la Pandémie se révèle dans sa véritable essence, celle de la vie nue. Il apparaît sans fanfreluches ni médiations comme un système qui fait du sujet son propre ersatz, de l’homme un consommateur passif et solitaire d’images et bobards télévisuels. Nous sommes arrivés à l’apothéose de l’homme néo-libéral, de l’individu absolu, seul, en concurrence avec tous, méfiant, terrifié, barricadé dans son cocon égotiste.
L’homme masqué est l’homme quelconque, parfaitement désidentifié, l’homme sans visage, c’est le sujet indistinct, donc pur objet spectral, métaphore parfaite du consommateur-distributeur automatique, de l’homme réduit à la simple dimension de marchandise, de valeur d’échange. Si l’argent sans visage, parfaitement numéraire, est le nouveau Dieu, comment voulez-vous que son disciple en ait un ? Comment pouvez-vous croire que l’individu soit un sujet libre, exclusif et irremplaçable dans son genre, quand il admire un Dieu indifférencié ? Mais il y a un autre revers anthropologique du masque : la difficulté à se reconnaître, les regards sombres et de travers qu’on se lance de loin que j’ai remarqués chez les passants, ou les gens qui font la queue au supermarché. Donc, pas seulement désidentification, mais aussi méfiance. Ne trouvez-vous pas que c’est le binôme parfait des rapports sociaux dans lesquels la communauté est dissoute, et la concurrence célébrée comme un dogme constituant ? »87
À travers l'année 2020 (VIN VIN) – Dieu enlève ainsi son « masque » en nous montrant que l'Alliance du VIN avec Jésus divise les hommes, qui ne sont même plus des hommes mais des zombies esclaves du dieu Argent – le dieu de César.
Comprenez bien que les zombies sont déjà morts, ils ne deviendront jamais des ANGES avec 2 AILES dans le dos pour s'envoler au paradis.
Le port obligatoire du masque a effacé le visage et, dès lors, intimait à l’individu de renoncer à son humanité. « Dans la ''pandémie'' du coronavirus, cette obligation a supprimé tout vis à vis. La dissimulation du visage était un signe d’altération de la personnalité. Elle entraînait une rupture de l’individu dans ses rapports avec ses proches, une néantisation des rapports sociaux. Le port du masque entraînait un retrait, un isolement qui remettait en cause la notion même d’individu, puisque celle-ci procède de l’extérieur, dans le vis à vis d’autrui.
Déjà pour les romains, le masque, porté par les acteurs, ''est une puissance sortie des ténèbres, de l’invisible et de l’informe, du monde où il n’y a plus de visage''. Il traduit l’impossibilité de toute relation. Chez les romains et dans notre société, ''s’exposer comme visage est un lieu significatif du rapport au politique, du rapport à l’autre : individu ou groupe''.
Le port du masque, comme effacement du visage, était donc suppression du vis à vis, du rapport à l’autre. Il était aussi perte de la face par rapport au pouvoir. Il traduisait la fin du politique, de toute possibilité de confrontation.
En effet, avoir un visage, c’est ce qui répond, dans le registre imaginaire, à avoir un nom dans le registre symbolique . Avoir un visage, c’est advenir comme personne. Le visage est ce qui montre et dissimule le sujet dans son rapport au semblable. Le visage, pour tout sujet, est le dehors. Il est le masque qui sert de leurre dans les relations humaines.
Le porteur du masque ''coronavirus'' était quant à lui sans visage, il était donc exclu du jeu des semblants. Il renvoyait à une image béante, dont le porteur ne pouvait s’absenter. Il s’inscrivait dans la transparence. Il n’était que ce qu’il montrait : l’enfermement dans le réel, la fusion avec le regard du pouvoir. Si bien que le porteur du masque n’était plus une personne, mais devenait simplement personne : ''nobody''. La perte de la face induit ainsi un passage de la personne à la non-personne. »88
Or une « non personne » ne peut pas s'envoler au paradis, Dieu n'y fait entrer que les hommes : les êtres humains ancrés dans le réel, qui se rendent comptent que César extermine des millions d'êtres humains chaque année en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre.
Le port obligatoire du masque en 2020 (VIN VIN), symbolise les électeurs du règne de César dont l'Alliance du VIN laisse le pouvoir politique entre les mains. À chaque élection présidentielle, ces électeurs sont « masqués » : dans le secret de l'isoloir, personne ne voit leur visage, et ils tuent alors des millions d'êtres humains – également sans visage – en permettant à César d'accaparer leurs richesses.
En 2020 (VIN VIN), le port obligatoire du masque nous a fait perdre notre visage et donc notre humanité, car Dieu nous fait comprendre qu'en rejoignant l'Alliance du VIN – qui laisse le pouvoir politique entre les mains de César – nous perdons notre humanité en votant pour la destruction de l'homme et de la nature.
En 2020, nous avions ainsi l'interdiction de nous embrasser et de nous serrer la main, parce que Dieu nous révèle que l'Alliance du VIN désunit les hommes : le règne de César imposant une compétition permanante entre eux.
En 2020 (VIN VIN), Dieu a donc mis un terme à toutes les compétitions sportives.
Dieu a ainsi contrecarré la propagande de César qui utilise les idoles du sport, du cinéma ou de la musique, pour faire la promotion de ses marques et véhiculer son idéologie.
En 2020, Dieu a donc empêché les hommes d'acclamer les idoles du dieu Argent.
Dieu nous fait comprendre qu'en laissant le pouvoir politique entre les mains de César, l'Alliance du VIN avec Jésus a permis au dieu Argent et ses idoles de régner sur Terre.
En 2020, Dieu a donc contrecarré le règne de César pour nous révéler qu'il met un terme à l'Alliance du VIN.
Désormais, pour obtenir la vie éternelle, la nouvelle Alliance de l'EAU nous impose de nous unir politiquement, avec tous les citoyens du monde, afin de construire un monde solidaire, égalitaire et fraternel.
Par ailleurs, l’épidémie de coronavirus a entraîné une réduction drastique des gaz à effet de serre. Avec le confinement de plus de 4 milliards d’êtres humains, les émissions polluantes ont considérablement baissé en quelques semaines dans des proportions rarement observées – alors que la pollution atmosphérique tue chaque année entre 5 à 9 millions de personnes dans le monde.
En 2020 (VIN VIN), Dieu nous envoyait ainsi un message en nous faisant comprendre qu'il remplace l'Alliance du VIN par celle de l'EAU – afin que nous renversions le règne de César et construisions un monde qui protège l'homme et la nature.
De César à Octave
À la mort de Jules César, son petit neveu et fils adoptif, Octave, son lieutenant, Marc Antoine et le proconsul de la Gaule transalpine, Lépide s’entendent pour se partager le pouvoir. Ils forment le second triumvirat. Leur premier objectif est de venger la mort de leur mentor. Cassius et Brutus sont tués en 42 av. J.-C. lors de la bataille de Philippes. Après la destitution de Lépide en tant que triumvir par Octave, les deux hommes se retrouvent face à face. Le conflit est inévitable. Marc Antoine allié à Cléopâtre est battu à Actium en 31 av. J.-C. Octave poursuit alors méthodiquement la conquête de l’Orient, jusqu’en août 30 av. J.-C., lorsque Marc Antoine et Cléopâtre se suicident. Octave reste le seul maître de Rome. De plus, l’opinion publique est lasse des désordres et des guerres civiles, elle réclame un régime stable, fût-il autoritaire.
De retour dans la cité, Octave inaugure une ère nouvelle qui ne se terminera qu’avec la chute de Rome au Ve siècle.
L'Empire romain
Le Haut-Empire
Le Sénat confère alors à Octave le titre d’Auguste. Tout en laissant le déroulement des anciennes magistratures et du Sénat, Auguste concentre tous les pouvoirs entre ses mains. Ses successeurs les empereurs Julio-Claudiens, les Flaviens et les Antonins mènent l’Empire romain à son apogée. Au IIe siècle, la superficie de l’Empire romain est à son maximum, et compte entre 50 et 80 millions d’habitants. Rome est avec un million d’habitants la plus grande ville du monde méditerranéen.
Pouvoir et culte impériaux
Les empereurs portent le titre d’imperator, chef suprême des armées. Pendant toute la durée de l’Empire romain, la victoire est un puissant facteur d’affermissement du pouvoir. L’empereur vaincu se voit facilement contester le pouvoir par un autre général ambitieux. Tous les empereurs prennent l’habitude de se faire élire consul pour montrer la continuité entre les institutions républicaines et le principat. Cela leur confère aussi l’imperium, le pouvoir de contraindre et d’être obéi de tous. Ils ont aussi l’imperium proconsulaire ce qui leur donne le pouvoir de gouverner toutes les provinces. En tant que détenteur de la puissance tribunitienne, ils possèdent l’intercessio, c’est-à-dire le droit de s’opposer à n’importe quelle décision des magistrats de l’Empire. Comme Jules César, ils portent le titre de grand pontife qui fait d’eux les chefs de la religion romaine. Ils reçoivent un serment de fidélité personnelle de tous les habitants de l’Empire.
Jusqu’à la fin de l’Empire byzantin, la succession d’un membre de la famille au feu empereur n’est pas automatique. Le pouvoir n’appartient ni à un individu, ni à une dynastie. Ainsi, il y a des risques importants de guerres civiles à chaque fin de règne. La période des Antonins, où l’empereur choisit son successeur hors de sa famille, et où il n’y a pas de troubles lors de la prise de pouvoir du nouvel empereur, est une exception. Le Sénat et le peuple sont pénétrés par la crainte d’une guerre civile à chaque succession. Ils acceptent donc avec empressement l’idée qu’un descendant du prince régnant prît la suite de son père. Un des devoirs de tout empereur est de préparer la transmission pacifique de son trône. Le choix le plus logique est, même aux yeux des Romains, de désigner son fils ou d’en adopter un. En cas de crise, un général porté en triomphe par ses soldats peut par les armes accéder au pouvoir suprême. La garde prétorienne chargé de veiller à la sécurité des empereurs joue un rôle grandissant dans les complots et les assassinats qui jalonnent la période impériale.
La fonction de grand pontife procure aux empereurs un caractère sacré. De plus dans les croyances populaires, Scipion l’Africain, Marius et Sylla ont un caractère divin. César développe autour de lui une légende de divinité prétendant descendre de Vénus et d’Énée. L’empereur Auguste met en place le culte impérial. Il fait diviniser César et ainsi, en tant que son héritier, il s’élève ainsi au-dessus de l’humanité. Il se dit fils d’Apollon. Il associe aussi toute la communauté au culte du génie familial devenant ainsi le père de tous, d’où son titre de père de la patrie. Auguste refuse d’être divinisé de son vivant. Il laisse cependant se construire des temples qui lui sont consacrés surtout dans l’Orient habitué à considérer ses souverains comme des dieux vivants, à condition que son nom soit associé à celui de Rome divinisée. Le mouvement se poursuit après sa mort. Tous les empereurs se placent sous l’auspice d’un dieu. Peu à peu, ils sont assimilés à des dieux vivants dans tout l’Empire. Après la mort ils reçoivent l’apothéose. Les Antonins prennent Jupiter capitolin comme dieu suprême. Pendant le règne d’Hadrien, la divinisation de l’empereur vivant progresse encore en Orient. L’idéologie impériale revêt des aspects plus philosophiques. L’empereur doit sa réussite à son mérite (Virtus) et à la protection divine.
Le culte impérial est aussi une manière d’habituer les habitants de l’Empire, si dissemblables par la culture et les croyances à respecter le pouvoir de Rome à travers un empereur divinisé. Dans tout l’Empire, on restaure ou on construit des temples consacrés au culte impérial. Des cérémonies sont organisées en l’honneur de l’empereur. C’est l’occasion pour la communauté de se retrouver dans des processions devant de sacrifices, des banquets et toutes sortes de spectacles.
Administration impériale
Dans les provinces sénatoriales, le gouverneur, un proconsul ou un propréteur, est nommé par le Sénat. Ces provinces sont en paix et il n’y réside aucune légion en permanence. Dans les provinces impériales le gouverneur, un légat propréteur ou procurateur, est nommé par l’empereur. L’Égypte est dirigée par un préfet pris dans l’ordre équestre nommé par l’empereur. Cependant l’empereur dispose de pouvoirs de contrôle dans toutes les provinces. Il peut nommer des légats extraordinaires dans les provinces sénatoriales. Partout dans l’Empire, les domaines impériaux, les impôts indirects et les mines sont administrés par un procurateur nommé par l’empereur. L’Italie jouit d’un statut privilégié. Elle échappe à l’impôt foncier et est administrée directement par le Sénat.
Organisation militaire
Jusqu’au milieu du IIe siècle, l’armée reste une armée de conquête. Auguste annexe l’Illyrie et tente vainement de conquérir la Germanie. Il fixe les frontières de l’Empire au Rhin et au Danube. Claude fait la conquête de la Bretagne, Trajan, celle de la Dacie, de l’Arabie. Il fait l’éphémère conquête de la Parthie. À partir d’Hadrien, le plus important est de maintenir l’Empire et non plus de conquérir de nouveaux territoires. Une des priorités d’Hadrien est d’enclore l’espace romain derrière une muraille destinée à protéger l’Empire des barbares. On lui doit le fameux mur d’Hadrien au nord de la Bretagne. Ces successeurs continuent son œuvre. Aux frontières de la Germanie, de l’Orient et de l’Afrique, des murs sont érigés. On a fini par leur donner le nom de limes bien qu’en latin, limes signifie simplement chemin de patrouille à la frontière. Des voies stratégiques permettent de circuler facilement jusqu’aux frontières pour les défendre en cas d’attaque. En tout, les Romains ont 9 000 km de frontière à défendre. L’armée reste cantonnée aux frontières. Les gouverneurs des provinces frontalières qui accueillent des légions sont choisis avec soin par l’empereur, car ils en assurent le commandement. En tout, 400 000 hommes repartis en 30 légions (25 à l’époque d’Auguste) défendent les frontières.
L’armée romaine comprend à peu près 150 000 légionnaires de citoyenneté romaine et engagés pour 20 ans. Ils sont doublés par des troupes auxiliaires recrutées parmi les non-citoyens et qui reçoivent la citoyenneté romaine au bout de 25 ans de service militaire. À partir d’Hadrien, une partie des auxiliaires se distinguent de l’armée romaine, car ils gardent leur armement traditionnel. Les Italiens, qui au Ier siècle étaient encore majoritaires dans les légions, répugnent de plus en plus à faire leur service militaire. Il faut donc aller chercher les recrues dans les provinces qui, quand elles sont très romanisées, rechignent elles aussi à partir à l’armée. Les soldats se recrutent donc de plus en plus dans les provinces les moins romanisées même si, au IIe siècle, la garde prétorienne et les officiers (Centurions) sont toujours recrutés parmi les Italiens. L’Italie demeure aussi le principal lieu de recrutement pour la formation de nouvelles légions comme ce fut le cas sous Marc Aurèle (Legio III Italica). L’armée romaine est devenue néanmoins une armée de métier qui a amalgamé les divers peuples de l’Empire. Son unité provient d’un esprit de corps donné par un entraînement rigoureux, une discipline de fer élevée au rang de divinité, une religion spécifique des camps autour des dieux romains traditionnels et du culte impérial, un encadrement de qualité. On doit au corps des ingénieurs militaires la construction de canaux, de routes, d’aqueducs, et de fortification de cités. La présence de l’armée aux frontières est un grand facteur de développement économique pour ces zones et un puissant instrument de romanisation.
La société du Haut-Empire
Les 80 millions d’habitants de l’Empire appartiennent par naissance ou par fortune à des groupes sociaux différents. On naît esclave, homme libre ou citoyen romain. Les esclaves n’ont aucun droit. Ils mènent une vie très dure dans les grands domaines ou dans les mines. En ville leur sort est plus clément. Ils travaillent comme domestiques, artisans et même professeurs ou artistes pour les plus lettrés. Certains tiennent boutique et versent une somme à leur maître pour pouvoir travailler. Ils peuvent ainsi payer leur affranchissement. Les sujets de l’Empire sont des hommes libres qui ne sont pas citoyens romains. Ils peuvent témoigner en justice, mais doivent payer le tributum, un impôt direct. On est citoyen romain par naissance, par décret ou après 25 ans de service militaire. Les citoyens ne paient pas le tributum. La plupart des citoyens exercent de petits métiers. À Rome, il existe 200 000 citoyens pauvres pour qui les distributions gratuites de l’annone sont vitales.
Les plus riches sont regroupés dans l’ordre équestre ou l’ordre sénatorial sur décision de l’empereur. Dans cette société d’ordres : ordre sénatorial, ordre équestre ou ordre décurional, la nobilitas se distingue une reconnaissance de l’origine et non pas par un statut. Cependant, la nobilitas perd certains de ses marqueurs sociaux. Au IIe siècle la procession des portraits disparaît. Elle est en effet désormais réservée aux seules funérailles impériales.
Au début de l’Empire, la société n’est pas figée. Les esclaves, surtout urbains, peuvent être facilement affranchis par leur maître. Peu à peu tous les hommes libres accèdent à la citoyenneté. L’édit de Caracalla, en 212, fait de tous les hommes libres des citoyens romains, ce qui « renforce l’unité morale de l’Empire ». Cependant, les Barbares soumis par la force ainsi que les basses couches de la population égyptienne ne reçoivent pas la citoyenneté. Ainsi à Volubilis, les paysans isolés et les tribus semi-nomades voisines de la cité restent des sujets de l’Empire, sauf quelques chefs récompensés ainsi de leur soutien. Mais peu à peu, les distinctions se font entre les honestiores, les puissants, et les humiliores, les humbles. Ils sont traités de manière inégale devant la justice : à la distinction juridique entre citoyen et non-citoyen s’est substituée une distinction sociale entre riches et pauvres.89
« L’édit de Caracalla a donné la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l’empire qui ont alors pu bénéficier des avantages associés à la citoyenneté : droit de propriété, droit de vote, éligibilité à la magistrature, droit d’intégrer la légion romaine (mieux payée et moins exposée que les auxiliaires), droit d’appel d’une décision de justice auprès du peuple romain. »90
L’édit de Caracalla a été promulgué en 212.
12 = L
2 12 = 2 L = 2 AILES
Un ange possède 2 AILES dans le dos.
Dieu nous fait comprendre que nous obtiendrons 2 AILES dans le dos pour nous envoler au paradis – en luttant politiquement afin de donner la citoyenneté à tous les êtres humains.
Ce qui signifie que nous devons créer un monde dans lequel chacun sera libre de circuler et de s’installer librement en bénéficiant de la citoyenneté.
La question est alors de déterminer quelle est la meilleure stratégie à adopter pour y parvenir ?
En effet, Lutte Ouvrière et le NPA sont favorables à la libre circulation et installation des êtres humains. Le NPA considère que : régulariser tous les sans-papiers présents à un moment donné sur un territoire, c’est bien mais cela ne règle pas la question une fois pour toutes, puisque d’autres migrants arriveront à leur tour. Pour être conséquent, il faut reconnaître la liberté de circulation et d’installation à tous les êtres humains. Aujourd’hui, les marchandises, les capitaux, les entreprises circulent de plus en plus librement à travers toute la planète, cherchant les juteuses sources de profit et les pays où la main-d’œuvre est moins chère. Pendant ce temps, les frontières se ferment pour les personnes. Enfin, pas toutes : il est beaucoup plus facile pour un Français d’aller au Mali que l’inverse…
La liberté de circulation, c’est d’abord une question d’égalité et de réciprocité : il n’y a aucune raison de refuser dans un sens ce qui est donné en sens inverse, sauf à soutenir l’idée raciste que certains humains sont plus égaux en droits que d’autres. C’est ensuite une question de droits humains : la liberté pour chacun et chacune de circuler ne devrait-elle pas en faire partie ? Dans son article 13, la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, proclame que « toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien ». Elle reste silencieuse sur le droit de toute personne à s’installer dans tout pays, mais c’en est le complément logique.91
Je partage le point de vue du NPA, mais lorsque nous arriverons au pouvoir, si nous autorisons la libre circulation et installation des travailleurs, n'y aura-t-il pas en France un afflux massif de travailleurs « étrangers », qui fuiront la misère notamment dans les pays du Tiers Monde ? Actuellement, la majeure partie des travailleurs français le craignent, ils ne sont pas favorables à une telle mesure étant donné qu’en cas d’un afflux massif de travailleurs « étrangers », cela entraînerait encore plus de concurrence dans le monde du travail alors qu’il y a déjà 6 millions de chômeurs dans notre pays, toutes catégories confondues. Alors la question est de savoir si nous pourrons un jour obtenir plus de 50 % des suffrages à une élection présidentielle avec une telle mesure inscrite dans notre programme ? L.O. et le NPA ne pensent pas être capables de prendre le pouvoir par les urnes vu leurs faibles scores électoraux, or nous y parviendrons dans plusieurs années et c’est la raison pour laquelle le chef-lieu du département 50 est la commune de Saint-LO car Dieu nous fait comprendre que L.O. obtiendra un jour plus de 50 % des voix à l’élection présidentielle. Lorsque ce jour arrivera, nous aurons 5 ans pour prouver au monde entier qu’il existe une alternative au capitalisme, et pour exporter notre révolution, nous devrons obtenir de meilleurs résultats que le capitalisme notamment au niveau de l’emploi. Or si des centaines de milliers voir des millions de travailleurs « étrangers » émigrent en France, nous aurons du mal à réduire le taux de chômage et notre révolution risquera alors de ne pas s’exporter et surtout ne pas durer plus de 5 ans en France. Marx et Engels ont écrit que pour renverser le capitalisme, la lutte des travailleurs devait d’abord passer par une étape nationale afin d’en finir avec leur propre bourgeoisie, car vous pouvez être sûr que lorsque nous aurons pris le pouvoir en main, les bourgeoisies française et internationale ne vont pas se laisser faire, elles vont retirer leurs capitaux pour détruire notre économie. Les Français verront alors la vraie nature de cette classe sociale ce qui créera probablement une solidarité supplémentaire entre les citoyens pour mener à bien notre révolution et ainsi déjouer la contre-révolution organisée par la bourgeoisie capitaliste mondiale. Or au départ, il y aura une période de transition avant que nous puissions réinvestir les richesses produites par les travailleurs pour recréer les emplois que la bourgeoisie aura détruit en retirant ses capitaux. Par conséquent, ce serait problématique si des centaines de milliers voire des millions de travailleurs des pays du Tiers Monde émigraient subitement en France, il y aurait alors beaucoup trop de personnes sur le marché du travail et ça créerait des tensions dans la population en générant de la peur et du racisme, comme nous avons pu le voir parfois en Allemagne après l’arrivée massive de migrants en 2015. Une telle situation serait dangereuse car lorsque nous prendrons le pouvoir en main, nous aurons besoin de confiance et d’unité pour supporter les coups que la bourgeoisie mondiale nous donnera forcément, comme ce fut le cas au Chili dans les années 1970 et plus récemment en Grèce. Maintenant, peut-être que les peuples du monde seront admiratifs de notre courage, notre combativité, notre dignité, et ils auront alors envie de s’unir politiquement avec nous pour renverser cette méprisante bourgeoisie mondiale dont la cupidité appauvrit la majeure partie des habitants de la planète. Dans ce cas, si notre révolution s’exporte immédiatement en faisant « tache d’huile », effectivement, il faudra ouvrir les frontières à tous les travailleurs pour unir les peuples du monde, mais pour l’instant, nous ne sommes pas dans cette configuration-là : les peuples sont divisés, alors je pense que nous réussirons à exporter notre révolution si nous parvenons à prouver que notre système économique est plus efficace que le capitalisme. Nous allons ainsi devoir construire un autre modèle de société, inventer de nouvelles choses, redéfinir la manière de vivre ensemble et ça passe par baisser le temps de travail pour permettre à tous les citoyens d’avoir un emploi, quitte à travailler 25H par semaine. Nous pourrons également rendre la vie moins chère en généralisant progressivement la gratuité dans de nombreux domaines pour mettre un terme à la marchandisation systématique de la vie ; l’humain sera alors placé avant le profit : plus personne n’aura le droit de s’enrichir, il n’y aura plus d’exploitation, plus de compétition, plus de concurrence, l’économie sera collectivisée, les citoyens seront tous membres d’une même famille et ils seront alors bien plus heureux qu’aujourd’hui ; ils seront plus libres, ils seront les maîtres de leur pays, de leur vie, de leur destin, ils feront la loi ; les soins médicaux seront gratuits, tout le monde mangera à sa faim, il n’y aura aucune expulsion locative, chacun aura un logement, plus personne ne sera laissé à l’abandon, plus personne n’aura peur, et nous prendrons alors le temps de vivre car actuellement, nous ne vivons pas la vie, nous la consommons : les gens sont conduits à fantasmer seulement sur les objets matériels ; les portables et les tablettes, les voitures et les téléviseurs. Mais les messages sont vides, pleins de nihilisme, répétitifs et creux. Les voitures peuvent désormais être conduites à une très grande vitesse, mais il n’y a rien de vraiment significatif à attendre à la fin du voyage. Les portables ont des milliers de fonctions et d’applications, mais ils diffusent les messages les plus triviaux. Les téléviseurs régurgitent de la propagande et des divertissements intellectuellement toxiques. Tout rapporte des profits aux grandes multinationales, garantit l’obéissance et renforce le régime. Mais à bien des égards, l’humanité devient de plus en plus pauvre, alors que la planète est presque entièrement ruinée. La beauté est remplacée par des images horribles, sanguinolentes. On crache sur la connaissance, remplacée par la musique pop primitive, ou confondue avec des diplômes aux airs officiels et des cachets d’agrément délivrés par des centres d’endoctrinement appelés universités : « Diplômé : prêt à servir l’Empire ! » La poésie a quitté la plupart des librairies et de la vie92. Cette vie n’a aucun sens. Or lorsque nous prendrons le pouvoir en main, nous ferons la révolution pour changer le monde : nous écrirons l’Histoire en opposant à la logique capitaliste une société alternative qui privilégiera le droit à l’existence contre celui de s’enrichir, les besoins contre les profits, le bien commun contre l’intérêt égoïste, la démocratie contre les marchés, et nous parviendrons ainsi à exporter notre modèle économique car notre modèle de société sera attractif aux yeux des peuples du monde entier. Nous allons ainsi devoir réfléchir à la société que nous voulons créer et établir un programme qui nous permette notamment d’obtenir de meilleurs résultats que le capitalisme en terme d’emplois, et c’est pourquoi, je pense qu’il sera préférable de fixer au départ un quota pour limiter le nombre de travailleurs « étrangers », afin de réduire le chômage pour que notre révolution ne s’achève pas au bout de 5 ans et puisse s’exporter. L’instauration de ce quota n’a rien à voir avec du racisme ou de la xénophobie, bien au contraire, l’objectif étant de mener à bien notre révolution pour qu’elle s’exporte, c’est-à-dire exporter dans le monde entier l’expropriation des capitalistes de l’économie, et le plafonnement des revenus afin de redistribuer équitablement les richesses de la Terre entre chaque être humain et ainsi permettre à tous les pauvres du monde entier, quelque soit leur nationalité, de vivre dignement. À partir du moment où les peuples seront unis politiquement, que le monde sera débarrassé du capitalisme et les richesses de l’humanité mises en commun, il n’y aura plus de chômage, ni de pauvreté, c’est une certitude mathématique, personne ne peut dire le contraire, or toute la difficulté pour unir les peuples est de se débarrasser au préalable du capitalisme dans un seul pays. Nous allons donc devoir trouver les solutions pour y parvenir en France car notre pays doit devenir le phare du monde qui montrera aux peuples de la Terre le chemin de leur libération.
Nous devons ainsi choisir la meilleure stratégie à adopter, parce que d’un point de vue moral, la libre circulation et installation des travailleurs est bien évidemment la meilleure mesure à prendre mais d’un point de vue stratégique, elle peut empêcher notre parti politique d’arriver au pouvoir, les travailleurs français ayant peur d’ouvrir les frontières aux travailleurs « étrangers » ; et d’autre part, lorsque nous aurons le pouvoir en main, un afflux massif pourrait compliquer la mise en place de notre nouveau modèle économique.
Je précise que je parle de la libre circulation et installation des travailleurs et non des personnes car je suis bien évidemment favorable à l’accueil de tous les migrants, quels qu’ils soient, parce que nous avons le devoir de les loger, les soigner et les nourrir, afin de satisfaire leurs besoins élémentaires. Dans Le Jugement des Nations (Matthieu 25.31-46), Dieu nous fait comprendre que tous ceux qui refuseront d’accueillir, de nourrir et de soigner les étrangers, iront en enfer, alors nous avons le devoir d’accueillir tous les migrants, mais dans le Jugement des Nations, Dieu ne mentionne pas que nous devons leur fournir un travail. Ainsi, nous allons devoir déterminer quelle est la meilleure stratégie pour éradiquer le capitalisme et donc déterminer si nous adopterons ou non dans notre programme la libre circulation et installation des travailleurs. Le NPA soutient qu’en cas d’ouverture des frontières, il n’y aura pas d’appel d’air, c’est-à-dire pas d’immigration massive. Selon Denis Godard, militant du NPA : « L’appel d’air est un mythe qui ne repose sur aucune donnée. Catherine Wihtol de Wenden indique que cet appel d’air ne s’est jamais produit dans des pays aux conditions sociales et d’asile très développées comme la Suède ou le Danemark. Idem au sein de l’Europe avec l’ouverture de l’Union européenne à l’est. Depuis quelques années, des chercheurs du monde entier ont commencé à étudier l’hypothèse d’une ouverture des frontières. Leurs projections sur 25 ans invalident le mythe d’un afflux massif vers l’Europe sur la base notamment de ce qu’ils appellent une migration pendulaire faite d’allers-retours et l’augmentation des flux à l’échelle régionale, c’est-à-dire entre pays voisins. »93
Le NPA soutient ainsi qu’il n’y aura pas d’immigration massive et il a peut-être raison, alors dans ce cas-là, nous pourrons ouvrir les frontières à tous les travailleurs, mais encore une fois, peut-on gagner une élection présidentielle avec une telle mesure à partir du moment où les électeurs ne peuvent pas savoir s’il y aura une immigration massive ou non ? C’est la raison pour laquelle je pense qu’il faudra fixer des quotas.
Ma mission est d’unir L.O. et le NPA dans un seul parti politique et j’aimerais que dans le futur, ce soient les militants de notre nouveau parti politique qui répondent à la question de la libre circulation et installation des travailleurs. L’objectif est d’instaurer une démocratie participative qui permette aux militants de voter afin de décider quelle est la meilleure stratégie à adopter pour prendre le pouvoir en France et éradiquer ensuite le capitalisme de la surface de la Terre.
L.O. et le NPA veulent renverser le capitalisme pour que les travailleurs, et plus généralement les peuples, puissent enfin prendre les rênes du pouvoir, donc lorsque nous remporterons l’élection présidentielle, il faudra que le peuple décide par referendum s’il veut instaurer la libre circulation et installation des travailleurs. Ainsi, faire voter dès aujourd’hui ou dans les prochaines années nos militants pour répondre à cette question importante, montrera à tous les Français la société démocratique que nous voulons créer, car actuellement, nous ne vivons pas dans une démocratie, à partir du moment où elle se résume à voter pour une seule personne qui bien souvent trahi pendant 5 ans ses promesses électorales.
Lorsque nous prendrons le pouvoir en main, si nous décidons d’accueillir les migrants, mais refusons de leur donner du travail, ce sera une décision injuste, or ce serait tout aussi injuste qu’un migrant venant d’arriver en France, prenne le travail d’un chômeur français de longue durée. Il n’y a donc pas de mesure parfaite tant qu’il y aura du chômage puisque les travailleurs seront toujours en compétition les uns contre les autres. Par contre, il est dangereux de ne pas donner un emploi à quelqu’un au motif qu’il est étranger, ça nous ramène aux pires heures du IIIe Reich, mais si cette mesure est la meilleure solution pour éradiquer le capitalisme qui extermine un enfant toutes les 5 secondes, je pense que nous pouvons mettre la morale de côté et faire tout notre possible pour que notre révolution s’exporte afin de sauver dans l’avenir la vie de centaines de millions d’êtres humains. Par ailleurs, à partir du moment où nous donnerons un logement aux migrants, que nous les soignerons et les nourrirons, nous ferons preuve d’humanité, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui en France, alors peut-être que nous refuserons de leur donner du travail mais ce sera dans l’unique objectif de mener à bien notre révolution pour il n’y ait plus jamais de migrants qui fuient la misère dans le futur.
En tout cas, nous avons largement les moyens de loger les migrants. Une étude de deux journalistes a montré que l’État et les administrations possèdent 11 millions de m2 de logements, bureaux, casernes vacants. En 2017, l'Insee estime elle à 2,9 millions le nombre de logements vides en France sachant qu’il y a 1,8 million de demandes. Ce qui signifie que nous avons de la place pour loger les migrants et la construction de nouveaux logements créera de nombreux emplois.
Par ailleurs, lorsque nous prendrons le pouvoir en main, nous devrons régulariser tous les sans-papiers qui seront présents dans notre pays afin de permettre à des milliers de personnes de sortir de la marginalité sociale. Ainsi, la question est de savoir si par la suite, nous régulariserons tous les immigrés qui viendront en France en leur faisant profiter des mêmes droits que nous : logement, travail, participation électorale. Comme je l’ai expliqué, L.O. et le NPA y sont favorables mais j’éprouve de mon côté quelques réserves, notamment quand je regarde le score électoral de ces deux partis politiques lors de l'élection présidentielle de 2022. Le NPA a obtenu seulement 0,77 % des suffrages et L.O. 0,56 %, alors que ces dernières années, la crise financière aurait dû leur apporter un maximum de voix, mais une partie des ouvriers a préféré rejoindre le Front National, et notamment parce que ce parti politique ne prévoit pas d’ouvrir ses frontières aux travailleurs « étrangers ». Un afflux massif de travailleurs immigrés fait peur, c’est l’une des raisons pour lesquelles les ouvriers ne sont pas attirés par L.O. et le NPA. C’est un vrai problème puisque ce sont les deux seuls partis politiques en France qui défendent leurs intérêts. C’est pourquoi, je pense que les trotskistes doivent éventuellement évoluer sur certaines questions car nous pouvons constater depuis 100 ans que les travailleurs du monde entier sont incapables de s’unir, il n’y a pas eu de révolution mondiale et le mouvement anticapitaliste n’a jamais été aussi faible qu’aujourd’hui ; alors pour l’instant, je pense que la seule solution pour renverser le capitalisme, c’est de parvenir à prendre le pouvoir démocratiquement en France et d’exporter ensuite notre révolution car c’est à partir de la réussite de notre nouveau modèle économique que les autres peuples rejoindront notre mouvement, et ainsi, que tous les travailleurs du monde s’uniront politiquement ; à moins que dans les prochaines années, Dieu nous envoie des signes suffisamment clairs dans toutes les langues pour parvenir à unir tous les peuples du monde contre le capitalisme. Il y aurait alors une révolution mondiale des travailleurs, mais pour l’instant, nous ne sommes pas dans ce cas de figure, alors je pense que la révolution aura d’abord lieu en France et qu’elle s’exportera ensuite dans le monde entier. Voilà pourquoi il faut s’adapter à la situation telle qu’elle est aujourd’hui et changer de stratégie ou au moins avoir un débat, sachant que je vais avoir du mal à convaincre les plus fervents trotskistes de L.O. et du NPA de changer une partie du dogme étant donné que j’arrive de nulle part, je traduis le message de Dieu alors que les trotskistes ne croient pas en Dieu et je veux remettre en cause la libre circulation et installation des travailleurs alors que c’est l’un des fondements de base du trotskisme, et c’est effectivement un principe fondamental qui devrait régir le monde entier, mais le capitalisme a imposé sa loi et divisé les hommes ; donc la question est de savoir quelle stratégie nous devons adopter pour parvenir à éradiquer ce capitalisme de malheur et enfin réussir à unir tous les hommes sur Terre.
Je ne suis ni communiste ni trotskiste, Dieu m’a simplement donné comme mission de traduire ses messages afin de construire un nouveau monde en renversant le capitalisme, et pour y parvenir, nous avons besoin d’unir plus de 50 % des électeurs derrière le mouvement anticapitaliste, or nous sommes très loin du compte pour l’instant, nous devons ainsi adapter notre programme politique pour combattre le plus efficacement possible le capitalisme en convainquant le maximum d’électeurs de nous rejoindre. Il y a bien souvent des victimes dans une révolution et dans notre cas, la victime sera peut-être la morale car ça me dégoûte d’écrire que nous devrons éventuellement refuser de donner du travail à des migrants mais si c’est la meilleure arme pour prendre démocratiquement le pouvoir en France, je pense que nous devons mettre la morale de côté et utiliser cette arme pour renverser le capitalisme. Si Jésus était sur Terre, il parlerait exactement comme Olivier Besancenot et Nathalie Arthaud en nous encourageant à ouvrir les frontières pour permettre à tous les êtres humains de s’installer et de circuler librement, mais je ne suis pas Jésus car ma mission est de nature politique, je dois renverser le système capitaliste, alors si je parlais comme Jésus, j’aurais du mal à convaincre plus de 50 % des électeurs de renverser le capitalisme. Peut-être que je me trompe, mais je pense que la majeure partie des Français a peur d’ouvrir les frontières par crainte d’être mis en concurrence avec de nouveaux arrivants, et c’est la raison pour laquelle je ne suis pas forcément favorable à la libre circulation et installation des travailleurs.
Je rappelle le signe initial : L’édit de Caracalla a donné la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l’Empire et il a été promulgué en 212.
2 12 = 2 L = 2 AILES
Un ange possède 2 AILES dans le dos.
Dieu nous fait comprendre que nous obtiendrons la vie éternelle en luttant pour donner la citoyenneté à tous les hommes sur Terre ; ce qui signifie que nous devons créer un monde dans lequel chacun sera libre de circuler et de s’installer librement en bénéficiant de la citoyenneté. Ainsi, la question est de savoir quelle est la meilleure stratégie à adopter pour y parvenir ?
Rome a été fondée le 21 avril 753 av. J.-C.
21 avril = 21 4
Dieu nous a montré le chemin à suivre à la page 214 du livre d’Arlette Laguiller : C’est toute ma vie.
Arlette est l’ancienne porte-parole de Lutte Ouvrière et elle écrit à la page 214 du livre : « La seule solution conforme à la raison et à l’intérêt du plus grand nombre est la socialisation des grands moyens de production, l’organisation de la production en fonction des besoins des hommes et non plus au profit individuel, la disparition des États nationaux et des frontières qui les séparent, leur remplacement par une confédération universelle des nations qui pourra mettre à la disposition de tous les peuples, de tous les hommes, toutes les ressources de la planète, tous les moyens de la science et de la technique. Ce serait en outre la seule manière de rendre justice à tous ces peuples que le capitalisme occidental a opprimés, pillés pendant des siècles. »94
Nous devons ainsi créer un monde sans frontières et les mots d’Arlette sont symboliques car Rome a été fondée en 753 av. J.-C.
7x5x3 = 105
105 = JE
La page 214 du livre d’Arlette symbolise le NOUS.
NOUS devons ainsi évoluer du JE au NOUS afin de mettre César et le capitalisme à GENOUX.
Mais pour que le NOUS puisse régner, nous devons obtenir plus de 50 % des suffrages lors de l’élection présidentielle, et c’est pourquoi nous devons adopter la meilleure stratégie possible afin de prendre le pouvoir en main, quitte à modifier certaines bases fondamentales du trotskisme.
La ville, lieu de « civilisation » romaine
Dans presque toutes les cités de l’Empire, on vit à l’heure romaine. Selon certaines estimations, Rome, la capitale compte plus d’un million d’habitants sous le Haut-Empire (fourchette de 600 000 à 1.2 million). Les Romains l’appellent tout simplement l’urbs, la ville. Elle est avec Alexandrie, la plus grande ville du monde romain. Depuis le Ier siècle, la ville a été beaucoup embellie par les empereurs. Ces nombreux monuments symbolisent la grandeur de Rome et l’art de vivre de Romains. Les forums, lieux de vie politique sous la République, sont devenus des ensembles monumentaux comprenant des basiliques, de nombreux temples, des arcs de triomphe et des bibliothèques. La colline du Palatin est occupée par les palais impériaux, la maison des Augustes. Mais Rome est avant tout dans l’imagination populaire, la ville des jeux. Plusieurs monuments exceptionnels leur sont consacrés : le circus Maximus entre le mont Palatin et l’Aventin, Le Colisée, le plus grand amphithéâtre du monde romain, consacré aux jeux du cirque, essentiellement des combats de gladiateurs. Les thermes apparaissent à la fin de la République. Les empereurs en construisent de nombreux pour les loisirs de la plèbe romaine. Pour acheminer l’eau dont les thermes et une population nombreuse ont besoin, de nombreux aqueducs sont construits. Au Ier siècle, ils peuvent acheminer vers la ville près d’un million de mètres cube d’eau en un jour. La ville a grandi au cours des siècles de manière désordonnée. Les rues sont étroites et sinueuses. En 64, après l’incendie de Rome, Néron fait reconstruire la ville avec des axes larges et aérés. Les plus riches vivent dans de vastes villas, alors que les plus modestes vivent dans des immeubles collectifs, les insulae.95
L’incendie de Rome, le 18 juillet 64, a détruit 3 des 14 quartiers qui constituaient la ville. Les morts se comptèrent par milliers et on dénombra environ deux cent mille sans-abri. De nombreux édifices publics et monuments furent détruits.
La population, désorientée, a cherché des boucs émissaires, et des rumeurs ont tenu Néron pour responsable. Selon Suétone, on lui prêtait l’intention d’immortaliser son nom en renommant Rome Neropolis. Il était important pour Néron d’offrir un autre objet à cette suspicion. Il choisit pour cible une secte juive, celle des chrétiens. Il ordonna que les chrétiens soient jetés aux lions dans les arènes alors que d’autres étaient crucifiés en grand nombre et brûlés vifs comme des torches.96
L’incendie de Rome a eu lieu en 64.
Saint Pierre est le fondateur de l’Église de Rome. Il est le premier « Pape » de l’histoire. Saint Pierre serait mort en 64, car selon la tradition chrétienne, sa mort est rattachée aux persécutions de Néron contre les chrétiens. Le fondateur de l’Église de Rome serait donc mort l’année où Rome a brûlé.
L’incendie de Rome a eu lieu le 18 juillet 64 (18 7 64).
18x7x64 = 08064
Le code postal 08064 est l’un des codes postaux de la commune de MONT-DIEU.
MONT-DIEU = MON DIEU T
MON DIEU a incendié la ville de ROME en 64.
T = 20
20 = VIN
MON DIEU associe le VIN au feu car boire le VIN de Jésus et laisser ainsi le pouvoir politique entre les mains de César, nous enverra dans les flammes de l’enfer étant donné que nous devons désormais combattre César pour obtenir la vie éternelle.
Le chef-lieu du département 64 est la ville de PAU.
¨PAU = 16x1x21 = 336
Le 336e jour de l'année est traditionnellement le 2 décembre (2 12).
2 12 = 2 L = 2 AILES
À travers l'incendie de Rome en 64, MON DIEU nous révèle que pour obtenir les 2 AILES qui mènent au paradis – et ne jamais brûler dans les flammes de l'enfer – la nouvelle Alliance de l'EAU nous impose d'éliminer César – le jour de l'élection présidentielle – afin de mettre un terme à la PAU-VRETÉ en partageant équitablement les richesses.
MON DIEU nous demande ainsi de brûler Rome, c’est-à-dire d’éradiquer l’Empire capitaliste de César.
Le chiffre 64 symbolise le pouvoir de CESAR car c’est le chiffre du cavalier.
En effet, un cheval possède 64 chromosomes, alors que l’homme en possède 46.
César monte sur le dos des hommes (les chevaux) pour bâtir son empire.
L’Italie a la forme de la botte d’un cavalier.
Ce cavalier symbolise CESAR.
CESAR = RACES
« RACES » signifie « COURSES » en anglais.
Les travailleurs du monde entier sont les chevaux de COURSES de César : il monte quotidiennement sur leur dos – en les faisant galoper dans ses entreprises – pour accaparer les richesses qu'ils produisent et bâtir un empire.
L’Italie à la forme d’une BOTTE car Dieu veut nous faire comprendre que le monde est à la BOTTE de CESAR.
Le département 64 est celui des PYRÉNÉES-Atlantiques.
PYRÉNÉES se prononce PIRE EST NÉ.
LE PIRE EST NÉ, Dieu nous libère enfin de nos chaînes en nous demandant désormais de renverser le pouvoir de César.
En 64, l’empereur était NERON.
NERON = 14+5+18+15+14 = 66
Néron est le 6e César.
Dans l'Apocalypse, le nombre de la Bête est le 666.
NERON était un homme d’une ambition démesurée et il a lutté de toutes ses forces contre l’immense conjuration politique dressée contre lui. Certains historiens débattent de la folie, réelle ou mise en scène, de Néron. Il est resté célèbre pour ses scandales à répétition. Alors que ses conseillers s’occupaient des affaires de l’État, Néron s’entourait d’un cercle de proches. Les historiens romains rapportent des nuits de débauche et de violence, alors que les affaires plus banales de la politique étaient négligées97. « Arthur Weigall calcula que, durant son règne, les libéralités de Néron se chiffrèrent à plus d’un demi-milliard de francs-or. Il léguera à ses successeurs une situation financière désastreuse98. » Après l’incendie de Rome, il fera construire un nouveau palais aux dimensions nettement supérieures au précédent. La plèbe l’accusera d’avoir lui-même provoqué le feu pour faire reconstruire Rome selon son goût. L’empereur despote rejettera la responsabilité de l’incendie sur la minorité chrétienne.99
NERON est ainsi resté célèbre pour ses SCANDALES à répétition.
NERON = ENRON
ENRON fut l’une des plus grandes entreprises américaines par sa capitalisation boursière. Outre ses activités propres dans le gaz naturel, cette société texane avait monté un système de courtage par lequel elle achetait et revendait de l’électricité, notamment au réseau des distributeurs de courant de l’État de Californie.100
Le « SCANDALE ENRON » est fréquemment cité comme le parfait exemple des excès du capitalisme financier.
« En fait de modèle économique, l’entreprise gonflait artificiellement ses profits tout en masquant ses déficits en utilisant une multitude de sociétés écrans et en falsifiant ses comptes. Le but était, ni plus ni moins, de gonfler la valeur boursière.
En bon prédateur, ENRON a aussi pleinement profité de la déréglementation de l’énergie en Californie, exploitant à fond chacune des failles et n’hésitant pas à recourir aux arrêts intempestifs, afin de faire grimper le prix du KW/h.
L’éclatement de la bulle a précipité non seulement l’entreprise ENRON mais aussi le cabinet d’audit Arthur Andersen, complice. Plus d’une tonne de documents compromettants ont été détruits par le cabinet d’audit de renommée mondiale quasi séculaire.
Avec la faillite d’ENRON, 20 000 personnes de l’entreprise perdirent leur emploi et plusieurs centaines de millions de dollars constituant l’essentiel de fonds de pension, donc la retraite de milliers d’Américains est partie en fumée.
Jeffrey Skilling (le PDG) a été condamné à une peine de 24 ans de prison (réduite par la suite à 14 ans), et Ken Lay, le principal fraudeur, est mort d’une attaque cardiaque peu après le verdict.
Pour mémoire, le slogan de ENRON était Ask Why ? (demander pourquoi) Il faut croire que bien peu de personne n’ont réellement suivi ce conseil en posant la question à ENRON : Pourquoi de tels bénéfices ? D’où viennent-ils ? ».101
À la suite du scandale ENRON, Lutte Ouvrière écrivait en 2003 sur son site internet : « La faillite d’ENRON constitue en tout cas une illustration, à l’échelle d’une seule entreprise, mais de taille, de ce que le système capitaliste peut entraîner lorsqu’il tombe en faillite. L’écroulement du château de cartes bâti sur la spéculation financière peut très vite déboucher sur des licenciements massifs du personnel des entreprises concernées, voire paralyser les échanges de produits, non plus spéculatifs mais bien réels, au risque de priver l’ensemble de la population des services les plus indispensables, fourniture d’eau, d’énergie, etc. Et la démence furieuse du système capitaliste en crise ne laisse d’autre solution que de l’abattre. »102
Le scandale financier d’ENRON était un signe annonciateur de la crise financière de 2007-2008.
Ken Lay, le PDG d’ENRON au moment des faits et reconnu comme principal fraudeur, est mort à l’âge de 64 ans.
L’incendie de Rome dont NERON serait le responsable a eu lieu en 64.
Le SCANDALE ENRON est fréquemment cité comme le parfait exemple des excès du capitalisme financier.
Dieu nous fait ainsi comprendre que les excès de l’empereur NERON symbolisent les excès du capitalisme, car il y a sans arrêt des scandales en tout genre quand César est au pouvoir.
Après l’incendie de Rome en 64, on évaluait à 250 000 le nombre d’habitants sans-abri, et après la crise financière de 2007, des millions d’Américains se sont également retrouvés à la rue.
Au début des années 2000, le feu s’était initialement déclaré dans la société ENRON mais rien n’a été entrepris pour régulariser le système financier, alors le feu s’est ensuite embrasé dans le monde entier en 2007-2008. Or malgré les ravages de la crise économique, les pleins pouvoirs ont été laissés entre les mains des empereurs pyromanes.
Après l’incendie de Rome, Néron a fait construire un nouveau palais aux dimensions nettement supérieures au précédent. La plèbe l’accusera d’avoir lui-même provoqué le feu pour faire reconstruire Rome selon son goût. L’empereur despote rejettera la responsabilité de l’incendie sur la minorité chrétienne.
Après la crise financière de 2007-2008, les capitalistes ont bâti des empires aux dimensions nettement supérieures au précédent. En pleine crise – entre 2010 et 2014 – la fortune des 80 personnes les plus riches a augmenté de 600 milliards de dollars, alors que les plus pauvres se sont encore appauvris. La plèbe a ainsi payé de sa poche l’ensemble des dégâts, et grâce à l’augmentation des dettes publiques, les empereurs ont pu acquérir les services publics du monde entier en les privatisant pour une bouchée de pain. Ils ont ainsi pillé la Grèce, l’Espagne ou l’Italie et licencié à tour de bras pour engranger encore plus de profits.
Le PDG d’Airbus a déclaré à Davos en 2012 : « Il ne faut jamais gâcher une bonne crise ». Pour les empereurs du capitalisme, la crise est l’occasion de faire le ménage, les poissons les plus gros mangent les plus petits donc la crise a une utilité, une fonction. Le paradoxe c’est qu’on a laissé les pyromanes éteindre le feu, alors les hommes politiques au pouvoir ont poursuivi les politiques libérales qui furent à l’origine de l’embrasement de l’économie lors de la crise des subprimes en 2007. Car que s’est-il passé en 2007 ? Il y a des millions de personnes qui se sont retrouvées sur la paille puisqu’elles étaient dans l’incapacité de faire face à leur crédit immobilier, du coup, la dette des ménages est devenue la dette des organismes financiers. Il y a eu alors un plan de sauvetage des banques avec des centaines de milliards d’euros et des centaines de milliards de dollars qui ont sauvé le système bancaire : donc la dette des organismes financiers est devenue la dette publique puisque c’est avec l’argent public, l’argent de nos impôts, qu’ils ont renfloué les dettes et qu’ils ont garanti la survie du système bancaire ; d’où la crise des dettes souveraines, épisode supplémentaire de la crise des subprimes de 2007, une crise qui était déjà l’aboutissement d’une crise de surproduction et de suraccumulation, qui couvait dans les sociétés capitalistes, et qu’on avait vu éclore dans le début des années 2000 avec ce mot bizarre de « bulles spéculatives », employé alors à la télévision. Le paradoxe, c’est que lorsqu’on vous propose de continuer des politiques qui ont expliqué la crise financière, on vous propose de décupler des politiques qui non seulement sont révoltantes, injustes et écœurantes, mais on vous propose en plus de décupler des politiques qui alimentent la crise économique elle-même parce que les plans d’austérité et les plans de rigueur provoquent la baisse du pouvoir d’achat. Ainsi, lorsque vous appliquez les politiques qui ont été menées en Grèce ou en Espagne, vous privez d’autant plus 90 % de la population des moyens de consommer ce que la société produit, plus exactement ce que l’on produit tous et toutes. C’est-à-dire que vous accentuez une société qui est saturée, qui produit des richesses mais qui n’arrive pas à trouver de débouchés : c’est ça une crise de surproduction, et c’est pour ça que le gros paradoxe, c’est que la politique de nos dirigeants n'a fait que décupler les effets de la crise économique elle-même.103
Mais ces politiques ont une explication. Comme je l’ai indiqué précédemment, en 2010, la fortune des 80 personnes les plus riches au monde se montait à 1 300 milliards de dollars. En 2015, leur fortune atteignait 1 900 milliards. À l’inverse, depuis 2010, ce que possède la moitié la plus pauvre de la population mondiale ne cesse de diminuer.
Derrière ces chiffres tirés des statistiques d’une grande banque, le Crédit suisse, se cache la réalité de la crise capitaliste. Pour l’immense majorité des habitants de la planète, elle est une catastrophe. Ici, elle prive les salariés de leur emploi, les familles pauvres de leur logement et rallonge les queues des Restos du cœur. Elle affame la population du Tiers Monde et la jette sur les routes dangereuses de l’émigration. Mais, pour une infime minorité de gros capitalistes, elle est au contraire une opportunité permettant de s’enrichir à un rythme accéléré.104
« Dans le capitalisme, une crise revient à un grand nettoyage brutal et chaotique de l’économie. La facture est invariablement imposée aux travailleurs et aux plus faibles de la société. En d’autres termes, une crise économique est un excellent moyen pour organiser un transfert du travail au capital, des pauvres vers les riches. Les réductions des salaires dans les années 1980 en sont un bon exemple. Si, aujourd’hui, les salaires constituaient une part aussi grande du PIB qu’en 1981, chaque travailleur gagnerait environ 950 euros de plus par mois.
Le krach financier de 2008 est la répétition du même phénomène. Rien qu’en Europe, 4 millions d’emplois ont disparu à cause de la crise. Dans le monde, 64 millions de gens ont été poussés dans l’extrême pauvreté. Dans presque tous les pays européens, le fossé entre riches et pauvres a augmenté, et même particulièrement fort en Irlande et en Espagne. Actuellement, l’Europe compte 120 millions de pauvres, et 100 à 150 millions de personnes vivent sur le fil du rasoir. Il s’agit donc au total de 43 à 53 % de la population ! En outre, avoir un emploi n’est plus suffisant. En Europe, une personne qui travaille sur 10 vit aujourd’hui sous le seuil de pauvreté.
Surtout dans les pays périphériques, la politique d’économies menée depuis 2008 a causé de véritables ravages. Les revenus moyens n’ont pas non plus été épargnés. En Italie, le pouvoir d’achat a baissé de 12 %, en Espagne et en Grande-Bretagne, de 22 %, et en Grèce, même de 33 %. Au Portugal, les salaires ont baissé de 12 %, en Grèce, les salaires des fonctionnaires ont même dégringolé de 35 %. Aujourd’hui, 31 % des Grecs vivent sous le seuil de pauvreté et 27 % risquent d’y tomber.
Pour les super-riches, la crise a en tout cas été une bénédiction. Jamais auparavant il n’y a eu autant de super-riches (fortune de plus de 22 millions d’euros) dans le monde. En Europe, 4 500 ont rejoint la liste, en Belgique, 60. Les "individus très riches" (high-net-worth individual, avec des moyens d’investissements de plus d’un million de dollars) ont vu leur richesse croître d’au moins 41 % depuis 2008. Clairement, ce n’est pas la crise pour tout le monde. »105
Ainsi, l’embrasement de l’économie en 2007-2008 a permis aux empereurs du capitalisme d’agrandir la taille de leur palais.
En 64, l’empereur Néron a accusé les chrétiens d’avoir mis le feu à la ville de Rome, et après la crise de 2007-2008, les empereurs du capitalisme ont accusé notre système social d’être trop généreux ; ils ont accusé le Code du travail d’être trop contraignant ; ils ont accusé nos chômeurs de ne pas vouloir travailler ce qui expliquait selon eux les mauvais chiffres du chômage ; ils ont également accusé les immigrés d’être responsables des problèmes du pays en envoyant les Zemmour, Morano, et autres chiens de garde du capitalisme, sur les plateaux télévisés afin de déverser leur haine pour diviser la plèbe.
Mais plus généralement, la classe dominante accuse tous les travailleurs d’être responsables de la situation économique du pays. Depuis longtemps déjà, on nous accuse d’être coupables d’alimenter l’endettement public mais nous sommes désormais soupçonnés de plomber la compétitivité des entreprises. « Consommateurs médiocres, responsables des mauvais comptes de la nation, nous aurions pris, en outre, la mauvaise habitude de suivre un niveau de vie professionnel trop élevé, qui repousserait les velléités bienfaitrices des "investisseurs". Consommateurs inadaptés, nous sommes aussi des producteurs inefficaces, peu performants, trop gâtés par nos employeurs. En un mot, non contents de jeter l’argent par les fenêtres, nous n’en rapportons pas assez. D’un bout à l’autre du processus économique, nous sommes l’obstacle principal à la croissance. Désignés, il y a encore peu de temps, comme ''force de travail'' par la terminologie officielle, nous sommes à présent affublés du sobriquet cinglant de "coût du travail". En imposant cette nouvelle définition, les politiciens cherchent à nous marquer au fer rouge pour que nous ne puissions plus jamais nous méprendre pour l’attribution logique des places dans la société. Cette formule méprisante a d’abord la fonction de souligner notre situation de domination en nous renvoyant brutalement à un statut qui nous relègue au second plan. »106
Ainsi, pendant que notre classe sociale est accusée d’être responsable de tous les maux, les dividendes des actionnaires ont atteint des hauteurs stratosphériques, mais nos chers médias sont peu bavards sur ce sujet. Par exemple, le journal de 20H de France 2 consacrera une ou deux fois par an un sujet d’1 minute 30 pour annoncer les profits mirobolants des actionnaires du CAC 40, alors qu’il consacrera dans l’année plusieurs sujets de 3-4 minutes pour nous parler du contrôle des chômeurs. Pourtant, ces dernières années, avec le montant des dividendes distribués aux actionnaires du CAC 40, nous aurions pu verser tous les ans un salaire mensuel de 1 300 euros net - toutes charges comprises - à environ 1,5 million de personnes, c’est-à-dire que nous aurions pu créer 1,5 million d’emplois à condition de baisser le temps de travail dans les entreprises ; or ça, les journaux télévisés n’en parlent jamais, à l’inverse, ils stigmatisent les chômeurs en les rendant responsables du chômage.
Alors ne prenez pas au sérieux les accusations de NERON car c’est bel et bien lui qui met le feu à des millions d’emplois.
NERON est né le 15 décembre 37 (15 12 37).
15x12x37 = 6660
Le chiffre de la Bête est le 666.
NERON = 14+5+18+15+14 = 66
Néron est le 6e César.
66 6 = 666
NERON = ENRON
Dieu associe NERON au chiffre de la Bête.
Dans l’Apocalypse, le pouvoir de la Bête est l’Empire ROMAIN.
À travers ENRON, Dieu nous fait comprendre que le pouvoir de la Bête est désormais le capitalisme, qui permet à César d'accaparer l'OR que les travailleurs produisent de leurs MAINS.
Les scandales de NERON symbolisent ainsi le scandale d’ENRON.
Les excès de cet empereur romain symbolisent les excès des capitalistes.
Dieu nous fait comprendre que la planète s’embrase car nous laissons le pouvoir entre les mains des capitalistes, et tant que nous leur resterons soumis, nous ne serons jamais à l’abri d’un nouvel incendie ravageur.
Prospérité économique de l’empire
En règle générale, la plupart des richesses produites viennent des campagnes et de l’agriculture. Sous le Haut-Empire, la tendance à la concentration foncière se confirme. La nobilitas ou les temples d’Orient possèdent de vastes domaines. Mais le plus grand propriétaire de l’Empire, c’est l’empereur lui-même qui agrandit ses biens en confisquant ceux de ses opposants. Le centre du grand domaine ou latifundium est la villa, la demeure du maître avec ses dépendances. Si l’idéal affiché est celui de l’autarcie, car c’est le patrimoine foncier et l’autosuffisance qui fonde la dignité sociale, il existe d’importantes régions de cultures commerciales.
Les principales activités artisanales sont effectuées dans les campagnes, mais aussi dans les villes : production textile, fabrication et entretien des outils, production de poterie. Pendant très longtemps les historiens conçurent les villes antiques comme uniquement consommatrice, après des discussions importantes cet avis est considérablement relativisé. D’importantes régions minières existaient en Espagne et dans les régions danubiennes. Mais là aussi, les progrès techniques sont minimes. Le travail manuel et l’activité mercantile sont, pour les classes instruites, une source de mépris, une chose réservée aux classes inférieures et aux esclaves. L’existence d’esclaves a peut-être aussi constitué un obstacle au développement du progrès technologique
La paix et la prospérité du Haut-Empire entraînent un accroissement des activités commerciales. La Méditerranée au cœur de l’Empire romain connaît un trafic intense. La piraterie est très réduite grâce aux flottes de guerre des empereurs qui patrouillent en permanence. Les navires se hasardent de plus en plus en haute mer pour raccourcir la durée des traversées. Mais pour les trajets courts ou moyens, les marins préfèrent le cabotage le long des côtes. La Méditerranée est ouverte de mars à octobre, c’est-à-dire que la navigation y est autorisée. En hiver, il n’y a pas de navigation. Les grands ports méditerranéens sont Ostie, le port de Rome, Alexandrie en Égypte et Carthage en Afrique. Les liens commerciaux atteignent aussi la Baltique, l’Afrique noire via les caravanes transsahariennes, l’Inde et la Chine. On voit donc que l’Empire n’est pas un espace clos. Le goût pour les produits de luxe des Romains alimente le grand commerce international. En ce sens l’Empire prolonge les deux derniers siècles de la république, mais la domination économique italienne dans certains domaines — céramiques de qualité, amphores, vins — cède la place, avec le temps, aux productions provinciales.
Crise de l'Empire romain (IIIe siècle)
Origines de la crise
Les historiens s’interrogent encore sur les raisons de la crise profonde que traverse l’Empire romain au IIIe siècle. Certaines causes extérieures à l’Empire peuvent l’expliquer. En Orient, l’Empire parthe déliquescent laisse la place à l’Empire Sassanide dans le second quart du IIIe siècle. Cet empire puissant, bien structuré et agressif fait peser une pression constante sur les provinces d’Asie. Au nord-est de l’Europe, les Germains orientaux qui vivent dans les régions de la mer baltique entament une lente migration vers le Sud et le Sud-Est européen. Ce faisant, ils chassent les autres tribus qui se trouvent sur les territoires qu’ils traversent. Celles-ci cherchent à trouver refuge dans l’Empire romain en espérant y trouver de nouvelles terres et un riche butin. Leurs incursions mettent en évidence la faiblesse de la stratégie défensive romaine. En effet, les légions sont massées aux frontières. Une fois franchie la région frontière, les barbares peuvent ravager sans presque aucune entrave les provinces. Le dispositif militaire romain, et l’organisation du pouvoir impérial sont aussi très peu adaptés à une guerre simultanée sur deux fronts, en Orient et sur l’ensemble Rhin-Danube.
Les difficultés internes sont dues à l’éloignement de plus en plus grand des militaires prêts à imposer de lourds sacrifices aux civils pour protéger l’Empire des menaces d’invasions et de la classe possédante qui accepte difficilement l’accroissement de ses charges fiscales. Sur le plan politique, cela se traduit par la montée de l’ordre équestre, titulaire des grandes préfectures et de plus en plus présente dans les provinces comme gouverneur à la place de la classe sénatoriale. De plus à partir de 250, l’Empire romain est touché par des épidémies qui entraînent, au moins régionalement, une dépopulation et une crise économique dont souffrent principalement l’Occident déjà ravagé par les incursions germaniques.
Instabilité impériale
La période comprise entre 235 et 268 est assez mal connue. Seize empereurs se sont succédé, faits et défaits par le sort des armes. Les empereurs sont créés par un nouveau groupe, l’État-major de l’armée. Il choisit le nouvel empereur, qui est ensuite avalisé par le Sénat. Le rang impérial est devenu, aux yeux des militaires, le grade le plus élevé dans la hiérarchie des officiers. Ainsi Maximin Ier le Thrace est le premier militaire de carrière à devenir empereur par la volonté seule de ses soldats. L’Empire est devenu militaire.
Transformation après 260
Gallien entame une mutation profonde de la stratégie militaire. Il répartit en profondeur les moyens de défense en plaçant dans les principaux nœuds routiers de l’Illyrie des détachements des légions frontalières. Il constitue une importante cavalerie avec un commandement autonome. Il exclut les sénateurs des emplois militaires et les remplace par des chevaliers. Il fait entrer dans l’armée des barbares vaincus amorçant par là même la « barbarisation » de l’armée. L’armée absorbe une part toujours plus grande des ressources de l’État. Un impôt spécial, l’annone militaire, est prélevé pour son entretien.
Les fonctions de général en chef et de chef de guerre victorieux que tient traditionnellement l’empereur sont renforcées dans ces périodes de guerres incessantes. À côté des qualificatifs habituels comme felix, on associe de plus en plus le terme invictus. En effet, un empereur vainqueur peut espérer la fidélité de ses sujets et de ses troupes. En cas de défaite militaire, des concurrents apparaissent parmi les autres généraux. Les empereurs essaient cependant de trouver une légitimité en transformant le culte impérial. Aurélien est divinisé de son vivant. Sur ses monnaies, on peut trouver l’inscription deus et dominus natus (dieu et seigneur de naissance).
Les difficultés du IIIe siècle donnent à penser aux Romains qu’ils ont été abandonnés par les dieux et il s’ensuit une période où les citoyens refusant de participer aux cultes publics, comme les chrétiens et les Juifs sont persécutés. Dèce, à partir de 250 puis Valérien renouvelle l’obligation de sacrifices, ce qui entraîne des persécutions envers les réfractaires. En 260, son fils Gallien publie un édit de tolérance maintenu par ses successeurs pendant 40 ans.
L’opposition entre la nobilitas et l’homme nouveau est plus vivace que jamais. L’Empire passe entre les mains de familles n’ayant jamais exercé la fonction impériale. Les empereurs novi laissent à leur famille la noblesse en héritage. Les honestiores des provinces d’Occident et les dirigeants des peuples barbares voisins, acquièrent eux aussi la nobilitas qui les incorpore aux couches les plus élevées. En ce qui concerne la noblesse romaine, elle garde un immense prestige social, mais perd presque toute son autorité politique.
Antiquité tardive (Fin du IIIe-Ve siècle)
La Tétrarchie
Quelques mois après son arrivée au pouvoir, Dioclétien comprend qu’il ne peut diriger seul l’Empire et confie à Maximien le soin de s’occuper de l’Occident en tant que César puis d’Auguste. En 293, il donne à Maximien un adjoint qui porte le titre de César, Constance Chlore et s’en choisit lui-même un, Galère. C’est ainsi que les besoins de l’Empire donnent par hasard naissance à la tétrarchie, c’est-à-dire le pouvoir à quatre. Il n’y a pas de partage territorial de l’Empire romain, mais, les quatre hommes se répartissent le commandement des troupes et les secteurs dans lesquels ils interviennent. Dioclétien reste cependant au sommet. Cette nouvelle organisation permet d’éliminer les usurpateurs qui semaient le trouble en Gaule, de repousser les barbares. La victoire sur les Sassanides permet de renforcer la présence romaine en Mésopotamie avec la constitution de cinq nouvelles provinces. La politique intérieure de Dioclétien est dans lignée des empereurs du IIIe siècle.
Instruments du pouvoir
La crise du IIIe siècle a transformé le pouvoir impérial qui est devenu absolu. Le Sénat n’a plus aucune influence. On est passé de principat au dominat. Les empereurs de l’Antiquité tardive bénéficient aussi d’une construction idéologique qui a peu à peu assimilé les empereurs à des divinités vivantes et justifient ainsi leur pouvoir absolu. Pour Constantin comme pour Dioclétien, l’autorité impériale est de nature divine. Dioclétien et Galère, son fils adoptif, se prétendent descendants de Jupiter. Ils prennent le surnom de Jovien, son collègue Maximien ainsi que son co-césar celui d’Herculien. Cette sacralisation du pouvoir impérial a aussi pour but d’enlever toute légitimité aux usurpateurs éventuels puisque seul l’empereur est élu des dieux, et que seul son successeur est légitime. En 312, Constantin choisit le christianisme parce qu’il lui donne une légitimité nouvelle et au-dessus de toutes les autres.
Constantin ne cherche pas à affirmer une filiation divine. Il prétend plutôt avoir été investi par le Dieu des chrétiens pour gouverner l’Empire. La monnaie de l’époque montre une main sortant du ciel et lui tend une couronne. L’empereur agit comme un clerc dans sa manière d’exercer le pouvoir. À Constantinople, il construit son palais comme si c’était une église ; il affirme avoir reçu une vision du Christ comme s’il était un apôtre ; il agit comme un évêque lors du concile de Nicée convoqué par lui-même, mais il ne l’est pas. Constantin affirme qu’il est le représentant de Dieu sur la terre. En son intelligence se reflète l’intelligence suprême. Il s’entoure d’un faste incroyable pour exalter la grandeur de la fonction impériale. Désormais la romanité et la religion chrétienne sont liées. Eusèbe de Césarée, reprenant les thèses de Méliton de Sardes, élabore, à cette époque, la théologie de l’empire chrétien. Pour lui, l’unification politique a permis l’unification religieuse. L’empereur est dans ce cadre, le serviteur de Dieu et comme l’image de fils de Dieu, maître de l’univers. L’empereur reçoit aussi la mission de guide vers le salut et la foi chrétienne. Son intervention grandissante dans les questions religieuses se trouve ainsi légitimée ainsi que le césaropapisme.
Constantin se convertit au christianisme lors de sa campagne contre Maxence en 312. En 313, l’édit de Milan est un édit de tolérance par lequel chacun peut « adorer à sa manière la divinité qui se trouve dans le ciel » ; il accorde la liberté de culte à toutes les religions et permet aux chrétiens de ne plus devoir vénérer l’empereur comme un dieu.107
L’édit de MILAN a accordé la liberté de culte à toutes les religions et permis aux chrétiens de ne plus avoir l’obligation de vénérer l’empereur comme un dieu.
Adolf Hitler a déclaré que le Troisième Reich devait durer MIL AN.
L’édit de MILAN a été promulgué en 313.
313 = C AC
C A C se prononce C’EST ASSEZ.
Dieu nous dit : « C’EST ASSEZ », le IIIe REICH ne durera pas MIL AN, mettez un terme à la barbarie.
Pour mettre un terme au règne du RICHE, Dieu nous demande de ne plus vénérer l’empereur César comme un Dieu. Nous devons désormais le renverser le jour de l’élection présidentielle afin de sauver la vie de centaines de millions d’êtres humains ces prochaines années en redistribuant équitablement les richesses de la Terre.
L’édit de Milan a été promulgué le 13 juin 313.
13 juin = 13 6
136 = FAC
F A C se prononce EFFACER
Dieu EFFACE la parole de Jésus qui nous soumettait au pouvoir de César – donc il nous accorde enfin la liberté de culte car nous ne sommes plus soumis à la pensée unique du néolibéralisme.
L’arianisme
La conversion de Constantin pose le problème des relations entre l’Église et le pouvoir. Entouré d’évêques, Constantin intervient dans les disputes doctrinales de l’Église. Un de ses objectifs est de rétablir la paix civile dans l’Empire. Il lutte contre le donatisme en Afrique et l’arianisme en Orient.
L’arianisme est un courant de pensée théologique des débuts du christianisme, due à Arius, théologien alexandrin au début du IVe siècle, et dont le point central concerne les positions respectives des concepts de « Dieu le père » et « son fils Jésus ». La pensée de l’arianisme affirme que si Dieu est divin, son Fils, lui, est d’abord humain, mais un humain disposant d’une part de divinité. Le premier concile de Nicée, convoqué par Constantin en 325, rejeta l’arianisme. Les empereurs qui lui succèdent varient entre le soutien aux orthodoxes ou aux ariens. L’arianisme domine l’histoire de l’Église institutionnelle au IVe siècle. Les controverses sur la nature divine et humaine du Christ se prolongèrent pendant plus d’un demi-siècle.
L’opposition farouche des chrétiens orthodoxes contre l’arianisme devient un obstacle à l’assimilation des peuples fédérés installés sur les marges de l’Empire romain, car ces peuples sont christianisés ariens. Mais à la longue, sous l’influence des élites et des populations romanes, ces peuples germaniques se rallient au christianisme orthodoxe. Les Burgondes se convertissent les premiers au Ve siècle. Au VIe siècle, le royaume vandale d’Afrique et le royaume ostrogoth d’Italie, disparaissent lors des reconquêtes de l’empereur d’Orient Justinien Ier. Les Wisigoths d’Hispanie se rallient à la foi de Nicée lors du IIIe concile de Tolède en 589.
De plusieurs façons, le conflit autour des croyances d’Arius durant les quatrième, cinquième et sixième siècles contribue à définir le caractère central de la trinité chrétienne dans le flux principal de la théologie chrétienne. En tant que premier conflit majeur interne après la légalisation du christianisme, la lutte entre Nicéens trinitaires, et partisans d’Arius, laisse une profonde impression sur la mémoire institutionnelle des églises. Ainsi, au cours des 1 500 années passées, le terme « arien » est utilisé pour désigner les groupes qui se voient eux-mêmes comme adorateurs ou disciples de Jésus-Christ, mais sans le croire l’égal de Dieu et sans embrasser le credo nicéen.108
L’arianisme a été le premier motif de division dans l’Église de Rome. On appelait les ARIENS, les partisans d’Arius.
Les nazis avaient établi une hiérarchie des RACES et ils affirmaient appartenir à la RACE ARYENNE, une RACE soi-disant supérieure aux autres.
RACES = CESAR
Désormais, avec la diffusion de ce site internet, l’Église sera de nouveau divisée en deux. D’un côté, les ARYENS, c’est-à-dire les chrétiens qui décideront d’ignorer la nouvelle Alliance en continuant de voter pour CESAR et être ainsi complices aux yeux de Dieu de l’extermination de millions d’êtres humains, jugés superflus par la RACE supérieure des nazi-capitalistes. De l’autre côté, il y aura les chrétiens qui suivront les nouvelles écritures en combattant politiquement le règne du RICHE à mes côtés.
Dieu a envoyé un signe clair aux CHRÉTIENS en leur faisant comprendre qu’ils seront des CRÉTINS, s’ils ne comprennent pas qu’il change les écritures, car il a multiplié les signes tout au long de l’histoire de l’humanité pour nous prouver son existence et nous donner des MESSAGES clairs comme le prouve le signe dévoilant le « MESSAGE » de Fátima que je traduis dans la partie consacrée au Portugal.
ARRIEN est également le nom d’un écrivain grec de l’époque romaine, né à NICOMÉDIE vers 85 et mort après 146. Fidèle d’Hadrien, il assuma de hautes fonctions administratives et militaires au sein de l’Empire romain.109
NICOMÉDIE = NICO COMÉDIE
NICO, c’est moi : NICOLAS – et les ARYENS diront que je joue la COMÉDIE, que je suis un charlatan, malgré la multiplication des signes prouvant l’existence de Dieu et la cohérence de ses messages.
Vous devrez alors choisir votre camp mais n’oubliez pas le message de Dieu : ne vous comportez pas comme des CRÉTINS car les signes sont évidents. Or certains CHRÉTIENS préféreront les ignorer, César leur apportant une certaine prospérité à court terme, alors qu’ils plongeront dans l’inconnu en votant pour L.O. et le NPA, donc ils devront faire un choix entre la foi en Dieu ou l’ARGENT. La mission du Pape ARGENTIN est de les guider pour qu’ils prennent la bonne décision. Dieu nous teste en nous demandant de changer radicalement de système économique car il doit y avoir un risque de perdre notre emploi et notre argent, sinon, ce serait trop facile d’obtenir la vie éternelle étant donné que tout le monde voterait les yeux fermés pour L.O. et le NPA. Alors Dieu va tester notre foi le jour de l’élection présidentielle. Les signes sont évidents, puisqu'en 2017, nous devions élire le 25e président de l’histoire de la République, et le chef-lieu du département 25 est BESANCON. Par conséquent, Dieu nous demandait clairement, le jour de l'élection présidentielle, de voter pour le NPA dont Olivier BESANCENOT est la figure emblématique. Le département 25 est celui du DOUBS, donc Dieu nous dit qu’il n’y a pas de DOUTE à avoir, n’ayons pas peur de renverser le capitalisme : c’est ça avoir la foi en Dieu, il faut lui faire confiance et suivre son message.
VOTE = 22x15x20x5 = 33000
Le code postal 33000 est celui de la ville de BORDEAUX.
Philippe Poutou, le candidat du NPA en 2017 et en 2022, habite à BORDEAUX, alors Dieu nous transmet le message suivant : « VOTE pour lui ».
Emmanuel Macron a remporté ces deux élections. Désormais, Dieu nous envoie un message à travers la prochaine élection du 26e président de la République.
26 se prononce 20 6.
20 FOI 6 est égal à 120.
120 = LO
À travers les signes, Dieu nous demande d'avoir FOI en lui et de voter pour L.O. ou le NPA lors de l'élection du 26e président de la République.
Ces deux partis politiques veulent exproprier les capitalistes de l'économie afin que les travailleurs gèrent eux-mêmes les entreprises. Alors vous devez vous demander : sommes nous capables de prendre les RÊNES de l'économie ? C'est la raison pour laquelle, la maire de la ville de RENNES s'appelle Nathalie APPÉRÉ, car Dieu nous transmet le message suivant : « Ne soyez pas APEURÉS de prendre les RÊNES du pouvoir politique et économique ». Il n'y a pas de DOUTE à avoir, Dieu nous a créé, alors il sait que nous sommes capables de dirger nous-mêmes notre pays étant donné que nous créons toutes les richesses, c'est ça le plus important, alors désormais il suffit juste de les partager équitablement.
Nathalie APPÉRÉ est la maire de RENNES depuis le 4 avril 2014.
4 avril = 4 4
Jules César est mort en 44 av. J-C.
Dieu nous demande ainsi de ne pas être APEURÉ de signer l'arret de mort de César – le capitaliste – en prenant collectivement les RÊNES de l'économie.
Nous en sommes capables et nous allons le démontrer en gérant prochainement des entreprises à travers l'économie révolutionnaire, dont j'explique le principe dans la partie consacrée à la Gaule.
Il y a un H et un E en plus à CHRÉTIENS par rapport au mot CRÉTINS.
Le H ne se prononce pas donc seul le E différencie les deux mots au niveau de la prononciation. Dieu nous transmet ainsi un message à travers cette lettre E.
E = 5
Le 5e mois de l'année est celui de MAI.
MAI = I AM
« I AM » signifie « JE SUIS » en anglais.
Dans la Bible, Dieu emploie le terme « JE SUIS » lorsqu'il révèle sa présence aux prophètes.
À travers la lettre E qui différencie les mots CHRÉTIENS et CRÉTINS, Dieu nous fait comprendre que les CHRÉTIENS qui ne comprendront pas qu'il nous révèle sa présence à travers les signes, sont des CRÉTINS. Ils perdront ainsi le E qui les différenciait auparavant des CRÉTINS, lorsqu'ils avaient la foi en Dieu ; mais s'ils ne rejoignent pas la nouvelle Alliance, ils perdront cette foi car il faut vraiment être CRÉTIN pour ne pas comprendre que Dieu change les écritures. Par conséquent, les CRÉTINS ne méritent pas d'aller au paradis, du moins s'ils continuent à voter pour un système économique qui détruit la planète, et maintient des milliards d'êtres humains dans la misère.
Lorsque j'ai terminé la réalisation de ce site internet en décembre 2016, j'ai envoyé un mail au père Patrice Gourrier qui était auparavant chroniqueur aux Grandes Gueules sur RMC. Je voulais le rencontrer afin qu'il me donne des conseils pour faire connaître mon site internet dans les médias ; je préférai m'adresser d'abord à lui plutôt qu'au NPA car les trotskystes ne croient pas en Dieu, alors ils m'auraient certainement pris pour un fou après leur avoir expliqué mon projet. J'ai donc pensé au père Gourrier car en 2008, il avait défendu l'ancien trader Jérôme Kerviel et il dénonçait alors avec vigueur le capitalisme financiarisé. Je l'avais trouvé particulièrement combattif dans les médias et c'est ce visage de l'Église que j'aurais voulu voir plus souvent. Le père Gourrier étant critique envers le capitalisme, je me suis dit que mon site internet pouvait l'intéresser. Je lui ai alors envoyé un mail en lui expliquant que je parvenais à prouver l'existence de Dieu à travers les signes qu'il nous avait envoyé tout au long de l'histoire de l'humanité. Je lui ai donné quelques exemples de messages que Dieu nous transmettait et j'ajoutais qu'on ne pouvait pas rester les bras croisés quand 16 000 enfants meurent de pauvreté chaque jour dans un monde qui croule sous les richesses. Je lui demandais alors son aide afin d'aider ces enfants. Or il a refusé de me rencontrer en m'envoyant le mail suivant :
Merci de votre mail et de votre confiance.
La vie est courte et la mienne a pris une nouvelle direction : Le silence.
je ne suis donc pas en mesure de vous aider pour votre projet, ne guettant que les messages que Dieu me donne dans la prière.
je vous souhaite une lumineuse fête de Noël.
Dieu dit aujourd'hui au Père GOURRIER qu'il s'est bien GOURÉ, car il n'a pas vu que Dieu nous révélait sa présence à travers les messages que je lui ai transmis dans mon mail.
Il m'écrivait ainsi : « ne guettant que les messages que Dieu me donne dans la prière ».
Or Dieu lui envoie aujourd'hui un « message » clair car le père GOURRIER concluait son mail en me souhaitant « une lumineuse fête de Noël. »
Il employait ainsi le mot « lumineux », et si je l'ai contacté, c'était pour qu'il m'aide à faire la promotion de mon site internet intitulé « chemin lumineux » ; or je ne lui avais pas précisé le nom de mon site internet.
Dieu fait comprendre au Père GOURRIER que les messages qu'il nous transmet à travers les signes sont lumineux, limpides, clairs, évidents. Alors il s'est bien GOURÉ en refusant de me rencontrer ; même s'il était bien évidemment programmé pour commettre cette erreur car Dieu nous transmet des messages à travers lui.
« Se GOURRER » signifie « se tromper » dans le langage familier.
Il y a un I et un R en plus à GOURRIER par rapport à GOURER.
La lettre I signifie « MOI-JE » en anglais. Elle symbolise l'égoïsme.
Dieu nous fait comprendre que le père GOURRIER s'est GOURRÉ car il a fait preuve d'égoïsme en refusant de m'aider puisqu'il refusait ainsi d'aider les millions d'enfants qui meurent de pauvreté chaque année. Il me disait : « La vie est courte et la mienne a pris une nouvelle direction : Le silence. »
Il privilégiait ainsi sa vie, plutot que celle de millions d'enfants, qui ont une vie bien plus courte que la sienne étant donné que pratiquement personne ne veut leur venir en aide. Le père GOURRIER préférait rester silencieux devant l'extermination des pauvres. Ce qui est plûtot ironique vu qu'il était auparavant chroniqueur aux Grandes Gueules sur RMC.
Dieu fait ainsi comprendre aux CHRÉTIENS qu'ils doivent GUEULER pour dénoncer le génocide qui se déroule sous nos yeux.
Alors ne faites pas comme le père GOURRIER : ne gardez pas le « silence » devant ce massacre et agissez !
Il y a un I et un R en plus à GOURRIER par rapport au mot GOURER.
I = MOI-JE = égoïsme
R = 18
18 = AH
AH sont les intiales d'Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH.
Dieu fait comprendre au père GOURRIER qu'il s'est GOURÉ car en agissant égoïstement, il a refusé de m'aider et ainsi de GUEULER contre le règne du RICHE qui extermine un enfant toutes les 5 secondes.
Aujourd'hui, le père GOURRIER s'occupe notamment de sa paroisse à Poitiers, dans le département de la VIENNE.
VIENNE est la capitale de l'Autriche, le pays de naissance d'Adolf Hitler.
En 2004, le père GOURRIER est devenu chroniqueur aux Grandes GUEULES sur RMC.
Adolf Hitler est né un 20 04 (20 avril).
Dieu fait comprendre au père GOURRIER et aux CHRÉTIENS, que ne pas GUEULER contre le système capitaliste, ne pas le combattre, s'est collaborer avec Adolf Hitler, car c'est laisser le RICHE accaparer la majeure partie des richesses de la Terre en exterminant ainsi des millions d'êtres humains.
Alors ne soyez pas des CRÉTINS, ne vous GOUREZ pas, car les signes sont évidents, lumineux ; et désormais, les CHRÉTIENS qui voteront pour maintenir en place le règne de César : le RICHE, n’iront pas au paradis, et vous comprendrez en lisant la partie de ce site internet consacrée à l'Inde que les adorateurs du capitalisme seront éternellement enfermés vivants dans un cercueil.
Christianisation et romanité
Après la conversion de Constantin, le christianisme progresse rapidement dans l’Empire romain mais toujours de manière inégale suivant les provinces. Il s’agit aussi dans bien des cas d’une christianisation superficielle où se mêlent un grand nombre de pratiques païennes. L’Égypte n’est considérée comme chrétienne qu’à la fin du Ve siècle. L’évangélisation des campagnes d’Occident ne progresse que très lentement. En Gaule, l’action de missionnaires déterminés joue un rôle non négligeable dans l’adoption de la religion du Christ. Martin de Tours reste la figure de proue de l’évangélisation de la Gaule. Le latin y remplace le grec comme langue liturgique à la même époque, signe de la perte de l’usage du grec dans l’Église d’Occident, future Église catholique romaine. La romanité (et la romanisation des Barbares) se confondent dès lors, en Occident, avec l’Église ; en Orient en revanche, elle disparaît de la liturgie (grecque, arménienne, égyptienne ou slavonne) et aussi des institutions (désormais byzantines) pour ne subsister qu’à travers les langues romanes orientales, purement vernaculaires.
La fin de l'Empire romain
La dégradation du statut des citoyens de l’Empire
L’ordre décurional connaît des changements sensibles. Le rôle et le statut des curiales semblent s’être dégradés. L’effritement des revenus de l’ordre ne permet plus aux décurions de faire face à leurs obligations. Les cités souffrent donc du déclin de l’évergétisme privé et de celui de leurs ressources propres. Les décurions deviennent responsables sur leurs biens propres des lourds impôts que l’empereur exige et qu’ils doivent collecter. Cette obligation les rend particulièrement impopulaires. La création d’un corps de percepteur par Valentinien Ier ne suffit pas à les soulager de cette tâche difficile. De ce fait, les citoyens fuient les magistratures municipales. Pour recruter des nouveaux décurions, Constantin change le droit de cité local. Les résidents d’une cité qui en ont les moyens doivent devenir décurions. De plus, la charge décurionale devient héréditaire. Ceci n’empêche pas la situation financière des cités de continuer à se dégrader. Beaucoup de décurions cherchent à fuir leurs lourdes charges héréditaires, soit en devenant moine ou prêtre, soit en se faisant recruter dans les administrations provinciales, diocésaines ou préfectorales, soit en se retirant dans les domaines ruraux. Les menaces de confiscation de leurs biens n’y changent pas grand-chose.
Les corporations connaissent la même évolution. Sous Constantin Ier, l’État intervient directement pour imposer la contrainte et l’hérédité. Les naviculaires ont l’obligation de transporter l’annone militaire sous peine de grave sanction pénale. Une fois leur service pour l’État assuré, ils ont le droit de se livrer au transport des marchandises pour leur propre compte. L’obligation pour un fils de reprendre le métier de son père est aussi instaurée pour les ateliers impériaux. Les condamnés et les vagabonds sont aussi recrutés de force. Ce statut d’emploi forcé rapproche les ouvriers de ces ateliers de la condition d’esclaves alors qu’ils sont en théorie des citoyens.
La petite propriété continue à régresser au IVe siècle. En effet, les petits propriétaires ont de plus en plus de mal à satisfaire les exigences fiscales de l’Empire. Le statut de colon devient courant dans le monde rural. Là aussi, les colons n’ont plus le droit de quitter leur terre et les fils sont obligés de reprendre l’exploitation paternelle. Comme pour les corporations, cet immobilisme social est lié aux soucis d’avoir des rentrées fiscales sûres. Peu à peu, le paysan devient attaché à sa terre. Sous Théodose, quand le maître vend la terre, il vend le colon avec. La condition des agriculteurs est proche déjà du servage médiéval. Mais là encore, il existe des différences notables entre la partie orientale et la partie occidentale de l’Empire. L’Orient plus peuplé subit moins le colonat. Une paysannerie de petits et moyens propriétaires se maintient un peu partout et semble même majoritaire en Syrie. Après 500, l’attache de colons orientaux à leur terre est moins rigoureuse. Leur condition se rapproche de celle du petit propriétaire. Une nouvelle catégorie se développe, celle des « emphytéotes », concessionnaires de terres en échange d’un loyer modique et parfois même sans loyer. La conséquence en est l’augmentation du nombre de petits propriétaires en Orient pendant tout le VIe siècle
Les pauvres face aux exactions de l’État
Pour faire rentrer les impôts indispensables à l’entretien de l’armée et de la bureaucratie, les agents de fisc et la police secrète se montrent particulièrement durs envers les plus humbles. Ceux-ci réclament donc la protection des puissants locaux, les patrons. Alors que sous le Haut-Empire le patron avait pour rôle de permettre des rapports harmonieux entre l’État et les citoyens, à partir du IVe siècle av. J.-C., il fait jouer son influence et son statut social pour soustraire ses clients aux exigences de la loi. De ce fait, il détourne à son profit une part de l’autorité de l’État. On peut voir là aussi, en genèse, se constituer les rapports féodaux entre les seigneurs et les paysans. Les empereurs, qui voient dans la pratique du patronage une atteinte à l’autorité de l’État et une perte de revenus, tentent de s’opposer à cette pratique, en vain. Une constitution de 415 place les colons sous la responsabilité fiscale du maître, signe d’un glissement de pouvoir.
La révolte est une autre réponse face aux exigences de l’Empire. La collecte des impôts par les décurions aboutit parfois à des soulèvements locaux en Syrie. La révolte des Bagaudes en Gaule, celle des Circoncellions en Afrique sont autant d’exemples de la contestation des exigences impériales.
Les barbares dans le monde romain
Depuis le IIIe siècle av. J.-C., l’Empire romain se nourrit des apports barbares. Le rôle fondamental des peuples fédérés dans l’armée romaine a déjà été évoqué. Ils ont aussi peuplé les régions septentrionales de l’Empire menacées de dépopulation. Les décrets de Valentinien Ier interdisant les mariages romano-barbares montrent qu’il existait déjà un métissage non négligeable à cette époque. Les cas d’officiers barbares vivant dans l’Empire et romanisés sont fréquents au IVe siècle.
Stilicon est un excellent exemple d’assimilation à la société romaine. Il est Vandale par son père, sans doute commandant d’escadron de cavalerie sous Valens, et romain par sa mère, une provinciale de Pannonie. Il gravit tous les échelons de l’armée. Vers 384, il épouse Serena, fille d’Honorius, frère de Théodose Ier, et adoptée par ce dernier lors de la mort de son père, preuve qu’il fait partie du palais impérial. Après la victoire de Théodose lors de la bataille de la rivière froide en 394, Stilicon prend le titre de magister peditum. À la mort de Théodose, il devient le tuteur de deux fils du défunt mais il est d’abord celui d’Honorius qui n’a que 11 ans en 395. C’est la politique de coexistence avec les barbares et de volonté de garder unies les deux parties de l’Empire qui semble avoir guidé la décision de l’empereur. Un barbare peut donc accéder aux plus hautes fonctions sauf revêtir la pourpre impériale. Gondebaud et Ricimer reflètent aussi cette volonté des patrices d’origine barbare de servir l’Empire romain sans ambition impériale.
Les invasions barbares du Ve siècle ne font pas disparaître d’un coup les structures romaines de l’Occident. Les Barbares ne représentent en effet que 5 % de la population de l’Occident. L’interdiction des mariages mixtes montre la peur de perdre leur identité. De fait, mis à part chez les Vandales, les Anglo-saxons et plus tard les Lombards, la propriété de la terre ne change que peu de mains. La conversion au catholicisme des barbares permet la fusion avec les romains. Cette fusion s’est faite en grande partie en faveur de la romanité. Les premières monarchies barbares sont très respectueuses des institutions romaines qu’elles admirent. À Ravenne, à Tolède, les cours gothiques parlent latin. La romanité survit donc à l’Empire romain.110
Le déclin de l’Empire d’Occident
Le 17 janvier 395, l’empereur Théodose Ier meurt, après avoir partagé l’Empire entre ses deux jeunes fils : Arcadius l’aîné reçoit l’Orient et Honorius l’Occident. Ce partage est dans la continuité des règnes précédents — notamment celui de Valentinien et Valens — et l’unité de l’Empire demeure. Le partage se veut donc purement administratif. Les circonstances ont toutefois fait que ce partage a été le dernier. L’empire romain d’Occident entre dans une longue période d’« agonie », avant sa disparition, inéluctable après les désordres engendrés par les invasions barbares. L’Empire romain d’Orient entre dans une phase de mutation, qui le verra se transformer en Empire byzantin
La chute de l’Empire romain d’Occident
Le 4 septembre 476, date de l’abdication de Romulus Augustule, dernier empereur de l’Empire romain d’Occident, est considérée comme la date de la fin de l’Empire Romain. Ce jour-là, Romulus Augustule fut renversé par le chef barbare Odoacre.111
L’Empire romain s’est effondré définitivement le 4 septembre 476.
4 septembre = 49
Le département 49 est celui du MAINE-et-LOIRE.
La MAIN et la LOI symbolisent le vote.
L’Empire romain symbolise l’Empire capitaliste, et Dieu nous demande de le détruire avec notre MAIN qui dépose le bulletin de vote dans l’urne afin que César ne puisse plus jamais imposer sa LOI.
Le mot EMPIRE débute par la lettre E.
E = 5
Nous parviendrons à détruire l’Empire capitaliste avec les 5 doigts de notre MAIN qui tiennent le bulletin de vote.
Le chef-lieu du département 49 est la ville d’ANGERS.
ANGERS = ANGE
Si tu suis le message de Dieu, tu deviendras un ANGE.
4 septembre 476 = 4x9x476 = 17136
Le code postal 17136 est celui de la base aérienne de SAINTES qui se situe au 722 Route de Bordeaux.
722 = 72x2 = 144
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
La ville de Bordeaux – le chef-lieu du département 33 – est mondialement connue pour son VIN.
Jésus avait 33 ans lorsqu'il a transmis aux chrétiens l'Alliance du VIN qui laisse le pouvoir politique entre les mains de César.
À travers la date de la chute de l'Empire romain, Dieu met ainsi en lumière la base aérienne de SAINTES car il nous fait comprendre qu'il remplace l'Alliance du VIN par celle de l'EAU, qui nous impose de combattre le règne de César – le RICHE capitaliste – afin de nous envoler un jour au paradis.
Dans l’Apocalypse, la Bête symbolise le pouvoir romain ; par conséquent, la date de la chute de l’Empire romain est une date SAINTE étant donné qu’elle marque la chute de la Bête.
Les SAINTS sont des hommes ou des femmes – et dans certaines traditions des ANGES – distingués par différentes religions pour leur élévation spirituelle et proposés aux croyants comme modèles de vie en raison d’un trait de personnalité ou d’un comportement réputé exemplaire.112
SAINTES = SAINTS E
E = 5
Tu pourras rejoindre les SAINTS au paradis en votant pour la chute de l’Empire capitaliste avec les 5 doigts de ta main qui déposeront le bulletin de vote dans l’urne.
Olivier Besancenot est né un 18 avril, le jour de la SAINT PARFAIT.
Les SAINTS possèdent un comportement réputé exemplaire, c’est-à-dire PARFAIT.
En associant la chute de l’Empire Romain avec le mot SAINTES, Dieu nous fait comprendre que la chute de l’Empire capitaliste aura lieu en votant pour le parti politique d'Olivier Besancenot – né le jour de la SAINT-PARFAIT.
Lorsque l’Empire Romain est tombé définitivement en 476, la capitale de l’Empire était RAVENNE.
RAVENNE = AVE RENNE
Ne dis plus « AVE César » le jour de l’élection présidentielle et prends les RÊNES de ton pays afin de renverser l’Empire capitaliste.
Rome est surnommée « LA VILLE ÉTERNELLE ».
VILLE = VIE LL
L = AILE
LL = DEUX AILES
Dieu nous fait comprendre que nous aurons la VIE ÉTERNELLE en obtenant DEUX AILES dans le dos pour nous envoler au paradis, si nous combattons Rome, c’est-à-dire le pouvoir de César : le capitalisme.
Les invasions barbares
La recherche historique regroupe sous l’expression invasions barbares les mouvements migratoires des populations essentiellement germaniques, à partir de l’arrivée des Huns dans l’Est de l’Europe centrale aux environs de 375 jusqu’à celles des Lombards en Italie en 568 et des Slaves dans l’Empire romain d’Orient en 577, invasions qui entraînèrent le départ des populations autochtones, leur assimilation ou leur assujettissement aux nouveaux arrivants.
Il est difficile de définir le rôle précis que les grandes migrations ont joué dans l’effondrement de l’empire romain d’Occident. Il est certain que Rome à la fin du IVe siècle et au début du Ve siècle n’était plus en mesure d’empêcher comme elle l’avait fait dans le passé l’arrivée de nouveaux arrivants et encore moins de les intégrer dans l’empire. L’établissement de « royaumes » (regna) germaniques aux Ve et VIe siècles dans l’Ouest de l’empire s’avéra donc un processus complexe et malaisé à cerner, contrairement à ce que l’on a longtemps pensé en décrivant les choses de façon assez simpliste.
La plupart des historiens s’accordent toutefois pour voir dans l’arrivée des Huns l’une des causes premières du déclin de l’Empire romain d’Occident. Tout au long du Ve siècle, la politique romaine consista la plupart du temps à dresser les diverses tribus barbares les unes contre d’autres ; ainsi, elle opposera les Wisigoths d’Espagne aux Vandales et, plus tard, les Ostrogoths d’Italie contre Odoacre. Lorsque victoire il y aura, ce sera une victoire à la Pyrrhus, car chaque fois qu’une peuplade barbare sortira victorieuse de ces batailles, elle se servira de sa nouvelle puissance pour mieux lutter contre Rome. Bien que l’on considère la « barbarisation » progressive de l’armée romaine comme l’une des causes de la décadence de l’empire, ce sont moins les barbares intégrés dans l’armée régulière romaine qui joueront un rôle décisif dans la chute finale que les foederati germaniques. Il s’agissait d’un cercle vicieux, car en s’emparant des provinces les plus riches, en particulier de celles d’Afrique du Nord, les peuplades germaniques de même que les Huns privèrent Rome des ressources financières qui lui permettaient de maintenir la puissance de son armée, ce qui obligea à l’enrôlement de foederati en nombre toujours plus considérable dans ses rangs. Intégrant ainsi de plus en plus d’éléments étrangers, les troupes échappèrent progressivement au contrôle de l’empereur, remplacèrent progressivement les troupes régulières et, là où leur groupe ethnique fut assez fort, établirent de facto des royaumes sinon indépendants, du moins autonomes. Alors qu’elles échappaient peu à peu à l’autorité de l’empereur d’Occident, elles continuèrent à accepter, du moins théoriquement jusqu’au VIe siècle, le pouvoir nominal de l’empereur romain d’Orient dont elles renforcèrent la légitimité. Les guerres sanglantes de l’empereur Justinien démontrèrent qu’en 550, il était encore possible d’envisager une intervention impériale en Occident ; mais elles rendront tout aussi évidentes les limites des ressources militaires dont disposait l’empereur d’Orient.113
Théories « de l’effondrement budgétaire »
Des historiens comme Arnold J. Toynbee et James Burke affirment que l’Empire romain en soi était un système corrompu dès le début, et que l’entière ère impériale était un déclin constant de ces institutions. Selon eux, l’Empire n’aurait jamais pu tenir. Les Romains n’avaient pas de système budgétaire. L’empire se reposait sur le butin des territoires conquis (cette source de revenus s’expirant, bien sûr, avec la fin de l’expansion du territoire romain). Entre-temps, les coûts de la défense militaire et du faste des Empereurs continuèrent. Des besoins financiers continuaient à s’amplifier, mais les moyens de les rencontrer s’érodaient progressivement. Dans un effort assez similaire, Joseph Tainter estime que la chute de l’Empire fut causée par des bénéfices sur l’investissement décroissants avec la complexité, une limitation à laquelle les sociétés les plus complexes finissent par être soumises.114
Septime Sévère
Septime Sévère est né en Afrique. Il est le 21e empereur Romain. Les conditions de son arrivée au pouvoir lui imposent de s’appuyer sur l’armée : il entreprend des réformes qui préparent l’avenir et sont autre chose que de simples mesures d’opportunité. Il recrute les meilleurs soldats des légions (essentiellement des Illyriens et Thraces) dans la garde prétorienne à la place des Italiens. Les conditions de vie des soldats sont améliorées afin de maintenir le recrutement volontaire et d’éviter la conscription. Les soldes sont relevées pour la première fois depuis Domitien, peut-être de moitié, ce qui provoque ainsi un déséquilibre des finances et de l’économie, une telle revalorisation n’ayant pas été entreprise depuis un siècle. Il améliore également l’annone militaire en créant officiellement l’institution. L’achat et l’entretien des équipements et du ravitaillement étant l’affaire des soldats, le transport est attribué à l’État et Septime Sévère en institue responsable la Poste impériale.
Septime Sévère aurait prononcé sur son lit de mort des mots qui sont restés célèbres : « Maintenez la concorde, enrichissez les soldats et moquez-vous du reste ».115
Septime Sévère symbolise l’homme politique moderne qui a besoin d’une armée de citoyens derrière lui pour se faire élire, et pour y parvenir, il leur promet de s’enrichir en cas de victoire. Le slogan le plus révélateur était celui de Nicolas Sarkozy en 2007 : « travailler plus pour gagner plus », ce qui signifiait : « votez pour moi et enrichissez-vous ».
Septime Sévère est né le 11 avril 145 (11 4 145).
11x4x145 = 6380
Le code postal 6380 est celui de la commune de MOULINET.
Un MOULINET de pêche est un dispositif fixé à une canne à pêche qui permet l’enroulement et le déroulement du fil de pêche.
Lors de la campagne présidentielle, en étant attiré par l’appât du gain, l’électeur mord à l’hameçon du pêcheur qui n’a plus qu’à MOULINER pour récupérer son vote.
Nous étions nombreux en 2007 à croire que nous allions nous enrichir si Nicolas Sarkozy arrivait au pouvoir, alors nous avons mordu à l’hameçon du pêcheur et Dieu nous a puni en nous infligeant la plus grande crise économique de l’Histoire.
Cinq ans plus tard, la majorité des citoyens français a cru que François Hollande allait « combattre la finance » et imposer la taxe à 75 % sur les hauts revenus durant tout son quinquennat. Les citoyens ont donc mordu à l’hameçon du pêcheur qui n’avait plus qu’à MOULINER pour récupérer leur vote le jour de l’élection présidentielle, et faire ensuite l’inverse de ce qu’il avait promis durant la campagne. C’est la même chose tous les 5 ans, la tête du pêcheur change mais la politique reste la même.
Septime Sévère recrutait les meilleurs soldats des légions, essentiellement des ILLYRIENS et des THRACES, dans la garde prétorienne à la place des Italiens.
Les Sarkozy, Hollande et Le Pen recrutent également leurs meilleurs soldats, le jour de l’élection présidentielle, chez les ILLYRIENS et les THRACES.
ILLYRIENS se prononce IL LIT RIEN.
L’électeur vote bien souvent pour un parti capitaliste car IL LIT RIEN, il se contente d’écouter les mensonges que les hommes politiques et des « experts » corrompus lui racontent à la télévision. Si l’électeur prenait le temps de lire les livres de Jean Ziegler, Serge Halimi, Naomie Klein, Gary Leech, Hervé Kempf, Michel Collon, et les articles du site internet de Lutte Ouvrière et du NPA, il verrait le vrai visage du capitalisme et il ne rejoindrait certainement pas aussi facilement l’armée capitaliste le jour de l’élection présidentielle. L’électeur LIT mais principalement les journaux et magazines dont Septime Sévère est propriétaire, alors IL LIT RIEN sur la nature criminelle et absurde du capitalisme.
« ILLYRIENS » signifie « homme libre » en albanais, car si tu LIS RIEN, tu resteras enchaîné au système capitaliste, donc Dieu a multiplié les signes dans ce site internet pour te convaincre de LIRE et ainsi te révolter pour que tu te libères de tes chaînes.
THRACE = RACE HT
« RACE » signifie « COURSE » en anglais.
H T se prononce ACHETER.
De nombreux soldats rejoignent les rangs de l’armée capitaliste car ils ne pensent bien souvent qu’à accroître leur pouvoir d’achat afin d’ACHETER toujours plus de biens de consommation superflus. Ils pensent ainsi qu’ils pourront mieux remplir leur caddie lorsqu’ils feront les COURSES au supermarché. Or ils ne se rendent pas compte qu’en laissant Septime Sévère accaparer la majeure partie des richesses de la Terre, un enfant est exterminé toutes les 5 secondes.
Les initiales de Septime Sévère sont SS.
Les SS étaient les soldats du IIIe REICH.
En votant pour un parti capitaliste, sans s’en rendre compte, l’électeur se comporte comme un SS parce qu’il vote pour un système économique criminel.
Septime Sévère est né en AFRIQUE.
Lors de l’élection présidentielle, la majorité des électeurs ne pensent qu’au FRIC et votent alors pour le candidat qui leur fera gagner le plus d’argent sur le court terme. Ils votent alors pour le maintien du capitalisme dont les victimes se situent principalement en AFRIQUE. Le livre d’Arlette Laguiller, C’est toute ma vie, est sorti en 1996 et elle écrit notamment ceci :
« La seule solution conforme à la raison et à l’intérêt du plus grand nombre est la socialisation des grands moyens de production, l’organisation de la production en fonction des besoins des hommes et non plus au profit individuel, la disparition des États nationaux et des frontières qui les séparent, leur remplacement par une confédération universelle des nations qui pourra mettre à la disposition de tous les peuples, de tous les hommes, toutes les ressources de la planète, tous les moyens de la science et de la technique. Ce serait en outre la seule manière de rendre justice à tous ces peuples que le capitalisme occidental a opprimé, pillé pendant des siècles. »116
Ce passage ce situe à la page 214 du livre.
21 4 = 21 avril
Dieu nous fait comprendre que l’électeur IL LIT RIEN donc il n’a pas lu le livre d’Arlette Laguiller, et c’est l’une des raisons pour lesquelles elle n’a récolté que 5,72 % des suffrages, lors du premier tour de l’élection présidentielle, le 21 avril 2002. La grande majorité des électeurs n’a donc pas voté pour un parti politique qui voulait « mettre à disposition de tous les peuples, de tous les hommes, toutes les ressources de la planète » – afin de satisfaire leurs besoins élémentaires – et ainsi sauver la vie de millions d’êtres humains en AFRIQUE. Au contraire, la majorité des électeurs a voté pour gagner du FRIC et non pour donner du FRIC aux plus démunis. J’ai pour ma part voté en faveur de Jean-Marie Le Pen car j’ai eu peur des jeunes de banlieue à cause des médias, étant donné que je ne LISAIS RIEN alors je ne m’informais que par la télévision et j’ai ainsi été manipulé par des pêcheurs qui n’avaient qu’à MOULINER pour récupérer mon vote.
J’avais alors 18 ans.
18 = AH
A.H. sont les initiales d’Adolf Hitler.
Nous avons le droit de voter à partir de 18 ans, car Dieu nous fait comprendre qu’à partir de notre majorité, notre mission le jour de l’élection présidentielle est de combattre le dirigeant du IIIe REICH, c’est-à-dire le RICHE, afin de le supprimer pour redistribuer équitablement les richesses de la Terre entre chaque être humain.
Or à l’âge de 18 ans, je n’avais pas de berger pour me guider, j’ai donc voté pour un clone d’Adolf Hitler : Jean-Marie Le Pen, un homme qui considère que la Shoah est « un détail de l’Histoire ». J’ai alors agi comme un SS et j’ai commis la même erreur 15 jours plus tard, en votant pour Jacques Chirac au second tour. J’ai alors voté en faveur d’un système économique qui permettait au RICHE de piller les richesses de l’AFRIQUE en exterminant des enfants toutes les secondes. Jean Ziegler l’avait pourtant révélé dans ses livres mais je l’ignorais parce que je ne LISAIS RIEN. Et comment aurais-je pu m’en douter, étant donné qu’en 2002, l’Éducation nationale et les médias ne m’avaient jamais révélé que 20 millions d’êtres humains mourraient de faim chaque année alors que la planète regorgeait de richesses pour les sauver ? Ce génocide n’était même pas considéré comme un « détail de l’Histoire » car il n’apparaît même pas dans l’Histoire. Nous vivons bel et bien sous le IIIe REICH, puisque le RICHE qui dirige le monde considère que des centaines de millions d’êtres humains sur Terre sont superflus, donc leur extermination en masse chaque année n’est même pas digne d’apparaître dans les manuels d’Histoire. Le mot Histoire débute donc par la lettre H – qui est muette – car l'Histoire reste muette lorsqu'il s'agit d'évoquer les crimes commis par le RICHE.
Nous vivons dans le pire des mondes, et nos dirigeants qui sont responsables de l’extermination des pauvres se permettent de nous donner régulièrement des leçons de morale, alors j’espère que tous les jeunes qui voteront pour la première fois lors de la prochaine élection présidentielle ne commettront pas la même erreur que moi il y a 20 ans. Donc ne votez pas pour Septime Sévère, ne votez pas pour Adolf Hitler, ne vous comportez pas comme des SS car nos dirigeants font partie des pires criminels nazis de l’Histoire.
SEPTIME Sévère est devenu le 21e empereur Romain en 193.
SEPTIME = SEPT
SEPT = 7
193 7 = 1793
Les Français ont coupé la tête du roi Louis XVI en 1793.
Lors de l’élection présidentielle, ne mordez pas à l’hameçon du pêcheur et coupez lui la tête en votant pour L.O. ou le NPA.
Septime Sévère est le 21e empereur de Rome.
21 = U
La lettre U a la forme de l’Urne dans laquelle nous votons.
Les soldats romains étaient divisés en CENTUERIES. Le nombre exact des centuries dont les comices centuriates étaient composées reste discuté. 193 centuries est celui qui est généralement retenu par les historiens modernes.
Septime Sévère est devenu le 21e empereur romain en 193.
CENTUERIE se prononce SANS TUERIE.
Si vous rejoignez l’armée capitaliste le jour de l’élection présidentielle, vous serez complices du massacre de millions d’êtres humains chaque année. C’est la raison pour laquelle Dieu nous transmet le message suivant : « SANS TUERIE ».
En d’autres termes : « Ne vote pas pour un parti capitaliste » ou alors le jugement de Dieu sera SEVÈRE car il t’enverra en enfer.
Sources