La Belgique

 

 

Antiquité

La conquête romaine intervient en Gaule autour de 57 avant notre ère. Conquise par Jules César sur les Celtes, la province romaine de Gallia belgica réunit les territoires compris entre la Seine et le Rhin. La plus vieille utilisation des termes Belgae et Belgica qui nous est parvenue est dans la Guerre des Gaules de Jules César. Il divise la Gaule qu'il a conquise en trois parties : les Gaulois proprement dits, les Aquitains et les Belges. Ces derniers sont séparés des Gaulois par la Seine et la Marne. Sous Auguste, la Gaule est divisée par Marcus Agrippa en trois provinces et l'une d'entre elles porte le nom de Belgica. Cette dernière sera réorganisée sous Domitien qui la divise en trois nouvelles provinces, une Gallia Belgica et deux Germania. La Gallia Belgica sera encore par la suite divisée en deux : la Belgica Prima et la Belgica Secunda. La Belgique actuelle est un reste de ces provinces romaines, la majeure partie de son territoire se situe en Germanià Inferior (plus tard appelée Germania Secunda) et en Belgica Secunda.

 

Moyen Âge

Une immigration graduelle de tribus germaniques franques durant le Ve siècle profite de la lente désagrégation du pouvoir romain en Gaule ; le territoire passe aux mains des Mérovingiens, unifiés sous l'autorité de Clovis, à Reims par son Baptême. Il meurt en 511. Renversés en 731 à la faveur d'un coup d'État, les derniers rois mérovingiens cèdent le pouvoir aux Carolingiens Charles Le Martel. En 843, lors du traité de Verdun, l'empire est partagé entre les petits-fils de Charlemagne. Le territoire de l'actuelle Belgique passe aux mains de Lothaire, avant d'être partagé entre le royaume de France et ce qui deviendra l'empire germanique. Peu à peu, des entités politiques plus ou moins indépendantes se constituent sur le territoire de la future Belgique : comté de Flandres, duché de Brabant, principauté de Liège. À la fin du Moyen Âge, par le jeu des alliances et des mariages, l'essentiel du territoire de la Belgique passe entre les mains des ducs de Bourgogne. Le troisième duc de Bourgogne, Philippe le Bon, le grand unificateur, unira le pays sous le nom de Leo Belgicus, comme en témoigne une carte officielle de l'époque. Après la chute de son fils, Charles le Téméraire et parce que celui-ci n'avait qu'une fille Marie de Bourgogne, le pays, par son mariage, passera sous l'autorité des Habsbourg, laquelle culminera sous le règne de Charles-Quint (petit-fils de Marie de Bourgogne).

C'est de l'époque du Moyen Âge, et surtout de la dynastie bourguignonne, que date un découpage du territoire préfigurant, plus ou moins, les futures provinces. C'est aussi l'âge où les cités arrachent aux seigneurs féodaux des droits que l'on appelle les « privilèges ». Les ducs de Bourgogne ont cherché à les remettre en cause, mais ils se sont heurtés à divers soulèvements populaires et ont dû se résoudre à s'adresser aux états généraux pour obtenir des contributions financières et militaires.1

 

Les Pays-Bas bourguignons (1384-1482)

À l'issue de la guerre de Cent Ans, les territoires de la Belgique moderne (à l'exception de la principauté de Liège) et les Pays-Bas actuels (dont les limites remontent au 19eme siècle) sont aux mains des ducs de Bourgogne, vassaux des rois de France. Sous ceux-ci, Philippe le Bon puis son fils Charles le Téméraire, le pays connaît une expansion économique dont profitent les villes et, notamment, Bruxelles qui accueille le pouvoir dans le palais des anciens ducs de Brabant. Sur les cartes de l'époque, l'ensemble des grands Pays-Bas depuis les îles de la Frise jusqu'à la Picardie, comprenant les futurs Pays-Bas des 19eme et 20eme siècle et la Belgique moderne, présentent une forme générale évoquant un lion dressé dont le dessin est mis en valeur pour justifier l'appellation que lui confère l'ambition des Bourguignons Leo Belgicus. Mais la politique ambitieuse de Charles le Téméraire qui veut relier ses possessions de Bourgogne à celle des Pays-Bas entraîne un conflit avec la France de Louis XI. À la mort du Téméraire au combat, en 1477, les Pays-Bas bourguignons échoient aux Habsbourg.

Charles Quint naît en 1500 à Gand, héritier à la fois des Habsbourg, des ducs de Bourgogne et de l'Espagne. Il se considère comme flamand et bourguignon. Élu empereur du Saint-Empire romain germanique, il cumule cette couronne avec ses titres sur les Pays-Bas, où il est communément appelé le roi, et avec sa royauté sur l'Espagne qu'il doit à ses ascendants paternels, ainsi qu'à la possession des colonies d'Amérique. Les terres sur lesquelles il règne, et qui s'étendent jusqu'aux antipodes et sur deux hémisphères, fait dire que le soleil ne se couche jamais sur ses possessions. Il combat l'extension du protestantisme en Allemagne et aux Pays-Bas tout en entrant en guerre contre le roi de France François Ier qu'il retient prisonnier en Espagne pendant un an. Il constitue l'ensemble des Pays-Bas du Nord et du Sud en une entité unique de par un acte solennel nommé la « pragmatique sanction ». Lors de son abdication à Bruxelles, il renonce à tous ses titres qu'il partage entre son frère, à qui il attribue le Saint-Empire, et son fils à qui il lègue la généralité des dix-sept provinces des Pays-Bas, ainsi que l'Espagne et ses colonies d'Amérique. Dès lors, les Pays-Bas sont dénommés les Pays-Bas espagnols, bien que les cartographes de l'époque aient désigné le pays sous le nom de Belgia ou Belgica, terme hérité de l'antiquité et qui s'étend à l'ensemble du Leo Belgicus.

Au XVe siècle, à la suite de l'ensablement du Zwin, mais aussi pour des raisons économiques et politiques, Anvers supplante Bruges en tant que principal port de transit d'Europe occidentale. Anvers devient alors une des capitales économique et financière du Nord-Ouest de l'Europe.

 

Les Pays-Bas espagnols (1482-1713)

À l'avènement de Philippe II, les Pays-Bas du Nord et du Sud forment un tout dépendant d'une même autorité, les États-Généraux, équivalant d'un parlement, mais réservé aux trois ordres (noblesse, église, bourgeoisie) et leur émanation, le Conseil d'État, véritable gouvernement aristocratique soumis au souverain. À cette époque, le système féodal - qui attribue les territoires et les peuples en fonction de l'hérédité - groupe l'ensemble du Nord et du Sud que les cartographes dénomment le Leo Belgicus. Mais, sous Charles-Quint, une partie importante de la population est convertie au calvinisme, davantage au Nord qu'au Sud. Le pouvoir du roi, comme on désigne Charles Quint, ne peut s'accommoder d'une dissidence religieuse qui menace le souverain resté catholique. Après la mort de Charles Quint, la dissidence devient révolution face à la répression du fils de Charles, Philippe II et les Pays-Bas du Nord obtiennent finalement leur indépendance sous le nom de Provinces-Unies. Les territoires qui formeront plus tard la Belgique et certaines provinces du Sud des Pays-Bas restent possessions espagnoles, après de nombreux troubles, l'extermination des anabaptistes et l'exil de nombreux protestants du sud.

Ce conflit commence à cause des excès de la répression espagnole contre les protestants et la volonté du successeur de Charles Quint, son fils Philippe II, de réformer les constitutions locales. L'opposition à cette politique se matérialise dans le compromis des Nobles par lequel la noblesse formule des revendications qui expriment la volonté générale, soutenue par le peuple, de conserver les privilèges, c'est-à-dire les droits, reconnus aux villes et provinces depuis les ducs de Brabant et leurs successeurs les ducs de Bourgogne et confirmés par Charles Quint. Ces droits s'expriment à travers une institutions appelées les États-Généraux dont le Conseil d'État siégeant à Bruxelles est la matérialisation. Il s'agit d'un véritable gouvernement des Pays-Bas.

En réponse à ce qu'il considère comme un refus d'obéissance, Philippe II envoie des troupes et fait arrêter les chefs de l'opposition, les comtes d'Egmont et de Hornes et leur exécution capitale a lieu sur la Grand-Place de Bruxelles.

Sous la direction du prince Guillaume d'Orange, dit Guillaume le Taciturne, un soulèvement éclate. Les conflits successifs qui se développent ensuite opposent des nobles ralliés soit à l'Espagne, soit au mouvement indépendantiste, les habitants étant tiraillés entre les deux camps, avec cette circonstance aggravante de la division entre catholiques et protestants, ce qui complique encore la situation. Certains habitants s'engagent dans les troupes de l'un ou l'autre camp, les autres forment traditionnellement des milices communales qui, malgré les défaites, combattent les espagnols, surtout pour la défense des droits proclamés par des chartes parfois anciennes de plusieurs siècles.

Exilé au nord, le prince d'Orange fait un bref retour à Bruxelles avec la caution de la reine d'Angleterre qui a envoyé son ambassadeur pour accompagner le prince, sous les acclamations des Bruxellois, jusqu'à sa résidence qui avait été saisie par le pouvoir espagnol. Puis, une candidature de l'archiduc autrichien Matthias, choisi par le camp indépendantiste pour exercer le pouvoir, est suivie de celle du duc d'Anjou. Celui-ci, pressé de saisir le pouvoir, tente un putsch à Anvers. Protestants et catholiques, réconciliés pour le coup, lui infligent une défaite et, finalement, sous l'incessante pression espagnole, le prince d'Orange et ses tenants doivent se réfugier aux Pays-Bas du Nord où Orange sera assassiné par un mercenaire du roi d'Espagne.

Ces troubles privent Anvers de sa prépondérance économique. La ville se vide de la majorité de sa population qui fuit vers les Provinces-Unies ou le Saint-Empire romain germanique. C'est un peu plus tard qu'Amsterdam prendra sa place. Bruxelles devient même une république protestante pendant 10 ans avant de retomber sous l'autorité espagnole à l'issue d'un siège d'un an. La guerre conduite par le prince d'Orange (la guerre de Quatre-vingts Ans) finira, longtemps après la mort de celui-ci, par une paix qui sépare définitivement les Pays-Bas du Nord de ceux du sud (future Belgique).

Au cours du XVIIe siècle les guerres opposant la France à l'Espagne et aux Provinces-Unies dessinent à peu près la frontière actuelle entre France et Belgique. À la suite d'opérations militaires comme la bataille de la Peene à Noordpeene en 1677, le traité de Nimègue en 1678 vient entériner notamment le rattachement à la France des châtellenies de Cassel, Bailleul et Ypres. Cette dernière sera rendue avec Furnes et Tournai au traité d'Utrecht, en 1713.

Lors de ce même traité, la couronne d'Espagne passe aux Capétiens, avec Philippe V d'Espagne, petit-fils de Louis XIV. Les Pays-Bas du Sud, à ce moment tenus par des garnisons de mercenaires hollandais, passent des Habsbourg d'Espagne aux Habsbourg d'Autriche et deviennent les Pays-Bas autrichiens.

 

Les Pays-Bas autrichiens (1713-1795)

Lode Wils, dans son Histoire des nations belges présente les Pays-Bas espagnols/autrichiens comme un État fédéral catholique, gouverné par des rois étrangers. Ce sentiment d'appartenir à un État-nation conduira notamment à l'émergence d'une "historiographie nationale des Pays-Bas méridionaux", portant sur l'histoire des "Belges" (Des Roches en 1782, puis Dewez en 1805 et De Smet en 1822), appuyés sur des descriptions d'anciens géographes tels que Guichardin, de Wastelain et d’Ortelius.

Déjà, sous le régime espagnol, les cartographes désignaient les Pays-Bas sous les appellations de Belgica Foederata pour les Pays-Bas du nord et Belgica Regia pour les Pays-Bas du sud, future Belgique.

Ce sentiment « belge » est d'ailleurs confirmé lorsque, en 1757 à Vienne, le Conseil suprême des Pays-Bas est supprimé et remplacé par un "Bureau belge" au sein de la chancellerie autrichienne.

Il faut toutefois rappeler que ce mot "belge" fait référence aux Pays-Bas du Sud, à l'exclusion donc de la Principauté de Liège. Ainsi, en 1792, les patriotes liégeois et belges réfugiés à Paris vont se réunir en un Comité des Belges et Liégeois unis (sous la direction de Walckiers). Mais les Liégeois vont toutefois rapidement se considérer comme Belges au fil des révolutions.

 

 

Les Révolutions liégeoise et brabanconne

 

Révolution liégeoise

La Révolution liégeoise est la période qui va de 1789 à 1795, et qui entraînera la disparition de la principauté de Liège après huit siècles d'existence.

Selon certains historiens, la Révolution liégeoise était un miroir de la Révolution française ou en était même une partie. La Révolution en France commença simultanément en 1789 et dans cette interprétation la révolution à Liège continuait après le retour temporaire du prince ; elle connut une deuxième phase avec l'entrée des troupes révolutionnaires en 1792, et une troisième phase en 1794 avec le deuxième retour des Français. Alors, la révolution finit en 1795 par la disparition de la principauté et son incorporation à la Première République française. Pendant cette phase la révolution a montré des épisodes extrêmes, par exemple la démolition de la cathédrale Saint-Lambert par les révolutionnaires liégeois mais également des épisodes prometteurs : Les Liégeois purent, pour la première fois, exprimer leur volonté à travers des élections au suffrage universel masculin et un référendum pour la réunion de la Principauté à la France.

Selon d'autres, la révolution se déroula pendant la période où le prince-évêque était absent, dès son départ pendant la nuit du 26 au 27 août 1789 jusqu'à son retour le 12 février 1791. Dans cette interprétation, la Révolution liégeoise était la contrepartie de la Révolution brabançonne dans les Pays-Bas autrichiens, qui a échoué.

Cependant, on remarquera que la Révolution liégeoise, à l'instar de la Révolution française, a pour but une remise en question profondément progressiste de l'ordre politique et social, à l'opposé de la Révolution brabançonne qui s'inscrit dans la contestation et le rejet des réformes de Joseph II, les unes progressistes visant à régulariser le statut des protestants et supprimant plusieurs congrégations religieuses trop nombreuses et vivant souvent aux dépens de la population tout en réglementant les coutumes héritées de la religion, notamment quant aux jours de fêtes chômées jugés trop nombreux. Parallèlement, la volonté d'éradiquer les coutumes partait d'un principe réactionnaire qui visait à démanteler ce que l'on appelait les « privilèges », terme qui désignait les droits arrachés aux féodaux au cours de l'histoire et qui dotaient les villes et pouvoirs locaux de droits de justice et d'une forme de protection sociale liées aux métiers qui paraissaient intolérables pour un despote éclairé entendant tout réglementer depuis Vienne.

Les contradictions contenues dans les réformes provoquent un double courant de protestations, l'un conservateur, attaché aux coutumes et traditions dans leur ensemble, l'autre libéral favorable aux principes du siècle des Lumières, mais hostile au despotisme autrichien. Le premier courant a pour chef de file l'avocat Henri van der Noot, le deuxième est groupé derrière l'avocat Vonck.

 

La Révolution brabanconne

En 1789, une insurrection éclate à Bruxelles, en bonne partie réactionnaire et cléricale sous la direction de Van der Noot, qui anéantit les principales réformes du despote éclairé, notamment l'Edit de Tolérance (1781) qui avait tenté d'éradiquer les discriminations dont souffraient les protestants. Cependant le camp libéral des vonckistes se joint à la révolution, les édits de Joseph II s'étant attaqués à des libertés telles que le droit de justice selon les lois locales que l'empereur voulait réformer en l'unifiant dans un droit impérial unifié conçu à Vienne.

Les États-Généraux ne reconnaissent plus l'autorité du souverain et l'armée impériale est battue à Turnhout le 24 octobre 1789.

Cette révolution brabançonne donne lieu à des proclamations d'indépendance des différents « États », et la création, le 11 janvier 1790, de la confédération des États-Belgiques-Unis. La discorde entre les partis catholique et libéral gêne cependant considérablement la défense du pays et favorise le retour des troupes autrichiennes qui rétablissent leur autorité en octobre 1790.

 

Les États-Belgiques-Unis (1790)

Cette révolution brabançonne a donné lieu à un état indépendant, les États-Belgiques-Unis. Son drapeau consistait en trois bandes horizontales composées des couleurs du Brabant : rouge-noir-jaune. Ce drapeau sera repris lors de la révolution belge de 1830, mais avec les couleurs disposées dans un autre ordre.

Les États-Belgiques-Unis ne durèrent qu'une année, néanmoins le qualificatif Belgique s'imposa définitivement pour désigner les Pays-Bas autrichiens pendant la période française. L'adjectif belge fut désormais utilisé par les Français pour qualifier les habitants des anciens Pays-Bas autrichiens, par opposition aux citoyens de la Principauté de Liège.

 

Période française (1795-1814)

À peine les Autrichiens et le Prince-Évêque étaient-ils rétablis dans leurs possessions que les armées de la 1re république française envahirent le pays. Après des événements militaires aux fortunes diverses, la France annexa finalement l'ensemble du territoire de la Belgique actuelle, Liège inclus. Si la France unifia politiquement, pour la première fois, la Principauté de Liège et les Pays-Bas méridionaux dans le vaste ensemble que formait l'Empire ; à la fin du régime français, on distinguait encore régulièrement les Belges des Liégeois. Ce n'est que sous la période hollandaise que la distinction disparut : en effet, le nouveau Royaume des Pays-Bas était désormais divisé en deux camps : d'un côté les Hollandais protestants et de l'autre les Belges catholiques. Les Liégeois s'allièrent naturellement aux Belges et c'est dans ce contexte que la fusion « psychologique » entre principautaires liégeois et Belges s'opéra.

 

La période française que connurent les territoires qui forment actuellement la Belgique est une époque charnière dans l’histoire de ce pays :

« Elle consacre, en effet, la fin des privilèges et du régime seigneurial, la naissance des droits de l’homme, d’un nouvel ordre institutionnel, économique, social et juridique. Elle place sur le devant de la scène un personnage jusque-là effacé dans le débat politique : le peuple. Elle laisse des traces profondes non seulement dans les dispositions législatives ou l’organisation administratives, mais aussi dans les gestes les plus anodins de la vie quotidienne : songeons au bouleversement engendré par la généralisation du système métrique ou du papier-monnaie. Enfin pour notre pays, l’époque française scelle la réunion des provinces des Pays-Bas méridionaux avec la principauté de Liège. »

Si l'Empire français consacre la fin définitive des anciennes divisions territoriales ainsi que la caducité des traités qui, sous l'Ancien Régime, avaient condamné la fermeture de l'Escaut, une hostilité ne se répand pas moins parmi la population belge, malgré la prospérité qui accompagne l'ordre impérial. La conscription qui enrôle les jeunes gens dans l'armée de Napoléon déclenche des mouvements comme la guerre des paysans qui sévit en Wallonie dans les dernières années de l'empire. Des mouvements similaires éclatent d'ailleurs en France à la même période.2

 

La bataille de Waterloo

La « bataille de Waterloo » s'est déroulée le 18 juin 1815. Elle s'est terminée par la victoire décisive de deux armées : celle des alliés, commandée par le duc de Wellington, composée de Britanniques, d'Allemands et de Néerlandais et celle des Prussiens, commandée par le maréchal Blücher ; toutes deux opposées à l'armée française dite Armée du Nord emmenée par l'empereur Napoléon Ier.

 

La commune de Waterloo se situe à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles, en Belgique.

Cette bataille est la dernière à laquelle prit part personnellement Napoléon, qui avait repris le contrôle de la France durant la période dite des Cent-Jours. Malgré son désir de poursuivre la lutte avec de nouvelles forces qui se reconstituaient, il dut, par manque de soutien politique, abdiquer quatre jours après son retour à Paris.3

 

 

En Allemagne, la bataille de Waterloo est appelée « la bataille de la Belle Alliance » en référence à La Belle-Alliance : un lieu-dit marquant du site sur lequel s’est déroulée la bataille de Waterloo.

 

Lors de cette bataille, les principales puissances européennes se sont unies pour combattre Napoléon et le forcer à abdiquer définitivement. Outre qu'il fut un dictateur, Napoléon est avant tout resté dans l'Histoire comme un massacreur de peuples. Le peuple français en premier lieu, ces paysans qui ne pouvaient échapper à la conscription lui servirent de chair à canon dans toutes ses campagnes. Combien moururent sur les champs de bataille ou à la suite de blessures, de maladies ? Les historiens avancent le chiffre de plus d'un million.

Pour les peuples des colonies françaises, Napoléon fut aussi celui qui rétablit l'esclavage, aboli par la République en 1794. En mai 1802, après la signature d'un traité avec l'Angleterre restituant la Martinique à la France, « l'esclavage ainsi que la traite des Noirs et leur importation dans lesdites colonies auront lieu conformément aux lois et règlements antérieurs à 1789 ».4

Au total, « plus d'un million de personnes ont été vouées à la mort selon des critères ''raciaux'', un génocide perpétré en utilisant les gaz, des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants dévorés vivants par des chiens, 250 000 citoyens enchaînés et mis en esclavage, un plan de déportation meurtrier incluant d'anciens parlementaires, des escadrons de la mort pour traquer les résistants et les brûler sur place, des camps de triages et de concentration, des ''lois raciales''. »5

 

Aujourd'hui, le visage de Napoléon est celui du capitalisme : les deux sont des massacreurs de peuples.

 

À travers la « bataille de la BELLE ALLIANCE », Dieu nous lance un APPEL pour que nous combattions le diable en nous unissant avec les peuples du monde entier.

 

La Belgique faisait autrefois partie de la GAULE.

 

La bataille de Waterloo s'est déroulée le 18 juin 1815.

 

L'APPEL du Général de GAULLE a eu lieu le 18 juin 1940.

 

125 ans séparent les deux dates.

 

125 = LE

 

12+5 = 17

 

LE 17 est le numéro d'APPEL d'urgence pour joindre la POLICE.

 

Dieu nous transmet ainsi le message suivant : « APPEL LE 17 car il y a urgence : le système capitaliste tue un enfant toutes les 5 secondes. »

 

Le Pape François est né un 17 décembre (17 12).

 

12 = L = AILE

 

À travers son plus symbolique représentant sur Terre, Dieu nous demande d'APPELER le 17 afin de sauver nos frères et sœurs qui sont quotidiennement agressés par le système capitaliste. Tu obtiendras alors deux AILES dans le dos pour t'envoler au paradis si tu votes pour L.O. et le NPA – qui se chargeront de faire la POLICE en mettant les capitalistes hors d'état de nuire.

 

POLICE = 16x15x12x9x3x5 = 388800

 

388800 = 38 88 00

 

38 = CH

 

CH est le sigle de la Suisse dont le symbole est la neutralité.

 

Le département 38 est celui de l'ISÈRE.

 

ISÈRE = MISÈRE

 

88 = HH

 

HH = Heil Hitler = le salut nazi

 

00 = ce sont nos yeux.

 

Dieu nous fait comprendre que la MISÈRE tue des millions d'êtres humains mais nous ne voulons pas voir ce massacre qui se déroule sous nos yeux, par conséquent, nous ne faisons rien, nous restons neutres alors que nous devrions appeler la POLICE pour arrêter les coupables qui pillent quotidiennement les richesses du Tiers Monde, en laissant mourir de faim et de maladies des millions de personnes chaque année. Au lieu de nous révolter, nous continuons à faire le salut nazi en votant pour un défenseur du nazi-capitalisme à chaque élection présidentielle.

 

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38 témoins est un film franco-belge écrit et réalisé par Lucas Belvaux, sorti au cinéma en 2012. L'intrigue est l'adaptation du roman de Didier Decoin Est-ce ainsi que les femmes meurent ?, lui même inspiré de l'affaire Kitty Genovese dont l'écrivain a déformé les faits pour coller à sa thèse.6

 

Le meurtre de Kitty Genovese est un crime célèbre : Catherine « Kitty » Genovese, née le 7 juillet 1935 à Brooklyn, New York, et morte le 13 mars 1964 dans le Queens, New York, à l’âge de 28 ans. Elle fut sexuellement abusée et assassinée en pleine rue, près de sa maison à Kew Gardens, dans la nuit du 13 mars 1964.

Les circonstances du meurtre et la non-intervention de nombreux témoins présents lors de l'agression en font un crime célèbre.

Le 27 mars 1964, un article de Martin Gansberg intitulé « Les 38 témoins du meurtre qui n'ont pas appelé la police » paraît en première page du New York Times. L'article débute ainsi : « Durant plus d'une demi-heure, 38 citoyens honnêtes et respectables du Queens ont regardé un tueur suivre et poignarder une femme, au cours de trois attaques distinctes, dans Kew Gardens ». L’article accusait la lâcheté et l’indifférence des trente-huit témoins présents dont l’intervention aurait pu éviter le déroulement du drame. Le crime passa alors du rang des faits divers à celui de syndrome national.

L'article de Martin Gansberg se terminait par des témoignages anonymes de voisins interrogés sur les raisons qui ont fait qu'ils n'ont pas prévenu la police. Les raisons de leur non interventions furent choquantes. Ils déclarèrent ainsi : « Nous pensions qu'il s'agissait d'une querelle d'amoureux », « Franchement, nous avions peur » ou encore « J'étais fatigué, je suis retourné me coucher. »

Si les meurtres comme celui perpétré contre Kitty Genovese n’ont rien de surprenant dans le quotidien américain, ce sont les circonstances du meurtre qui ont attiré l’attention des citoyens américains. Ces derniers furent choqués par les réactions indifférentes des témoins pendant l’agression, et ceci a généré des controverses importantes aux États-Unis. Pour expliquer les raisons de cette inaction de la part des témoins, certains professeurs et prêtres évoquèrent les concepts d'« apathie » et de « déshumanisation » comme explications. L’ampleur de l’article était telle qu’il mettait dans l’ombre d’autres affaires de plus grande envergure comme l'assassinat de Janice Wylie et d’Emily Hoffert ou l’investigation sur l'attentat contre Kennedy. A. M. Rosenthal publia plus tard un court livre intitulé Thirty Eight Witnesses.7

« Deux psychologues John Darley et Bibb Latane se sont alors emparés de l’affaire. Pourquoi, se sont-ils demandé, les témoins n’ont-ils pas réagi ?

Au terme de leur investigation, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que ce n’est pas vraiment de lâcheté ou d’indifférence dont sont coupables les témoins. En fait, ils auraient plutôt commis une simple erreur de jugement, imputable à un effet de groupe. Chaque témoin aurait pensé que les autres personnes allaient intervenir.

Cet "effet témoin" conduit à une dissolution de la responsabilité individuelle dans le groupe. Si vous assistez à un événement dramatique et que vous savez que d’autres personnes en sont également témoins, vous aurez tendance à penser qu’un autre interviendra. Le phénomène est d’autant plus important que les témoins sont nombreux et l’accident spectaculaire. Cet "effet témoin" est donc le vrai responsable de l’inertie des témoins du crime de Kitty Genovese. »8

 

POLICE = 38 88 00

38 = 38 témoins

Nous sommes les 38 témoins puisque nous restons impassibles devant la mort d'un enfant toutes les 5 secondes.

00 = ce sont nos yeux qui voient les crimes, car même si les médias essayent de les cacher, nous sommes conscients qu'il se passe des choses horribles dans les pays du Tiers Monde, mais nous n'appelons pas la POLICE pour venir en aide aux victimes.

88 = HH = Heil Hitler = le salut nazi

Dieu nous fait comprendre que nous ne restons pas seulement impassibles devant ces crimes, nous en sommes également responsables en votant majoritairement à chaque élection présidentielle pour le nazi-capitalisme.

L'assassinat de millions de pauvres chaque année n'est pas dû à l'« effet témoin » car nous ne regardons même pas les crimes qui se déroulent sous nos yeux, nous préférons à la place regarder des séries télévisées, des compétitions sportives ou des émissions de télé-réalité.

Une Kitty Genovese est tuée toutes les secondes sous nos yeux mais nous détournons le regard et continuons tranquillement à mener notre petit train de vie comme si de rien n'était.

Dieu nous ramène à la raison en nous disant « APPELLE LE 17 ! ».

Kitty Genovese habitait l'immeuble TUDOR.

Effectivement, TU DORS, alors réveille-toi et aide tes frères et sœurs en appelant les secours !

 

Dieu nous a transmis le message « APPEL LE 17 » à travers la durée de 125 ans qui sépare la bataille de Waterloo de l'APPEL du général de Gaulle.

 

12 5 = 12 MAI = L MAI = MAIL

 

Un MAIL est un MESSAGE.

 

Dieu te transmet le MESSAGE suivant : « APPEL le 17 ».

 

Lors de la bataille de Waterloo, le massacreur de peuples était NAPOLEON, et lors de l'APPEL du général de Gaulle, le massacreur était Adolf Hitler, et lorsque ce dernier a fait une visite éclair à Paris en juin 1940, il est venu se recueillir sur la tombe de NAPOLÉON, l'un de ses modèles.

NAPOLÉON = NPA LO NOÉ

À travers NAPOLÉON, Dieu nous fait comprendre que lorsqu'il nous demande d'APPELER LE 17, il nous demande de voter pour L.O. et le NPA, car une fois au pouvoir, ces deux partis politiques feront la POLICE en empêchant les nazi-capitalistes français d'exterminer les pauvres du Tiers Monde.

 

NAPOLÉON = NPA LO NOÉ

 

NOÉ = 14x15x5 = 1050

 

1050 = 1500

 

Charles QUINT est né en 1500.

 

QUINT = QT UNI

 

QT = 17x20 = 340

 

340 = 304

 

Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, est mort un 30 4 (30 avril).

 

Dieu nous demande ainsi d'être tous UNIS lors de la prochaine élection présidentielle – afin de créer une BELLE ALLIANCE pour parvenir à mettre hors d'état de nuire le plus grand massacreur de l'histoire de l'humanité : le RICHE.

 

Suite à l'affaire Kitty Genovese, le numéro 911 a été créé aux États-Unis pour signaler les crimes à la police.

911 = 9 novembre

Le général de Gaulle est mort un 9 novembre.

C'est notamment à partir de l'APPEL du général de Gaulle que l'on obtient le message « APPEL LE 17 ».

Le général de Gaulle a appelé les Français à combattre le IIIe REICH et Dieu nous APPELLE aujourd'hui pour que nous combattions le règne du RICHE.

Il y a urgence : plus de 10 millions d'êtres humains sont assassinés sous nos yeux chaque année à cause de l'inégale redistribution des richesses de la Terre.

 

La bataille de Waterloo a eu lieu le 18 juin 1815 et l'Appel du général de Gaulle le 18 juin 1940.

1940-1815 = 125

125 ans est égal à 1500 mois.

Charles QUINT est né à Gand en 1500.

Dans le film 38 témoins, l'un des deux rôles principaux est interprété par l'actrice Sophie QUINTON.

 

QUINT = Q UNIT

Q = 17

UNI T = UNITÉ

Un bon nombre de citoyens possède des forfaits mobiles illimités donc nous avons suffisamment d'UNITÉS pour appeler le 17. Si nous sommes des centaines de millions à appeler ce numéro pour signaler les meurtres de millions de pauvres chaque année, l'oligarchie capitaliste sera obligée de créer une UNITÉ spéciale pour sauver les millions de victimes car la survie de son système économique en dépendra.

 

NOUS POUVONS ainsi sauver la vie de millions de pauvres, il suffit simplement de ne plus détourner le regard et d'appeler en masse les services de POLICE.

 

Albert Einstein disait : « Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. »

Alors désormais, APPELLE la POLICE pour que le monde ne soit plus dangereux à vivre.

 

 

Située à vingt kilomètres environ au sud de Bruxelles, Waterloo est une commune à caractère résidentiel et commercial, bien que densément peuplée depuis la fin des années 1980, elle reste très verdoyante grâce à ses nombreux espaces verts dont quelques dizaines d'hectares de la forêt de SOIGNE dans le domaine d'ARGENTEUIL, le poumon vert de la région bruxelloise.9

 

Charles QUINT est né à GAND en Belgique.

 

À travers les signes, à l'instar d'un médecin, Dieu enfile ses GANTS et nous SOIGNE en nous redonnant la vue car notre ŒIL est rivé sur l'ARGENT et non sur la souffrance d'autrui.

 

La mission du Pape François est d'agir pour que la Terre entière ait les YEUX rivés sur les victimes du nazi-capitalisme.

 

François a été élu Pape le 13 mars 2013 et Kitty Genovese a été assassinée dans la nuit du 13 mars 1964.

 

2013-1964 = 49

 

Le chef-lieu du département 49 est la ville d'ANGERS.

 

Dieu nous montre que pour devenir des ANGES, nous devons secourir les hommes, femmes et enfants, qui seront prochainement assassinés par le système capitaliste si nous restons immobiles.

 

Le devoir du Pape est de reconnaître publiquement le GÉNOCIDE qui se déroule sous nos yeux. Des millions de personnes sont assassinées chaque année dans l'indifférence générale alors que la planète regorge de richesses pour les sauver, mais elles ont été accaparées par une minorité d'individus. Le Pape doit ainsi reconnaître le GÉNOCIDE et responsabiliser les citoyens pour qu'ils détruisent ce fléau qu'est le capitalisme.

 

 

Comme je l'ai expliqué précédemment dans la partie consacrée à Napoléon, la bataille de WATERLOO symbolise la nouvelle Alliance de l'EAU.

 

« WATER » signifie « EAU » en anglais.

 

WATER = 23x1x20x5x18 = 41400

 

41400 = 144 00

 

144 se prononce 100 44.

 

Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.

 

00 =  ce sont des yeux.

 

La bataille de WATERLOO s'est déroulée le 169e jour de l'année 1815.

 

169 = 16x9 = 144

 

144 = 100 44 = années de naissance et de mort de Jules César.

 

À travers la bataille de WATERLOO – Dieu nous montre (00) que la nouvelle Alliance de l'EAU nous impose de lutter pour renverser le pouvoir de César : le RICHE.

 

La bataille de WATERLOO s'est déroulée 125 ans - jour pour jour - avant l'APPEL du général de GAULLE qui encourageait les Français à combattre le IIIe REICH.

 

Lors de la Guerre des GAULES, les peuples Gaulois ont formés une ALLIANCE pour combattre les armées de Jules César.

 

À travers la bataille de WATERLOO – la bataille de la BELLE-ALLIANCE – Dieu nous lance ainsi un APPEL en précisant que la nouvelle ALLIANCE de l'EAU nous impose de nous unir – afin de mettre un terme au pouvoir de César : le RICHE qui règne sur le monde.

 

 

Le Royaume-Uni des Pays-Bas

Au congrès de Vienne en 1815, les trois grands vainqueurs se divisent l'Europe sans tenir compte des sentiments nationaux. C'est ainsi que se référant à une époque historique ancienne sans égard aux évolutions historiques divergentes des deux entités, ils décidèrent de reconstituer les anciens Pays-Bas en réunissant les territoires des Pays-Bas autrichiens (la future Belgique) à ceux des anciennes Provinces-Unies (les Pays-Bas du Nord) pour former un État tampon au nord de la France. À la tête de ce Royaume-Uni des Pays-Bas, Guillaume Ier d'Orange.

 

Le 18 juillet 1815, le roi publie une constitution en vue de la fusion des 2 Pays-Bas. Au nord, les États-Généraux l'acceptent à l'unanimité. Au sud, elle est soumise à 1603 notables belges. 527 vont voter « pour » et 796 « contre » (dont 126 pour des motifs religieux). Le résultat était donc « contre » à 60 %. Toutefois, dans le décompte des voix, les 280 abstentions seront considérées comme des votes « pour », et il en ira de même pour les 126 votes « contre » à motifs religieux. Le résultat devint alors 933 « pour » et 670 « contre ». Et c'est ainsi que, le 24 août, le gouvernement proclama l'acceptation de la constitution à 58 %.

L’opposition aux "Hollandais" était pourtant déjà patente. Ainsi, le 6 mars 1814, plus d'un an avant la naissance du Royaume-Uni, un agent britannique rapportait qu'en Belgique "la quasi-totalité des classes de la société (…) rejettent de façon très nette la Hollande et la Maison d'Orange".

Dans les faits, la population assiste donc au rétablissement des Pays-Bas d'avant 1581, cette fois sous la forme d'un État garantissant la liberté de culte mais où la présence à côté de nombreux dirigeants catholiques de dirigeants protestants heurtait la sensibilité des milieux catholiques des anciens Pays-Bas du Sud qui n'étaient pas encore capables d'accepter le pluralisme.

Le premier antagonisme, le premier "grief" comme on disait alors, est donc logiquement religieux, et la situation inversée par rapport à 1581. Les 3,5 millions de Belges, des provinces du sud sont majoritairement d'origine catholiques et intégrés dans un nouvel État où de nombreux dirigeants étaient issus des milieux protestants qui formaient une population d'un million deux-cent mille personnes dans les provinces du Nord, y formant la classe urbaine anciennement cultivée, où ne vivaient que 900 000 mille catholiques, souvent dans le monde rural, ne formant que 40 pour cent de ces provinces, et un roi protestant. De plus, l'égalité des religions est décrétée : le clergé catholique se sent alors menacé par la minorité des vingt cinq pour cent de protestants du Royaume, et soutient l'opposition dans les campagnes. Cette opposition est surtout marquée en Flandre, et menée par l'évêque de Gand (de Broglie). Ainsi, comme en 1581, la religion sera une des causes directes de la scission des Pays-Bas.

Le second antagonisme est économique : les libéraux n'ont plus accès au marché français, tandis qu'ils doivent faire face au libre-échange avec l'Angleterre, et son industrie fort avancée. De plus, le gouvernement favorisait les investissements dans le nord et le roi ira même jusqu'à freiner le développement du port d'Anvers pour favoriser les ports du nord. Pour ces raisons, en 1816, les ambassadeurs d'Autriche, de Russie et de Prusse ont déjà perdu toute confiance en la réunion des 2 Pays-Bas.

Parallèlement à ces deux antagonismes, le gouvernement devenait de plus en plus autoritaire, vis-à-vis de la liberté de la presse (sous couvert de troubles de l'ordre public) et du clergé catholique. Ainsi, les opposants à ce despotisme se rassemblent, réclamant la responsabilité ministérielle devant le Parlement, ainsi que la liberté de la presse et de l'enseignement.

Cette opposition catholique-libéral sera uniquement belge : les catholiques du nord n'ont aucune influence (depuis 1581) et peu de libéraux du nord s'y rallient, préférant rester fidèle au roi. Cela peut s'expliquer par le favoritisme pro-hollandais du royaume (dans la fonction publique et l'armée), mais également par le fait que les Belges étaient majoritaires. Leur faire trop de concessions reviendrait à les laisser gouverner le pays, ce que ni le roi ni la population du nord n'accepteraient. La fidélité au roi restera d'ailleurs très présente aux Pays-Bas : pas de question royale à la belge, même sous le règne de l'antidémocrate Guillaume III.

Le soulèvement des Belges est alors inévitable, et l'élément déclencheur sera la seconde vague des révolutions en Europe (en 1830). La bourgeoisie prendra alors le pouvoir en août 1830 et, face au souverain absolutiste étranger, sera soutenue par toutes les couches de la société dans l'ensemble du pays, villes et campagnes comprises en Flandre et en Wallonie. On note bien l'hostilité à la révolution d'une partie de la bourgeoisie francophone de Flandre, partisane du roi de Hollande en raison des avantages économiques de sa politique libérale. Mais ce mouvement n'aura pas de succès. Après la défaite hollandaise dans les rues de Bruxelles suivie du bombardement d'Anvers et d'une tentative avortée de retour de l'armée hollandaise -tentative condamnée par les puissances du traité de Vienne (sauf la Russie)- la Belgique est reconnue internationalement et dotée d'un statut neutralité sous la garantie de la France et de l'Angleterre.

Quant à la question linguistique, si, au XXe siècle, elle est prépondérante, il n'en fut d'abord rien à l'époque, comme on peut le constater à travers les publications politiques et la presse des premières années qui suivent l'installation du nouveau régime. Aucune opposition sérieuse de nature linguistique n'apparaît chez les adversaires du roi des Pays-Bas. Cependant, l'arrêté royal du 15 septembre 1819 établit le néerlandais comme langue officielle dans les provinces néerlandophones pour la justice et l'administration, les langues populaires n'étant pas protégées (ainsi en ira-t-il de l'allemand dans le Luxembourg). Au début, la bourgeoisie francophone de Flandre ne se sent pas menacée, et pour cause : Guillaume Ier lui-même, bien que roi des Pays-Bas, était francophone (tout comme une bonne partie de la bourgeoise européenne de l'époque). Quant aux Wallons, n'étant pas inclus, au début, dans l'arrêté royal de néerlandisation, ils ne réagissent pas à ce qui ne les concerne pas. Mais la pression graduelle d'une politique linguistique pro-néerlandaise finit par émouvoir l'ensemble de la population de Wallonie et de Bruxelles, surtout dans la bourgeoisie bruxelloise, en bonne partie d'origine flamande mais francisée. Quant à la Flandre, elle a très peu de liens culturels avec les Pays-Bas proprement dits, étant restée dialectale et, pour cette raison, elle est réfractaire au néerlandais policé que l'on veut lui imposer. Finalement, les griefs linguistiques éclatent brutalement, en 1829, lorsque le roi impose l'usage du néerlandais aux élites et à l'administration de l'ensemble du pays, justice, police, armée. C'est que, à ce moment-là, on ne peut même plus rédiger son testament en français, à faute de nullité.

 

La Révolution de 1830 et l'indépendance

Le 25 août 1830, peu après la Révolution de Juillet en France, Bruxelles se soulève. Les troubles se propagent dans tout le pays et le 27 septembre les troupes gouvernementales, d'abord battues à Bruxelles, reculent partout devant les soulèvements des villes et des campagnes et, en un mois, évacuent l'essentiel des provinces du Sud (seules les citadelles d'Anvers, de Maastricht et de Luxembourg restent aux mains de troupes loyalistes).

Dès le 26 septembre, une commission de sûreté est formée à Bruxelles, devenue rapidement gouvernement provisoire. Le 4 octobre 1830, l'indépendance nationale est proclamée et un congrès national est réuni qui élabore une Constitution promulguée le 7 février 1831.

La majorité de ces électeurs provenant de la bourgeoisie, le français est choisi comme seule langue officielle. L'opinion commune était qu'il y avait une majorité de francophones en Belgique, puisque le français était, à l'époque, la langue des élites, celle de la classe dominante qui s'empara du pouvoir en 1830. En Flandre comme en Wallonie et à Bruxelles, le peuple use de langues régionales.

Le 4 novembre 1830 une conférence s'ouvre à Londres sur l'avenir de la Belgique : les grandes puissances décident finalement de reconnaître la Belgique indépendante le 20 janvier 1831. L'Angleterre, d'abord hostile à la révolution belge qui enfreint le traité de Vienne qui avait construit le royaume des Pays-Bas comme barrière contre la France, finit par se rallier à l'indépendance belge avec l'accord de Talleyrand, ambassadeur de France à Londres. Celui-ci, comprenant qu'il ne pourrait imposer la division du pays au profit de ses divers voisins, dont la France, à faute de provoquer un nouveau soulèvement belge, soutint l'idée de l'indépendance, d'autant que toute prétention française sur la Belgique rappelait fâcheusement aux souverains européens la république et l'Empire.

Le choix d'un régime républicain prôné par les radicaux apparaît impossible car les monarchies européennes ne l'auraient pas accepté. Un royaume est donc fondé, dont le trône est offert, tout d'abord au duc de Nemours, fils du roi de France, dont le père décline l'offre, craignant l'hostilité des grandes puissances européennes à un retour de l'influence française en Belgique, à peine quinze ans après la chute de Napoléon qui avait maintenu la Belgique dans l'empire à la suite de la conquête par la 1re république française. Finalement, le 4 juin 1831, c'est le prince allemand Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha, oncle de la reine Victoria, qui devient Léopold Ier, premier roi des Belges. Il prête serment devant les chambres réunies et le peuple assemblés en la place Royale de Bruxelles, le 21 juillet 1831. Le traité international qui reconnaît l'indépendance de la Belgique la déclare neutre sous la garantie des grandes puissances dont chacune s'engage à la défendre en cas d'attaque par l'une d'entre elles. La Belgique n'en est pas moins priée d'être capable de se défendre, ce qui sanctionne la naissance définitive d'une armée nationale. En attendant le choix définitif d'un roi, de février 1831 au 21 juillet 1831, une régence est assurée par le baron Érasme-Louis Surlet de Chokier.

En 1833 la convention de Zonhoven met fin officiellement à l'état de guerre avec les Pays-Bas.10

 

Un État bourgeois

Après la révolution la Belgique devient un État bourgeois. En effet, par le biais du suffrage censitaire, la bourgeoisie contrôle l'appareil politique. L'économie est également aux mains de cette classe. Dans son ensemble, tant au nord qu'au sud du pays, la bourgeoisie est francophone et que la Belgique est donc conçue comme un État unilingue francophone (notamment en réaction à la politique de Guillaume Ier qui avait tenté d'imposer le néerlandais).

Cette bourgeoisie est divisée en deux courants idéologiques, le catholicisme et le libéralisme, qui s'étaient alliés pendant la période hollandaise pour s'opposer ensemble à la politique de Guillaume Ier. Les institutions belges seront le fruit de cet accord : l'Église est séparée de l'État selon les principes de Félicité de Lamennais (Constitution adoptée en 1831) : c'est ce modèle qui fait de l'État belge un État laïque (le mot Dieu est absent de la Constitution), même si le pays était à plus de 90 % catholique à l'époque et si le clergé y était puissant). Mais il s'agit d'une laïcité pluraliste, très différente de la laïcité française républicaine. Cette alliance entre catholiques et libéraux persiste dans les premières années du nouvel État, afin de pouvoir faire face à l'urgence de la situation internationale, mais très vite les antagonismes réapparaissent.

S'engagent alors des luttes entre les deux partis, les catholiques (la droite) et les libéraux (la gauche). Les libéraux vont pouvoir concurrencer les catholiques jusqu'en 1884, mais cette année-là la gauche perd le pouvoir et la droite gardera une majorité absolue jusqu'à la Première Guerre mondiale.

 

Les succès économiques

La révolution industrielle en Wallonie est très importante. Elle a des racines séculaires. Les découvertes tant locales qu'anglaises au XVIIIe siècle, la longue tradition du travail du fer et de l'extraction du charbon en Wallonie (qui sont dans ces domaines, des experts de l'Europe depuis longtemps), permet le développement prodigieux des capacités économiques de cette région qui, à elle seule, devient la deuxième productrice d'acier et de charbon dans le monde au cours du XIXe siècle. Les industries sont aux mains d'une poignée de bourgeois, issus tant du Nord que du Sud du pays. L'essentiel de la puissance industrielle du pays se trouve en Wallonie. La main d'œuvre va de la Flandre vers la Wallonie et vers Bruxelles, première ville industrielle du pays, devant Charleroi et Liège.

 

Le développement de la finance

Pendant cette période, surgissent une bourgeoisie industrielle et, en même temps que se consolide la révolution industrielle, une haute banque et une haute finance dont les deux têtes seront la Société générale (absorbée en 1988 par Suez), et la Banque de Belgique, aujourd'hui disparue. Ces banques adoptent la politique des participations industrielles, des holdings (société à portefeuille avant la lettre). C'est une première mondiale : à côté de la bourgeoisie industrielle, se constitue une bourgeoisie financière. Le roi Léopold Ier devient rapidement le leader de cette bourgeoisie, en tant que principal actionnaire de la Société générale (dès 1835) et première fortune du pays.

Cette bourgeoisie financière va dominer le pays jusqu'à la mondialisation. Elle est au départ très restreinte numériquement, comptant moins d'une cinquantaine de familles dont un grand nombre de familles nobles. Dès 1827, elle est essentiellement bruxelloise : sur les soixante plus gros actionnaires de la Société générale, il y a trente-trois Bruxellois en 1827, cinquante-quatre en 1842. Pierre Lebrun la décrit comme suit : « [Elle est] faite de provinciaux se bruxellisant, de bourgeois s'anoblissant, de nobles s'embourgeoisant ; [elle] se structure autour de trois éléments en étroite liaison : le Palais, l'administration supérieure et le gouvernement, la haute finance ; il y a réellement constitution d'une nouvelle aristocratie (...) ou plutôt d'une bourgeoiso-aristocratie bruxelloise. Le pouvoir de celle-ci repose à la fois sur la grande propriété foncière et sur la haute banque ; elle assure un certain passage de l'une à l'autre (...) elle occupe en tout cas, et Bruxelles avec elle, une position dominante sur et dans le pays... ».11

 

Le règne de Léopold II (1865-1909)

Léopold II devient roi en 1865, à la mort de son père Léopold Ier. Dans une lettre adressée à son frère, le comte de Flandre, en 1888, il entend que sous son règne, « la patrie doit être forte, prospère, par conséquent posséder des débouchés à elle, belle et calme. »

 

Intérêts en Afrique - Création de l'État indépendant du Congo

Avant d'accéder au trône de Belgique, Léopold II, qui était alors duc de Brabant, s'intéressait déjà à l'idée de colonisation dont il vantait les mérites. Mais il s'intéressait aussi à un système économique en rapport avec la colonisation, qui fut mis en place par les Hollandais : le « système des cultures. » Ce principe, selon Léopold II, « consistait non seulement à acheter le produit des plantations à un prix fixé arbitrairement, mais aussi à mettre en place des fonctionnaires qui obtenaient des primes en fonction de la production. »

En 1876, Léopold II organise une association internationale comme paravent pour son projet privé d´exploitation des richesses de l'Afrique centrale (caoutchouc et ivoire). En 1879, sous le patronage de Léopold, Henry Morton Stanley entre en concurrence avec l'explorateur Français Pierre Savorgnan de Brazza pour acquérir des droits sur la région du Congo qui deviendra le Congo belge.

Pendant les cinq années suivantes, Stanley travaille à ouvrir le Congo inférieur à l´exploitation intensive, construisant une route du fleuve inférieur au Stanley Pool (actuellement Pool Malebo), où le fleuve devient navigable. Léopold II charge aussi Stanley d'obtenir des « contrats » d'exploitations de leurs terres par l'Association Internationale du Congo (AIC). Grâce à ces contrats, ces territoires seraient proclamés « États libres » par l'AIA, qui aurait alors la souveraineté intégrale des territoires colonisés. L'action de Stanley permet qu'une personne privée – Léopold II – devienne le propriétaire de 2,5 millions de kilomètres carrés ainsi que de la force de travail de ses habitants.

À la conférence de Berlin de 1884-85, des représentants de 14 pays européens et les États-Unis reconnaissent à l'AIC, présidée par Léopold, la souveraineté sur l'État indépendant du Congo (EIC)12. Alors que cette conférence prend acte du partage de l'Afrique inter-tropicale par les puissances industrielles européennes dont la Belgique, il va de soi que pas un seul Africain n'y est présent.

En obtenant, à la conférence de Berlin, le droit de se constituer un état au cœur de l'Afrique, et ce à titre strictement personnel, Léopold II joue sur les rivalités coloniales entre grandes puissances dont aucune n'ose s'aventurer au cœur de l'Afrique sans risquer de provoquer une guerre avec les autres. Un motif principal invoqué par le roi est la nécessité de lutter contre l'esclavage que des marchands arabisés exercent contre des tribus au nord-est du Congo. Des campagnes anti-esclavagistes auront d'ailleurs lieu sous le commandement d'officiers belges. L'annexion du Congo par la Belgique n'attendra pas le décès du roi. Celui-ci laisse la Belgique annexer le Congo de son vivant en 1908, sous la pression de l'opinion publique belge et internationale.

L'exploitation des richesses du Congo avait, jusque là, été confiée à des agents de l'État indépendant ou à des concessionnaires dont les exactions étaient devenues tristement célèbres. Pour fournir le caoutchouc, les rubis, l'or, les diamants et l'ivoire en grandes quantités, les indigènes sont soumis au travail forcé et à un régime de terreur.13

Dès le début du vingtième siècle, la concurrence coloniale atteindra vite à son zénith avec le développement de l'industrie automobile. Le caoutchouc, principale production de l'EIC d'alors, est destiné aux industries automobiles naissantes (Rover, Ford, Mercedes, etc.) ou textiles.

Des témoignages établissant l'exploitation indigne et les mauvais traitements dont est victime la population indigène, y compris l'esclavage, la malnutrition, et la mutilation (l'affaire des « mains coupées » avec quelques photos à l'appui), en particulier dans l'industrie du caoutchouc, entraînent un mouvement international de protestation mené par le Royaume-Uni et les États-Unis à partir des années 1894-1895.

 

La commission d'enquête (1904-1905)

La commission d'enquête internationale est indépendante. Elle se rend de Matadi à la province du Bas-Congo, puis jusqu'à Stanleyville (actuellement Kisangani), au centre du Congo.

Après 4 mois d'investigations sur place et l'audition de centaines de témoins, dont 5 des Congolais mutilés mentionnés dans le rapport Casement, le rapport de la commission confirme la surexploitation, souvent forcée, de la main-d’œuvre indigène (souvent victimes de coercition) qui a eu pour résultat le vidage forcé des villages de leur population mâle qui, en temps normal, approvisionne leurs familles en produits de la chasse, de la pêche et de la cueillette, les femmes étant généralement affectées, comme dans la plupart des communautés bantoues, à la petite agriculture traditionnelle de subsistance (igname, manioc là où sa culture existe, gousses d'espèces sauvages).

Le fait que les agents européens (plus d'une dizaine de nationalités) œuvrant pour l'EIC (donc pour Léopold II) soient livrés à eux-mêmes, car insuffisamment encadrés et surveillés, n'a pu conduire qu'à des abus. La commission tombe donc « à bras raccourcis sur les sociétés concessionnaires, désignées comme les principaux coupables. »

Quant aux mutilations, si certains auteurs estiment qu'elles résultaient « d'une pratique guerrière indigène […] qui n'a pas été réprimée par des responsables européens. », Conan Doyle, lui, écrit clairement en 1909 : "Beaucoup de sources disent que des mutilations de cette sorte étaient inconnues des sauvages. Elles ne se sont répandues que sous le régime européen." D'autres auteurs rappellent que l'amputation des mains avait pour origine l'obligation pour les soldats congolais de justifier l'utilisation de leurs cartouches auprès de la hiérarchie blanche afin d'éviter qu'ils utilisent leurs fusils pour la chasse. Ces soldats avaient dès lors pris l'habitude d'amputer la main de leurs victimes. Outre que ces faits démontrent l'existence d'une violence importante régnant au Congo, des témoignages rapportent que des amputations ont pu s'être produites sur des personnes vivantes.

Quant au fait d'un génocide ou d'une dépopulation du Congo de la moitié de ses habitants par l'exploitation du caoutchouc comme cela a été écrit et réécrit un siècle plus tard à partir de la campagne de presse de l'époque, « il est difficile d'avancer un quelconque pourcentage car les seuls chiffres de population qui sont disponibles sont ceux de groupes restreints d'Européens. Il n'existe donc aucun fondement scientifique » à une telle affirmation. Néanmoins, les auteurs s'accordent pour estimer que le nombre de victimes congolaises pendant cette période se chiffre en millions d'individus.

 

Léopold II jugé par ses contemporains

Arthur Conan Doyle, 1909 : « Beaucoup d'entre nous en Angleterre considèrent le crime qui a été commis sur les terres congolaises par le roi Léopold de Belgique et ses partisans comme le plus grand crime jamais répertorié dans les annales de l'humanité. Je suis personnellement tout à fait de cette opinion. »

Mark Twain, 1905 : « Le roi avec 10 millions de morts sur la conscience. »14

 

 

 

Léopold II est devenu roi des Belges le 17 décembre 1865 et il est mort le 17 décembre 1909, soit exactement 44 ans de règne.

 

Le chef-lieu du département 44 est la ville de NANTES.

 

Dans « NANTES », il y a toutes les lettres du mot « SATAN ».

 

17 décembre = 17 12

 

17x12 = 204

 

Adolf Hitler est né un 20 4 (20 avril).

 

Dieu nous montre que Léopold II était SATAN car à l'instar d'Adolf Hitler, il a exterminé des millions d'êtres humains.

 

Le Pape François est né le 17 décembre 1936 – soit 27 ans - jour pour jour - après la mort de Léopold II.

 

27 = VIN SEPT

 

SEPT = PEST

 

L'Alliance du VIN avec Jésus a permis la propagation de la PESTE car elle a laissé le pouvoir politique entre les mains des rois dont Léopold II symbolise la plus grande cruauté.

 

Le département 27 est celui de l'EURE donc Dieu fait comprendre au Pape François qu'il est l'HEURE de changer le VIN en EAU : François doit désormais intervenir dans le pouvoir politique pour combattre les rois qui sont aujourd'hui les capitalistes.

 

BELGIQUE = BEL GIQUE

 

BEL = 25 12

 

Le 25 12 (25 décembre) célèbre la naissance de Jésus.

 

GIQUE = 7+9+17+21+5 = 59

 

Le département 59 est celui du NORD.

 

NORD = 14x15x18x4 = 15120

 

15 = O = EAU

 

120 = SANS VIN

 

À travers la BELGIQUE, Dieu nous révèle qu'il remplace l'Alliance du VIN avec Jésus par celle de l'EAU – qui nous impose désormais de combattre les rois pour obtenir la vie éternelle.

Dieu nous transmet ce message à travers la BELGIQUE car elle faisait partie de la GAULE autrefois, donc les Belges ont combattu César et la nouvelle Alliance de l'EAU nous impose de combattre César pour obtenir la vie éternelle.

 

Par ailleurs, le code postal 15120 est celui de la commune de Leucamp mais également celui de VIEILLEVIE.

 

VIEILLEVIE symbolise la VIEILLE Alliance avec le VIN de Jésus qui donnait la VIE éternelle, désormais, seule la NOUVELLE Alliance de l'EAU nous donnera la VIE éternelle. Le Pape François est né à Buenos Aires dans le quartier de FLORES qui signifie FLEURS en espagnol, et sans EAU, une FLEUR ne peut pas grandir, ce qui signifie que seule la nouvelle Alliance de l'EAU nous permettra de grandir éternellement.

 

 

Léopold II est né le 9 avril 1835 (9 4 1835).

 

9x4x1835 = 66060

 

66060 = 666 00

 

Dans l'Apocalypse, le chiffre de la Bête est le 666 et plus généralement, c'est le chiffre du diable.

 

00 = ce sont des yeux.

 

À travers les signes, Dieu nous montre (00) clairement le visage du diable.

 

Léopold II est né en 1835 et mort en 1909.

 

1835+1909 = 3744

 

Le chef-lieu du département 37 est la ville de TOURS et Jules César est mort en 44 av. J-C.

 

Dieu nous demande désormais de signer l'arrêt de mort de César car c'est à notre TOUR de diriger le monde.

 

Le chef-lieu du département 44 est la ville de NANTES.

 

Dieu nous fait comprendre qu'il a laissé le pouvoir politique entre les mains de SATAN, mais c'est dorénavant à notre TOUR de diriger le monde car il remplace l'Alliance du VIN par celle de l'EAU.

 

Lorsque j'ai traduit ces messages, le maire de TOURS était Serge BABARY.

 

BABARY = BARBARIE

 

Dieu nous demande ainsi de mettre un TERME à la BARBARIE capitaliste en renversant le règne de millions de rois sans couronne.

 

En nous soumettant au pouvoir des rois, Dieu a fait les choses à l'ENVERS car il est notre père et il aurait dû nous éduquer or il a laissé SATAN prendre sa place et nous avons ainsi appris à faire la course les uns contre les autres au lieu d'apprendre à marcher tous ensemble sur la même ligne.

 

ANVERS est une ville belge dont l'un des codes postaux est le 2020.

 

20 = VIN

 

Dieu nous révèle qu'il a fait les choses à l'ENVERS car en nous transmettant l'Alliance du VIN avec Jésus, il a laissé SATAN nous éduquer en lui laissant le pouvoir politique entre les mains, or désormais, il remet les choses à l'endroit en revenant sur Terre pour nous éduquer et il nous demande de prendre le pouvoir politique en main afin de construire un monde égalitaire.

 

Dieu a laissé SATAN diriger le monde parce qu'il voulait nous montrer les failles de la nature humaine en prouvant aux générations futures que les hommes votaient pour le diable quand ils étaient endoctrinés par une élite qui possédait l'argent – donc les futures générations se serviront de nos erreurs pour que la BARBARIE ne surgisse plus jamais sur la Terre.

 

 

En 1878, Léopold II a envoyé Henry STANLEY explorer le Congo avant de le coloniser.

 

STANLEY = STAN LEY

 

STAN = SATAN

 

« LEY » signifie « LOI » en espagnol.

 

La LOI de SATAN a toujours régné sur le monde puisque les rois ont eu les pleins pouvoirs pour s'approprier les richesses de la Terre en exterminant les peuples dont ils pillaient les ressources. Les capitalistes sont aujourd'hui les héritiers d'Henry Stanley et Léopold II : ils tuent des millions d'êtres humains en colonisant les pays du Tiers Monde avec leurs multinationales ; mais cette période est terminée, ce n'est plus au TOUR de SATAN de régner mais au notre, donc nous allons prendre le pouvoir en main pour abroger la LOI de SATAN et ainsi sauver nos frères et sœurs de l'extermination capitaliste.

 

 

Henry STANLEY est mort le 10 mai 1904 à Londres.

 

10 mai = 10 5 = JE

 

Nous allons ainsi évoluer du JE au NOUS pour mettre les rois à JENOUS.

 

10 mai 1904 = 10x5x1904 = 95200

 

Le code postal 95200 est celui de la commune de SARCELLES.

 

SARCELLES = CESAR LL ES

 

LL = 12+12 = 24

 

ES = 19+5 = 24

 

Dieu nous révèle que CESAR dicte sa loi 24h sur 24.

 

Dominique Strauss-Khan – accusé de plusieurs agressions sexuelles – est l'ancien maire de SARCELLES.

 

Dieu nous demande ainsi d'empêcher SATAN de dicter sa LOI en CASTRANT les prédateurs le jour de l'élection présidentielle pour qu'ils ne se reproduisent plus jamais.

 

 

L'annexion du Congo par la Belgique

Sous Léopold II, le travail forcé a été massivement imposé par la violence pour la collecte du caoutchouc, et le portage à dos d’homme des richesses du pays vers les ports à destination d’Anvers. Les sociétés ont été désorganisées, l’alimentation a été réduite, les maladies se sont répandues, les villages qui résistaient ont été rasés. En 40 ans la population congolaise a été décimée : de 20 millions, elle est tombée à 10 millions !

Et dans la colonie, devenue belge en 1908, l’exploitation a continué, entre autre par le travail obligatoire dans les plantations et dans les mines, notamment pendant les deux guerres mondiales. Les grandes fortunes des Empain et des Boël, de la Société générale, de Solvay et de l’Union minière, ont, elles aussi, été amassées sur le dos de la population congolaise. Rien n’a été fait pour le développement du pays, surtout pas l’enseignement.15

Pendant les deux guerres mondiales, les troupes coloniales sous le commandement d'états-majors belges contribuèrent aux combats du monde libre. En 1914, en allant aider les Français dans les combats du Cameroun, en 1915 et 1916-17, en battant les troupes allemandes dans l'Est africain, lors des victoires de Tabora et de Mahenge, agissant en tenaille avec les troupes anglaises et portugaises. En 1941, ce furent les combats victorieux d'Abyssinie terminés par la victoire de Bortaï, puis les expéditions vers l'Égypte et l'envoi d'un corps expéditionnaire en Asie.

Pendant toute la période coloniale, régnera en Belgique une propagande coloniale paternaliste - dont l'album d'Hergé (Tintin au Congo) est un exemple achevé - propagande glorifiant la « mission civilisatrice » de la Belgique. Cette vision « paternaliste » fut d'ailleurs très répandue dans tous les pays colonisateurs d'Europe jusque dans les années 1950.

 

La Première Guerre mondiale

En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. L'Empire allemand ignore la neutralité de la Belgique et l'envahit en appliquant le Plan Schlieffen pour prendre à revers les armées françaises.

Le pays sera finalement presque entièrement occupé pendant toute la guerre sauf derrière la ligne de front de l'Yser où l'armée belge va résister pendant quatre ans avant de lancer l'offensive victorieuse des Flandres en 1918, alors que l'ensemble des troupes alliées entame une offensive générale. En attendant, pendant quatre ans, le gouvernement belge est contraint de se réfugier à Sainte-Adresse, dans la banlieue du Havre.

Entre temps, la force publique du Congo, l'armée coloniale, remporte aux prix de lourds sacrifices d'éclatantes victoires sous commandement belge contre les colonies allemandes au Cameroun, en aide aux Français, et en Afrique orientale, notamment à Tabora, en liaison avec les britanniques et les portugais.16

Après la guerre, la quatrième partie du traité de Versailles de 1919, appelée « Accords Orts-Milner » donne à la Belgique les territoires du Ruanda-Urundi ainsi qu'une communication par chemin de fer avec un port franc sur la côte orientale de l'Afrique orientale britannique.

 

L'entre-deux-guerres

Durant l'entre-deux-guerres, l'histoire de la Belgique est similaire au reste de l'Europe occidentale : une reconstruction énergique durant les années folles, une crise économique entre 1931 et 1935, l'émergence de partis fascistes avec la flambée rexiste de 1936-1937 autour de Léon Degrelle et le VNV flamand de Staf de Clercq.17

 

Léon Degrelle

Léon Degrelle était un écrivain, journaliste et directeur de presse au sein de la mouvance catholique belge. Il entama ensuite une carrière politique, en fondant le mouvement Rex, au départ parti nationaliste proche des milieux catholiques, qui devint rapidement un parti fasciste, puis durant la Seconde Guerre mondiale, se rapprocha du national-socialisme, pour finir dans la collaboration avec l'occupant allemand.18

 

Une jeunesse catholique

Recommandé par Mgr Picard, aumônier de l'Association catholique de la jeunesse belge (ACJB), Degrelle devient journaliste au Vingtième Siècle où il fait la connaissance du dessinateur Hergé qui illustrera en 1930 sa brochure intitulée Histoire de la guerre scolaire. Il publie une enquête sur les catholiques du Mexique, où il se rend, puis un reportage remarqué sur Les Taudis, qui sera édité peu après en livre et préfacé par le ministre du travail Heyman. Il milite également à l'Action catholique, et prend la direction de Christus-Rex, la maison d'édition du mouvement qui publie à partir de 1932 Rex, une revue au départ uniquement littéraire, ainsi que Vlan, plus politique, et lance l'hebdomadaire populaire Soirées, paraissant en héliogravure. Il en vendra plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires à l'occasion de l'apparition de la Vierge à Beauraing en 1932 puis à Banneux l'année d'après. En été 1934, il consacre un numéro de Soirées à La terreur hitlérienne.

 

L'ascension rexiste

Rex se transforme au fur et à mesure en instrument de lutte politique ; en 1934, Léon Degrelle organise des meetings au nom du mouvement Rex, qui n'est pas encore un parti : son objectif n'est à l'origine pas de créer une force politique indépendante, mais partie prenante du Parti catholique, dans l'objectif d'en épurer les éléments bourgeois proches des milieux financiers peu scrupuleux. Il se sépare de l'Action catholique l'année suivante. Le 1er mai 1935, jour de la fête du travail, il organise un meeting à Bruxelles qui réunit 5.000 personnes. Il est progressivement mis à l'écart par l'épiscopat, notamment par le cardinal Van Roey.

Fin 1935, Degrelle entame une campagne contre les "banksters" : il dénonce ainsi plusieurs scandales financiers ; lors du congrès du Parti catholique au mois de novembre, Degrelle prend la parole de force pour dresser un réquisitoire d'une demi-heure, dénonçant les "cumulards" et les "pourris". Suite à un article sur ses activités, Segers porte plainte en diffamation contre Degrelle, mais sera débouté (le 1er mai 1936). La campagne contre les "banksters" s'intensifie en février 1936, lorsque Rex rompt définitivement avec le Parti catholique, pour devenir un mouvement politique officiel qui se structure notamment dans une optique électorale : ses partisans se recrutent essentiellement dans les classes moyennes. Degrelle lance en mai 1936 son quotidien Le Pays réel, dont le titre est une allusion à Maurras, et dont le logo est dessiné par Hergé.

Perturbant occasionnellement les réunions socialistes, Degrelle organise ses propres meetings qui, bien qu'ils soient payants -rapportant ainsi davantage à Rex qu'ils ne lui coûtent-, attirent de plus en plus de monde, où celui que ses partisans surnomment "le beau Léon" est plébiscité pour ses talents d'orateur et de meneur d'hommes ; à l'instar des autres mouvements nationalistes, les discours de Degrelle sont précédés d'une mise en scène chorégraphiée, lors de laquelle est organisé le défilé du service d'ordre en chemise noire, et chanté l'hymne rexiste, qui proclame :

 

Nous voulons Dieu dans nos familles

Dans l'âme de nos chers enfants

Qu'ils gardent l'honneur de nos filles

Que nos garçons soient vrais croyants.

Nous voulons Dieu dans toute école

Afin qu'on enseigne à nos fils

Sa loi, sa divine parole

Sous le regard du crucifix.

 

Le programme de Rex est anticommuniste et anticapitaliste, et défend l'idée d'un régime corporatif, autoritaire et chrétien, centré autour de la personne du roi et l'idée de la nation belge. Réclamant le contrôle des banques et des grandes entreprises, il défend la protection des ouvriers, des petits commerçants et le "retour à la terre", ainsi que l'interdiction du divorce. Sur le plan institutionnel, il réclame une action limitée du parlement -et non son abolition-, mais aussi l'interdiction des partis, sans pour autant remettre en cause le principe des élections, demandant même le droit de vote des femmes, refusé par les socialistes lors de la réforme constitutionnelle de 1919, estimant alors que celles-ci étaient trop influencées par le clergé.

En mai 1936, Rex obtient un important succès aux élections législatives, avec 271 491 voix, soit 11,5 % au niveau national (des scores allant jusqu'à 15 à 20 % en Wallonie, et de 7 à 9 % en Flandre), obtenant ainsi 21 députés et 11 sénateurs. Degrelle ne s'est lui-même pas présenté, ayant d'autres objectifs. En été-automne 1936, il soutient ouvertement la grève générale des dockers du port d'Anvers, négociant personnellement avec les industriels une augmentation des salaires, et demandant aux personnes les plus aisées de son mouvement d'aider financièrement les familles des grévistes.

 

Premiers échecs

Rapidement déçu de la prestation des élus de son parti, il tente le 25 octobre 1936, jour de la commémoration de la bataille de l'Yser par les anciens combattants, avec quelques milliers de partisans, une "marche sur Bruxelles" qui échouera, se terminant par son arrestation. La même année, Degrelle se rend à Rome pour rencontrer Mussolini, dont il se revendique désormais ouvertement, et reçoit le soutien du gouvernement fasciste. Sur le conseil de Galeazzo Ciano, il se rendra en Allemagne, dont le gouvernement ne lui apportera aucune aide, sinon matérielle (vente de papier journal en 1938). Il signera par ailleurs un accord politique avec les nationalistes flamands du VNV (Vlaamsch nationaal verbond) de Staf De Clercq, pourtant hostiles à la Belgique et à la royauté, ce qui lui vaudra quelques oppositions dans son camp.

Pour les élections d'avril 1939, Rex enregistre un net recul (4,9 % des voix, soit 4 députés et autant de sénateurs), même si Degrelle est élu député de Bruxelles. S'alignant sur la ligne politique du roi, il se tiendra à la défense d'une stricte politique de neutralité à l'égard de l'Allemagne et voit, jusqu'à la débâcle de 1940, d'un mauvais œil la politique expansionniste d'Hitler.

 

Début de la guerre

En mai 1940, il est arrêté avec d'autres rexistes sur ordre de Paul-Émile Janson, ministre de la justice, qui l'accuse, sans preuves, d'être une "cinquième colonne" aux ordres de l'Allemagne ; les activités politiques et journalistiques de Rex sont interdites. Maltraité et passé à tabac par ses geôliers, il sera transféré en secret dans un camp de concentration français dans le Sud de la France, au Vernet (Ariège), administré par un israélite nommé Bernheim. Au même moment en Belgique, après le massacre d'Abbeville (exécution par des militaires français de 21 civils belges incarcérés pour "sympathie avec l'Allemagne"), la photo d'un cadavre ressemblant physiquement à Léon Degrelle circule dans la presse, répandant ainsi la rumeur de sa mort.

 

Retrouvé par hasard par un de ses collaborateurs, Pierre Daye, il revient en Belgique, et prend conseil auprès du pouvoir royal sur la conduite à tenir. Après consultation du comte Robert Capelle, chef de cabinet de Léopold III, il fait reparaître Le Pays réel, et propose de former un gouvernement avec Henri De Man, chef de file du mouvement socialiste, qui commençait alors, avec le soutien discret du roi, à engager une politique de collaboration ; ce projet de gouvernement n'aura finalement pas de suite.

Léon Degrelle cherchera à plusieurs reprises à obtenir le soutien des Allemands, qui préférèrent jouer la carte des Flamands du VNV, au détriment de la Wallonie. En désespoir de cause, il lance lors d'un meeting à Liège en janvier 1941: "Hitler a sauvé l'Europe et pour cette raison les rexistes ont le courage de crier Heil Hitler !"

 

La Légion Wallonie

Après le déclenchement de l'Opération Barbarossa, il participe en juin 1941 à la création de la Légion Wallonie, commandée par Lucien Lippert, combattant au sein de la Wehrmacht sur le front de l'Est, comptant 800 jeunes volontaires. Il n'interprétera pas cet engagement comme pro-allemand, jugeant que "cet uniforme n'est plus celui de l'Allemagne mais celui de l'Europe". Participant aux combats en Ukraine comme simple soldat, il participera à la contre-offensive victorieuse sur le Dniepr ; blessé sur le front au pied, il sera décoré de la Croix de fer seconde puis première classe lors de l'offensive sur le Caucase en 1942.

Remarqué par Felix Steiner, il revient en congé en Belgique avec les quelque 180 survivants en décembre 1942, et lance lors d'un meeting à Bruxelles l'idée de la "Germanité des Wallons", afin de contrebalancer l'influence des nationalistes Flamands sur l'occupant, et lancera un projet d'une "Grande Bourgogne" comprenant la Wallonie et la Bourgogne française, rattachée au Reich et dont Heinrich Himmler aurait projeté de le nommer chancelier. Pendant ce temps, Victor Mathys remplace Degrelle à la tête de Rex, alors que la résistance cible les rexistes et ses sympathisants réels ou supposés : en juin 1944, le frère de Léon, Édouard, est assassiné devant sa famille, puis c'est au tour du bourgmestre de Courcelles en août. À ces assassinats succèdent des représailles contre la population, dont Degrelle sera reconnu innocent.

En juin 1943, la Légion Wallonie intègre la Waffen-SS avec 8.000 hommes dépendant dans un premier temps de la Division Wiking d'Otto Gille, avant de former une division à part entière début 1945 ; Lucien Lippert est nommé Obersturmbannführer, tandis que Degrelle gravit les échelons et sera nommé SS-Obersturmbannführer en janvier 1945. Pour prix de son courage au combat, il est décoré le 20 février 1944 de la Ritterkreuz, une des plus hautes distinctions militaires allemandes. En juin, la SS Wallonie, dont un recrutement de quelques centaines de volontaires vient de porter les effectifs à 3.000 hommes, est chargée de couvrir la retraite allemande. En novembre 1944, Adolf Hitler le nomme Volksführer der Wallonen.

Lorsque les armées allemandes lancent leur contre-offensive surprise dans les Ardennes en décembre 1944, Léon Degrelle se hâte de s'y joindre et déclare vouloir être le premier Belge à entrer dans "Bruxelles libérée". Il passe Noël dans un château des Ardennes réquisitionné où il installe un Comité de libération wallon, mais l'offensive s'enlise et la contre-attaque alliée le force à regagner l'Allemagne. Degrelle déclare alors le 30 mars la dissolution du mouvement rexiste.

À la fin du mois d'avril, il tente de se réfugier dans le Nord de l'Europe. Il traverse le Danemark et la Norvège, jusqu'à Oslo où Albert Speer lui procure son Henkel personnel, un avion léger. Avec cinq compagnons, il survole alors une grande partie de l'Europe avant d'atterrir en catastrophe dans la baie de Saint-Sébastien à la frontière franco-espagnole.

 

Les années d'exil

Après la deuxième guerre mondiale, condamné à mort par contumace en Belgique par un tribunal improvisé, il reste en exil en Espagne où il est naturalisé par le régime de Franco qui refuse de l'extrader malgré plusieurs demandes du gouvernement belge. Il dissimule son identité pendant plusieurs années sous le nom de José León Ramírez Reina, avant de témoigner au grand jour de ses engagements passés dont il n'a rien renié, et de soutenir diverses formations nationalistes ou néofascistes en Europe. Il meurt le 31 mars 1994.19

 

 

Dieu change le VIN en EAU mais l'EAU ne doit pas devenir de la GRELLE car la GRELLE prend la forme de billes de glace qui peuvent parfois faire des ravages.

 

À ses débuts, Léon DEGRELLE se réclamait d'un christianisme combatif, comme moi, il voulait changer le VIN en EAU mais finalement il s'est révélé être un mythomane manipulateur qui finira par collaborer avec les nazis. Degrelle ne pensait qu'a régner d'où le nom de son parti, le REX, qui signifie « le ROI » en latin.

Notre EAU ne doit pas se transformer en GRELLE puisque notre but est d'éradiquer le nazisme et non le remplacer par une idéologie semblable.

 

Léon Degrelle aurait inspiré à Hergé le personnage de TINTIN.

 

TIN = 20x9x14 = 2520

 

2520 = BET

 

BET = BÊTE

 

Dans TIN TIN, il y a DEUX fois « TIN » donc DEUX BÊTE(S).

 

BETES = 2x5x20x5x19 = 19000

 

Le code postal 19000 est celui de la ville de TULLE dont François Hollande est l'ancien maire.

 

Le personnage de TINTIN a été interprété au cinéma par l'acteur Jean-Pierre Talbot qui est né à SPA en Belgique, un 12 août comme François Hollande.

 

La SPA est une association qui s'occupe des refuges pour les ANIMAUX.

 

À l'instar de TINTIN, je mène une enquête pour vous prouver que Hollande est une BÊTE et que la place de ce prédateur est dans un refuge pour ANIMAUX.

 

Jean-Pierre Talbot et François Hollande sont donc nés un 12 août.

 

Jean-Pierre Talbot est né à SPA et le PS est le parti politique de François Hollande.

 

SPA = 19x16x1 = 304

 

PS = 19x16 = 304

 

Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 (30 avril).

 

Dieu associe François Hollande et l'acteur qui interprétait Tintin, car à l'instar de Tintin, je mène une enquête pour déchiffrer les messages de Dieu, et ils nous indiquent de signer l'arrêt de mort du RICHE – en éjectant du pouvoir les hommes politiques comme François Hollande.

 

À l'instar de François Hollande et Jean-Pierre Talbolt, la mère d'Adolf Hitler est née un 12 août.

 

Jean-Pierre Talbot est né à SPA et la mère d'Adolf Hitler est née à SPITAL.

 

Le mot SPITAL est composé des lettres « SPA » et « LIT ».

 

LIT = 20x9x20 = 2160

 

2160 = FOU

 

À travers le mot SPITAL, Dieu nous fait comprendre que la place de François Hollande est dans un HOSPITAL psychiatrique car lorsqu'il était au pouvoir, ce FOU a mené une politique responsable de l'extermination d'un enfant toutes les 5 secondes, donc ce FOU dangereux doit être attaché à un LIT avec une camisole de force jusqu'à la fin de sa vie.

 

LIT = TL

 

TL = 2012

 

François Hollande a été élu en 2012, il était d'ailleurs à TULLE le jour de sa victoire à l'élection présidentielle.

 

En 2012, le clip de la chanson Gangnam Style du chanteur PSY est devenu le clip le plus visionné de l'histoire sur internet.

 

Dieu multiplie les signes pour nous montrer que François Hollande est un PSYCHOPATHE qu'il faut munir d'une camisole de force afin de l'empêcher de nuire.

 

Je rappelle que le père de François Hollande est un ancien médecin ORL propriétaire de plusieurs cliniques.

 

ORL = L'OR

 

Pour permettre à sa classe sociale d'accumuler L'OR, ce psychopathe de Hollande a mené une politique responsable de la mort de millions d'êtres humains chaque année.

La place de ce grand malade est donc dans un HOSPITAL psychiatrique ou dans une clinique vétérinaire spécialisée dans la castration des BÊTES.

 

 

TINTIN est l'un des personnages les plus célèbres de l'histoire de la BD.

 

BD = 24

 

24 se prononce 20 4.

 

Adolf Hitler est né un 20 4 (20 avril).

 

Léon Degrelle, un adorateur d'Adolf Hitler, aurait inspiré à Hergé le personnage de TINTIN.

 

Une bande dessinée est composée de BULLES qui attribuent des PAROLES aux personnages.

 

Lors de la CAMPAGNE présidentielle, la BÊTE (l'homme politique) parvient à séduire les électeurs par des PAROLES mensongères. Manipulé, l'électeur vote ainsi pour la BÊTE avec son BULLETIN de vote.

 

BULLETIN = BULLE TIN

 

La BULLE symbolise les PAROLES d'un personnage dans une BD.

 

BD = 24 = HITLER

 

TIN = BETE

 

Dieu nous fait comprendre que nous choisissons le BULLETIN de vote d'Adolf Hitler à chaque élection présidentielle, car cette BÊTE réussit à nous séduire par ses PAROLES et nous sommes incapables de nous rendre compte que nous votons pour l'extermination d'un enfant toutes les 5 secondes.

 

 

TINTIN = 20x9x14x20x9x14 = 6350400

 

6350400 = 30 4 56 00

 

Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 (30 avril) à l'âge de 56 ans.

 

00 = ce sont des yeux.

 

Dieu nous montre (00) que la nouvelle Alliance nous impose de prendre collectivement le pouvoir en main, afin de signer l'arrêt de mort du RICHE.

 

TINTIN a été créé par le dessinateur HERGÉ.

 

HERGÉ se prononce R G.

 

R = 18

 

18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler.

 

G = 7 = SEPT

 

SEPT = 19x5x16x20 = 30400

 

Adolf Hitler est mort un 30 4 (30 avril).

 

Léon DEGRELLE – un admirateur d'Adolf Hitler – aurait inspiré le personnage de TINTIN.

 

La GRELLE est de l'EAU gelée.

 

HERGÉ est né le 22 mai 1907 (22 5 1907).

 

22x5x1907 = 209770

 

209770 = 209 0 77

 

209 = BOI

 

0 = le chiffre 0 a la forme de la lettre O (EAU).

 

77 = SEPT SEPT

 

SEPT = 19x5x16x20 = 30400

 

Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 (30 avril).

 

À travers TINTIN et Léon DEGRELLE, Dieu nous transmet le message suivant : « BOIS l'EAU de la nouvelle Alliance en luttant pour signer l'arrêt de mort du RICHE. »

 

 

Hitler était AUTRI CHIEN et il a déclaré que le IIIe Reich durerait MIL AN.

 

TINTIN est accompagné dans ses enquêtes de son CHIEN MILOU.

 

CHIEN = AUTRICHIEN

 

MILOU = MIL AN

 

À l'instar de Tintin, je mène l'enquête pour vous prouver que vous votez pour Adolf Hitler mais que désormais, Dieu nous impose de mettre un terme à son règne – en prenant collectivement le pouvoir politique en main – afin que le IIIe REICH ne dure pas MIL AN.

 

Léon Degrelle possédait le pouvoir de séduction de la BÊTE mais il fut l'un des rares hommes politiques dont les mensonges ont été démasqués.

 

Degrelle a écrit un livre dont le titre est HITLER pour 1 000 ans.

 

 

Ce livre, publié en 1969, est tout aussi révélateur des affabulations de Degrelle et de son admiration persistante pour Hitler. Pour le premier aspect, Degrelle affirme tour à tour qu'après sa première entrevue avec Hitler en 1936, celui-ci aurait dit et répété à Joachim von Ribbentrop qu'il n'avait jamais vu de tels dons chez un gars de cet âge, qu'en 1939, le soir, il allait parfois retrouver le roi Léopold III à son palais de Laeken, « où le souverain le recevait détendu, en culotte de cheval » et où ils jetaient « ensemble les bases des campagnes de la presse rexiste » ; toujours selon Degrelle, en préparation à l'invasion de la Norvège, « Hitler lui-même avait été auparavant rôder secrètement en bateau tout au long de la côte à investir et connaissait chaque crique du débarquement. » Bien qu'il n'ait rencontré Hitler qu'à trois reprises, il proclame « : Moi je l'ai connu tout au long de ces dix années, connu de tout près au moment de sa gloire, comme au moment où, autour de lui, l'univers de ses œuvres et de ses rêves basculait. Je sais. Je sais qui il était : le chef politique, le chef de guerre, l'homme, l'homme tout cru, l'homme tout court. » Quant au second aspect, Degrelle nie la Shoah tout en exaltant les réalisations du nazisme : « On a publié, dans un gigantesque tapage, cent reportages, souvent exagérés, parfois grossièrement mensongers, sur les camps de concentration et les fours crématoires, seuls éléments que l'on veuille bien mentionner dans l'immense création que fut, pendant dix ans, le régime hitlérien. » Il termine son ouvrage en écrivant « qu'il est malheureux qu'au XXe siècle Hitler ait raté l'affaire [l'unification de l'Europe] à son tour [après Napoléon]. Le communisme eût été balayé » et que « Hitler disparu, le monde démocratique s'est révélé incapable de créer du neuf dans le domaine politique et social, ou même de rafistoler du vieux », allant jusqu'à prétendre que Hitler a inspiré Nasser, de Gaulle, Tito et Castro.20

 

Léon Degrelle a nié la Shoah à l'instar des hommes politiques des partis capitalistes qui nient le génocide des pauvres perpétré par leur idéologie.

Comme Léon Degrelle, ces hommes politiques ont Adolf Hitler pour modèle, dans la mesure où le IIIe REICH capitaliste permet au RICHE d'accaparer la majeure partie des richesses de la Terre en exterminant des millions de pauvres chaque année, considérés comme des « sous-hommes ».

L'imposture de Léon DEGRELLE a été démasquée car la GRELLE c'est de l'EAU et on peut voir clair à travers l'EAU contrairement au VIN dont on ne voit rien au travers, et c'est la raison pour laquelle nous ne voyons jamais lors du journal de VIN heures les millions d'êtres humains exterminés chaque année par le IIIe REICH capitaliste. La majeure partie des électeurs choisissent alors le BULLETIN de vote d'Adolf Hitler à chaque élection présidentielle, la BÊTE étant parvenue à les séduire puisqu'ils n'ont jamais vu lors du journal de VIN heures les millions d'enfants assassinés chaque année par le pouvoir de la BÊTE : le nazi-capitalisme.

 

Dieu change désormais le VIN en EAU pour vous redonner la vue afin que vous compreniez que vous votez pour le diable.

 

 

À la veille de la Seconde Guerre mondiale

Le pays était déchiré entre les factions flamandes et wallonnes : lorsqu’il fallut voter un budget militaire face à la menace nazie, les députés flamands boudèrent ce vote, ce qui empêcha la modernisation à temps de l’armée belge à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Mais l’objectif principal des Flamands était de rompre l’accord militaire franco-belge de 1920 qu’ils considéraient comme un symbole de la domination francophone.

 

Léopold III accéda au mot d'ordre flamand Los van Frankrijk ! (Larguons la France !) et demanda au gouvernement d’adopter une politique d’indépendance face à la montée des tensions internationales dans l'espoir d'échapper à la guerre.

 

En toute discrétion, le gouvernement dénonça unilatéralement, en 1936, l’accord franco-belge, pour reprendre la politique d'État tampon abandonné dix-sept ans plus tôt. À la veille de l'invasion allemande, le roi divisa ses troupes en envoyant la moitié d’entre elles face à la France. Cette attitude vaudra au roi de vives réprobations de la part des Alliés et d’une partie de la population wallonne.

 

La Seconde Guerre mondiale

En 1940, la Belgique est à nouveau occupée par l'Allemagne, et placée sous administration militaire dirigée par le général Alexander von Falkenhausen.

Les Belges vivent sous l'occupation jusqu'à la Libération par les forces alliées en septembre 1944. Les quatre années passées sous l'administration militaire allemande, dirigée par le général Alexander von Falkenhausen, voient notamment la déportation sans retour de 25 000 Juifs du pays vers Auschwitz-Birkenau, avec la collaboration parfois des autorités. La municipalité d'Anvers envoie sa police collaborer aux rafles allemandes, celle de Liège livre à l'occupant des listes de juifs, mais celle de Bruxelles s'y refuse et son bourgmestre, le docteur "Jef" Van de Meulebrouck est arrêté. Le collège des secrétaires généraux de ministères se contente de gérer le pays comme il le peut, confronté aux exigences et aux réquisitions allemandes.

Certains secrétaires généraux seront limogés et remplacés par des collaborateurs des Allemands. Aidé des collaborationnistes, l'occupant traque les résistants qui sont arrêtés par milliers, souvent torturés et déportés en camps de concentration depuis le fort de Breendonk.

À la suite d'attentats de la résistance, près de trois cents otages sont également fusillés en représailles. Livré au pillage, à la faim et au marché noir, le pays voit aussi plusieurs centaines de milliers des siens envoyés travailler de force dans les usines de guerre nazies outre-Rhin. La sympathie de certains milieux flamands pour l'occupant, qui ne va pas hésiter à attiser la division des Flamands et des Wallons pour mieux régner, contribuera à nourrir de nouvelles rancœurs intercommunautaires après la libération.

La collaboration économique a été forte dans l'ensemble du pays.

Des « volontaires » flamands et wallons vont combattre en Russie aux côtés de la Wehrmacht. Après la libération de 1944 par les Anglais accompagnés des forces belges du général Piron, une dernière offensive allemande oppose la Wehrmacht et des troupes spéciales de SS aux GI américains. C'est la bataille des Ardennes avec son cortège d'atrocités perpétrées par des SS contre la population. Mais, à la fin de décembre 1944, les derniers soldats allemands sont chassés de Belgique.

 

L'après guerre

La Libération est mouvementée. Les mouvements de résistance rechignent à rendre leurs armes et à se dissoudre. Le contexte est passionné par une opposition entre wallons et flamands, les premiers soulignant la collaboration pro-nazie de cercles flamands héritiers du VNV d'avant-guerre. Mais les francophones ont eu aussi leurs collaborateurs autour du wallon d'origine française Léon Degrelle.

 

Un certain nombre de personnes sont condamnées judiciairement tandis que l'épuration civique se fait aussi de manière extra-judiciaire, notamment par des sanctions administratives. Cette politique de répression donne lieu à des dérapages qui conduisent à la démission de plusieurs ministres de la Justice. Cela, plus une différence de climat sensible en Flandre fait émerger une nouvelle revendication dans le mouvement flamand : l'amnistie.

 

En plus de la répression et des demandes d'amnistie, la question royale pèse lourdement sur la vie politique du pays : le roi Léopold III, transféré dans le Reich en juin 1944, ne peut rentrer au pays après sa libération en mai 1945, car son « testament politique » rédigé au printemps 1944, peu amène pour les Alliés et le gouvernement en exil et ignorant la résistance, a montré son décalage avec le gouvernement Pierlot, l'opinion publique et l'évolution générale du monde.21

 

La Question Royale

Une majorité des wallons, la gauche et les libéraux s'opposent au retour de Leopold III. Le PSC-CVP ainsi que les flamands, qui ont le sentiment que le roi comprend leurs aspirations, veulent qu’il règne à nouveau. Finalement une Consultation populaire (référendum consultatif) tranche la question le 11 mars 1950. Mais si la majorité de la Flandre, à plus de 70 %, rappelle le roi, une majorité de Bruxellois et de Wallons n’en veulent plus : au total, vu le poids de la Flandre, 57 % de Belges votent pour le roi. Celui-ci revient le 22 juillet et c’est alors qu’éclate en pays wallon une véritable insurrection ponctuée par des dizaines d’attentats à l’explosif, l’éclatement d’une grève générale, la formation d’un gouvernement wallon séparatiste dans les dernières heures de juillet, suite au tragique incident de Grâce-Berleur, épilogue de la question royale.22

 

La fusillade de Grâce-Berleur

Le 30 juillet, 600 personnes sont rassemblées sur la place des Martyrs de la Résistance à Grâce-Berleur. Vers cinq heures de l'après-midi, le député socialiste Simon Pâque doit informer la population de l'évolution des événements concernant la question royale. La foule compte aussi bien des hommes que des femmes et des enfants.

Mais un coup de téléphone anonyme dénonce le rassemblement à la gendarmerie de Hollogne-aux-Pierres (tout rassemblement étant interdit par ordre du Commissaire d' arrondissement) : onze gendarmes s'embarquent dans un combi. Simon Pâque vient de terminer son discours lorsque les gendarmes arrivent. Le député prêche le calme : « Voici les gendarmes, mais j'ai néanmoins fini mon discours ; restez calmes et rentrez chez vous ».

Les gendarmes se déploient l'arme au poing. À leur arrivée, un grand nombre de manifestants se retirent. Mais la situation va cependant s'aggraver. Le député Pâque parlemente avec le chef du détachement de gendarmes et est finalement emmené vers leur véhicule. Arthur Samson, bourgmestre de Grâce-Berleur, s'oppose à cette arrestation. Mais voyant la foule à nouveau en colère, il tente de la calmer. Il est cependant arrêté à son tour. Les manifestants se font plus menaçants. Le chef du détachement dégoupille une grenade de dissuasion et la lance derrière lui. Certains prennent peur, d'autres s'insurgent. Un ouvrier mineur militant syndical, Albert Houbrechts, né à Liège le 26 février 1912, ancien résistant, interpelle le sous-officier. On ne sait pourquoi. Les deux hommes en viennent aux mains.

 

Il y eut trois morts et une quatrième victime succomba à ses blessures.

 

Le retrait du Roi Léopold III

Cet incident joua un rôle capital dans le retrait du roi Léopold III car les politiques, même partisans de son maintien (en principe), voulurent à tout prix éviter l'épreuve de force et finirent par convaincre le quatrième roi des Belges d'abdiquer. Une abdication différée, car elle n'eut lieu qu'un an plus tard, mais le roi délégua tous ses pouvoirs à son fils Baudouin Ier.23

 

 

SIMON PAQUE est mort le 17 décembre 1977.

 

Le Pape François est né un 17 décembre ; le roi Léopold II a commencé à régner le 17 décembre 1865 et il est mort le 17 décembre 1909.

 

17 décembre = 17x12 = 20 4

 

Adolf Hitler est né un 20 4 (20 avril).

 

PÂQUES est la fête la plus importante du christianisme. Elle commémore la résurrection de Jésus-Christ et donc la nouvelle Alliance avec Dieu, qui n'imposait pas de combattre César pour obtenir la vie éternelle.

 

Simon PAQUE a lutté contre le retour du roi Léopold III.

 

À travers Simon PAQUE, Dieu modifie les termes de l'Alliance célébrée à PÂQUES car il nous impose désormais de combattre les rois pour obtenir la vie éternelle.

 

Léopold II, l'un des rois les plus meurtriers de l'histoire de l'humanité, a commencé à régner le 17 décembre 1865 et Simon Pâque est mort le 17 décembre 1977.

 

1977-1865 = 112

 

Le 112 est le numéro de téléphone réservé aux appels d’urgence et valide dans l’ensemble de l’Union européenne.

 

Dieu nous fait comprendre qu'il y a urgence : les rois accaparent actuellement la majorité des richesses de la Terre, provoquant la mort de millions de pauvres chaque année.

 

112 se prononce SANS 12.

 

12 = L = AILE

 

112 = SANS AILE

 

Si tu n'appelles pas le 112 pour aider tes frères et sœurs, tu seras « SANS AILES » car tu n'obtiendras jamais les AILES qui permettent de s'envoler au paradis. En France, le 112 c'est L.O. et le NPA.

 

Simon PAQUE est mort en 1977.

 

7x7 = 49

 

Le chef-lieu du département 49 est ville d'ANGERS.

 

ANGERS = ANGE

 

Dieu modifie l'Alliance célébrée à PÂQUES car l'Alliance du VIN avec Jésus ne permettra plus à ses membres de devenir des ANGES avec deux AILES dans le dos. Les nouveaux élus seront ceux qui, à l'instar de Simon PAQUE, combattront les rois.

 

PAQUE = PAC

 

La PAC est le sigle de la Politique Agricole Commune, mise en place à l'échelle de l'Union européenne.

L'agriculture mondiale peut nourrir 12 milliards d'êtres humains.

Par conséquent, Dieu associe PÂQUES à la PAC car nous obtiendrons dorénavant la vie éternelle en luttant pour que chaque être humain puisse manger à sa faim.

 

 

Après la fusillade de Grâce-Berleur, le roi Léopold III se retira, il délégua alors tous ses pouvoirs à son fils BAUDOIN Ier.

 

BAUDOIN = BADOI

 

La BADOIT a le même effet que le VIN puisque c'est une EAU GAZEUSE et les juifs étaient exterminés dans les chambres à GAZ lors du IIIe REICH – donc ce signe nous fait comprendre que le roi BAUDOIN symbolise le RÈGNE du RICHE qui extermine le pauvre.

 

Le roi BAUDOIN est né un SEPT SEPTEMBRE.

 

SEPTEMBRE = SEPT EMBRE

 

SEPT = 19x5x16x20 = 30400

 

Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 (30 avril).

 

EMBRE = 5+13+2+18+5 = 43

 

43 = DC

 

D C se prononce DÉCÈS.

 

Dieu nous révèle ainsi que le RÈGNE du RICHE provoque le DÉCÈS de millions de pauvres chaque année.

 

Le roi BAUDOIN est né le SEPT SEPTEMBRE 1930 (7 7 1930).

 

7x7x1930 = 121590

 

121590 = LOI 0

 

Le chiffre 0 a la forme de la lettre O.

 

O = EAU

 

Dieu nous montre qu'il change la LOI en remplaçant l'Alliance du VIN par celle de l'EAU – qui nous impose de mettre un terme au règne du ROI : le RICHE – en partageant équitablement les richesses de la Terre entre chaque être humain.

 

BAUDOIN est mort le 31 juillet 1993 : le 212e jour de l'année.

 

2 12 = 2 L = 2 AILES

 

Dieu précise qu'en luttant pour mettre un terme au règne du ROI, nous obtiendrons les 2 AILES qui mènent au paradis.

 

 

Simon Paque a donc lutté contre le retour du roi Léopold III, le père de Baudoin. Simon Paque a été arrêté et Arthur SAMSON s'est opposé à son arrestation.

 

SAMSON est présenté dans la Bible comme un héros d'une force inimaginable, du genre herculéenne, force qu'il doit, selon le récit biblique, à la promesse de Dieu faite à sa mère, cachée sous la longueur de ses CHEVEUX.

 

Dieu VEUT désormais que nous agissions comme CHE Guevara : il nous demande de combattre le nazi-capitalisme de toutes nos forces.

Nous devons ainsi nous opposer à l'arrestation de nos frères et sœurs, envoyés par millions dans les chambres à GAZ capitalistes.

 

SAMSON = 19+1+13+19+15+14 = 81

 

81 = HA = ce sont les initiales d'Hitler Adolf : le chef du parti NAZI.

 

SAMSON était NAZIR dès le ventre de sa mère.

 

Le NAZIR est une personne, homme ou femme, qui se consacre à Dieu pendant une période de temps déterminée, durant laquelle elle s'engage à rester en état de pureté. Si le NAZIREAT engage le plus souvent pour une période limitée, la Bible mentionne deux cas de NAZIREAT à vie : Samson, consacré à Dieu dès avant sa conception et habité par l’esprit de sainteté aussi longtemps qu’il demeure dans son NAZIREAT, et SAMUEL.24

 

NAZIREAT = ARET NAZI

 

SAMUEL a fait le vœux de NAZIREAT à vie.

 

SAMUEL = LE SAMU

 

Des centaines de millions d'enfants dans le monde sont actuellement dans un état critique parce qu'ils sont quotidiennement frappés par la violence du système capitaliste, alors ARRETE d'être un NAZI : ne vote pas pour ce système économique criminel mais appel LE SAMU pour venir en aide aux victimes. Donc ne sois pas NAZI à vie, c'est-à-dire ne reste pas insensible à l'extermination de millions de pauvres chaque année.

 

Pour appeler le SAMU, il faut composer le numéro 15.

 

15 = O = EAU

 

Le SAMU signifie Service d'Aide Médicale Urgente.

 

Dieu change le VIN en EAU pour que nous rendions service immédiatement aux victimes agressées par le règne criminel du RICHE, et il y a urgence, un enfant succombe à ses blessures toutes les 5 secondes.

L'Alliance du VIN avec Jésus laisse César leur venir en aide mais il ne vient jamais leur porter secours car il refuse de payer le personnel de santé, alors notre devoir est de prendre l'argent accaparé par César pour l'investir dans une aide médicale d'urgence, sinon, sans notre intervention, des millions d'enfants seront condamnés à mourir chaque année.

 

SAMUEL était « NAZI A VIE ».

 

SAMUEL = SAM

 

Dans une soirée, SAM est celui qui ne boit pas d'alcool.

 

Dieu te fait comprendre que tu dois uniquement boire l'EAU de la nouvelle Alliance afin de rester sobre et prendre le volant de ta destiné, car si tu laisses ce NAZI d'Adolf Hitler conduire ta voiture, il t'emmènera tout droit en enfer.

 

 

De la fusillade de Grâce-Berleur à la mort de Julien Lahaut

Après la fusillade de Grâce-Berleur, le roi se retire. La Belgique vient de vivre les heures les plus graves de son histoire intérieure. Le drame rebondit : le 11 août, lorsque le Prince Royal Baudouin Ier se prépare à jurer fidélité à la Constitution, un cri s’élève des travées : VIVE LA REPUBLIQUE ! Il fut attribué à Julien Lahaut qui en assuma la responsabilité. Le 18, il était assassiné à son domicile de Seraing.25

 

Julien Lahaut

Julien Lahaut est ouvrier dès l'âge de 14 ans et militant syndical à 18 ans. Il est renvoyé suite à sa participation aux grèves de 1902. Se retrouvant au Val Saint-Lambert, il fonde en 1905, avec Joseph Bondas, « Relève-toi », un syndicat métallurgiste. Ce syndicat deviendra la « Centrale des Métallurgistes ». De 1908 à 1921, il est élu secrétaire permanent. La Première Guerre mondiale débutant, il s'engage volontairement et est envoyé sur le front russe avec le Corps des autos-canons. Inspiré par les idées communistes, il rentre en 1918 en Belgique. Exclu du POB et de la Centrale des Métallurgistes en 1921, il fonde les Chevaliers du Travail, qui fut le lancement de la future Centrale révolutionnaire des Mineurs. En 1923, il adhère au PCB. Lors de la grève des mineurs en 1932, il est arrêté et mis en prison. La même année il est élu député de Liège, il quitte ainsi la prison pour entrer au parlement. Il s'oppose à la montée du nazisme et du fascisme et décide de lutter en faveur de l'Espagne républicaine en 1936. Il dirige également le quotidien La Voix du Peuple. Le 2 avril 1939, Lahaut est réélu député.

Lors de la Deuxième Guerre mondiale, il devient résistant. En janvier 1941, il s'oppose à Degrelle. Il dirige la grève des 100 000 en mai 1941. Le 22 juin 1941, l'Allemagne nazie attaque l'URSS. Le pacte germano-soviétique est rompu. Lahaut est arrêté le jour même. En effet, la Gestapo disposait du "fichier belge". Après avoir été torturé au Fort de Huy, d'où il essaie trois fois de s'échapper, il est déporté vers le camp de concentration de Neuengamme le 20 septembre 1940. Le 13 juillet 1944, accusé de sabotage, Lahaut est condamné à mort. Il est déporté au camp de concentration de Mauthausen. Il est libéré le 28 avril 1945. Le 1er juin il est accueilli à Liège. Le 11 août 1945, peu après sa libération, le comité central du PCB crée pour Julien Lahaut le poste de président du parti, cette fonction n'existait pas jusqu'à lors. En 1946, Julien Lahaut est réélu. En 1947 c'est le début de la guerre froide.

Retour en force de la droite aux élections de 1949. Les élections anticipées de 1950 donnent une majorité absolue au PSC-CVP, les Chambres réunies votent la fin de l'impossibilité de régner. Le 22 juillet 1950, le roi Léopold III reprend ses fonctions. Le 30 juillet à Grâce-Berleur, la gendarmerie tue trois manifestants et en blesse mortellement un quatrième. Léopold III s'efface au profit de son fils. Lorsque Baudouin vint prêter le serment constitutionnel de futur roi devant les chambres réunies le 11 août 1950, un des parlementaires communistes, Georges Glineur cria « Vive la République ! », suivi par Lahaut, Dejace, Lalmand, Terfve et Bonenfant (parlementaires communistes). Le 18 août, Julien Lahaut est assassiné par deux tueurs sur le seuil de sa maison. Le lendemain de son assassinat, en signe de protestation, des grèves furent organisées. La FGTB refuse la grève générale demandée par les communistes. Le jour de ses funérailles une foule difficile à estimer, entre 100 000 et 300 000 personnes, se masse dans les rues de Seraing.

Depuis quelque temps, le dirigeant des communistes belges et militant antifasciste de longue date, ainsi que de nombreux autres politiciens de gauche, recevait des lettres anonymes le menaçant. Pour les auteurs du livre "La Guerre froide en Belgique", le meurtre de Julien Lahaut « avait une signification politique tant nationale qu'internationale. Le président du PCB personnifiait la tradition de lutte ouvrière dans ce qu'elle a de plus dur et de plus révolutionnaire. […] Les années de lutte, de prison et de torture, subies pendant la guerre de 14-18 et pendant sa déportation dans les camps nazis au cours de la Deuxième Guerre mondiale n'avaient entamé ni sa force physique ni son moral. Pour lui, la vie n'avait de signification que dans la lutte : que ce soit dans les prisons ou dans les camps hitlériens, sur les tribunes politiques ou sur les barricades, dans les manifestations de masse ou dans l'enceinte parlementaire". »26

 

 

Julien LAHAUT a ainsi lutté toute sa vie, que ce soit contre le nazisme ou le capitalisme, donc Dieu nous révèle qu'aujourd'hui, JULIEN est LA-HAUT : au paradis.

 

En 1905, il fonda « Relève-toi », un syndicat métallurgiste.

 

« Relève-toi » est le mot d'ordre du message de Dieu car si tu veux aller LAHAUT, tu dois refuser de rester à genoux devant le RICHE et combattre le IIIe REICH capitaliste.

 

JULIEN = JU

 

Un coup de JUS est un terme employé quand on reçoit de l'électricité STATIQUE.

 

LA-HAUT, au paradis, la lumière ne s'éteint jamais mais si tu restes STATIQUE, sans combattre le nazi-capitalisme, Dieu coupera L'ÉLECTRICITÉ le jour de ta mort et tu vivras éternellement dans le noir.

 

ÉLECTRICITÉ = ÉLECT TRI CITÉ

 

Pour bénéficier éternellement de L'ÉLECTRICITÉ, l'ÉLECTEUR doit faire le TRI entre les candidats et choisir le meilleur d'entre eux pour faire régner l'égalité et la paix dans la CITÉ ; mais si tu fais le mauvais SHOAH, Dieu coupera l'ÉLECTRICITÉ le jour de ta mort.

 

Un comte polonais – qui avait partagé la captivité de Julien LAHAUT pendant la guerre – l'appelait L’homme qui portait le soleil dans sa poche et en donnait un morceau à chacun.27

 

Dieu nous fait comprendre que Julien LAHAUT avait la lumière en lui, puisqu'il était communiste, donc il a lutté toute sa vie pour créer une société sans classes dans laquelle régnerait une parfaite égalité entre les hommes. Ainsi, sans le savoir, Julien avait la lumière de Dieu en lui et c'est la raison pour laquelle il est aujourd'hui LA-HAUT.

 

Le prénom Julien est d'origine latine, il est dérivé de la « gens Julia » : la famille dont est issu Jules César.

 

Le 13 juillet 1944, accusé de sabotage, Julien LAHAUT fut condamné à mort. Il fut déporté au camp de concentration de Mauthausen.

 

Jules César est né un 13 juillet et il est mort en 44 av. J.-C.

 

13 juillet 44 = 13 juillet 1944

 

Dieu associe Jules César et Julien LAHAUT car si nous ne combattons pas César, nous serons condamnés à mort ; par conséquent, nous n'irons jamais LA-HAUT au paradis.

 

Julien LAHAUT a été condamné à mort le 13 juillet 1944.

 

1944 = 19 44

 

Le chef-lieu du département 19 est la ville de TULLE.

 

L'année 44 symbolisant la mort de Jules César, Dieu nous transmet le message suivant : « TUE-LE ! Signe l'arrêt de mort de César – le jour de l'élection présidentielle – et tu iras LA-HAUT au paradis. »

 

HAUT = 8x1x21x20 = 3360

 

3360 = 336 0

 

Le 336e jour de l'année est traditionnellement le 2 décembre (2 12).

 

2 12 = 2 L = 2 AILES

 

0 = le chiffre 0 a la forme de la lettre O.

 

O = HAUT

 

Dieu nous montre que nous obtiendrons les 2 AILES qui permettent de s'envoler Là-HAUT : au paradis – en luttant pour éliminer César : le RICHE.

 

 

Julien LAHAUT est né et mort dans la ville de SERAING en Belgique.

 

Dieu nous demande ainsi de mettre des GANTS le jour de l'élection présidentielle pour prendre une SERAINGUE et euthaNAZIer les prédateurs qui dirigent notre pays. Une fois le travail accompli, nous pourrons aller LA-HAUT

 

 

LAHAU = 12x1x8x1x21 = 2016

 

Depuis 2016 – l'année de la mise en ligne de ce site internet – Dieu change les règles pour aller LA-HAUT au paradis.

 

Pour obtenir l'année 2016, il faut supprimer le T de LAHAUT.

 

T = 20 = VIN

 

En 2016, Dieu a supprimé le VIN car tu dois désormais combattre César pour aller LA-HAUT.

 

 

LAHAUT = 12x1x8x1x21x20 = 40320

 

Le code postal 40320 est celui de la commune de BATS.

 

Dieu te transmet le message suivant : « BATS-TOI contre César et tu iras LA-HAUT. »

 

 

Julien LAHAUT est mort un 18 août (18 8).

 

18x8 = 144

 

144 se prononce 100 44.

 

Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.

 

À travers la mort de Julien LAHAUT, Dieu précise clairement que nous devons nous BATTRE pour signer l'arrêt de mort de César, afin de pouvoir vivre éternellement LA-HAUT.

 

 

Julien LAHAUT est mort le 18 août 1950, soit 19 jours avant ses 66 ans, il n'a donc pas atteint l'âge des deux premiers chiffres du diable (666), puisque Julien s'est battu toute sa vie contre le pouvoir de la Bête.

 

19 = TULLE

 

TUE LE diable le jour de l'élection présidentielle, et tu pourras vivre éternellement LA-HAUT.

 

Julien LAHAUT est mort un 18 août.

 

La campagne des 18 jours est le nom donné à l'invasion de la Belgique par les troupes allemandes, et la confrontation entre les deux armées et leurs alliés. Elle débuta le 10 mai 1940 et aboutit à la capitulation belge du 28 mai 1940.

Depuis 1936, la Belgique était restée neutre et elle profita de sa situation de non-belligérance pour bâtir une défense militaire aussi forte que possible contre l'Allemagne dont on appréhendait l'attaque.

Le 10 mai 1940, au moment de l'attaque allemande, la Belgique est parvenue à mobiliser un total de 17 % de la population masculine de 18 à 40 ans, soit 8 % de la population totale du pays.28

 

La campagne des 18 jours a ainsi débuté un 10 mai.

 

18 = AH

 

AH sont les initiales d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.

 

10 mai = 10 5 = JE

 

Dieu nous demande désormais de nous mobiliser contre le règne du RICHE en réunissant le maximum de soldats le jour de l'élection présidentielle afin d'évoluer du JE au NOUS pour mettre Adolf Hitler à « JENOUS ».

 

Henry STANLEY, l'homme qui fut désigné par Léopold II pour coloniser le Congo, est mort le 10 mai 1904 – soit 36 ans - jour pour jour - avant l'attaque allemande du 10 mai 1940.

 

Le Pape François est né en 1936.

 

En 1936, la Belgique était NEUTRE comme le Pape François.

 

Dieu nous fait comprendre que la NEUTRALITÉ permet aux nazis de régner.

 

36+35+34+33+32+31+30+29+28+27+26+25+24+23+22+21+20+19+18+17+16+15+14+13+12+11+10+9+8+7+6+5+4+3+2+1=

666.

 

Le chiffre de la BÊTE est le 666.

 

Henry STANLEY est mort le 10 mai 1904 soit 36 ans - jour pour jour - avant l'attaque allemande du 10 mai 1940.

 

STANLEY = STAN LEY

 

STAN = SATAN

 

« LEY » signifie « LOI » en espagnol.

 

À travers le chiffre 36, Dieu nous révèle que le pouvoir de la BÊTE, le nazisme, a permis à SATAN d'imposer SA LOI après l'attaque du 10 mai 1940.

 

 

STANLEY = STAN LEY

 

STAN = SATAN

 

LEY = 12x5x25 = 1500

 

Charles QUINT est né en 1500 à GAND en Belgique.

 

Le IIIe REICH dirige actuellement le monde car le RICHE extermine des millions d'êtres humains en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre – donc Dieu nous demande de nous unir avec tous les peuples du monde afin de ne former QU'UN seul et même peuple pour éradiquer le nazi-capitalisme de la surface du globe.

 

Dans les pays démocratiques, nous allons ainsi mettre des GANTS et combattre SATAN pour le mettre K.O. sur le ring, le jour des élections.

 

36 ans est égal à 432 mois.

 

432 = DC2

 

D C 2 se prononce DÉCÉDE.

 

Dieu te révèle que si tu restes neutre face au pouvoir de la Bête : tu DÉCÈDES.

 

Julien n'est pas resté neutre et aujourd'hui, il est LA-HAUT.

 

Le chef-lieu du département 36 est la ville de Châteauroux dont le maire – Gil AVEROUS – est né un 12 juillet, comme Jules César qui est né un 12 ou 13 juillet.

 

Dieu te transmet ainsi le message suivant : Ne dis plus « AVE César » sinon tu DÉCÈDES, mais si tu te BATS pour éliminer César, tu vivras éternellement LA-HAUT.

 

 

La bataille de la Lys est la plus importante bataille de l’armée belge en 1940 pendant la campagne des 18 jours. Elle avait pour enjeu d'interdire le franchissement de la Lys par l'armée allemande et dura du 23 au 28 mai 1940, alors que troupes britanniques abandonnaient la droite belge pour rembarquer à Dunkerque sans que rien soit prévu pour sauver une partie des troupes belges. L'issue fatale de la bataille fut la reddition belge du 28 mai.29

 

Le LYS était le symbole de la monarchie française.

 

LYS les signes que Dieu t'envoie et ABOLYS la monarchie nazi-capitaliste.

 

 

Julien LAHAUT est né un 6 septembre (6 09).

 

609 = FOI

 

La FOI est la croyance en Dieu.

 

Le message de Dieu est clair : si tu as FOI en lui, tu t'envoleras LA-HAUT au paradis.

 

Le 6 septembre (609 = FOI) est la veille du SEPT SEPTEMBRE.

 

SEPTEMBRE = SEPT EMBRE

 

SEPT = 19x5x16x20 = 30400

 

Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 (30 avril).

 

EMBRE = 5+13+2+18+5 = 43

 

43 = DC

 

D C se prononce DÉCÉS.

 

À travers le 6 septembre (FOI) qui est la VEILLE du SEPT SEPTEMBRE – Dieu précise que pour nous envoler LA-HAUT au paradis – la nouvelle Alliance nous impose de lutter afin de signer l'acte de DÉCÈS du RICHE – en partageant équitablement les richesses entre chaque être humain.

 

 

L'indépendance du Congo

Le colonialisme s'arrête de facto en 1945 avec l'abolition du travail obligatoire. Néanmoins l'indépendance politique ne viendra qu'en 1960. Pendant 15 ans les populations congolaises auront le temps de se préparer à la prise de pouvoir politique. Prise de pouvoir que les autorités belges vont préparer de façon laxiste. Ces quinze années sont propices au développement des haines interethniques.

Après quatre années d'effervescence nationalistes et l'émeute du 4 janvier 1959 le gouvernement belge annonce vouloir accorder l'indépendance au Congo et fixe la date au 30 juin 1960 après les négociations de la Table ronde de Bruxelles. Les partis les plus anticoloniaux gagnent les élections législatives et présidentielles. Joseph Kasa-Vubu est élu Président et Patrice Lumumba Premier ministre. Le 30 juin 1960, la colonie du Congo belge accède à l'indépendance après seulement six mois de préparation hâtive. La réplique tant redoutée d'une sorte de guerre d'Indochine se transforme en crise congolaise. Les soldats congolais se mettent à persécuter les blancs voulant s'accrocher à leurs privilèges. Tandis que les anciens colons fuient massivement le Congo, les parachutistes belges débarquent pour protéger leurs ressortissants suivis de troupes d'infanterie, de la marine et de l'aviation. En une dizaine de jours, l'armée belge débarque 10 000 hommes au Congo. Le premier ministre congolais Patrice Lumumba appelle alors l'Union Soviétique à l'aide, appel irréaliste, cette puissance n'ayant pas, à l'époque, les moyens d'une intervention militaire qui aurait provoqué une réplique américaine au risque d'une guerre mondiale. Mais l'O.N.U. condamne l'intervention de la Belgique dont les troupes doivent se retirer du Congo.

La Belgique craignant une nationalisation des ressources naturelles va soutenir les sécessions de deux provinces minières le Katanga et le Sud-Kasai. Joseph-Désiré Mobutu s'emparera du pouvoir, et enverra Lumumba en prison au Katanga, où il sera assassiné avec la complicité des services secrets belges. Plusieurs opérations militaires belges seront encore nécessaires pour protéger les ressortissant européens. Ensuite, les relations diplomatiques avec l'ancienne colonie resteront encore longtemps difficiles. À partir de 1980, la corruption et la mauvaise gestion du régime du maréchal Mobutu, d'abord soutenu par les Belges et les Américains, va plonger le Congo dans la misère et la guerre civile. Depuis 1985, la Belgique s'efforce d'aider la République démocratique du Congo, notamment par l'action des associations humanitaires, le régime Mobutu ayant rompu avec la Belgique pendant quelques années et nationalisé les entreprises étrangères. Le pays est alors rebaptisé Zaïre au nom d'un retour à l'authenticité traditionnelle. Malheureusement pour Mobutu, ce nom n'a rien d'authentiquement congolais car il est tiré du nom donné jadis par les Portugais au fleuve Congo.

Après le renversement de Mobutu, le Congo est dans les mains de la famille Kabila, d'abord le père, ancien compagnon de Lumumba, puis le fils après l'assassinat du père dans des conditions restées mystérieuses. Les relations entre la Belgique et son ancienne colonie ont repris et se développent avec des hauts et des bas. Des entreprises belges travaillent encore au Congo et une importante colonie congolaise émigrée de plus de 10 000 personnes est installée en Belgique, notamment dans la commune bruxelloise d'Ixelles, dans un quartier qui a pris le surnom de Matonge, nom emprunté à celui d'une commune de Kinshasa, ex Léopoldville, la capitale de la République démocratique du Congo.30

 

 

La Belgique après 1960

En 1960, la Belgique est secouée par une crise politique. Pour faire face aux difficultés dues à la fin de la présence belge au Congo et les nouvelles conditions de compétition économique en Europe, la coalition socio-chrétienne et libérale élabore un programme de relance économique et d'austérité – la loi unique – qui entraîne durant l'hiver 1960-1961 la plus grande grève générale que la Belgique ait connue. Celle-ci est initiée par la partie wallonne de la FGTB et est bien plus suivie en Wallonie où elle s'accompagne de la menace de scinder le pays de la part des militants wallons. Ces événements marquent le début de la cristallisation du clivage linguistique qui entraîne de nouvelles législations linguistiques dont la fixation de la frontière linguistique, la scission de l'université de Louvain, et surtout marque la fin de l'État unitaire belge par la création des Communautés en 1970 et des Régions en 1980 par une suite de révisions de la constitution.Les années 1980 sont marquées par le passage à un État fédéral qui est officiellement reconnu par la constitution de 1993.

La Belgique connaît à partir des années 1960 ses premières vagues importantes d'immigration extra-européenne, venant principalement de la région du Rif marocain pour travailler dans les houillères de Wallonie puis vers la Flandre quand celles-ci cesseront progressivement leur activité.

Les années 1960 et 1970 ont vu la Flandre devenir la région la plus productive et puis la plus riche du pays, et l'anglais parfois remplacer le français comme première langue étrangère en Flandre. Le déclin wallon a résulté d'un désinvestissement relatif des grands holdings du secteur privé. Mais dans les années 1990, la réforme du Système de retraite en Belgique a amené les industriels, l'État et les syndicats à rechercher une plus forte croissance économique en remédiant aux problèmes des préretraites et du faible taux d'emploi des seniors en Wallonie.31

 

 

Les langues parlées en Belgique

La Belgique compte trois langues officielles : le néerlandais (60 % de la population habite en Flandre et est supposée parler néerlandais), le français (40 % de la population) et l'allemand (<1 % de la population). Le système actuel est basé sur des régions linguistiques, ce qui suppose que tous les habitants d'une région sont supposés parler la même langue, ce qui n'est évidemment pas vrai. De même la langue officielle n'est pas forcément la langue parlée, voire les différences entre le flamand et le néerlandais32. Les conflits entre les locuteurs de ces langues sont la source de problèmes communautaires en Belgique.

 

Les racines historiques du problème linguistique

La Belgique est née en 1830, dans un cadre qui a été bien plus le résultat des marchandages des grandes puissances européennes, des rapports de forces entre elles, que de la volonté populaire. Elle est essentiellement constituée de deux régions, la Flandre au nord et la Wallonie au sud, avec pour compliquer encore la situation quelques enclaves de langue allemande à l’est.

Après l’écroulement de l’empire napoléonien, qui avait englobé un temps tous les territoires bordant la mer du Nord, jusqu’au département des « Bouches de l’Elbe », préfecture Hambourg, la Sainte-Alliance avait décidé de créer un royaume des Pays-Bas qui englobait - grosso modo - les territoires de la Belgique actuelle.

Ce royaume apparaissait comme une construction artificielle, non seulement parce qu’il englobait des territoires francophones, mais aussi parce que les provinces néerlandophones étaient profondément divisées depuis le 17e siècle sur le plan religieux, entre protestants au nord et catholiques au sud (la Flandre actuelle).

À cette division historique s’ajoutaient des rivalités économiques plus puissantes. Les ports d’Anvers et de Rotterdam étaient concurrents. La Wallonie, entrée très tôt dans la voie de l’industrialisation, avait d’autres intérêts que l’agriculture néerlandaise. Enfin, le quasi-absolutisme dont faisait preuve le roi Guillaume Ier suscitait beaucoup de mécontentement dans les provinces du sud. Notamment sa volonté d’imposer le néerlandais, y compris en Wallonie.

Contrecoup de la révolution française de juillet 1830, une émeute éclata à Bruxelles au mois d’août, au terme de laquelle la « garde bourgeoise » resta maîtresse de la ville. Le mouvement s’étendit à de nombreuses villes, en Wallonie, mais aussi en Flandre. Il n’était pas alors question d’indépendance, mais de revendications à faire triompher. C’est la volonté de Guillaume Ier de régler les problèmes par la force qui enclencha le processus qui mena à l’indépendance de la Belgique. Mais les Pays-Bas pouvaient difficilement imposer leur volonté à une Belgique dont la population était sensiblement comparable.

Mais face à cette situation, les grandes puissances européennes ne restèrent pas spectatrices. Un courant prônant le rattachement à la France existait dans le sud du pays, mais la Grande-Bretagne y était totalement opposée. L’Autriche, la Prusse, la Russie, l’Angleterre et la France se réunirent en novembre 1830 lors de la conférence de Londres. Celle-ci reconnut l’indépendance de la Belgique, mais lui dicta ses frontières, l’obligeant à renoncer à une partie de son territoire, dont la partie du Luxembourg qui allait plus tard donner naissance au « Grand duché » actuel.

Restait la question de savoir qui allait monter sur le trône de Belgique, car dans l’Europe de 1830, il n’était pas question que le nouvel État ait une forme républicaine. Un fils de Louis-Philippe fut pressenti, mais l’Angleterre l’obligea à renoncer. Ce fut finalement un prince allemand, Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha, qui hérita de la nouvelle couronne.

Pourtant, ce fut le français, et exclusivement lui au départ, qui fut choisi comme langue officielle du nouvel État. Cela peut sembler curieux dans un pays où les Flamands étaient majoritaires. Mais en fait les masses populaires wallonnes ne parlaient pas plus le français à ce moment-là que leurs homologues flamandes, même si elles utilisaient des dialectes qui lui étaient apparentés. Et la constitution belge institua un suffrage censitaire qui réservait le droit de vote aux plus riches. Le choix linguistique fut le choix des classes dirigeantes, francophones au nord comme au sud. Non seulement parce que le français jouissait d’un grand prestige dans toute l’Europe au XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle , mais aussi parce que pendant les quelque vingt années de rattachement à la France, sous la Révolution et l’Empire, les milieux aisés, en Flandre comme en Wallonie, avaient cultivé la langue du pouvoir et de l’administration centrale.

 

La marginalisation de la langue flamande

Ceux qui veulent encore plus de fédéralisme qu’aujourd’hui, comme ceux qui se prononcent pour la partition du pays, prennent prétexte de la manière artificielle dont ce pays fut construit pour appuyer leurs revendications. Mais contrairement à ce qu’on pourrait croire en lisant la presse actuelle, ce ne furent pas au début parmi les Flamands que se comptèrent les partisans les plus ardents de la séparation administrative.

Bien sûr, les médias francophones rappellent plus facilement le slogan du Vlaams Blok « België Barst » (« Que la Belgique crève » en flamand), plus récent et plus sonore que les déclarations du socialiste wallon Jules Destrée, en 1912, dans sa Lettre au Roi sur la Séparation de la Wallonie et de la Flandre. Car il y a près d’un siècle, Destrée revendiquait déjà la séparation administrative des deux régions sous le prétexte qu’une Belgique constituée de l’union de deux peuples « indépendants et libres » formerait un État infiniment plus robuste qu’« une Belgique dont la moitié se croirait opprimée par l’autre moitié ». Mais c’était une manière hypocrite de poser le problème, car la réalité sociale est que la bourgeoisie, essentiellement francophone à l’époque - même en Flandre -, opprimait réellement une population flamande très pauvre.

Au moins jusqu’en 1873, les ouvriers et les paysans flamands étaient jugés et recevaient des injonctions administratives dans une langue qu’ils ne pouvaient comprendre. Lors de la Première Guerre mondiale encore, les officiers donnaient leurs ordres en français, langue que les soldats flamands ne pouvaient pas comprendre.

Jules Destrée n’était pas le premier dirigeant politique wallon à nier les droits de la population flamande - pourtant largement majoritaire - au sein de la Belgique unitaire et à se faire ainsi l’allié et le complice de la bourgeoise francophone qui maintenait les travailleurs flamands dans la sujétion en imposant le français comme langue unique. Le flamand était prétendument une langue arriérée, tout juste bonne à écrire des poèmes ! C’était une façon hypocrite de préserver les emplois administratifs - tous francophones - de la concurrence flamande.

Car jusqu’à ce que le néerlandais soit enfin reconnu comme langue officielle en 1898, et même jusqu’aux lois linguistiques de 1932 qui - un siècle après la naissance de la Belgique - adoptaient le principe de l’unilinguisme régional et du bilinguisme à Bruxelles, même la petite bourgeoisie flamande n’avait guère accès aux postes administratifs du pays, ni aux postes d’encadrement dans les entreprises.

En fait, en 1912, avec sa proposition de séparation administrative, Jules Destrée ne revendiquait que ce qu’exigent aujourd’hui les dirigeants politiques flamands sous des prétextes tout aussi fallacieux.

Le vrai problème en Belgique n’est pas l’héritage linguistique résultant des circonstances de sa fondation. La Belgique aurait très bien pu être un État bilingue, même trilingue, néerlandais-français-allemand, ne connaissant pas plus de problèmes linguistiques que la Suisse, si le Parti ouvrier belge (le POB, ancêtre du Parti socialiste) avait eu une politique juste face à une bourgeoisie dominante francophone, en défendant les droits démocratiques des ouvriers et paysans flamands.

 

Quand la Flandre était pauvre et la Wallonie riche

Au début du 19e siècle, avant la première grande vague d’industrialisation, la Flandre était déjà la partie la plus peuplée de la Belgique. La plus grande partie de la population flamande vivait de la culture de très petits lopins de terre et du travail artisanal à domicile du textile. L’ensemble de la population était plongé dans la misère.

À partir des années 1840, la concurrence de la manufacture textile britannique, plus avancée technologiquement, poussa des dizaines de milliers de familles de paysans et d’ouvriers flamands dans une misère encore plus profonde et provoqua plusieurs famines.

En 1887, un géographe faisait cette description de la Flandre : « Les machines que l’on s’attendrait à trouver en multitude dans un pays aussi bien cultivé que la Belgique sont rares. (…) C’est dans les pays de la Belgique où la terre est la mieux cultivée (la Flandre) que les travailleurs du sol sont le plus mal nourris. (…) Dans les Ardennes, les salaires sont deux fois plus élevés, les vivres sont à meilleur compte ».

La Wallonie avait, elle, connu un essor industriel à partir de la période napoléonienne. Des capitalistes français, puis belges, mirent en exploitation le sillon carbonifère wallon de la vallée de la Meuse (Mons, Charleroi, Liège). Ils y développèrent une industrie métallurgique. Ce sont principalement deux grandes banques d’investissements de Bruxelles : la Société générale de Belgique, créée en 1822, et la Banque de Belgique, créée en 1835, qui contrôlaient la plus grande partie des nouvelles industries et mines.

Les besoins des capitalistes en main-d’oeuvre vidaient les campagnes wallonnes et transformaient rapidement de petites villes administratives et artisanales wallonnes en grandes agglomérations ouvrières. Des villes comme Charleroi et Mons dépassèrent en taille les villes flamandes à l’exception d’Anvers, qui bénéficiait du développement des activités portuaires et d’une industrie qui y était liée.

Lorsque les populations des campagnes wallonnes ne suffirent plus, c’est en Flandre que la bourgeoisie alla s’approvisionner en travailleurs, et ce jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale. La misère poussa des dizaines de milliers de Flamands à chercher du travail en Wallonie, dans la mine, dans les nouvelles industries métallurgiques, mais aussi dans l’agriculture comme saisonniers.

Une partie de cette population flamande se fixa définitivement en Wallonie. Mais ce sont les travaux les plus durs et les moins payés qui lui étaient réservés, la bourgeoisie profitant de son état de misère, de son faible degré d’organisation politique et syndicale et de sa méconnaissance du français. La bourgeoisie francophone exploitait d’autant plus ces travailleurs immigrés flamands qu’ils subissaient également un certain racisme, comme en témoigne un dicton populaire wallon encore fort répandu pendant l’entre-deux-guerres : « Les Flaminds ci nin dès djins, ci dès biesses » (« les Flamands ne sont pas des gens, ce sont des bêtes »).

 

L’appauvrissement de la Wallonie

Mais dans les années 1950-80, la Wallonie allait connaître un brusque recul économique avec la fin des charbonnages et la crise de la sidérurgie.

Les multinationales étrangères, notamment américaines, devinrent la source principale des investissements en Belgique à partir des années soixante et employaient un cinquième des travailleurs belges. Elles s’installaient dans le pays du fait de sa situation géographique stratégique au centre de la Communauté économique européenne. Avec le développement de nouvelles infrastructures (port d’Anvers, autoroutes et centrales nucléaires), ces multinationales implantèrent leurs nouvelles installations en milieu rural, principalement en Flandre où la main-d’œuvre était plus abondante, moins coûteuse et provenait de milieux ruraux catholiques peu politisés et peu syndiqués. En plus, les vastes terrains nécessaires y étaient bon marché.

Un patronat flamand s’est développé autour de ces multinationales, souvent dans des activités de sous-traitance, ou à partir de secteurs traditionnels comme le textile et l’agro-alimentaire. L’État belge contribua à cet essor par ses investissements d’infrastructure.

La Flandre connut alors une croissance plus rapide que la Wallonie et les salaires flamands rattrapèrent ceux de la Wallonie. La part de la Flandre dans le Produit intérieur brut belge monta de 44 % en 1955 à 56,5 % en 1976. L’émigration des travailleurs flamands vers la Wallonie s’arrêta au cours des années soixante.

Bruxelles et le Brabant (la province qui entoure la capitale) conservaient les centres administratifs des entreprises. Cette zone regroupait plus de la moitié des 300 plus grandes entreprises belges au début des années soixante-dix et abritait la majorité de la grande bourgeoisie. En seconde position, la province d’Anvers était désormais le siège de près d’un cinquième de ces plus grandes entreprises.

La crise capitaliste mondiale qui débuta en 1973 avec le premier « choc pétrolier » allait toucher l’ensemble des travailleurs belges, mais encore plus durement les secteurs du charbon et de l’acier. Elle plongea les travailleurs de ces secteurs dans le chômage et la misère. La Wallonie n’était pas seule à être touchée, la province flamande du Limbourg le fut tout autant.

Le chômage grimpa de 2,2 % de la population active en 1970 à 13,9 % en 1994. La plupart des grands groupes industriels et financiers belges ne disposaient pas des moyens technologiques et financiers pour faire face à la concurrence internationale des multinationales. Ils furent absorbés au cours des années 1980-1990. La Société générale passa sous le contrôle de Suez, les grandes banques belges sous contrôle français et néerlandais (ING, Fortis), la compagnie pétrolière Petrofina fut rachetée par Total-Elf.

Il ne reste aujourd’hui comme grandes entreprises multinationales majoritairement belges que Solvay, UCB (chimie et industrie pharmaceutique) et Delhaize (supermarchés).

 

D’une Belgique unitaire à un État fédéral

Entre la création de la Belgique en 1830 et la fin de la Seconde Guerre mondiale, les institutions avaient déjà fortement évolué. L’enseignement primaire en néerlandais fut autorisé en 1850 et étendu à l’enseignement moyen en 1913. Le suffrage universel masculin fut instauré en 1893, mais tempéré par un « vote plural » qui donnait plusieurs voix aux plus riches. Ce n’est qu’à partir de 1920 que fut appliquée la règle un citoyen, une voix. L’utilisation du néerlandais dans l’administration fut introduite en Flandre en 1921, l’enseignement en flamand à l’université de Gand en 1930, la reconnaissance du néerlandais comme langue officielle de la Flandre et du français en Wallonie en 1932. Le suffrage universel fut étendu aux femmes en 1948. La plupart de ces évolutions se sont faites au travers de violentes crises et d’affrontements, sous la pression des mouvements flamands qui réclamaient l’égalité de traitement du néerlandais et du français.

Mais le renversement du poids économique respectif de la Flandre et de la Wallonie dans les années 1950-70 entraîna une évolution bien plus importante des institutions belges.

Lors de la grève générale de l’hiver 1960-61, les dirigeants syndicaux wallons relancèrent les revendications fédéralistes en les présentant comme le meilleur moyen de défendre l’emploi en Wallonie. Et l’évolution vers un État fédéral se fit progressivement, avec la scission du ministère de l’Enseignement et de la Culture en 1963-69, l’expulsion de la section française de l’université catholique flamande de Louvain en 1968, la révision de la Constitution de 1970 qui introduisit la reconnaissance de trois communautés culturelles : française, néerlandaise et allemande, les révisions successives de la Constitution en 1980 et 1988-89 définissant les Régions, enfin les réformes institutionnelles de 1993, de 2001, puis de 2003, qui ont jalonné les principales étapes de la formation de l’État belge actuel.

Des manifestations, des affrontements de rues surtout dans les années 1968-1980, des crises gouvernementales à répétition (six mois pour la mise en place du gouvernement en 1988), ont jalonné la plupart des étapes de cette marche vers la régionalisation de la Belgique.

Pour résumer : un roi qui n’a guère comme pouvoir que la signature des textes que le Premier ministre lui présente ; un gouvernement fédéral avec deux assemblées élues au suffrage proportionnel (avec cependant une barre à 5 %) ; trois Régions, la Flandre, la Wallonie et Bruxelles-capitale (la seule région bilingue), chacune avec son gouvernement et son Parlement élu au suffrage proportionnel (avec là aussi la barre à 5 %) ; trois communautés linguistiques, flamande, française et germanophone, avec leur gouvernement et leur Parlement, sauf en Flandre où les structures communautaires et régionales ont été fusionnées. Le pays est également subdivisé en dix provinces dont personne ne sait plus trop quel est le rôle.

Cette organisation politique entraîne, bien sûr, une inflation de ministres, de parlementaires et de conseillers parlementaires, surtout au sud du pays, sans parler de bataillons d’éminents juristes confrontés aux casse-tête juridiques du partage des responsabilités entre les divers gouvernements et aux multiples contradictions de leurs attributions.

Pour compliquer la situation, Bruxelles et ses communes environnantes, ainsi que d’autres réparties le long de la frontière linguistique, ont un statut linguistique spécial lié à leur bilinguisme. Quant à la circonscription électorale BHV - Bruxelles-Hal-Vilvorde -, les électeurs y ont le choix entre des listes francophones et flamandes. Ailleurs, il n’est possible de voter que pour des listes flamandes en Flandre ou francophones en Wallonie.

Mais le statut de ces communes n’était pas figé par la Constitution. Il a été au centre d’affrontements très médiatisés, comme le vote unanime (à part une élue Verte) du Parlement flamand en faveur de la scission de cette circonscription BHV, au beau milieu de la crise de formation du gouvernement. Cette scission imposerait aux électeurs francophones des circonscriptions de Hal et Vilvorde - en Région flamande - de ne devoir voter (le vote est obligatoire en Belgique) que pour des candidats de listes flamandes.

Mais comme la Constitution prévoit de nombreux recours suspensifs, ils permettront de donner prise à de nombreux affrontements communautaires, pendant que les gouvernements tenteront de diminuer les revenus des travailleurs, des retraités et des chômeurs.

 

Le déclin du Parti socialiste en Wallonie

Dans les années soixante, la fermeture des charbonnages dans le Borinage en Wallonie et les licenciements massifs dans la sidérurgie ont entraîné un chômage dramatique pour une grande partie de la classe ouvrière wallonne. Le PSB (Parti socialiste de Belgique) était électoralement le plus puissant parti en Wallonie, jusqu’en 2007. Et en liaison avec la FGTB (Fédération générale du travail de Belgique), il dominait la vie politique wallonne. Mais il ne profita pas de cette puissance pour organiser la lutte des travailleurs, afin de faire payer au patronat les frais de la réorganisation de son industrie.

Au contraire, le PS et la FGTB demandèrent que l’État belge subventionne les patrons de la sidérurgie pour qu’ils maintiennent leurs industries, ou qu’il se substitue au capital privé en rachetant les entreprises dont les patrons ne voulaient plus.

Les socialistes flamands n’avaient évidemment aucun intérêt à soutenir cette politique d’investissements à fonds perdus - perdus pour l’État, pas pour les capitalistes. Ce qui devait arriver dans ces conditions arriva. Au congrès du Parti socialiste de 1978, la branche wallonne rompit avec la branche flamande du parti. « Peut-on traiter de « slogans » et de « fantaisies » la volonté des travailleurs wallons d’obtenir l’initiative industrielle publique et de prendre en mains leur propre sort face à la carence des groupes financiers ? », s’exclama André Baudson, un des dirigeants du PS face aux critiques des socialistes flamands lors de ce congrès. Mais comme preuve de son « socialisme » il déclara tout de même : « Mes préférences iront toujours à un docker anversois plutôt qu’à un bourgeois de Charleroi ».

Trois ans plus tard, ces précautions oratoires n’étaient plus de mise pour certains et Jean-Maurice Dehousse, ministre de l’Économie du premier Gouvernement régional wallon en 1981, socialiste et FGTBiste, disait tranquillement : « Je me sens plus proche d’un patron wallon que d’un syndicaliste flamand ».

Le patronat flamand n’était pas non plus favorable à la politique du PS wallon. Pourquoi d’importants capitaux seraient-t-ils détournés de la Flandre en pleine phase de développement, surtout pour maintenir en vie des « canards boiteux », disaient ses représentants, c’est-à-dire des entreprises qui ne correspondaient plus au niveau de concurrence capitaliste des années soixante-dix ?

La réforme constitutionnelle de 1980 donna naissance aux Régions, en les dotant de compétences économiques importantes. Les dirigeants socialistes wallons eurent alors les mains libres pour multiplier les aides aux entreprises et faire du budget régional la vache à lait du patronat wallon.

Cela amena les dirigeants socialistes à créer des sociétés d’investissements mixtes - capitaux de la région-capitaux privés - qui se terminèrent la plupart du temps en fiascos dans les années quatre-vingt-dix. La Région wallonne dut elle-même procéder à la fermeture d’entreprises et aux licenciements. Le crédit du PS et de la FGTB en fut largement entamé. Quant à la corruption engendrée par la gestion des sociétés d’économie mixte dans les rangs des dirigeants socialistes francophones, elle plomba leur parti quand elle fut révélée au grand jour.

D’autant que la politique d’austérité dont les ministres socialistes furent les complices, sinon les inspirateurs, au gouvernement fédéral n’avait rien non plus pour séduire l’électorat populaire.

C’est ainsi que dans une région largement ouvrière, où les socialistes avaient toujours disposé d’un large crédit, le Parti libéral peut aujourd’hui dépasser électoralement le Parti socialiste.

 

La bourgeoisie belge se porte bien

Les politiciens flamands favorables à la scission du pays avancent que « la Belgique freine la Flandre ». Il est vrai qu’aujourd’hui la richesse produite en Flandre est supérieure à celles de la Wallonie et de la région de Bruxelles réunies. Le chômage y est moins important qu’en Wallonie et les salaires plus élevés.

C’est là le résultat des investissements massifs en Flandre des multinationales, américaines notamment, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. C’est aussi le résultat des transferts d’investissements de Wallonie vers la Flandre réalisés par le capital privé et aussi l’État. Après la fermeture des mines dans les années soixante-dix, le transfert de la sidérurgie wallonne vers la côte flamande a entraîné des pertes d’emplois massives en Wallonie et un accroissement de la production en Flandre. Et ces transferts industriels ont aussi concerné plusieurs régions françaises, notamment lorsque la sidérurgie du Valenciennois a été transférée à Dunkerque. Les actionnaires de ces entreprises bénéficiaient ainsi du charbon moins cher importé par les ports maritimes.

Les caricatures qui circulent en Belgique attribuent à une prétendue « paresse des Wallons » et au « dynamisme flamand » les différences du niveau de chômage ou de production entre les régions du pays ! En France pourtant, les travailleurs du Nord - Pas-de-Calais ont la réputation de « bosser dur »… Cela n’empêche pas le chômage d’y être nettement plus élevé que dans le reste du pays depuis la fermeture des mines et la réduction d’effectifs de la sidérurgie tout comme en Wallonie !

Depuis une trentaine d’années, une grande partie du capital de la Belgique est passée sous le contrôle des multinationales, américaines, françaises et hollandaises. Ce sont elles, avec des budgets qui dépassent largement celui des gouvernements, qui font ou défont l’emploi, qui dynamisent une région ou la réduisent à la misère.

Mais il reste un ensemble de familles belges fortunées qui détiennent une grande part de la richesse du pays et qui ont, en outre, largement investi dans le capital des multinationales.

Le cas typique est celui d’Albert Frère qui est parti d’une petite entreprise de fer héritée de sa famille dans les années cinquante et qui est devenu une des plus grandes fortunes de Belgique. Il a acheté à un prix bradé une grande partie de la sidérurgie wallonne en difficulté dans les années 1970-1980, en a tiré le maximum de bénéfices grâce à des pratiques de monopole, puis il l’a fait racheter par la Région wallonne un bon prix, ensuite il a pu diversifier ses investissements dans une multitude de secteurs rentables, notamment dans le pétrole (Total) et dans l’audio-visuel.

D’autres grandes familles belges, telles les Boël, Janssen, Solvay, Lippens, Bekaert, Gevaert, Leysen, Lambert, au travers là aussi de nombreuses sociétés de financement, détiennent des parts très importantes dans la banque, l’immobilier, la grande distribution, la chimie, la pharmacie, le pétrole, etc., après avoir elles aussi fait fortune dans la sidérurgie et l’exploitation du Congo. Pour ces capitalistes de haut vol, dont les banques, les entreprises et les magasins couvrent l’ensemble du pays, les problèmes concernant les compétences respectives de la Flandre, de la Wallonie et de Bruxelles n’existent que dans la mesure où ces territoires leur apportent plus de profits et moins d’impôts.

Ces familles font partie des 2 % des ménages belges les plus riches, qui possèdent à eux seuls 32 % de la fortune du pays. En bas de l’échelle sociale, l’ensemble des 50 % des ménages les moins riches en possèdent moins de 10 %.

Ce sont quelques dizaines de familles qui décident de la politique de la Belgique. Elles peuvent le faire d’autant plus facilement qu’elles étendent leurs ramifications, directement ou par alliance, jusqu’aux places déterminantes dans l’appareil d’État.

Leurs membres ne se présentent plus guère aux élections, mais en tant qu’administrateurs ou conseillers ce sont eux qui ont piloté depuis trente ans les politiques d’austérité au détriment des salariés.

Les profits de leurs entreprises battent des records depuis des années parce que l’immense majorité des salariés gagnent moins, en tant qu’ouvriers épuisés par les cadences, employées à temps et salaire partiels, chômeurs sous-indemnisés, pour finir leurs vies comme retraités pauvres.

Ce qui fait que la Banque nationale de Belgique a reconnu en décembre 2007 que « les entreprises ont atteint un niveau de rentabilité qui n’avait plus été observé depuis vingt ans ». Les bénéfices des 30 000 sociétés les plus importantes de Belgique ont doublé en quatre ans et ont été multipliés par cinq depuis 1993 !

En tout cas, la Belgique ne freine pas les profits, surtout pas en Flandre.

 

La régionalisation de la Sécurité sociale

La propagande du Vlaams Blok (VB) développe toute une démagogie sur les transferts de la Sécurité sociale du Nord du pays vers le Sud. « Chaque famille flamande paie chaque année l’équivalent d’une voiture à une famille wallonne », claironne le VB. En réalité, suivant les estimations d’organismes officiels, ce sont entre trois et cinq milliards d’euros, c’est-à-dire entre 2,4 et 4,2 % de la richesse créée en Flandre chaque année qui iraient vers la Wallonie et Bruxelles. Ces transferts ne sont pas supérieurs à ceux qui existent entre les régions de bien des pays, notamment en France. Pour la Wallonie, cela correspond à un accroissement d’environ 7 % de sa richesse, soit environ quatre euros par jour et par Wallon.

Ce déséquilibre de la Sécurité sociale vient du niveau de chômage plus élevé en Wallonie, encore marquée par la disparition des anciennes industries charbonnières et la forte réduction des emplois sidérurgiques. Il vient aussi du niveau des salaires plus bas en Wallonie et donc de cotisations plus basses. Et dans quelques années, à cotisations égales, les retraites payées en Flandre pourraient inverser ce transfert !

Mais, depuis les années quatre-vingt-dix, le Vlaams Belang, héritier du Vlaams Blok, ne cesse de gagner de nouveaux électeurs. Du coup, tous les partis flamands se sont embarqués dans la surenchère régionaliste, alors même que les progrès électoraux du VB viennent aujourd’hui moins de sa démagogie séparatiste que de sa dénonciation des partis de gouvernement « tous pourris ». Et il a beau jeu de proclamer que c’est lui qui a raison puisque tous ces partis puisent dans son programme !

Pour les élections fédérales de juin 2007, tous les grands partis politiques flamands ont donc fait de la régionalisation de la politique de l’emploi et de la régionalisation de la Sécurité sociale leur cheval de bataille. Les partis de droite flamands, mais aussi le Parti socialiste flamand. Comme l’exprime clairement le programme du Parti chrétien flamand, la régionalisation de la Sécurité sociale - en réalité surtout celle du chômage - permettrait une réduction du coût salarial « par des réductions régionales des cotisations patronales de Sécurité sociale ». Ce qui n’empêcherait pas les patrons de continuer à augmenter les cotisations payées par les travailleurs flamands.

La régionalisation des impôts des entreprises est aussi à l’ordre du jour. Elle fait d’ailleurs partie des bases d’accord du futur gouvernement. C’est une demande récurrente du patronat flamand, répercutée par l’organisation patronale flamande des petites entreprises, VOKA, celle des classes moyennes, UNIZO, et celle des employeurs chrétiens, VKW. Ce sont leurs exigences qui sont à la base de cette longue crise gouvernementale, et elles ont obtenu en grande partie gain de cause.

Dans un manifeste commun, ces organisations patronales demandent que la Région flamande devienne compétente, à la place du pouvoir fédéral, en matière de réduction de charges salariales, d’heures supplémentaires, de permis de travail et de formation. Elles envisagent de rémunérer les salariés non pas en fonction de l’ancienneté, mais en fonction de leurs efforts, de leurs résultats et de leur compétence, c’est-à-dire avec l’arbitraire le plus complet.

Certains dirigeants patronaux demandent en plus de régionaliser la négociation des conventions collectives, en se débarrassant ainsi des syndicats wallons réputés moins conciliants, ce qui est peut-être vrai dans la forme, mais malheureusement pas sur le fond.

Mais il y a une différence d’intérêts entre les petites entreprises, dont le périmètre ne dépasse pas les limites de la Flandre, et les grandes entreprises dont les intérêts dépassent généralement les frontières belges.

La Fédération des entreprises de Belgique (FEB), l’équivalent du Medef français, qui regroupe les plus grandes entreprises du pays, n’est pas favorable à ces régionalisations. L’Union wallonne des entreprises (UWE) et l’Union des entreprises de Bruxelles (UEB) y sont même hostiles, à cause de la concurrence qui en résulterait, à quelques kilomètres de distance.

La FEB fait remarquer que la politique wallonne d’ « activation » des chômeurs de ces dernières années - c’est-à-dire les mesures pour supprimer les allocations du maximum de chômeurs - a porté ses fruits et qu’il suffit de continuer dans ce sens, comme en Flandre ! Effectivement la Wallonie a rattrapé et même dépassé la Flandre en 2007 en nombre de sanctions et d’exclusions de chômeurs.

Le ministre wallon de l’Emploi (PS) dit s’étonner de la demande de régionalisation de la gestion du chômage, alors que les trois Régions commencent tout juste à mettre en place les services nécessaires pour que les chômeurs wallons puissent aller travailler en Flandre, ce qui exige des règles uniques !

Ce sont ces intérêts contradictoires, relayés par les partis politiques, qui ont rendu les négociations pour le nouveau gouvernement si longues et laborieuses.

Pour la modulation régionale des impôts des sociétés, il n’y a aucune opposition de principe entre tous les partis flamands et francophones.

Le seul vrai problème, c’est que cela ne correspondait pas au calendrier des partis wallons. Ils sont engagés pour quatre ans dans un « Plan Marshall » de subventions aux entreprises dites innovantes, sous couvert une fois de plus de développer l’emploi. Ils auraient aussi bien pu diminuer les impôts des sociétés - ce qu’ils ont fait bien des fois -, cela aurait eu le même effet : augmenter les profits des entreprises, sans que la création d’emplois soit mesurable. Mais le budget ne permet pas de faire les deux à la fois.

Rien que pour trouver 1,65 milliard d’euros de subventions (7 % du budget de la Région), tous les fonds sociaux et culturels wallons ont déjà été laminés. Mais tous les partis ont donné leur accord pour avancer dans la voie d’une modification législative permettant la régionalisation des impôts des sociétés.

En revanche, la demande de régionalisation de la Sécurité sociale a eu plus de mal à passer, dans la mesure où la Wallonie et Bruxelles se retrouveraient en grande difficulté sans les transferts sociaux venant de la Région flamande.

La fin de la solidarité des actifs de la Flandre envers les chômeurs wallons entraînerait une importante augmentation des cotisations en Wallonie. Bien sûr, les patrons wallons se cabrent contre l’idée de réduire leurs bénéfices en cotisant plus. Et les partis wallons se voient mal imposer à la population une forte réduction des revenus par une augmentation de cotisations sociales avant les élections régionales de juin 2009.33

 

Crise politique

Après les élections fédérales du 10 juin 2007, les partis libéraux et sociaux-chrétiens tentèrent en vain de former un gouvernement fédéral. Cette grave crise de plusieurs mois, sur un fond de profond désaccord communautaire, constitua un fait sans précédent dans l’histoire politique du pays. Un accord obtenu plus de six mois après les élections, en décembre 2007, a mis un terme (provisoire) à cette crise par la mise en place d’un gouvernement « transitoire » dirigé par le premier ministre sortant Guy Verhofstadt.

Le 20 mars 2008, après neuf mois de négociations, Yves Leterme devient premier ministre et le nouveau gouvernement est installé. Cependant la démission du Premier ministre Yves Leterme le 15 juillet 2008 (bien que non acceptée par le Roi des Belges Albert II) replonge le pays dans l’incertitude d’une crise politique en ne permettant la prolongation du gouvernement actuel que sous une forme de plus en plus tronquée et reportant les sujets brûlants à des dates ultérieures, relançant le débat sur l’opportunité de voter anticipativement en 2009, lors du scrutin régional, et, ainsi, d’unifier à nouveau les élections régionales et législatives. Il propose la démission de son gouvernement les 19 et 22 décembre 2008, et le roi Albert II accepte finalement la seconde proposition de démission. Le gouvernement Van Rompuy prête serment devant le roi le 30 décembre 2008 et remplace le gouvernement Leterme.

Un sondage réalisé par les quotidiens La Voix du Nord et Le Soir début juillet 2008 a révélé que 49 % des Wallons interrogés favorisent, parmi plusieurs options théoriques, un rattachement à la France en cas de scission de la Belgique, alors qu'ils n’étaient que 29 % en janvier de la même année. Mais les élections n’accordent que 1,5 à 0,5 % des voix aux listes de petits partis prônant le rattachement à la France. Cette disparité entre les opinions et les votes semble courante en Belgique, car de telles différences s’étaient déjà révélées dans un passé proche.

À la suite de la nomination d'Herman Van Rompuy au poste de président du Conseil européen, Yves Leterme redevient Premier ministre le 25 novembre 2009 et forme un nouveau gouvernement. Le 22 avril 2010, la Belgique s'enfonce dans une nouvelle crise politique avec la demande de démission du gouvernement à la suite du conflit entre francophones et néerlandophones sur des questions linguistiques concernant l’arrondissement judiciaire et circonscription électorale de Bruxelles-Hal-Vilvorde, ce à deux mois de la présidence du Conseil de l’Union européenne que doit assumer le pays à partir du 1er juillet 2010. Le 26 avril 2010, le roi Albert II, après une tentative de médiation, accepte de fait la démission du gouvernement, mais l'arrêté royal entérinant celle-ci ne paraît pas dans le journal officiel le Moniteur Belge. Le gouvernement se restreint pourtant à ne s’occuper, dès lors, que des affaires courantes sur la base de crédits budgétaires votés par le parlement, dits douzièmes provisoire, qui représentent le budget nécessaire pour faire fonctionner la Belgique de mois en mois. Il faut savoir que la notion d’affaires courantes est variable et peut aller loin si l'on sait qu'un gouvernement en affaires courantes, entériné par le roi à l'époque, avait signé le traité de Lisbonne et put le faire approuver par un parlement qui n’avait pas la même majorité que celle de ce gouvernement.

De nouvelles élections ont lieu le 13 juin 2010 et voient la percée de la Nieuw-Vlaamse Alliantie, le parti indépendantiste flamand présidé par Bart De Wever. Comme trois ans plus tôt, les partis éprouvent des difficultés à former un gouvernement. Le 25 décembre 2010, cette nouvelle crise devient la plus longue de l’histoire politique belge avec 195 jours sans gouvernement de plein exercice, le gouvernement sortant se bornant à exercer les affaires courantes, ce qui, en Belgique, a un sens large tel que le pays peut continuer à fonctionner. Alors que le roi continue à consulter les hommes politiques en tentant de les accorder sur un programme gouvernemental, le 8 janvier 2011, le record d'Europe sans gouvernement est battu (208 jours sans gouvernement). Le gouvernement mis en place par Yves Leterme gère les affaires courantes. Le sens à donner à celles-ci est large, au point que le pays fonctionne sans que les citoyens constatent une différence par rapport à une période normale. L'essentiel, dans cette situation, est que le gouvernement a besoin de votes mensuels des chambres pour pouvoir disposer d'un budget (les douzièmes provisoires) et que les nominations de hauts fonctionnaires sont bloquées. La marge de manœuvre d'un gouvernement dans cette situation est telle que ce gouvernement pourra envoyer six chasseurs bombardiers F 16 participer aux opérations de Libye. Le 17 février 2011, le record du monde est battu avec 249 jours sans gouvernement de plein exercice et, le 13 juin 2011, la Belgique passe le cap d'une année sans gouvernement de plein exercice. Enfin, sur la base d'un accord de réforme constitutionnelle approfondissant la décentralisation, Elio Di Rupo, montois est enfin nommé Premier ministre par le roi le 6 décembre 2011. Il devient le premier socialiste francophone à diriger le gouvernement belge depuis Edmond Leburton. Il nomme, le lendemain, un gouvernement de douze ministres, dont six vice-premiers ministres.34

Lors des élections communales et provinciales belges de 2012, la N-VA atteint 38 % des suffrages à Anvers et 28 % sur l'ensemble de la Flandre. La N-VA gagne par conséquent le majorat de la ville d'Anvers.

 

« Briser la solidarité entre les travailleurs »

Alors que partis et médias des deux côtés de la frontière linguistique livrent une lecture surtout communautaire de la crise, certains privilégient une analyse en termes socio-économiques et idéologiques : Derrière les revendications flamandes pour plus d’ autonomie, c'est la solidarité entre les travailleurs que l’on tenterait de briser.

En Belgique comme ailleurs, la norme en termes de politiques économiques consiste, depuis la crise des années 70, à favoriser les politiques de l’offre, c’est-à-dire visant à offrir les meilleures possibilités d’investissement pour les entreprises. Au niveau européen, cette course à la compétitivité s’est notamment manifestée par la Stratégie de Lisbonne de 2000, vaste projet visant à faire de l’Union Européenne la zone la plus compétitive du monde à l’horizon 2010. Dans cette perspective, les modèles sociaux des Etats membres sont souvent vus comme un frein à cette marche vers le progrès que représenterait l’ « économie de la connaissance ». Or, la tâche représente, en Belgique, un effort considérable. Le modèle social belge présente en effet certaines anomalies qui font pâlir plus d’un artisan de la déréglementation du travail : liaison des salaires à l’indice des prix, négociations salariales institutionnalisées, un important système de sécurité sociale, etc. Des acquis sociaux obtenus chèrement par les travailleurs au fil des luttes, mais parfois vues par les élites patronales comme autant d’anachronismes qui freinent le développement économique.

 

Dès lors, l’une des stratégies envisagées consiste à monter les travailleurs les uns contre les autres afin de briser la synergie qui permet de lutter efficacement pour la défense de leurs droits. La xénophobie ne joue-t-elle pas un rôle historique d’arme de division massive à l’encontre des travailleurs ? « N’oublions pas qu’au-delà de dissensions ponctuelles, la plupart des avancées sociales se sont faites grâce à l’union des travailleurs francophones et néerlandophones », souligne Hendrik Vermeersch, syndicaliste et initiateur de la pétition « sauvons la solidarité ».

 

Aidé par le discours nationaliste, le patronat de Flandre (constitué en partie d’investisseurs étrangers) entend donc affaiblir le poids des travailleurs, dans un pays où les syndicats possèdent un pouvoir non négligeable. La victoire de la N-VA aux élections de 2014 représentait donc pour celui-ci quelque chose de providentiel, cette dernière ayant promis de mettre fin aux anomalies du modèle social belge. Car outre le fait d’être le champion de l’autonomie flamande, la N-VA est surtout l’un des partis les plus libéraux de l’échiquier politique belge. « Le Voka (ndlr : l’union des entreprises flamandes) est mon patron », aurait ainsi affirmé Bart De Wever durant les négociations en vue de la fameuse « réforme de l’Etat ». La lecture du programme électoral de ce parti présente d’ailleurs de fortes similitudes avec les recommandations de l’organisation patronale : suppression des pré-retraites, limitation des allocations de chômage dans le temps, régionalisation de l’ impôt sur les personnes physiques (IPP), calcul du temps de travail sur base annuelle (et non plus hebdomadaire), réduction du nombre de fonctionnaires, allègement des charges patronales, etc.

 

Un front ouvert contre les acquis sociaux

Symbole s’il en est de tout État-providence, la sécurité sociale représente le secteur par excellence que la N-VA désire régionaliser. Elle comprend notamment l’indemnisation du chômage, le financement des retraites et la prise en charge des soins de santé, et est financée par les cotisations patronales, salariales et par la fiscalité. Sans la redistribution effectuée par l’État à travers la sécurité sociale, le taux de pauvreté doublerait, tandis que les inégalités croîtraient de façon exponentielle. « La sécurité sociale est un moyen d’émancipation par rapport au travail, et, outre le fait d’assurer une sécurité d’existence, représente quelque chose de fondamental sur le plan psychique », rappelle Guy Tordeur, délégué permanent du syndicat chrétien CSC. De leur côté, les employeurs entendent contribuer le moins possible à son financement. Ils la perçoivent généralement comme un mal nécessaire à assurer la paix sociale. Depuis les années 80, on assiste ainsi à une réduction quasi-continue de la part des cotisations versées par le patronat, tandis que la part venant des salaires augmente.

 

Dans ce cadre, le projet de la N-VA et d’une partie de la classe politique flamande de scinder de larges pans de la sécurité sociale pour les transférer aux régions bouleverserait le compromis social belge : en cas de scission, l’assiette sur laquelle les transferts sont effectués se réduirait considérablement, et on aboutirait à une solidarité à deux vitesses. « La volonté de scinder la sécurité sociale doit être comprise comme une volonté de mettre en compétition les deux communautés » ajoute le sociologue Mateo Alaluf, qui souligne que la région qui appliquerait les standards sociaux les plus bas attirerait probablement davantage les investisseurs. Pour Hendrik Vermeersch : « Une scission de la sécurité sociale signifierait la destruction de ce que les Wallons, les Flamands et les Bruxellois ont conquis ensemble ».

 

Face à ce démembrement, la sécurité sociale serait considérablement affaiblie. La porte serait ainsi ouverte à un recours aux assurances privées pour financer les retraites. Or, le système prôné par le secteur privé, la retraite par capitalisation, se fonde sur la faiblesse des mécanismes de solidarité, chaque adhérent cotisant pour lui-même. De plus, en recourant aux placements financiers (les fameux fonds de pension), ce modèle s’est montré à plusieurs reprises sensible aux aléas boursiers, comme l’ont notoirement démontré la crise économique argentine et l’affaire Enron aux États-Unis.

 

Ces projets de scission ont un point commun : ils conduiraient les régions à rivaliser d’ingéniosité pour attirer les investisseurs, ce qui les placerait dans une situation de concurrence. « On va vers la mise en place progressive d’un fédéralisme concurrentiel, qui supplante le fédéralisme coopératif actuel », analyse le professeur Michel Quévit, qui insiste sur le fait que les réformes promues par la N-VA priveraient l’Etat de mécanismes de solidarité entre régions. Argument rejeté par les nationalistes flamands. Ils préfèrent y voir une responsabilisation nécessaire des régions, qui seraient les plus à même de gérer les matières évoquées. Le professeur Stroobant attire l’attention sur la faiblesse de cet argumentaire. « Dans [un contexte mondialisé], il est absurde de se replier uniquement sur sa région ». Ce repli est particulièrement dangereux pour les travailleurs. « Les gens actifs sur le terrain syndical et qui réfléchissent à la position des travailleurs se rendent pleinement compte que collaborer et être solidaire constituent la seule issue pour pouvoir affronter les grands problèmes qui les attendent ».35

 

 

La Tour de Babel est une tour mythique évoquée dans la Genèse. Après le Déluge, les premiers hommes entreprirent sa construction pour atteindre le ciel, mais Dieu interrompit leur projet qu'il jugea trop ambitieux, en brouillant leur langage et en les dispersant sur la Terre.

 

En Belgique et dans de nombreux pays du monde, certains partis politiques et le patronat se servent de ce brouillage des langues pour diviser l'union des travailleurs.

 

Charles QUINT est né a GAND en Belgique et ce sont les travailleurs qui portent des GANTS au travail, pas les capitaliste, donc Dieu demande à tous les travailleurs de ne faire QU'UN pour lutter contre le système capitaliste.

 

BABEL = 2x1x2x5x12 = 240

 

Charles QUINT est né un 24 02 (24 février).

 

À partir de l'épisode de la Tour de BABEL, Dieu a dispersé les hommes sur la Terre mais il multiplie désormais les signes pour nous permettre de nous unir afin de ne former QU'UN seul et même peuple, et renverser le capitalisme pour créer un monde dans lequel les richesses seront équitablement redistribuées entre chaque être humain.

 

En Belgique, les syndicats essayent de combattre la barrière linguistique pour que les travailleurs ne fassent QU'UN et soient plus forts pour défendre leurs droits. Par exemple, ils ont fait le choix de créer des ponts entre les partisans flamands et francophones afin de maintenir une forte protection sociale. « Ainsi, les ailes flamandes des syndicats socialistes et chrétiens (qui, à la différence des partis politiques, ne sont pas divisés sur base linguistique) ne ménagent pas leurs efforts pour lutter contre le discours dominant. Sur ce point, l’aile flamande du mouvement syndical est claire : considérant que tous les travailleurs sont égaux quelle que soit leur langue, l’essentiel reste donc de sauvegarder la solidarité et de protéger le modèle social belge des assauts de la droite. En 2007 déjà, après la première poussée de la N-VA aux élections législatives, une pétition lancée par les syndicats intitulée ''sauvons la solidarité'' avait rapidement récolté 100 000 signatures. Le milieu culturel n’est pas en reste, puisqu’un appel a été lancé par 400 artistes flamands ''contre le nationalisme borné'', avec pour slogan ''la solidarité grandit une culture''. De façon générale, les syndicats et le monde associatif multiplient les campagnes de sensibilisation, et tentent de démontrer qu’en dépit des discours de ses leaders, le programme de la N-VA est avant tout destiné à servir le grand capital. ''Il est important pour les flamands de résister aux discours du patronat et de bien choisir leur camp, celui de la solidarité et de l’unité des travailleurs'', martèle le syndicaliste Johan Fobelets. »36

 

Yves LETERME était le Premier ministre chargé de rétablir l'unité des Belges pendant la plus longue crise gouvernementale du pays.

 

Dieu nous fait comprendre que nous devons mettre un TERME à nos divisions.

L'ennemi est le capitalisme et non le locuteur d'une langue étrangère ou autres « ennemis de l'intérieur » créés par les dominants. Nous devons ainsi arrêter d'écouter la propagande de l'élite qui nous dirige et qui veut nous diviser pour régner jusqu'à la fin des temps.

 

Il faut donc mettre un TERME à nos divisions et à notre soumission aux rois.

 

Le 31 juillet 1993, survint le décès inopiné du roi Baudouin Ier à Motril, au sud de l'Espagne. Tout le pays en subit un choc profond : on estima à 500 000 le nombre de personnes qui ont fait la file durant de nombreuses heures pour s'incliner devant son cercueil au palais de Bruxelles. Ses funérailles rassemblèrent de très nombreux chefs d'État et de gouvernement, ainsi que des membres du Gotha.37

 

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Baudoin Ier est mort à MOTRIL.

 

MOTRIL = ROI MTL

 

M = AIME

 

T = 20 = VIN

 

L = AILE

 

Dans l'ancienne Alliance avec Dieu : l'Alliance du VIN – le chrétien devait simplement AIMER son prochain et respecter la morale chrétienne pour obtenir les AILES qui lui permettaient de s'envoler au paradis : il n'avait pas besoin de combattre le pouvoir des ROIS. Or les termes de l'Alliance ont changé.

 

MOTRIL = ROI MTL

 

M T L = 13 20 12

 

13x20x12 = 3120

 

3120 = 3 120

 

120 = SANS VIN

 

3 = TROIS = T ROIS

 

Dieu te fait comprendre que SANS VIN, T'ES ROI, car la nouvelle Alliance de l'EAU t'oblige à combattre les rois pour prendre leur place.

 

Le code postal 03120 est celui de la commune de LAPALISSE.

 

SANS VIN, tu vois clair et tu peux ainsi appeler LA POLICE pour arrêter les ROIS du capitalisme qui sont responsables de la mort de millions d'êtres humains chaque année.

 

Le roi Baudoin est mort à MOTRIL le 212e jour de l'année.

 

2 12 = 2 L = 2 AILES

 

MOTRIL = MOT RIL

 

Dieu précise ainsi qu'en luttant pour signer l'arrêt de mort des ROIS – avec les MOTS qui seront écrits sur ton bulletin de vote le jour de l'élection présidentielle – tu obtiendras les 2 AILES qui mènent au paradis.

 

Actuellement, le roi est Philippe de Belgique. Il est le 7e roi des Belges depuis le 21 juillet 2013. Fils aîné du roi Albert II et de la reine Paola, il est devenu souverain en prêtant serment le 21 juillet à 12h12, devant les Chambres réunies, en néerlandais, français et allemand, après l'abdication de son père selon l'annonce faite par ce dernier le 3 juillet précédent.38

 

Le roi Philippe a donc prêté serment le 21 juillet (21 7).

 

217 = BAG

 

BAG = BAGUE

 

La BAGUE de mariage est une ALLIANCE.

 

Dieu nous révèle qu'il change les termes de l'ALLIANCE ; c'est la raison pour laquelle le Roi de Belgique a prêté serment à 12h12.

 

12 12 = L L

 

L L = deux L = deux AILES

 

Un ange possède deux AILES dans le dos, par conséquent, les deux AILES symbolisent l'envol au paradis.

 

Dorénavant, il faut combattre les ROIS au cours de notre vie sur Terre pour entrer un jour dans le royaume de Dieu.

 

Le ROI Philippe est né le 15 avril 1960 (15 4 1960).

 

15 4 19 = DOS

 

Un ange possède deux AILES dans le DOS.

 

Le département 60 est celui de l'OISE et quelqu'un de OISIF ne travaille pas, il ne fait rien, à l'instar des ROIS qui sont richissimes en héritant de la fortune familiale alors qu'il n'ont jamais travaillé de leur vie. Par exemple, en 2013, Liliane Bettencourt, héritière de l'Oréal, a gagné 8 milliards d'euros par rapport à l'année précédente alors qu'elle n'a jamais travaillé, donc ce sont ces ROIS-là que nous devons renverser mais également toutes les familles royales comme celles de Belgique, d'Espagne et d'Angleterre, qui ne servent strictement à rien à part piller l'argent du peuple.

 

Philippe de Belgique est ainsi devenu ROI un 21 juillet (21 7).

 

21 7 = BAG

 

BAG = BAGUE = ALLIANCE

 

21x7 = 147

 

14 7 = 14 juillet

 

Le 14 juillet est le jour symbolique de la RÉVOLUTION française donc Dieu nous montre clairement que pour obtenir la vie éternelle, nous devons dorénavant faire la RÉVOLUTION afin de renverser les ROIS du capitalisme.

 

BELGIQUE = BEL GIQUE

 

BEL = 25 12

 

Le 25 12 (25 décembre) célèbre la naissance de Jésus.

 

GIQUE = 7+9+17+21+5 = 59

 

Le département 59 est celui du NORD.

 

NORD = 14x15x18x4 = 15120

 

15 = O = EAU

 

120 = SANS VIN

 

Le 120e jour de l'année est traditionnellement le 30 avril qui célèbre la mort d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.

 

Dieu nous fait comprendre qu'il remplace l'Alliance du VIN par celle de l'EAU en nous transmettant le message : « SANS VIN » – car la nouvelle Alliance nous impose désormais de mettre un terme au règne du ROI : le RICHE.

 

Le code postal 15120 est celui de la commune de LEUCAMP.

 

Tu dois choisir LE CAMP auquel tu veux appartenir : celui des royalistes ou celui des révolutionnaires.

 

LEUCAMP = LE CAMP U

 

Le U symbolise l'URNE dans laquelle tu déposeras – le jour de l'élection présidentielle – le bulletin de vote des ROIS ou celui de notre candidat(e) humaniste.

 

En fonction de ton choix, soit tu finiras en cendres dans une URNE ou tu iras au paradis.

 

 

Ainsi, Philippe est devenu ROI de Belgique le 21 juillet 2013 et cette date est symbolique :

 

21 7 = BAG = ALLIANCE

 

2013 :  20 = VIN   13 = M = AIME

 

Le message véhiculé par l'ancienne ALLIANCE était « AIME le VIN » car boire le VIN de Jésus, c'est-à-dire boire ses paroles, donnait la vie éternelle et il suffisait simplement de respecter la morale chrétienne sans avoir l'obligation de combattre les rois pour s'envoler au paradis.

 

2013 :  20 = VIN   13 = AC

 

A C se prononce ASSEZ.

 

C'est ASSEZ, Dieu change le VIN en EAU.

 

La nouvelle ALLIANCE oblige le croyant à combattre les ROIS pour obtenir les deux AILES qui mènent au paradis.

 

Il y a ainsi deux interprétations possibles du chiffre 2013 : soit AIME le VIN ou ASSEZ de VIN.

 

Tu dois donc choisir ton CAMP : l'Alliance de l'EAU ou celle du VIN.

 

La veille des attentats de Paris, le 12 novembre 2015, j'ai réalisé une vidéo en filmant mon corps avant qu'il ne se transforme, et j'ai décidé ce jour-là, d'écrire les TERMES de la nouvelle Alliance avec Dieu en prophétisant que la transformation de mon corps aurait lieu un mois après, le 12 décembre, je voulais ainsi prouver que j'étais un prophète. J'étais persuadé que Dieu me donnerait le corps d'un ange ce jour-là parce que la date était symbolique :

 

12 décembre = 12 12

 

12 12 = L L

 

L L = DEUX AILES

 

2015 :  20 = VIN   15 = O = EAU

 

La date était symbolique, Dieu nous faisait comprendre que nous devions choisir entre l'Alliance du VIN ou celle de l'EAU, et si nous choisissons l'Alliance de l'EAU, nous obtiendrons DEUX AILES pour nous envoler au paradis. J'ai donc réalisé une vidéo le 12 novembre 2015, dans laquelle j'ai filmé mon corps et écrit sur une feuille recto verso les TERMES de l'Alliance.

 

(Mettre le lien de la vidéo).

 

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J'ai ainsi écrit les mots suivants :

 

CHOISIS TON CAMP

 

DIEU OU LE DIABLE

 

L'EAU OU LE VIN

 

LA REVOLUTION OU LE CAPITALISME

 

LE PARADIS OU L'ENFER

 

Les attentats de Paris ont eu lieu le lendemain et plusieurs terroristes étaient originaires de BELGIQUE dont notamment Abdelhamid Abaaoud, le coordinateur présumé des attentats.

 

J'ai également écrit sur cette feuille la veille des attentats :

 

12 12 = LL

 

LL = 2 AILES

 

LES AILES DE L'ANGE

 

DIEU = REVELATION

 

Je prophétisais que Dieu me donnerait le corps d'un ange le 12 12 (le 12 décembre), ce qui ne fut finalement pas le cas mais j'étais programmé par Dieu pour réaliser cette vidéo car j'ai compris après les attentats que le chiffre 12 12 faisait référence au ROI de BELGIQUE qui avait prêté serment à 12h12 un 21 juillet (21 7). Le 12 12 (LL) faisait alors référence aux 2 AILES et le 21 7 (BAG) symbolisait la BAGUE, c'est-à-dire L'ALLIANCE dont je fixais les termes la veille des attentats : CHOISIS TON CAMP.

 

Les attentats se sont notamment déroulés dans la salle du BATACLAN (CLAN=CAMP).

 

Dieu associait ainsi les attentats de Paris au ROI de BELGIQUE car il nous faisait comprendre que les ROIS qui dirigent le monde sont responsables de ces attentats, étant donné qu'ils multiplient les guerres impérialistes pour agrandir leur empire. Ainsi, les terroristes ont frappé la France le 13 novembre 2015 parce que François Hollande avait décidé de bombarder la Syrie depuis le mois de septembre, afin de remporter la guerre avec ses alliés pour permettre à Total, Lafarge et Alstom de renouer avec les profits dans le pays et obtenir de nouveaux contrats. Par ailleurs, l'État Islamique est né à partir du moment où les États-Unis ont agressé l'Irak en 2003 pour piller les ressources naturelles du pays et ainsi enrichir les ROIS du capitalisme américain. Donc à travers les attentats de Paris, Dieu nous a montré les conséquences de l'Alliance du VIN quand les ROIS dirigent le monde.

Le VIN a la couleur du SANG et le lendemain de ma vidéo, le SANG a coulé à flot dans la ville de PARIS, alors ne PARIE pas sur l'Alliance du VIN le jour de l'élection présidentielle car si tu laisses le pouvoir politique entre les mains des ROIS, le SANG continuera de couler à PARIS et partout dans le monde.

 

La BELGIQUE était symbolique :

 

BEL = 25 12 = JESUS

 

Jésus a autorisé les ROIS à diriger politiquement le monde.

 

GIQUE = 7+9+17+21+5 = 59

 

Le département 59 est celui du NORD.

 

NORD = 14x15x18x4 = 15120

 

15 = O = EAU

 

120 = SANS VIN

 

Dans ma vidéo, la veille des attentats, j'ai écrit les termes suivants : « L'EAU ou le VIN, CHOISIS TON CAMP ».

 

Le code postal 15120 est celui de la commune de LEUCAMP.

 

Le lendemain de ma vidéo, le SANG a surtout coulé dans la salle du BATACLAN ; voilà ce qui arrive quand la majorité des électeurs rejoint le jour de l'élection présidentielle, le CLAN de l'Alliance du SANG versé par Jésus, c'est-à-dire l'Alliance du VIN qui laisse les ROIS diriger le monde.

 

Dans une véritable démocratie, si le peuple français avait dirigé la France, nous n'aurions probablement pas décidé de dépenser des milliards pour participer à la guerre en Syrie, par conséquent, les attentats de Paris n'auraient jamais eu lieu, mais étant donné que nous ne dirigeons pas la France, le président de la République, qui sert les ROIS du capitalisme, a décidé seul d'engager la guerre en Syrie, et 130 personnes ont alors été tuées à Paris pour permettre aux actionnaires de TOTAL de maximiser leurs profits. Nous vivons sous un régime TOTALITAIRE alors ne croyez pas les dominants qui vous diront que c'était une guerre humanitaire puisque ce sont toujours des guerres pour le fric.

 

 

Je rappelle que le ROI Philippe de Belgique est né le 15 avril 1960 (15 4 1960).

 

15 4 19 = DOS

 

Un ange possède 2 AILES dans le dos et j'ai écrit sur une feuille la veille des attentats :

 

« Les 2 AILES de l'ANGE ».

 

Le lendemain, des terroristes qui venaient pour la plupart de BELGIQUE, ont créé l'ENFER à Paris.

 

Le ROI de BELGIQUE avait prêté serment à 12h12 (12 12 = 2 AILES). Le groupe de musique qui se produisait au Bataclan lors des attentats, était originaire de LOS ANGELES, qui signifie LES ANGES en espagnol.

 

Par ailleurs, le maire de Cholet, Gilles Bourdouleix, est né le 15 avril 1960, soit exactement le même jour que le ROI Philippe de Belgique.

 

Gilles Bourdouleix est né à ANGERS (ANGE).

 

Je suis né à Cholet donc Dieu nous fait comprendre à travers Gilles Bourdouleix que l'homme politique au pouvoir est le principal responsable des attentats du 13 novembre 2015, et notamment parce que Bourdouleix fait partie de ces hommes politiques qui stigmatisent les Roms, les gens du voyage, les musulmans et plus généralement les « étrangers », pour diviser les classes populaires et les classes moyennes afin de permettre à sa classe sociale de régner. Par conséquent, certains jeunes stigmatisés et victimes d'injustices sociales, se radicalisent, et on aboutit aux attentats du 13 novembre 2015.

À travers Gilles Bourdouleix qui est né dans la ville D'ANGERS, Dieu nous révèle que l'homme politique est un véritable DANGER puisqu'il génère la haine dans notre société et dans le monde entier. Ce sont bien les terroristes qui ont commis les attentats et ils sont responsables de leurs actes mais ce sont les hommes politiques au pouvoir qui créent ces terroristes, c'est la raison pourquoi Dieu nous révèle que les premiers responsables des attentats se trouvent au sommet de l'État.

 

La mairie de Cholet est surnommée « la machine à écrire » donc Dieu nous montre qu'il écrit chaque ligne de l'histoire de l'humanité, dont les attentats du 13 novembre 2015, car il veut nous éduquer afin que plus jamais une telle barbarie ne se reproduise.

 

Philippe de Belgique a prêté serment à 12h12, le 21 juillet 2013, et le même jour, Gilles Bourdouleix a tenu des propos racistes en marge de la visite d'un champ occupé par des gens du voyage. Excédé par des saluts nazis et des accusations de racisme, Bourdouleix a dit à mi-voix, en référence à l'extermination des tziganes par Hitler pendant la Seconde Guerre mondiale : « Comme quoi, Hitler n'en a peut-être pas tué assez ».39

Il a ensuite été condamné par le tribunal correctionnel d'ANGERS pour apologie de crimes contre l'humanité, avant que la Cour de cassation n'annule la sentence.

Le 22 juillet 2013, le journal de 20H de France 2 est revenu sur le « dérapage » de Gilles Bourdouleix et l'enregistrement audio de l'altercation du maire de Cholet avec les gens du voyage a été diffusé dans le reportage ; on pouvait ainsi entendre les gens du voyage dire « Heil Hitler », et c'est-à ce moment-là que Bourdouleix a dit : « Comme quoi Hitler n'en a pas peut-être pas tué assez ».

 

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est 22-juillet-2013-3.png.

 

Ainsi, le 21 juillet 2013, le jour où le ROI de Belgique prêtait serment, Dieu associait le maire de ma ville de naissance, au NAZISME. Je rappelle que les deux hommes sont nés le même jour.

 

Gilles Bourdouleix a tenu ces propos parce que les gens du voyage le traitaient de nazi, ce qui était la vérité : Boudouleix gagnait alors plus de 7 000 euros par mois en cumulant plusieurs mandats publics, donc ces dernières années, il a pu accumuler une fortune de plus d'un million d'euros, payée en partie par le contribuable choletais. Cet argent accaparé par ce ROI symbolise l'inégale redistribution des richesses qui extermine des millions de pauvres chaque année, donc Dieu nous révèle que Bourdouleix est un ROI mais également un NAZI.

 

Lorsque j'ai réalisé ma vidéo, la veille des attentats de Paris, j'ai filmé le décompte du génocide des enfants exterminés par la faim et nous étions alors rendus à 4,5 millions d'enfants exterminés depuis le 1er janvier 2015.

 

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est zzzzu-4.jpg.

 

J'ai ensuite filmé un article qui précisait que les 1 826 milliardaires dans le monde cumulaient une fortune de 7 000 milliards de dollars.

 

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Par conséquent, Dieu m'a programmé ce jour-là pour vous montrer que des millions d'enfants mourraient de faim chaque année car des ROIS égoïstes accaparaient la majeure partie des richesses de la Terre.

 

Les attentats du 13 novembre 2015 se sont déroulés pendant le match France-Allemagne, donc à travers l'Allemagne – le pays de naissance du IIIe REICH – Dieu mettait en lumière le RICHE, en nous faisant comprendre que le 13 novembre 2015, le plus grand criminel n'était pas le terroriste islamiste mais le RICHE, vu que sa cupidité avait exterminé 16 000 enfants dans la journée. C'est pourquoi Dieu m'avait programmé la veille pour filmer le décompte du génocide de la faim et l'article sur les ROIS du capitalisme qui accumulaient 7 000 milliards de dollars.

Ainsi, ce jour-là, j'ai écrit sur une feuille les chiffres 12 12, symbolisant les DEUX AILES (L L) ; or le lendemain, à travers les attentats, Dieu nous révélait que les chiffres 12 12 symbolisaient le ROI de BELGIQUE qui a prêté serment à 12h12, et à travers lui, le ROI symbolise le RICHE qui règne sur le monde. Par ailleurs, le coordinateur présumé des attentats était originaire de BELGIQUE, donc à travers le chiffre 12 12, Dieu associait le ROI de BELGIQUE à un terroriste pour nous révéler que les ROIS, c'est-à-dire les RICHES, sont responsables d'attentats quotidiens puisqu'ils assassinent 16 000 enfants par jour en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre. Dieu nous a envoyé un signe supplémentaires car lorsque le ROI Philippe a prêté serment à 12h12, le 21 juillet 2013, le même jour, le maire de ma ville de naissance, qui est né le même jour que le ROI de Belgique, faisait l'apologie de crimes contre l'humanité en faisant référence à Adolf Hitler, donc Dieu associait les ROIS aux NAZIS et il prophétisait ainsi, le 21 juillet 2013, ma vidéo du 12 novembre 2015 et les attentats de Paris qui ont eu lieu le lendemain pendant le match France-Allemagne.

 

Le ROI Philippe de Belgique est le 7e roi des Belges.

 

7 = SEPT

 

SEPT = 19x5x16x20 = 30400

 

Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est mort un 30 4 (30 avril).

 

Dieu précise que nous devons signer l'arrêt de mort du RICHE : le ROI – et ses serviteurs politiques – le jour de l'élection présidentielle – car ils génèrent la barbarie dans notre pays et dans le monde entier.

 

 

CHOLET = CH OLET

 

CH = 38

 

Le département 38 est celui de l'ISÈRE.

 

ISÈRE = MISÈRE

 

OLET = 15x12x5x20 = 18000

 

Le code postal 18000 est celui de la ville de BOURGES.

 

Dieu nous révèle que les BOURGES sont responsables de la MISÈRE en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre.

 

Les initiales d'Adolf Hitler sont AH

 

AH = 18

 

Le chef-lieu du département 18 est la ville de BOURGES.

 

Dieu associe Gilles Bourdouleix, le maire de CHOLET, au nazisme, car il nous fait comprendre que les BOURGES exterminent des millions d'êtres humains chaque année en accaparant les richesses de la Terre.

 

CHOLET = 3x8x5x12x5x20 = 432000

 

432 = DC2

 

DC 2 se prononce DÉCÉDE.

 

Dieu m'a donc fait naître à CHOLET car il veut désormais que le RICHE DÉCÈDE pour que le pauvre ne DÉCÈDE plus par millions chaque année.

 

Le RICHE est le plus grand criminel de l'histoire de l'humanité.

 

RICHE = REICH

 

Tu dois désormais choisir ton CLAN : le CLAN des ROIS ou le CLAN des RÉVOLUTIONNAIRES ; le CLAN du VIN ou le CLAN de l'EAU ; le CLAN du DIABLE ou le CLAN de DIEU.

 

 

BELGIQUE = BEL GIQUE

 

GIQUE = 7+9+17+21+5 = 59

 

Le département 59 est celui du NORD.

 

NORD = 14x15x18x4 = 15120

 

Le code postal 15120 est notamment celui de la commune de LEUCAMP.

 

Le maire de LEUCAMP est Annie PLANTECOSTE.

 

Dieu nous fait comprendre qu'à l'instar d'une PLANTE, nous avons besoin d'EAU pour grandir, donc l'Alliance de l'EAU te permettra de grandir éternellement car tu ne faneras jamais, alors qu'une PLANTE arrosée de VIN meurt. Dieu te demande ainsi de rejoindre LE CAMP de l'Alliance de l'EAU, alors ne te PLANTE pas le jour de l'élection présidentielle ou bien tu iras en enfer si tu PLANTES un couteau dans le dos de 6 millions d'enfants chaque année en votant pour le système capitaliste.

 

Il est écrit dans la Bible : « L'amour de l'argent est la RACINE de tous les MAUX ».

 

Lors des attentats de Paris, 130 personnes ont été tuées.

 

130 = MO

 

L'amour de l'argent est bel et bien la RACINE de tous les MO car 130 PLANTES se sont arrêtées de grandir le 13 novembre 2015, à cause des guerres impérialistes menées par les ROIS du monde pour accaparer les richesses de la Terre. Mais nous pouvons mettre un terme à la barbarie en déposant dans l'urne les MO « Lutte Ouvrière » ou « Nouveau Parti Anticapitaliste », le jour de l'élection présidentielle.

 

 

Le jour des attentats, L.O. tenait un meeting à PARIS dans le cadre des élections régionales qui avaient lieu trois semaines plus tard. Lors de ce meeting, on pouvait voir sur un écran géant, et également sur le pupitre de la porte-parole de L.O. – Nathalie Arthaud – le slogan suivant : « Lutte Ouvrière : faire entendre LE CAMP des travailleurs ».

 

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est 13-novembre-2015.png.

 

Dieu te demande ainsi de rejoindre l'Alliance de L.O., c'est-à-dire rejoindre LE CAMP des travailleurs qui font tourner toute la société, car ce ne sont pas eux qui ont créé Daech en menant des guerres impérialistes, mais le RICHE au pouvoir, alors PARIE sur L.O. et le NPA le jour de l'élection présidentielle, puisque nous ne vivrons jamais en paix tant que tu rejoindras LE CAMP du RICHE, c'est-à-dire LE CAMP du Troisième REICH capitaliste.

 

 

Une partie des terroristes qui ont commis les attentats de Paris, le 13 novembre 2015, ont la particularité d'avoir vécu dans la commune de Molenbeek, qui est devenue au fil des années un foyer de l'islamisme radical en Belgique.

 

La bourgmestre (la maire) de Molenbeek était alors Françoise Schepmans. Elle est née le 18 juin 1960.

 

L'APPEL du général de Gaulle s'est déroulé le 18 juin 1940, soit 20 ans - jour pour jour - avant la naissance de la maire de Molenbeek.

 

20 = VIN

 

La veille des attentats du 13 novembre 2015, j'ai réalisé une vidéo en écrivant sur une feuille les termes suivants :

 

CHOISIS TON CAMP

 

DIEU OU LE DIABLE

 

L'EAU OU LE VIN

 

LA REVOLUTION OU LE CAPITALISME

 

LE PARADIS OU L'ENFER

 

 

Dieu m'a ainsi programmé pour vous lancer un APPEL car vous devez désormais choisir votre camp pour aller au paradis ou en enfer.

 

À travers la maire de Molenbeeck, Dieu met en lumière le VIN puisque l'Alliance du VIN avec Jésus laisse le pouvoir politique entre les mains de César, et Dieu nous a montré le lendemain de ma vidéo, les conséquences de notre vote lorsque nous laissons César diriger le monde. Le VIN a la couleur du SANG, donc le 13 novembre 2015, le SANG a coulé dans les rues de Paris étant donné qu'en septembre 2015, César avait décidé unilatéralement de partir faire la guerre en Syrie pour accaparer les richesses du pays.

 

L'ancienne maire de Molenbeeck est donc née un 18 juin.

 

Le 18 juin est traditionnellement le 169e jour de l'année.

 

16x9 = 144

 

144 se prononce 100 44.

 

Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.

 

À travers la maire de Molenbeeck au moment des attentats, Dieu nous révèle que César est responsable de ces attentats.

 

Dans le passé, une partie de la Belgique faisait partie de la GAULE, donc à travers l'APPEL du général de GAULLE, Dieu nous fait comprendre qu'il remplace l'Alliance du VIN par celle de l'EAU, et il nous demande désormais de nous unir avec tous les peuples du monde pour renverser César afin que le SANG arrête de couler.

 

L'ancienne maire de Molenbeeck est née le 18 juin 1960.

 

Le département 60 est celui de L'OISE.

 

L'OISE symbolise l'OISIVETÉ et donc les ROIS qui accaparent une fortune sans travailler, que ce soient les ROIS appartenant à des familles royales ou les ROIS du capitalisme qui gagnent une fortune en exploitant les travailleurs.

 

Dans ma vidéo, la veille des attentats, j'ai mis en lumière les chiffres 12 12 (L L) qui symbolisaient les 2 AILES de l'ange, mais j'ai ainsi compris après les attentats que ce chiffre symbolisait également le ROI de Belgique qui avait prêté serment à 12h12.

 

À travers la date de naissance de la maire de Molenbeek, Dieu nous lance un APPEL afin que nous renversions les ROIS qui mènent des guerres impérialistes et accaparent la majeure partie des richesses, c'est la raison pour laquelle Molenbeek est devenu le principal foyer de l'Islam radical en Belgique, cette ville étant ravagée par la pauvreté.

Molenbeek compte officiellement 96 000 habitants et elle est en deuxième place des communes les plus pauvres de Belgique. À environ 9 800 euros (chiffre très théorique de 2012), le revenu annuel moyen par habitant y est de 40 % inférieur à la moyenne nationale. Comme la commune comprend également un quartier plus aisé, le montant réel dont disposent les ménages des rues populaires est plus bas encore.

Molenbeek a toujours été une commune ouvrière et compte aujourd’hui une forte composante d’habitants d’origine étrangère, majoritairement marocaine. Le taux de chômage officiel y avoisine les 30 %, celui des jeunes de moins de 25 ans atteint officiellement 41,6 %. L’aggravation de la crise accentue encore la pauvreté et les difficultés de gestion.

En 2015, le collège communal a décidé de réduire les dépenses de 10 %, et il a augmenté les impôts immobiliers des propriétaires de 500 euros par an, touchant beaucoup des familles issues de l’immigration qui sont là depuis deux ou trois générations. Comme dans tous les quartiers populaires de la région bruxelloise, les écoles sont surchargées, souvent logées dans de vieux bâtiments mal isolés et équipés de chaudières vétustes, qui les rendent difficiles à chauffer.

Les dépenses de la commune et de la région bruxelloise se sont surtout concentrées sur la réhabilitation de l’ancienne zone industrielle, avec des lofts et des logements modernes et écologiques et des zones vertes, pour attirer un public plus aisé, pour plus de « mixité sociale ». Mais cela a contribué à la ghettoïsation de ce quartier populaire, où la place délaissée par les pouvoirs publics a progressivement été occupée par les mosquées, qui s’occupent aussi d’organiser l’entraide nécessaire. Les nouveaux habitants branchés ne mettront pas leurs enfants dans les écoles du quartier.

Le monde politique n’a fait qu’accompagner, voire encourager cette emprise de la religion. Les deux tiers des Molenbeekois ont la nationalité belge et les résidents étrangers, y compris hors Union européenne, ont le droit de vote aux élections communales. Les professionnels de la politique, comme l’ancien bourgmestre de la commune Philippe Moureaux du PS, ont fait carrière en s’appuyant sur ces voix et sur les imams, y compris les plus rétrogrades.

Comme les écoles publiques ont l’obligation de dispenser des cours de religion, chrétienne, juive ou musulmane, elles contribuent à enfermer les jeunes dans leur prétendue « différence culturelle ». Les écoles de Molenbeek sont bien avancées dans leur évolution vers des écoles ghettos à la réputation difficile, où il n’y plus aucun enfant « blanc » et où le nombre d’enseignants « blancs », déjà très réduit, diminue également d’année en année.

La société capitaliste n’a pas grand-chose à offrir aux jeunes de Molenbeek, si ce n’est la religion et la répression. Ils subissent des contrôles policiers quasi quotidiennement. Soulaymane, un adolescent de 15 ans, est mort dans une station de métro en 2014. Au retour de l’école, il a été retenu par la police du métro, a tenté de s’échapper et est tombé devant le train qui arrivait. Le 5 novembre 2015, quelques jours avant les attentats, sa famille a appris la décision de non-lieu du tribunal. Alors qu’il y avait des caméras partout dans la station, les quelques minutes d’enregistrement correspondant au déroulement du drame et au comportement de la police manquait, à cause d’un « problème technique ».

Le monde politique y va de ses propositions pour déradicaliser Molenbeek, ce « nid de terroristes », ce « djihadistan » que le journaliste Éric Zemmour conseillait même à la France de bombarder au lieu de Rakka en Syrie. Le ministre de l’Intérieur belge, Jan Jambon, du parti nationaliste flamand N-VA qui participait pour la première fois au gouvernement fédéral, a annoncé dès le 14 décembre qu’il allait « nettoyer Molenbeek ». Quelques semaines avant, son collègue de parti, le secrétaire d’État à l’Asile et l’Immigration Theo Francken, avait proposé que chaque réfugié porte un badge autour du cou.40

 

L'ancienne maire de Molenbeek est née 20 ans - jour pour jour - après l'APPEL du général de GAULLE.

 

GAULLE = EGAU LL

 

LL = 12+12 = 24

 

24 = X

 

EGAU+X = EGAUX

 

À travers les attentats du 13 novembre commis notamment par des jeunes ayant vécu à Molenbeek, une ville ravagée par la pauvreté, Dieu nous lance un APPEL afin de nous faire comprendre que nous devons être tous ÉGAUX pour mettre un terme aux injustices sociales et ainsi combattre efficacement le terrorisme islamiste.

 

20 = VIN

 

Dieu remplace l'Alliance du VIN par celle de l'EAU et il nous demande désormais de renverser le pouvoir des ROIS qui dirigent le monde, afin de redistribuer équitablement les richesses de la Terre entre chaque être humain, pour que nous soyons tous ÉGAUX : car l'amour de l'argent est la racine de tous les MAUX.

 

 

Le 11 janvier 2015, quatre jours après l'attentat contre Charlie Hebdo, j'ai réalisé une vidéo dans laquelle j'ai écrit sur une feuille le message suivant : « TES ARMES SONT LES MOTS ».

 

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est tes-armes-1.png.

 

Je lançais un APPEL à tous les jeunes qui avaient la rage de vivre dans ce monde injuste, de combattre le système de manière pacifique avec les MOTS, et non en tombant dans la folie meurtrière de l'Islam radical.

Quelques mois plus tard, les attentats du 13 novembre ont fait 130 morts.

 

130 = MO

 

Dieu mettait en lumière mon message : « TES ARMES SONT LES MOTS ».

 

Le coordinateur présumé des attentats du 13 novembre 2015, Abdelhamid Abaaoud, a grandi à MOLENBEECK.

 

MOLENBEECK = MO LENBEECK

 

MO = 130

 

LENBEEC = 12+5+13+2+5+5+3 = 54

 

Le département 54 est celui de la MEURTHE-et-MOSELLE.

 

Dieu fait comprendre aux islamistes radicaux de MOLENBEECK et d'ailleurs, qu'ils n'obtiendront jamais la vie éternelle en commettant des MEURTRES, mais seulement en combattant l'impérialisme et le capitalisme avec les MOTS, car seul le combat pacifique leur donnera des AILES.

 

La veille des attentats, j'ai écrit sur une feuille les MOTS suivants :

 

CHOISIS TON CAMP

 

DIEU OU LE DIABLE

 

L'EAU OU LE VIN

 

LA REVOLUTION OU LE CAPITALISME

 

LE PARADIS OU L'ENFER

 

Le cooordinateur présumé des attentats du 13 novembre 2015, Abdelhamid Abaaoud, a grandi à Molembeeck, et il est né le 8 avril 1987.

 

8 avril = 8 4

 

Le chef-lieu du département 84 est la ville d'Avignon dont la maire est Cécile HELLE.

 

« HELL » signifie « ENFER » en anglais.

 

Dieu révèle aux islamistes radicaux qu'ils iront en ENFER s'ils commettent des MEURTRES.

 

Seul le combat avec les MOTS leur donnera des AILES pour s'envoler au paradis.

 

LE PARADIS ou l'ENFER : CHOISIS TON CAMP.

 

Abdelhamid Abaaoud est né le 8 avril 1987.

 

Le chef-lieu du département 87 est la ville de LIMOGES.

 

D’après l’AFP, citant un témoin présent au Bataclan, l’un des assaillants aurait crié : « C’est la faute de Hollande, c’est la faute de votre président, il n’a pas à intervenir en Syrie ».

 

Dieu nous demande ainsi de combattre l'impérialisme en luttant pour LIMOGER de leurs postes les hommes politiques au service de César, et non en commettant des MEURTRES dans une salle de concert, ou alors nous irons en ENFER. En France, nous devons ainsi combattre François Hollande et ses clones en déposant les MOTS « Lutte Ouvrière » ou « Nouveau Parti Anticapitaliste » dans l'urne le jour de l'élection présidentielle. Car lorsque nous prendrons le pouvoir en main, il est hors de question d'instaurer la charia et revenir au Moyen Âge. Dieu veut faire évoluer l'espèce humaine et non créer une société encore plus régressive que la société capitaliste.

 

 

À travers les lettres « MO », de MOLENBEECK, Dieu nous lance un APPEL afin que nous combattions les MAUX qui ont généré ces attentats.

 

« Les enfants et les jeunes de Molenbeek sont le reflet d’une société cloisonnée qui hiérarchise, trie, relègue et discrimine à tour de bras. Cette réalité est le ferment du fléau sectaire qui couve dans notre société.

 

En chiffres, cela se traduit de la façon suivante : décrochage scolaire et chômage (jusqu’à 60 % chez les jeunes dans les quartiers est), discriminations et ségrégation massive à l’école et à l’embauche, familles nombreuses sans revenus du travail entassées dans des logements minuscules dont un quart n’est pas équipé d’un confort minimal.

Molenbeek-Saint-Jean est l’une des communes qui compte parmi les plus pauvres du territoire (une personne sur 3 est au chômage). Une importante partie de la population dépend d’allocations sociales ou d’un revenu de remplacement et le taux de natalité est parmi le plus élevé de la Région Bruxelloise. Sans oublier le nombre croissant de mères seules (avec souvent plusieurs enfants) vivant dans la plus grande précarité. Bref, il ne peut pas y avoir de paradis social dans un véritable désert économique. Faudrait-il faire comme si tout ceci n’existait pas et n’aurait aucune influence sur les consciences ?

 

Le darwinisme social à tous les niveaux est une guerre larvée contre les populations, et les jeunes en particulier, dont la grande majorité se résigne et accepte son sort tandis qu’une petite partie ne l’accepte pas et se radicalise. La seule façon efficace de se battre contre la misère culturelle, la misère politique, la misère sociale et la misère économique, en somme contre l’ignorance et le radicalisme, n’est pas d’opposer une autre forme de radicalisme mais de donner des perspectives. »41

 

Abdelhamid Abaaoud n'était pas issu d'un milieu défavorisé mais la société capitaliste l'a fait idolâtrer l'argent, il est alors tombé dans la délinquance et il a multiplié les peines d’incarcération entre 2006 et 2012. « Si la radicalisation d’Abdelhamid Abaaoud a très vite commencé après sa sortie de l’établissement pénitencier de Forest, la rupture définitive avec sa famille date de 2013 : Abdelhamid reprochait à son père l’éducation de son frère cadet ''selon le mode de vie européen''. La même année, il est parti en Syrie. Il est revenu quelques mois plus tard pour convaincre son petit frère âgé de 13 ans de rejoindre Daech, dont le père n’aura plus de nouvelles. »42

 

À l'instar d'Abdelhamid Abaaoud, ceux qui ont été stigmatisés comme des délinquants ou des criminels, et ont purgé des peines de prison, peuvent se sentir rachetés par l’illusion d’attribuer leur sort à quelque vertu transcendante. Ils partent ainsi en Syrie ou en Irak « pour se racheter aux yeux d'Allah et pour bâtir une nouvelle identité où l'héroïsme, le dépassement de la peur de mourir et la mise à l'épreuve de soi sur le champ de bataille confèrent de la noblesse à leur entreprise. La nouvelle sincérité trouve un horizon d'espérance, la mort sur le champ de bataille se muant en martyre, le départ d'ici-bas ouvrant les perspectives du bonheur dans l'au-delà43. » « Ces exemples montrent un peu partout en Europe, une génération perdue dont une partie a trempé dans la déviance et qui cherche l'aventure jihadiste pour donner sens à sa vie, circulant entre différents pays et trouvant une raison d'être dans son engagement absolu, en contraste avec sa situation de délinquant. La quête du sens, dans ce cas, passe par la révolte contre la société et l'affirmation d'un soi qui rompt les amarres avec le monde alentour et souvent la famille au nom d'une guerre héroïque. La société est d'autant plus haie qu'elle infériorise cette génération issue d'une immigration musulmane de classes populaires dont les enfants et les petits-enfants se sentent rejetés et voués à la victimisation. »44

« Confrontée aux promesses de paradis d’Allah, la société occidentale contemporaine n’est attrayante que sur la base de son auto-représentation commerciale plutôt que sur sa réalité, telle que vécue par des exclus qui y préfèrent y voir un cloaque du péché. L’idéologie de ces djihadistes relève de la névrose sociale engendrée par le libéralisme mais, faute de la moindre conscience politique, s’exprime dans un puritanisme fanatique : ils peuvent froidement assassiner les jeunes sur les terrasses des cafés ou dans un théâtre au prétexte d’éradication du péché contre "Allah le tout-puissant". »45

L'origine des attentats du 13 novembre 2015 est également à chercher au Moyen Orient. « Les membres de Daech, ou de l’État Islamique, ou peu importe le nom qu’on lui donne, sont des figures phares pour des jeunes hommes dont la plupart avait déjà basculé dans les activités criminelles, et ayant besoin d’une raison de vivre et de canaliser leurs sentiments. Cette raison est fournie par des images sur lesquelles figurent des individus auxquels ils peuvent s’identifier : des Palestiniens à Gaza, des familles décimées par des bombes américaines lors de fêtes de mariage, des nations entières humiliées par des occidentaux arrogants. Il y a quelque chose de grandiose dans le fait de rejoindre le djihad contre ''les croisés de l’Occident" afin de mettre en place un nouveau "califat", ce qui attire le meilleur comme le pire chez certaines personnes impressionnables. »46

 

Par ailleurs, j'ai expliqué précédemment qu'à travers l'attentat du 7 janvier 2015 contre Charlie Hebdo, Dieu nous révèle que le capitalisme génère le terrorisme islamiste.

 

7 janvier = 7 1

 

Le chef-lieu du département 71 est la ville de MACON.

 

Au moment de l'attentat, le ministre de l'Économie était Emmanuel MACRON, par conséquent, Dieu nous montre que l'économie capitaliste génère le terrorisme islamiste car elle crée une hiérarchie entre les citoyens, avec une BASE et un sommet, ce qui plonge parfois la BASE humiliée dans la folie meurtrière. C'est pourquoi les frères Kouachi faisaient partie d'Al-Qaïda, qui signifie « la BASE » en arabe.

D'autre part, le capitalisme génère le terrorisme islamiste parce que la société capitaliste idolâtre l'argent, donc des jeunes endoctrinés par cette religion du dieu Argent, tombent dans la délinquance, la criminalité, ce qui les envoie en prison où ils se radicalisent – bien souvent au contact d'autres détenus convertis à l'Islam radical.

 

Le 22 mars 2016, des attentats terroristes à Bruxelles ont tué 32 personnes. Ils ont été commis notamment par les frères Bakraoui qui étaient connus auparavant de la justice pour des faits de grand banditisme et ils se sont ensuite radicalisés ; alors là encore, la religion du dieu Argent était probablement à l'origine de ces attentats. Il est peu probable que dans une société fraternelle, égalitaire, sans injustices sociales, les frères Bakraoui seraient tombés dans le délinquance puis la criminalité pour finir par se faire exploser dans une rame de métro et dans un aéroport.

 

Ibrahim Bakraoui a commis le premier attentat-suicide à l'aéroport de Bruxelles, il était également accompagné de Najim Laachraoui, qui s'est fait exploser dans le hall d'enregistrement de l'aéroport. Khalid Bakraoui a commis le troisième attentat-suicide dans une rame de métro qui quittait la station de MAELBEEK dans le centre de Bruxelles.

 

MAELBEEK = 13+1+5+12+2+5+5+11 = 54

 

Le département 54 est celui de la MEURTHE-et-MOSELLE.

 

MOSELLE se prononce MOTS AILES.

 

L'aéroport symbolise les AILES : l'envol vers le ciel.

 

Les trois terroristes croyaient qu'en commettant des MEURTRES il obtiendraient des AILES pour s'envoler au paradis. Mais à travers les signes, Dieu nous fait comprendre qu'ils iront en ENFER car pour obtenir des AILES et nous envoler au paradis, nous devons combattre le capitalisme et l'impérialisme avec les MOTS, et ne jamais commettre de MEURTRE, ou alors nous serons éternellement enfermés dans un cercueil six pieds sous terre, c'est la raison pour laquelle les attentats se sont également déroulés dans une rame de métro : sous terre.

 

Ainsi, à travers ces attentats, Dieu mettait en lumière la dualité entre le Ciel et le sous-sol de la terre : le paradis et l'enfer.

 

Les attentats se sont déroulés le 22 mars 2016 : le 81e jour de l'année.

 

81 = HA = ce sont les initiales d'Hitler Adolf : le dirigeant du IIIe REICH.

 

Le chef-lieu du département 81 est ALBI.

 

ALBI = B AIL = 2 AIL

 

Dieu nous révèle ainsi que pour obtenir les 2 AILES qui mènent au paradis – la nouvelle Alliance nous impose de commettre un MEURTRE : celui du RICHE – avec les MOTS qui seront écrits sur notre bulletin de vote, le jour de l'élection présidentielle.

 

Ces attentats commis en 2016 ont fait 32 morts, et le premier jour de la 32e semaine de l'année 2016 était le 8 août.

 

2016 = TAF

 

8 août = 88

 

88 = HH

 

Les deux H assemblés forment une échelle.

 

Dieu te fait comprendre que pour monter l'échelle ou obtenir les 2 AILES qui mènent au paradis, ton TAF est de combattre pacifiquement l'impérialisme et le capitalisme avec les MOTS ; mais si tu commets des MEURTRES, du descendras l'échelle pour aller en ENFER.

 

 

Les attentats de Bruxelles ont été revendiqués par Daech et le motif était la présence de la Belgique dans la coalition internationale en Irak et en Syrie. L'impérialisme est ainsi responsable de ces attentats puisque Daech est né suite à l'intervention militaire des États-Unis en Irak en 2003, et c'est notamment pour combattre ce monstre de Daech, créé par l'impérialisme américain, que 10 ans plus tard, les puissances impérialistes bombardaient l'Irak et la Syrie ; donc il est temps de mettre un terme à l'impérialisme qui génère le chaos dans les pays du Moyen-Orient, et désormais dans les capitales européennes. Une région entière ne peut être mise à feu et à sang, sans que cela se répercute ici aussi, d’une manière ou d’une autre.

 

Les attentats de Bruxelles se sont donc déroulés le 22 mars 2016 : le 81e jour de l'année.

 

81 = HA = ce sont les initiales d'Hitler Adolf.

 

Les attentats ont eu lieu 39 jours avant le 30 avril qui célèbre la mort d'Adolf Hitler.

 

Le maire du chef-lieu du département 39 est Jacques Pélissard, il est né le 20 mars 1947, soit 57 ans - jour pour jour - avant la guerre en Irak qui a débuté le 20 mars 2003. Cette guerre a donné naissance à Daech et donc entraîné les attentats de Bruxelles le 22 mars 2016.

 

Adolf Hitler est le dirigeant du IIIe REICH et les attentats de Bruxelles ont eu lieu 39 jours avant l'anniversaire de sa mort. Dieu associe le RICHE au chiffre 39 car ce chiffre nous permet d'obtenir la date du 20 mars 1947, et vu que la guerre en Irak a débuté un 20 mars et quelle a donné naissance à Daech, Dieu veut nous faire comprendre que le RICHE est responsable des attentats de Bruxelles – parce que c'est lui qui a agressé l'Irak pour VOLER les richesses du pays, c'est pourquoi les attentats ont eu lieu dans un aéroport (le VOL). Par ailleurs, les jeunes qui ont commis ces attentats avaient un passé de délinquant et de criminels car ils voulaient devenir RICHE, et ils se sont ensuite radicalisés pour donner enfin un sens à leur vie, donc à travers le jour de la mort du dirigeant du IIIe REICH, Dieu nous demande de supprimer le RICHE puisque la course aux richesses rend les hommes complètement fous. Par ailleurs, le RICHE vole une grande partie des richesses de la Belgique, ce qui génère des inégalités dans le pays,  c'est la raison pour laquelle dans une ville comme Molenbeeck, le revenu annuel moyen par habitant y est de 40 % inférieur à la moyenne nationale. Le taux de chômage officiel y avoisine les 30 %, celui des jeunes de moins de 25 ans atteint officiellement 41,6 %. Dieu nous demande ainsi d'éliminer le RICHE pour répartir équitablement les richesses, afin que nos jeunes grandissent dans une société égalitaire, fraternelle. C'est le seul moyen pour qu'ils ne se transforment plus en bombes humaines.

 

Les attentats de Bruxelles se sont déroulés 39 jours avant le 71e anniversaire de la mort d'Adolf Hitler.

 

Le chef-lieu du département 71 est la ville de MACON.

 

En France, le ministre de l'Économie était alors Emmanuel MACRON.

 

Dieu nous montre que l'économie capitaliste est responsable de ces attentats.

 

La différence entre les mots MACRON et MACON se situe au niveau de la lettre R.

 

R = 18

 

18 = AH

 

AH sont les initiales d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.

 

Dieu nous demande ainsi de renverser le système capitaliste afin de supprimer le RICHE pour que nos jeunes ne deviennent plus des terroristes – puisque c'est le RICHE qui mène des guerres impérialistes pour accaparer les richesses de la Terre et c'est le RICHE qui crée des sociétés inégalitaires dans lesquelles nos jeunes sont condamnés à la précarité à vie et confrontés à des justices qui en amènent certains à se radicaliser.

 

Le dirigeant du IIIe REICH est mort un 30 avril et le lendemain, le 1er mai, c'est la fête du travail, parce que Dieu nous révèle que lorsque nous aurons éliminé le RICHE, le lendemain, il y aura du travail pour tout le monde, donc la vie sera une fête, et une ville comme Molenbeek ne connaîtra plus le chômage, ce qui signifie que les jeunes ne seront plus tentés de se radicaliser. Il faut ainsi combattre les hommes politiques comme MACRON car ce dernier a quasiment supprimé l'impôt sur la fortune (l'ISF) pour augmenter encore plus la fortune du RICHE, en nous faisant croire que ça l'incitera à investir dans l'économie.

Le MAÇON construit des bâtiments et en laissant le pouvoir politique entre les mains d'un MACRON, nous laissons le RICHE construire le monde, et il n'investit pas pour créer des emplois, au contraire, il spécule en Bourse ou licencie à tour de bras pour s'enrichir toujours plus. Le RICHE a ainsi construit un monde fait de plans de licenciements massifs, de fermetures d’usines, de baisses de salaires, d'augmentations des cadences de travail, d’explosion de la précarité et de l’emploi à temps partiel imposé, donc certains jeunes préfèrent se faire exploser plutôt que de vivre dans ce monde-là. Nous devons ainsi prendre le pouvoir en main afin de supprimer le RICHE et CONSTRUIRE un nouveau monde, dans lequel nous redistribuerons équitablement les richesses pour permettre à tous les jeunes d'avoir un emploi et vivre dans un monde fraternel. C'est la seule solution pour combattre efficacement le terrorisme islamiste.

 

Les attentats de Bruxelles ont ainsi été commis 39 jours avant la date anniversaire de la mort d'Adolf Hitler.

 

Le chef-lieu du département 39 est Lons-le-Saunier, dont le maire, Jacques Pélissard, est né le 20 mars 1947, soit 57 ans - jour pour jour - avant le 20 mars 2003, qui marquait le début officiel de la guerre en Irak et donc la naissance de Daech, responsable des attentats de Bruxelles.

 

Dieu met en lumière le chiffre 57 car c'est le département de la MOSELLE.

 

Dieu nous fait ainsi comprendre que nous obtiendrons des AILES pour nous envoler au paradis en combattant avec les MOTS. Les attentats de Bruxelles symbolisent le CIEL à travers l'aéroport, et le sous-sol de la terre à travers la rame de métro, c'est-à-dire la dualité entre le paradis et l'enfer.

 

Dieu nous révèle que nous devons combattre le règne du RICHE avec les MOTS pour obtenir les deux AILES qui nous permettront de nous envoler au paradis, mais si nous commettons des MEURTRES à l'instar des terroristes islamistes, ou en votant pour le système capitaliste, nous irons en enfer.

 

Lors des attentats du 22 mars 2016, je sous-louais un appartement dans le 15e arrondissement de Paris. Le locataire, GUILLAUME, était parti pendant deux mois en Inde, et lorsqu'il était plus jeune, il avait passé son année de Terminale dans un internat à Lons-le-Saunier, le chef-lieu du département 39. Les attentats de Bruxelles se sont déroulés 39 jours avant la date anniversaire de la mort d'Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, et ce dernier a pu prendre le pouvoir en Allemagne suite aux conséquences de la Première Guerre mondiale dont GUILLAUME II, l'empereur du REICH, était l'un des principaux responsables. Ainsi, Dieu m'envoyait un signe à travers le locataire de mon appartement, GUILLAUME, qu'il associait au chiffre 39, pour me faire comprendre que le RICHE était le principal responsable des attentats.

 

39 se prononce 30 9.

 

212 jours séparent le 30 9 (30 septembre) et le 30 avril qui célèbre la fin du IIIe REICH.

 

2 12 = 2 L = 2 AILES

 

À travers le chiffre 39, Dieu nous fait ainsi comprendre que nous obtiendrons les 2 AILES menant au paradis, en luttant pour mettre fin au règne du RICHE.

 

3 9 = 3 septembre

 

ADOLPHE THIERS, le deuxième président de l'histoire de la République, est né un 3 septembre, donc à travers lui, Dieu met en lumière ADOLF HITLER, le dirigeant du IIIe REICH, car nous devons combattre le règne du RICHE pour que les attentats ne se reproduisent plus.

 

L'ancien dictateur de la TUNISIE, Ben ALI, est également né un 3 septembre, par conséquent, à travers lui, Dieu met en lumière la dictature de la « TUNE », c'est-à-dire la dictature du RICHE, qui génère notamment le terrorisme islamiste, donc nous devons combattre cette dictature pour obtenir les 2 AILES qui nous permettront de nous envoler au paradis.

 

Les attentats de Bruxelles ont eu lieu en 2016.

 

2016 = TAF

 

Dieu nous montre ainsi le TAF que nous devons accomplir afin d'obtenir la vie éternelle et la paix sur Terre.

 

 

Dieu nous a envoyé un signe supplémentaire pour nous dévoiler l'origine des attentats du 22 mars 2016, à travers le chiffre 39.

 

Le 39e président des États-Unis est Jimmy Carter.

 

Le chef-lieu du département 39 est Lons-le-Saunier, dont le maire, Jacques Pélissard, est né le 20 mars 1946.

La guerre en Irak a débuté officiellement le 20 mars 2003, soit 57 ans plus tard.

 

Jimmy Carter est à l'origine de cette guerre car il a financé Oussama ben Laden lors de la guerre en Afghanistan, lui permettant de remporter la victoire contre les Soviétiques, ben Laden s'est alors senti tout puissant et il a pris la tête d'Al-Qaïda avec pour objectif de libérer tous les musulmans par la voie du jihad, d'où les attentats du 11 septembre 2001, ce qui a entraîné la guerre en Irak en 2003 et donc la création de Daech, générant ainsi les attentats du 22 octobre 2016 à Bruxelles.

 

Donc l'origine des attentats de Bruxelles, c'est la décision prise par Jimmy CARTER, le 39e président des États-Unis, de financer Oussama ben Laden lors de la guerre en Afghanistan. C'est pourquoi les attentats de Bruxelles se sont déroulés 39 jours avant la date anniversaire de la mort du dirigeant du IIIe REICH.

Dieu nous demande ainsi d'éliminer le RICHE, de l'ÉCARTER du pouvoir, car sa soif de richesse et de domination sur le monde génèrent la barbarie.

Jimmy CARTER a financé Oussama ben Laden dans le cadre de la Guerre froide afin de combattre le communisme pour que le capitalisme puisse régner dans le monde entier, et le capitalisme, c'est l'amour de l'argent, donc les attentats de Bruxelles sont la conséquence du combat mené par le 39e président des États-Unis afin que les hommes puissent s'enrichir dans le monde entier, c'est la raison pour laquelle les attentats se sont déroulés 39 jours avant la date anniversaire de la mort du dirigeant du IIIe REICH (RICHE).

L'histoire a un sens et Dieu nous révèle que le RICHE est la racine de tous les maux parce que son amour de l'argent a notamment généré la Première Guerre mondiale, dont les conséquences ont permis à Hitler de prendre le pouvoir en Allemagne et ainsi fonder le IIIe REICH qui a généré la Seconde Guerre mondiale, donc la racine de tous les maux, c'est l'amour de l'argent, ce vice générant la barbarie tout au long de l'histoire de l'humanité.

Les attentats de Bruxelles se sont déroulés 39 jours avant le 71e anniversaire de la mort du dirigeant du IIIe REICH, car Dieu nous montre que le RICHE est à l'origine de ces attentats, et Dieu met en lumière le chiffre 71 parce qu'en 2015, le 7 janvier (71), Emmanuel Macron, qui était alors à Las Vegas – la ville symbolisant l'amour de l'argent – a déclaré : « Il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires. » Dieu nous demande ainsi d'ÉCARTER du pouvoir les hommes politiques comme Macron puisque l'amour de l'argent est la racine de tous les MAUX, alors nous devons combattre ce fléau avec les MOTS, en inscrivant dans la loi les MOTS : « suppression de la propriété privée des moyens de production et plafonnement des revenus ». Dieu nous demande ainsi de construire un monde fraternel pour mettre un terme définitif à la barbarie.

Comme le disait Karl Marx : « Qui ne connaît pas l'Histoire est condamné à la revivre ». Par conséquent, à travers LONS-LE-SAUNIER, Dieu nous donne une LEÇON, en nous faisant comprendre que le RICHE est le principal fléau de l'humanité, car en étudiant l'Histoire, nous comprenons qu'il est à l'origine de tous les MAUX, or le RICHE a réécrit l'Histoire en cachant sa responsabilité dans les tragédies qui ensanglantent l'humanité, afin que l'amour de l'argent puisse régner éternellement sur le monde.

 

En tout cas, les attentats de Paris du 13 novembre 2015, et ceux de Bruxelles du 22 mars 2016, ont eu lieu parce que les capitalistes américains ont voulu voler l'argent des Irakiens en 2003. C'est ça la racine des attentats qui se multiplient aujourd’hui, donc nous devons couper le mal à la racine en renversant le dictature de l'argent, car comme il est écrit dans la Bible : « L'amour de l'argent est la racine de tous les MAUX ».

 

Les attentats de Bruxelles ont été commis par la même cellule terroriste franco-belge, constituée au départ autour d'Abdelhamid Abaaoud, né à MOLENBEEK.

 

MAUX = MO LENBEEK

 

Dieu nous lance ainsi un APPEL pour que nous mettions un terme aux MAUX qui rongent la planète : le capitalisme et l'impérialisme. Nous devons tuer LE ROI Argent car c'est la seule manière de combattre efficacement le terrorisme islamiste.

 

Le journaliste Eric Zemmour a déclaré qu'il fallait « bombarder Molenbeeck » parce qu'il n'aime pas les musulmans et il n'aime pas les pauvres, donc il voulait bombarder les nôtres, les habitants de Molenbeeck étant socialement plus proches de nous que ne l'est Eric Zemmour. Ce riche journaliste des beaux quartiers n'a strictement rien à voir avec la majorité des Français, à l'instar des hommes politiques et des « élites » journalistiques, qui essayent de nous faire croire qu'il faut bombarder le monde pour vaincre le terrorisme, étant donné qu'ils ne veulent surtout pas s'attaquer à l'impérialisme et au capitalisme qui enrichissent de manière démesurée leur classe sociale.

Pour lutter efficacement contre le terrorisme, nous ne devons pas bombarder Molenbeeck mais armer Molenbeek en y construisant une base militaire, c'est-à-dire construire une entreprise dans le secteur textile ou autre afin de bombarder le capitalisme en lui prenant des parts de marché, et ainsi bombarder pacifiquement le terrorisme islamiste, car c'est en créant une société solidaire, fraternelle, que nous parviendrons à empêcher nos jeunes de se transformer en bombes humaines.

Les habitants de Molenbeeck sont nos alliés, cette ville faisait partie de la GAULE auparavant, et aujourd'hui, que ce soit en France ou en Belgique, le Gaulois est black-blanc-beur, donc Dieu nous lance un APPEL pour nous unir avec nos frères et sœur de classe, afin de combattre César, dont notamment le RICHE comme Eric Zemmour, qui stigmatise les nôtres en crachant son venin pour nous diviser. Alors pour combattre les racistes et les impérialistes qui ont massacré 4 millions de musulmans depuis 1990 afin de piller leurs richesses, Dieu nous demande de lutter pacifiquement par la voie démocratique, car on ne peut combattre réellement l’impérialisme qu'en combattant la base sur laquelle il repose : la propriété capitaliste, et seules les élections nous permettront de la supprimer.

Nous devons ainsi multiplier la création d'entreprises révolutionnaires en France et en Belgique, pour faire comprendre aux citoyens qu'une alternative au capitalisme est possible : en mettant en place une économie dont 100 % des profits seront réinvestis pour créer un maximum d'emplois, à Molenbeek et ailleurs.

Donner du travail aux jeunes, en les faisant vivre dans un environnement fraternel, est la meilleure arme pour qu'ils ne deviennent pas des assassins.

 

Certains jeunes tombent dans l'Islam radical car aucun parti politique n'a les solutions pour répondre à leurs frustrations, canaliser leur rage, et donner un sens à leur vie. Dieu a ainsi multiplié les signes pour faire comprendre à ces jeunes qu'ils doivent rejoindre le mouvement humaniste, étant donné que le MEURTRE d'innocents ne leur donnera jamais des AILES pour s'envoler au paradis, donc nous devons combattre avec les MOTS ce qui nous opprime : le capitalisme et l'impérialisme. Nous allons ainsi rendre les coups en construisant une économie alternative pour prendre des parts de marché aux capitalistes, et plus nous serons nombreux derrière l'économie révolutionnaire, plus nous serons nombreux également à manifester dans la rue pour protester contre les guerres impérialistes.

Il faut absolument que les jeunes révoltés par les injustices puissent rejoindre un mouvement politique qui réponde à leurs attentes, un mouvement qui les comprend, qui les soutient et qui combat pacifiquement à leurs côtés ceux qui bombardent les musulmans au Moyen-Orient. En rejoignant notre mouvement, de nombreux jeunes ne seront plus tentés de tomber dans la folie meurtrière de l'Islam radical pour rendre leur propre justice.

« Il faut ainsi priver l’État Islamique de sa capacité à recruter. Sa principale ressource est une ressource humaine. Nous devons couper les pipelines humains qui alimentent l’organisation en combattants. »47

 

Par ailleurs, lorsque Dieu nous demande de combattre avec les MOTS, il nous demande, par exemple, de convaincre des internautes, des amis, des membres de notre famille, des collègues de travail, de rejoindre notre mouvement. Lorsque nous créerons une entreprise dans le textile à Moleenbeek, les jeunes en Belgique devrons lutter contre l'impérialisme et le capitalisme, avec les MOTS, en essayant de convaincre le maximum de personnes de consommer nos produits révolutionnaires, en leur expliquant la raison de la vente de ces produits, à savoir combattre le capitalisme et l'impérialisme en précisant notamment leur nature criminelle, donc nous devons politiser les jeunes en leur apportant les MOTS pour qu'ils aient un discours politique. Nous n'allons pas les endoctriner, simplement leur dire la vérité et ils choisiront librement leur camp.

Sur internet, lorsque j'écrivais ces lignes, j'ai visionné une vidéo du journaliste belge Michel Collon, qui mettait en lumière le combat avec les MOTS. Il déclarait lors d'une conférence : « Les guerres impérialistes qui sont menées contre les pays du Sud, c'est aussi une guerre menée contre nous les gens du Nord, et là c'est un point important car quand on parle de ces choses autour de nous, c'est pas toujours facile et on entend souvent les gens dire : ''oui mais enfin ça c'est quand même un peu lointain, c'est compliqué à comprendre et de toute façon on ne peut rien y changer. Nous avons suffisamment de problèmes ici avec la pauvreté et tout ça donc occupons nous d'abord de nous et puis voilà.'' Ces réactions sont un danger car ça signifie que nous avons des opinions publiques qui laissent faire les puissances de l'OTAN et laissent faire des guerres épouvantables, et je crois qu'on a un effort de réflexion à faire sur la manière dont on amène ces thèmes à monsieur et madame tout le monde, et je pense qu'il y a moyen de le faire et qu'il est indispensable de le faire. Je pense qu'il faut avoir absolument un axe de travail, chacun autour de soi, à l'école, dans les quartiers, les associations, etc. Il faut vraiment avoir un axe d'explication très simple en disant que quand les multinationales font une guerre pour contrôler les richesses en Afrique ou dans le monde arabe, qu'elles sont les conséquences ? Que les gens sont de plus en plus pauvres : on les empêche de se développer donc ils n'auront pas de travail pour eux et leurs enfants, alors que va-t-il se passer ? Et bien ils vont venir chez nous, et évidemment, on va traiter les immigrés de profiteurs et on va en chasser une partie, mais le patronat en fait venir une grande partie, car chez nous, en Belgique, dans la construction, dans les vergers, dans les vignobles, dans la confection, dans toute une série de secteurs, ce sont des gens immigrés dans des conditions de quasi-esclavage – parfois on confisque leurs passeports, ils n'ont aucun droit, ils n'ont évidemment aucun syndicat.(...) Ainsi, je pense que si on laisse les multinationales contrôler toutes les richesses des pays du Sud et plonger ces populations dans le désespoir, ces gens vont venir dans le Nord et le but des capitalistes est d'organiser la concurrence généralisée. Donc on doit pouvoir dire aux travailleurs d'ici que c'est une guerre contre eux, car on fait la guerre impérialiste avec leur argent, parce que les bombes c'est nous qui les payons, pour faire finalement une guerre contre eux qui les mettra en concurrence avec d'autres, donc je pense que c'est quand même un point fondamental qu'on doit pouvoir expliquer, et évidemment, toutes ces choses-là, on ne va pas les dire à la télévision, et on va même raconter le contraire. Ça veut dire que nous avons une mission très importante, il n'y a pas de guerre sans guerre de l'info, sans désinformation, c'est quelque chose que je n'ai pas cessé de répéter. Les guerres ne commencent pas par des bombes, elles commencent par des média-mensonges, et les guerres ne peuvent avoir lieu que par l'ignorance d'une population à laquelle on raconte des histoires. Donc le rôle fondamental dans la bataille de l'information c'est nous tous qui l'avons, parce qu'il n'y a que nous qui pouvons apporter la vérité aux non convaincus. Je pense que si on se rend compte que toutes les guerres sont précédées, accompagnées d'une guerre de média-mensonges, ça veut dire que si nous voulons mettre fin à cette avalanche de guerres, d'agressions, de misère, de souffrance que cela entraîne, si nous voulons que l'humanité puisse mettre fin à la pauvreté, à l'analphabétisme, au manque d'eau potable, au manque de soin, d'éducation, etc., il faut absolument qu'on arrête les guerres, qu'on arrête les agressions de toutes ces formes, et qu'on laisse le libre choix aux peuples de déterminer leur avenir comme ils l'entendent et de disposer de leurs richesses. Ça veut dire que pour mettre fin aux guerres, il faut absolument appliquer cette idée que je répéterais toujours : nous sommes tous des journalistes. »48

 

Voilà ce que signifie combattre avec les MOTS. Dieu nous demande de convaincre le maximum de personnes de rejoindre notre mouvement en leur expliquant les ravages de l'impérialisme et du capitalisme, c'est pour ça que nous devons avoir un discours politique. Il faut donc s'instruire et apprendre des arguments par cœur. C'est notre rôle avec le NPA, Lutte Ouvrière, ou des médias alternatifs de vous transmettre ces arguments. Car comprenez bien que ce n'est pas en partant faire le djihad au Moyen-Orient que vous empêcherez les puissances impérialistes de tuer des musulmans, mais en convainquant avec les MOTS les citoyens occidentaux de LIMOGER leurs dirigeants pour mettre fin aux guerres de pillages, au capitalisme, et ainsi sauver la vie de centaines de millions d'innocents dans les prochaines années.

 

Tuer lâchement des innocents dans une salle de concert à Paris, c'est facile, tout le monde peut le faire. Il n'y a qu'à tirer sur la gâchette, alors que lire, s'instruire, apprendre, tenir un discours, c'est plus compliqué, ça demande un effort intellectuel, et c'est se comporter dignement en homme, en s'exprimant en face de quelqu'un pour le convaincre. Alors que le tuer en lui tirant une balle dans le dos pour essayer d'imposer ses idées, c'est minable, c'est pathétique, c'est lâche, c'est être faible. Donc tu dois d'abord chercher à comprendre ce qui te rend fou car c'est complètement dingue de vouloir tuer des innocents et mourir en martyr. Et en y réfléchissant bien, tu comprendras que ce sont les injustices que tu subis ou que subissent les musulmans dans le monde, et l'absence de sens de la société capitaliste, qui te rendent malade. Alors comporte-toi en homme pour combattre dignement ce qui t'opprime, et Dieu te révèle que tu dois combattre avec les MOTS, puisque de toute façon, tu ne régleras jamais tes problèmes en tuant des innocents mais au contraire, tu renforceras le pouvoir de ceux que tu veux combattre. Et désormais, Dieu a multiplié les signes pour te faire comprendre que tu iras en ENFER si tu commets des MEURTRES alors tu n'as vraiment rien à gagner en tombant dans l'Islam radical. Sois digne, instruits-toi et rejoins notre mouvement politique, car en fuyant en Syrie ou ailleurs, tu cherches à fuir tes problèmes : tu fuis la précarité à vie du système capitaliste ; tu fuis les missions intérim merdiques ; tu fuis le travail à temps partiel ou les 35h à la chaîne dans l'agroalimentaire ; tu fuis la compétition permanente contre les autres citoyens ; mais tu dois accepter ces épreuves que Dieu t'envoie à l'image des juifs qui ont été les esclaves de Pharaon puis erré pendant 40 ans dans le désert avant d'atteindre la Terre promise. La société capitaliste est immorale, injuste, elle n'a aucun sens et elle t'exploite quotidiennement, mais tu dois l'accepter en prenant le peu de travail qu'elle a te proposer. Donc ne fuis pas, je sais que c'est dur d'être l'esclave du système capitaliste mais tu dois te battre pour briser tes chaînes, à travers l'économie révolutionnaire et ton bulletin de vote : c'est ça ton djihad, c'est le sens de ta vie sur Terre. Tu dois accepter de vivre dans cette société capitaliste tout en la combattant pacifiquement pour la renverser, et en France, nous ne mettrons pas 40 ans pour y parvenir, je pense que ce sera plutôt 15 ou 20 ans maximum. Alors tu dois accepter durant cette période, toutes les dures épreuves que le capitalisme t'enverra, dont notamment le chômage, les temps partiels, ou l'obligation de faire un travail que tu détestes pour pouvoir vivre. Mais nous allons fonder un vaste mouvement humaniste qui constituera progressivement un État dans l'État, donc nous serons là à tes côtés pour t'accompagner tout au long de ton combat contre cette société qui rend fou.

 

 

La Belgique faisant autrefois partie de la Gaule, je pense que nous allons avoir un lien particulier avec ce pays dans les prochaines années, car nous allons reconstituer la GAULE afin de renverser César. Les habitants de Molenbeek et d'ailleurs sont nos alliés, nous allons nous unir avec eux en exportant notre révolution à travers l'économie révolutionnaire, et en nous associant avec un parti politique en Belgique.

 

J'ai essayé de remplir ma mission en multipliant les signes pour déradicaliser les jeunes tombés dans l'Islam radical, et j'espère qu'ils rejoindront notre mouvement politique en combattant pacifiquement avec les MOTS.

 

Je vous ai ainsi transmis les TERMES de la nouvelle Alliance.

 

À Rome, dans l'Antiquité, les THERMES étaient des lieux d'EAUX.

 

Yves le TERME symbolise une époque où les Belges étaient particulièrement divisés, car le VIN divise les hommes étant donné qu'il donne le pouvoir politique entre les mains de César, donc Dieu change désormais le VIN en EAU en nous prouvant son existence pour nous unir contre le règne des ROIS qui ensanglantent le monde.

 

TERME = 20x5x18x13x5 = 210600

 

210600 = 2016 00

 

En 2016, j'ai mis en ligne ce site internet, donc depuis 2016, Dieu nous demande de nous unir pour mettre un TERME à la barbarie capitaliste.

 

00 = ce sont des yeux.

 

Dieu nous redonne la vue afin de nous montrer qu'un génocide ignoble se déroule sous nos yeux et seule notre UNITÉ pourra éradiquer définitivement le règne du RICHE.

 

 

Ernest Solvay (1836-1922)

Ernest Solvay est un chimiste et un industriel belge, fondateur de Société Solvay & Cie et grand mécène de la recherche scientifique de son époque.

Passionné très tôt par la physique, la chimie et l'histoire naturelle, Ernest sera pourtant entravé dans sa quête de connaissance lorsqu'une grave maladie l'empêche d'entrer à l'Université. Autodidacte, il commence à travailler à 21 ans dans l'usine à gaz de son oncle en y apportant maints perfectionnements, notamment la récupération de l'ammoniaque. Au cours d'une expérience, il découvre un procédé révolutionnaire de fabrication de la soude. Conscient du parti qu'il peut tirer de cette découverte, le jeune homme fait breveter une première fois en 1861 une méthode économique de son invention pour fabriquer du carbonate de soude trop rare à l'état naturel, un procédé à l'ammoniac qui permet la fabrication industrielle du carbonate de sodium (Na2 CO3) à partir de chlorure de sodium et de calcaire, connu depuis lors sous le nom de procédé Solvay. Le carbonate de sodium est un composé essentiel dans de nombreuses applications industrielles, notamment la fabrication du verre, la métallurgie et la détergence.

En 1900, 95 % de la production mondiale de soude provient du « procédé Solvay ». Son entreprise Solvay & Cie devient, à la fin du XIXe siècle, une référence mondiale de l'industrie chimique. Parce que dans la conjoncture favorable, il entrevu les intérêts d'une union avec les Sciences, il cofonda avec Ernest Bichat l'Institut électrotechnique de Nancy, aujourd'hui École nationale supérieure d'électricité et de mécanique de Nancy (ENSEM).

 

Grand capitaine d'industrie, il prend également des initiatives sociales peu communes pour l'époque en étant le précurseur de la législation sociale dans ses usines, où il a intégré un système de sécurité sociale : une pension pour les travailleurs dès 1899, la limitation du temps de travail avec la journée de 8 heures en 1908, l'instauration des congés payés en 1913, le recyclage professionnel…

Il dessine ainsi les contours d'une structure sociale fondée sur l'organisation du marché du travail, sur l'égalité des chances et sur l'implication de l'État. Politiquement engagé, Ernest Solvay continue son combat pour les droits des travailleurs au Sénat (de 1892 à 1894 et de 1897 à 1900) avant d'être nommé ministre d'État en 1918. Il crée également de nombreuses œuvres sociales comme, en 1914, le Comité national de Secours et d'Alimentation qui joue un rôle considérable dans le ravitaillement de la Belgique pendant la Grande Guerre.49

 

 

Ernest Solvay a découvert un procédé révolutionnaire de fabrication de la SOUDE.

 

Le Pape François a effectué dans sa jeunesse des études de CHIMIE.

 

La SOUDE est le fruit d'un procédé chimique.

 

Dieu fait comprendre au Pape François que sa mission est de SOUDER les hommes dans le combat humaniste.

 

Le XVIe siècle a été marqué par la rivalité entre FRANÇOIS 1er, Charles QUINT et Henry VIII.

 

Le Pape Clément VII était l'arbitre de leurs confrontations.

 

Clément VII est né le 26 mai 1478 (26 5 1478).

 

26x5x1478 = 192140

 

192140 = SOU D

 

À travers cette période de l'histoire, Dieu montre au Pape FRANÇOIS 1er qu'il doit SOUDER les hommes du monde entier afin qu'ils ne fassent QUINT pour renverser la dictature du capitalisme.

 

Quand le chimiste manipule la SOUDE, il doit mettre des GANTS, et Charles QUINT est né à GAND, donc Dieu demande au Pape François, qui a fait des études de chimie, de mettre des GANTS pour SOUDER les hommes afin qu'ils ne fassent QU'UN.

 

Le sigle d'Henry VIII est H.VIII (H8).

 

H8 = HH

 

HH = Heil Hitler = le salut nazi = signe d'allégeance au IIIe REICH

 

Dieu multiplie les signes pour nous SOUDER afin de mettre un TERME au règne du RICHE.

 

Ernest Solvay est mort le 26 mai 1922 (26 5 1922).

 

26x5x1922 = 249 860

 

Le 17 février 2011, la Belgique a égalé le record du monde irakien avec 249 jours sans gouvernement de plein exercice.

 

Dieu nous fait ainsi comprendre que la Belgique a établi ce record car les Belges n'étaient pas SOUDÉS.

 

Le département 86 est celui de la VIENNE.

 

VIENNE = VIE HAINE

 

La HAINE divise les hommes.

 

Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, est né en Autriche dont la capitale est VIENNE, donc Dieu nous demande de mettre nos divisions de côté et de nous SOUDER pour combattre le NAZI-capitalisme – car le RICHE est le plus grand criminel de l'histoire de l'humanité.

 

860 = 8 06 = 8 juin

 

Le prophète Mahomet est mort un 8 juin.

 

À l'instar de Mahomet, je suis un messager et ma mission est d'unir les hommes pour créer le Ciel sur Terre.

 

Ernest Solvay est né le 16 avril 1838.

 

16 avril = 16 4

 

16x4 = 64

 

Le chef-lieu du département 64 est la ville de PAU.

 

1838 = 18 38

 

18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.

 

38 = le département 38 est celui de l'ISÈRE.

 

À travers Ernest Solvay qui a découvert un procédé révolutionnaire de fabrication de la SOUDE – Dieu nous demande d'êtres SOUDÉS politiquement – afin d'éliminer le RICHE pour mettre un terme à la MISÈRE : la PAU-VRETÉ.

 

Ernest Solvay est mort à IXELLES.

 

IXELLES se prononce X L.

 

X = 24   L = 12

 

24 12 = 24 décembre

 

Le 24 décembre est le jour du RÉVEILLON de Noël.

 

Alors RÉVEILLONS-nous et unissons les peuples contre le règne du RICHE car la survie de centaines de millions d'être humains, ces prochaines années, dépend de notre unité.

 

En Belgique, les WALLONS et les Flamands sont divisés, et dans WALLON, il y a « WALL », qui signifie « le MUR » en anglais, donc Dieu demande aux Belges de dépasser le MUR linguistique et de s'unir contre le règne du RICHE.

 

NAMUR est une ville francophone de Belgique.

 

NAMUR = AM UR N

 

Pour obtenir le mot AMOUR, il faut remplacer le N de NAMUR par un O.

 

Dieu nous apporte désormais l'O de la nouvelle Alliance pour abattre le mur de la N afin que l'AMOUR règne sur la Terre.

 

 

La fin du capitalisme belge

Le capitalisme belge a disparu, pris en tenaille par la question nationale et la mondialisation. D’une part, sous l’effet de l’internationalisation le démembrement et le passage sous contrôle étranger des sociétés holdings, en particulier de la principale d’entre elles, la Société Générale qui dominait l’économie, et d’autre part, dans la logique induite par l’inégal développement entre le Nord et le Sud, nous avons assisté à la réactivation du nationalisme flamand et de la revendication régionaliste wallonne. Alors que la Wallonie se débattait dans la reconversion d’une vielle industrie, en Flandre apparaissait un nouveau patronat et se développait un capitalisme basé sur des PME dynamiques et des transnationales.

La fédéralisation des structures de l’État s’inscrit dans cette évolution. Si bien que l’affrontement gauche-droite par rapport aux politiques d’austérité, promues à partir des années 1980, sera tributaire à la fois de l’inégal développement des régions, d’un chômage important et durable dans le Sud du pays et de la question flamande.

Le projet du patronat flamand, de renouer avec le « paradis du capitalisme » que fut la Belgique, en faisant de la Flandre la région la plus compétitive d’Europe, une sorte de « dragon du Nord », s’imposa ainsi en Flandre. Après avoir emprunté des voies diverses sur le champ politique, ce projet prit corps par la montée en force d’un nouveau parti nationaliste la NVA (Nouvelle alliance flamande) qui deviendra le premier parti en Belgique et le déclin du CD&V, les démocrates chrétiens flamands, naguère parti dominant, garant des intérêts de la Flandre. Selon la NVA, deux obstacles empêchent la Flandre de déployer pleinement une politique néolibérale prônée par le patronat. D’une part, la prédominance socialiste (PS) dans le Sud du pays et, d’autre part, sous couvert de dénoncer des transferts financiers vers le sud, la « régionalisation » du système de sécurité sociale qui demeure fédéral. La réforme de la protection sociale devrait assurer la flexibilité accrue du marché de l’emploi, la compression des salaires et l’accélération des processus de privatisation des retraites et des soins de santé. À défaut de réaliser ce programme, la NVA prône l’indépendance de la Flandre.

La NVA a renouvelé l’expression du nationalisme flamand. Précédemment celui-ci se manifestait, d’une part, à travers un parti d’extrême droite xénophobe et raciste, le Vlaams Blok, devenu après avoir été condamné en justice pour racisme, Vlaams Belang, et, d’autre part, à travers les autres partis flamands, en particulier le CD&V (démocrates chrétiens), l’Open VLD (libéraux) et le SPa (socialistes). A présent la NVA est parvenue à capter l’électorat du Vlaams Belang, réduit à sa plus simple expression et une partie de l’électorat des trois partis traditionnels. Seuls, Groen (verts), qui constitue un groupe parlementaire commun avec le parti Ecolo du Sud et le Parti du travail de Belgique PTB, (anciens maoïstes, gauche radicale), organisé au niveau national, peuvent être situés en dehors du clivage nationaliste flamand.

La NVA, issue de l’implosion de la Volksunie en 2001, connaîtra une ascension aussi rapide qu’impressionnante. Elle se présente d’emblée comme un parti nationaliste prônant l’indépendance de la Flandre. À la différence cependant du Vlaams Belang (VB), formation d’extrême droite séparatiste, la NVA se présente comme un parti démocratique, n’épousant pas les thèses racistes du VB. Son programme économique sera un décalque de celui de l’association patronale flamande (VOKA). La NVA recycle en quelque sorte le nationalisme flamand historique en prenant ses distances vis-à-vis de la période de collaboration pendant l’occupation allemande, en atténuant fortement sa composante romantique et en lui adjoignant un programme socio-économique néolibéral. Sa propagande sera axée sur les transferts financiers indus du Nord vers le Sud et contre le joug imposé par « l’état PS » à la Flandre.

Comme variante du national populisme, la NVA est parvenue à mobiliser, en dépit de sa politique néo-libérale, une Flandre électoralement de droite en l’opposant aux Wallons de gauche embrigadés par « le modèle PS », vivant sous perfusion grâce aux transferts financiers en provenance de Flandre et contre l’arrogance des élites francophones. La NVA se présente comme l’incarnation du peuple flamand, peuple qui ne comprend cependant pas les « assistés » profiteurs d’un système exagérément protecteur, ni des groupes « d’allochtones » non intégrés et contre les élites culturelles et artistiques flamandes supposées cosmopolites et détachées du peuple. Sa dénonciation des élites ne comprend pas non plus les « capitaines d’industrie » constamment valorisés.

 

Le mouvement social face aux mesures d’austérité

Les élections de 2014 ont permis la constitution d’une coalition gouvernementale nettement marquée à droite, présidée par Charles Michel, libéral, seul parti francophone du gouvernement, qui compte outre la NVA principal parti de la coalition, deux autres formations néerlandophones, les démocrates chrétiens du CD&V et les libéraux de l’Open VLD. Outre le fait que les francophones sont sous-représentés dans la coalition, le programme du gouvernement se présente en rupture par rapport aux politiques menées précédemment. Il comporte notamment l’allongement de l’âge de la retraite de 65 à 67 ans, un saut dans l’indexation des salaires, ce qui revient à une diminution des salaires de 2%, la réduction de la part patronale des cotisations sociales sans aucune contrepartie, des économies drastiques dans les services publics et le durcissement des conditions d’accès et de contrôle des chômeurs. Sous couvert d’équilibre budgétaire et de résorption de la dette publique, ce programme signe une rupture de la concertation en usage dans la société belge et se présente comme une déclaration de guerre à l’égard de la gauche et particulièrement des organisations syndicales.

Les politiques d’austérité ne datent cependant pas de la constitution de ce gouvernement. Elles avaient été engagées dès 1980 par une coalition libérale sociale-chrétienne (gouvernement Martens-Gol) qui avait notamment déjà mis à mal dans ses fondements l’assurance chômage en introduisant une modulation du droit au chômage suivant la situation familiale. Par la suite, les mesures néolibérales de dérégulation économique, privatisation d’entreprises publiques, flexibilisation de l’emploi seront poursuivies avec des accents et des rythmes différents suivant la composition des différentes coalitions gouvernementales. En conséquence, les partis d’opposition au gouvernement actuel, les socialistes principalement, mais également les écologistes, n’ont guère paru crédibles dans leur refus des mesures gouvernementales. Le PTB, parti à la gauche du PS, qui a fait aux dernières élections son entrée aux parlements fédéral (deux élus) et régionaux, demeure de taille encore trop modeste pour constituer une alternative. Dès lors toute l’opposition reposait sur les organisations syndicales.

La Belgique connaît certes un taux de syndicalisation très élevé que l’on peut estimer à 60 %. Les deux plus grandes organisations syndicales, la Confédération des Syndicats Chrétiens CSC et la Fédération Générale du Travail de Belgique FGTB comptent chacune plus d’un million et demi d’affilié·e·s et le syndicat libéral CGSLB en compte quelque trois cent mille. La présence syndicale est grande dans les entreprises et la capacité de mobilisation syndicale demeure considérable. De plus, les syndicats belges, contrairement à ceux de la grande majorité des pays industrialisés, n’ont pas connu une diminution de leur nombre d’affiliés ni subi des défaites comme en Angleterre sous le gouvernement Thatcher ou aux États-Unis sous Reagan.

Les syndicats belges ne sont néanmoins pas ce qu’ils étaient. En 1964, Ernest Mandel soutenait, en faisant référence aux grèves générales de 1950 et de 1960-1961, qu’en Belgique « le mouvement syndical peut amener par la grève générale à la capitulation de la bourgeoisie », qu’il peut aussi « obliger le patronat à reculer et à lui infliger une défaite décisive ». Or, même si le mouvement syndical a continué à s’opposer à la régression sociale organisée par les politiques néolibérales, les résultats obtenus avaient été jusqu’ici maigres. Malgré un taux de syndicalisation élevé, le mouvement syndical n’a pas pu préserver, dans des rapports de force dégradés, sa capacité de négociation ni son influence politique.

Les syndicats, pour endiguer la menace d’isolement résultant de leur perte d’audience dans le public, ont impulsé depuis trois ans des plates-formes destinées à coaliser d’autres groupes sociaux, et en particulier des associations paysannes, des milieux associatifs et culturels. Ainsi, l’Alliance D-19-20 s’est profilée contre les traités de libre-échange et pour la souveraineté alimentaire et Acteurs des Temps présents à construire contre les politiques d’austérité « des alternatives concrètes et solidaires ». Ces plates-formes bien qu’ouvertes n’échappent pas entièrement aux divisions syndicales dans la mesure où « l’Alliance D 19-2 » est au départ une initiative de la CNE (centrale des employés de la CSC) et « Les acteurs des temps présents » de la FGTB, et plus précisément des Métallos de Wallonie-Bruxelles.

L’électrochoc produit par la formation des gouvernements (fédéral et régionaux) au lendemain des élections a conduit à la création de deux nouvelles plateformes citoyennes contre les politiques d’austérité, sans qu’il y ait eu au départ d’impulsion provenant d’un groupe institué. Ce fut en Flandre « Hart boven Hard » (Le cœur pas la rigueur) et en Wallonie et à Bruxelles « Tout Autre Chose », qui se sont constituées conjointement et dont « la locale » bruxelloise leur est commune. Mettant la priorité sur des actions contre les mesures d’austérité, elles ont rencontré un véritable engouement. Leurs plateformes contre l’austérité ont été signées par environ 30’000 personnes et 1500 associations, elles ont été rejointes par les organisations syndicales. Ainsi s’est mis en place un modèle de fonctionnement horizontal, regroupant citoyens, associations et syndicats sans qu’aucune des composantes n’ait la primauté et organisé autour de « locales » qui se sont développées dans tout le pays et de groupes thématiques, coordonnés par un groupe de pilotage.

Dès leur constitution Hart boven Hard et Tout Autre Chose se sont inscrites dans le plan d’action syndical avec des pratiques originales et leur propre agenda. Les deux plates-formes ont rallié une fraction significative du monde culturel et artistique et par la présence d’artistes connus dans les piquets de grève, la participation de géants, d’orchestres, de circuits de vélos reliant les piquets de grève et des parades, ont apporté un aspect festif qui a empêché le dispositif de stigmatisation et de criminalisation d’agir à l’encontre des grévistes et de les isoler. Cet impact fut encore plus important en Flandre où Hart boven Hard est devenu, compte tenu de la représentation politique droitière et de la plus faible réponse syndicale dans le Nord du pays en raison de la timidité de la CSC, le moyen d’opposition par excellence aux politiques d’austérité. Hart boven Hard a donné ainsi une image toute différente de la société flamande qui avait voté massivement nationaliste et à droite.

Ce n’était pas seulement les mesures prônées par le gouvernement qui paraissaient agressives aux syndicats, c’était surtout le sentiment que ce gouvernement, contrairement aux précédents, refusait toute négociation et compromis. La réaction syndicale dans un premier temps fut massive et unanime. Le front commun syndical (CSC, FGTB, CGSLB) conçut un plan d’action qui comportait en décembre 2014 d’abord des grèves générales tournantes dans les différentes provinces, ensuite une grande manifestation nationale à Bruxelles qui réunit 120’000 personnes et enfin une grève générale qui paralysa tout le pays. L’ampleur du mouvement força le gouvernement à engager une négociation et amena de ce fait une pause dans la mobilisation syndicale.

La division du mouvement syndical et l’inégal développement des régions ont pesé ainsi une nouvelle fois sur ce mouvement social d’envergure contre les politiques d’austérité. D’une part, la CSC se contentant d’une amorce de la concertation et, d’autre part, la crainte de l’aile flamande de la FGTB, minoritaire en Flandre, de ne pouvoir mener seule une action d’envergure ont neutralisé la volonté de la FGTB Wallonne d’engager une épreuve de force avec le gouvernement.

Encore s’agit-il de tenir la distance. L’État social avait mieux résisté en Belgique par rapport aux autres pays de l’UE aux politiques d’austérité. À présent, la droite dispose avec le gouvernement actuel « d’une fenêtre d’opportunité » pour rattraper le retard perdu. Qu’en sera-t-il en fin de compte ?

En tout cas la société belge a révélé dans la crise que le mouvement syndical, malgré ses divisions, avait conservé des grandes capacités de mobilisation mais aussi qu’elle était encore capable de produire des modes de résistance originales et créatives à même de nouer de nouvelles alliances.50

 

 

Bruxelles sous occupation militaire après les attentats de Paris

À partir du 21 novembre 2015, Bruxelles est devenue une ville morte, occupée par les forces armées. Le gouvernement fédéral a relevé le niveau d’alerte terroriste au maximum. Le métro, les écoles, les cinémas, les théâtres, les musées ont été fermés, les marchés dominicaux et les matchs de football annulés. Dans les principales rues commerçantes, les magasins ont reçu des conseils de fermeture. Les seuls rassemblements non interdits ont été les messes du dimanche matin.

L’armée patrouillait partout, Grand-Place, dans les rues, dans des trains. Les véhicules blindés étaient bien en vue : pour tirer au canon sur les terroristes ? Des interventions policières et perquisitions massives ont arrêté une vingtaine de suspects, qui ont quasiment tous été relâchés, pendant que l’homme recherché, Salah Abdeslam, restait introuvable.

Les entreprises et administrations ont fonctionné au ralenti et lundi 23 novembre la grève maintenue dans le Hainaut, qui a aussi touché les trains, est passée quasiment inaperçue. Certains se demandaient, à juste titre, si vivre dans une ville sans écoles, sans culture, ne ressemble pas à la vie que Daech impose là où il a le pouvoir. De leur côté, les patrons des grandes surfaces et les commerçants ont commencé à exprimer leur mécontentement, à quatre semaines des fêtes de fin d’année. Mais ce n’est que mercredi 25, malgré le niveau maximum maintenu, que les écoles et le métro ont rouvert preuve que cette échelle du risque n’avait pas grand sens.

Les attentats sont certainement une menace, mais on peut douter que ces mesures militaires les feront diminuer. Et ce quasi-couvre-feu s’apparentait plus à la volonté de créer un climat d’inquiétude et de peur, pour tenter d’augmenter le crédit d’un gouvernement qui en avait peu dans la population bruxelloise.51

 

 

Attentats du 22 mars 2016 à Bruxelles

Il y a eu une série de trois attentats-suicide à la bombe : deux à l'aéroport de Bruxelles à Zaventem et le troisième à Bruxelles, dans une rame du métro roulant dans un tunnel proche de la station Maelbeek, dans le quartier européen. Le bilan définitif fait état de 32 morts (hors kamikazes) et 340 blessés.

Ces attentats, revendiqués par l'organisation terroriste État islamique, sont les plus meurtriers commis jusqu'alors en Belgique. Les frères Ibrahim et Khalid El Bakraoui, proches de Salah Abdeslam, sont deux des auteurs de ces attentats, le premier s'étant fait exploser à l'aéroport de Bruxelles et le second dans la station de métro de Maelbeek. Najim Laachraoui, qui apparaît avoir tenu un rôle notable dans l'organisation des attentats de Paris le 13 novembre 2015, sous le faux nom de Soufiane Kayal, est identifié comme l'autre terroriste kamikaze qui s'est fait exploser dans le hall d'enregistrement de l'aéroport bruxellois.

L'enquête démontre que la même cellule terroriste islamiste franco-belge, constituée au départ autour d'Abdelhamid Abaaoud, a préparé, coordonné et commis les attentats de Paris le 13 novembre 2015 et ceux de Bruxelles le 22 mars 2016.52

 

 

Attentats de Bruxelles : non, monsieur le premier ministre !

Article écrit par le journaliste belge Michel Collon, le lendemain des attentats.

Hier, comme tant de Bruxellois, j’ai passé des heures à vérifier où se trouvaient mes proches. Qui, par malchance, aurait pu se trouver dans ce métro maudit, que j’emprunte moi aussi chaque fois que je me rends au bureau d’Investig’Action ? Qui, par malchance, aurait pu se trouver près du Starbucks de l’aéroport, où j’ai l’habitude de prendre un thé en attendant le vol ? Recherches d’autant plus angoissantes que le réseau était évidemment saturé.

Bref, comme tant de Bruxellois, j’ai vécu, un jour, ce que vivent depuis des années les Irakiens, les Libyens, les Syriens, et avant eux les Algériens. Pour être allé plusieurs fois sur des sites bombardés par les Occidentaux, je sais à quoi ressemblent ces morceaux de corps disloqués que plus jamais personne ne pourra embrasser. J’ai vu là-bas la douleur de ceux qu’on prive à tout jamais de leur mari, de leur femme, de leur enfant.

Comme tant de Bruxellois, j’ai pleuré et j’avais envie de frapper les criminels qui s’en sont ainsi pris à tant d’innocents. Mais on ne naît pas criminel, on le devient. Et la question la plus importante est : comment en sont-ils arrivés là ? Nier à ce point la valeur de la vie de tant d’innocents ! Les faire souffrir et terroriser au lieu de se battre - avec ces innocents - contre l’injustice qui nous frappe tous ? Qui a intoxiqués ces jeunes, qui leur a montré l’exemple de la violence, qui les a plongés dans le désespoir et surtout qui les a armés ? Criminels, oui, mais ne sont-ils pas aussi victimes quelque part, même si ce terme peut choquer.

Alors, quand j’ai entendu notre premier ministre Charles Michel déclarer en conférence de presse que les Belges avaient besoin de s’unir, et qu’il évitait soigneusement la question centrale « Comment en est-on arrivé là, qui sont les responsables ? », alors je me suis mis en colère contre cet homme hypocrite qui nous propose simplement de continuer comme avant. Alors que la question des gens, c’est justement : « Comment éviter que ça recommence bientôt ? Quelle politique appliquer pour mettre fin à cet engrenage infernal ? »

Vous croyez vraiment que la surveillance et la répression empêcheront de nouveaux attentats ? Certains, oui, mais pas tous, c’est impossible. Pour cela il faut changer de politique. Votre politique.

Einstein disait « On ne résout pas un problème avec les modes de pensée qui l’ont engendré ». En effet, on n’empêchera pas le terrorisme tant qu’on n’aura pas débattu sur ses causes profondes. Afin de mettre en place une vraie prévention.

Monsieur le premier ministre Charles Michel, je ne vous remercie pas. Car vous avez refusé de poser les questions importantes : Les Saoud et le Qatar ont-ils financé les terroristes ? Oui, les rapports des services US le disent. Les États-Unis ont-ils créé Al-Qaïda ? Oui, Hillary Clinton l’a reconnu. La CIA a-t-elle organisé un camp d’entraînement en Jordanie ? Oui, le célèbre journaliste US Hersh l’a prouvé. Fabius a-t-il encouragé le terrorisme en déclarant « Al-Qaïda fait du bon boulot » ? Oui, regardez sa vidéo de Marrakech, décembre 2012.

Et d’une façon générale, les États-Unis ont-ils utilisé le terrorisme dit islamiste depuis Ben Laden en Afghanistan en 79 jusqu’à la Syrie aujourd’hui, en passant par la Bosnie, le Kosovo, le Caucase, l’Algérie, l’Irak, la Libye et d’autres pays encore ? Ne faut-il pas créer d’urgence une commission d’enquête sur les liens USA – terrorisme et sur les dessous stratégiques de tous ces drames ? Vous et l’Europe, allez-vous continuer de suivre Washington comme un petit chien ? Vous vous félicitez comme un petit garçon quand Obama vous téléphone. Mais pourquoi ne dénoncez-vous pas son hypocrisie derrière ces guerres ? Monsieur Michel, quand je pense à toutes ces souffrances qui auraient pu être évitées, je ne vous remercie pas.

Il est vrai que vous n’êtes pas le seul à pratiquer la langue de bois.

Monsieur le ministre des Affaires étrangères Didier Reynders, je ne vous remercie pas non plus. Vous avez déclaré hier que les terroristes s’en prennent à « notre mode de vie ». Exactement les paroles de George W. Bush le 11 septembre avant d’attaquer l’Irak et l’Afghanistan sous des prétextes mensongers. Monsieur Reynders, pourquoi n’avez-vous pas rappelé votre déclaration d’avril 2013 vantant « ces jeunes (à qui) on construira peut-être un monument comme héros d’une révolution ».

Pourquoi quand je vous ai invité, en juin 2013, à participer à un débat « Jeunes en Syrie, comment les empêcher de partir ? », avez-vous refusé ? Cela ne vous préoccupait pas ? Vous trouviez que pour « changer le régime » comme vous dites, tous les moyens étaient bons, même le terrorisme ? Vous n’avez pas pensé qu’encouragés à commettre ces actes là-bas, certains reviendraient faire pareil ici ? Monsieur Reynders, je ne vous remercie pas.

Madame Milquet, je ne vous remercie pas non plus. Vous étiez ministre de l’Intérieur à cette époque. Vous avez aussi refusé de participer à ce débat, malgré notre insistance, et en changeant sans cesse de prétexte ! Depuis, vous vous taisez. Gênée d’avoir fait la sourde oreille face aux cris de détresse des mamans angoissées de voir que leurs gosses – c’étaient vraiment des gosses de 16, 17, 18 ans – partaient là-bas vers l’enfer sans que la Belgique fasse rien pour les retenir ? Vous n’avez pas de remords en voyant la suite ? Madame Milquet, je ne vous remercie pas.

N’est-il pas temps d’ouvrir un grand débat sur les conséquences de la politique internationale menée par la Belgique depuis des années ?

1. L’Europe doit-elle continuer à suivre les États-Unis et leur politique qui met le Moyen-Orient à feu et à sang ?

2. La Belgique doit-elle continuer à soutenir la violence d’Israël, en refusant de faire respecter le droit international et en traitant d’ « antisémites » les jeunes qui veulent soutenir les droits des Palestiniens ?

3. La Belgique doit-elle continuer à se prosterner devant les pétro-dollars des Saoud (volés aux peuples arabes au lieu d’utiliser l’argent du pétrole et du gaz pour combattre la pauvreté comme en Amérique latine) alors que tout le monde sait que ces mêmes Saoud financent l’intoxication des jeunes esprits par une version empoisonnée et falsifiée de l’islam ?

4. Comment justifier le refus du droit d’asile aux victimes de « nos » guerres en Irak, Syrie, Afghanistan ?

5. Quand ouvrira-t-on enfin le dossier de l’intervention « humanitaire » en Libye, où l’Otan s’est allié à Al-Qaida pour renverser Kadhafi, en violant la Charte de l’ONU qui interdit ce genre de pratiques ? Avec la conséquence qu’on voit aujourd’hui : la Libye transformée en foyer du terrorisme international.

N’est-il pas temps d’ouvrir en même temps un grand débat sur les conséquences de la politique sociale, ou plutôt antisociale, menée par les gouvernements belges depuis des années ?

1. Pouvez-vous rogner sans cesse les budgets scolaires ? Fabriquant des écoles-parkings où les profs manquent de formation adéquate et de moyens pour faire face à tant de questions complexes sur le monde d’aujourd’hui ?

2. Pouvez-vous rogner sans cesse les budgets des prisons et de la réinsertion ? Avec pour conséquence que de petits délinquants deviennent de grands délinquants irrécupérables ?

3. Pouvez-vous rogner sans cesse les budgets des médias audiovisuels de service public ? Avec pour conséquence que les journalistes n’ont plus le temps d’approfondir les sujets (confidences reçues de l’intérieur de la RTBF) et sont condamnés au règne du copié-collé et du fast info ? Poussant ainsi les jeunes rendus méfiants vers les théories du complot, ou pire encore vers les prêcheurs fanatiques et les recruteurs sans scrupules ?

4. Pouvez-vous continuer à faire des cadeaux aux banques et aux multinationales qui ne paient quasi plus d’impôts et reporter votre déficit notamment vers les communes, dont les responsables sont privés des moyens nécessaires pour aider les jeunes ? N’est-ce pas ainsi que vous produisez des communes du désespoir comme Molenbeek ? (Mais pas seulement, il y a aussi Vilvorde, Verviers, Anvers et n’oublions quand même pas que les « eurojihadistes » proviennent de nombreux pays européens).

5. Faut-il alors être surpris que tant de jeunes soient tombés entre les griffes de recruteurs professionnels ? D’autant plus que lorsqu’on les signalait à la police, pas toujours, mais bien souvent parents et éducateurs s’entendaient répondre : « Mais qu’ils partent seulement en Syrie, ce qu’on ne veut pas, c’est qu’ils reviennent ici ! »

6. Avez-vous vraiment le droit de vous dire surpris par les attentats de Paris et de Bruxelles alors que la sonnette d’alarme est tirée depuis des années et que vous tous avez refusé d’écouter les donneurs d’alerte ?

Hier, chaque parent a tremblé pour ses enfants. Aujourd’hui, chacun s’interroge sur l’éducation qu’il faut leur donner face à ce monde de plus en plus violent. Allons-nous pouvoir leur offrir une vraie éducation et un avenir ? Demain, quelle ville sera frappée ? La montée de la haine et de la peur, ciblant les musulmans, fait le jeu de l’extrême droite. C’est ça que vous voulez ?

Concluons. Les attentats, ce n’est pas une fatalité, c’est le résultat d’une politique. Menée à Washington. Puis à Londres et Paris. Bruxelles suivant servilement. Messieurs les dirigeants, vous êtes donc co-responsables. Avons-nous le droit d’en débattre – en « démocratie » - ou bien allez-vous encore user de pressions pour que les médias se taisent ?

Bruxelles, 23 mars

POUR SUIVRE : Combien de morts faudra-t-il encore avant que les médias ouvrent enfin le vrai débat ? 53

 

 

 

Retour sur la responsabilité belge dans le génocide au Rwanda

 

La méthode administrative belge

Après avoir envahi le Rwanda en 1916, prolongeant sur le territoire africain les luttes européennes, cette colonie allemande fut confiée par la SDN à la Belgique, après la première guerre mondiale. La Belgique a d'immenses responsabilités dans la genèse du génocide de 1994. Elle partage ces responsabilités avec les européens, notamment les premiers colons allemands, les Pères blancs et les premiers explorateurs, qui ont essayé de comprendre ce pays. Pour des raisons qui tiennent à l'état des théories anthropologiques du monde occidental contemporain des années 20-30, la Belgique institua au Rwanda, comme au Burundi, un régime colonial générant un racisme autochtone qui divisa la population du pays. Systématiquement elle imposa la domination administrative des Tutsi sur les Hutu et sur les Twa. Le mépris organisé des Hutu est donc issu du même mouvement philosophique européen que le nazisme. Les Tutsi ont dans leur grande majorité accepté cette dérive, et ont introjeté sans obstacles cette idéologie qui les favorisait.

 

Les résistances belges à la décolonisation

La Belgique a donc contribué à la fabrication d'un ressort social qu'elle a ensuite déclenché par opportunité politique en renversant son alliance « racialisée » dans ce piège qu'elle avait imposé. Au moment des indépendances, à la suite d'évolutions intellectuelles, dont une forme de théologie de la libération au sein de l'Église catholique coloniale au Rwanda, lorsque les Tutsi ont revendiqué l'indépendance, elle détourna les frustrations Hutu contre les privilèges qu'elle avait accordés à ses relais coloniaux. Elle se servi des Tutsi comme otage cible de la colère anticoloniale. La Belgique fut contrainte par les institutions internationales et la pression montante dans le pays d'accorder l'indépendance au Rwanda en 1962. À partir des années soixante, les Tutsi devinrent l'objet d'une persécution systématique, perçue en Europe, puisque le journal Le Monde du 4 février 1964 titrait sur trois colonnes en dernière page : « L'extermination des Tutsi, les massacres du Ruanda sont la manifestation d'une haine raciale soigneusement entretenue ». Le colonialisme belge est donc la matrice d'une république raciale Hutu, dont son protégé Grégoire Kayibanda fut le premier président.

 

Le retour belge à travers une mission de l'ONU

Lorsque l'ONU décide de constituer en 1993 une mission pour soutenir les efforts de paix au Rwanda, la Minuar la Belgique fournit la moitié du contingent de casques bleus.

Après l'attentat du 6 avril 1994, la radio des mille collines diffusa la rumeur que les soldats belges de la Minuar en étaient l'auteur. Dix soldat belges furent capturés et assassinés par la Garde présidentielle rwandaise. Cet épisode dramatique plongea la Belgique dans une consternation dépressive qui entraîna son désengagement de la Minuar. Dans la foulée, comme pour justifier sa décision, la Belgique entraîna l'ONU dans une spirale de désengagement. Un informateur, appelé « Jean-Pierre » par le général Dallaire, avait annoncé début 1994 à la Minuar ce projet de s'en prendre à des soldats belges pour les faire partir. Ceux qui ont assassiné les soldats belges ont atteint leur objectif. D'une certaine manière ce massacre des soldats belges représente l'épilogue « habituel » d'une décolonisation, mais différé, les derniers protégés des Belges chassant définitivement leurs anciens colons.

 

L'échec de l'engagement belge

Dès le 7 avril, la Belgique demande à l'ONU une extension du mandat de la Minuar pour évacuer ses 1520 ressortissants, mais pas pour protéger les Rwandais menacés. Les autorités rwandaises refusent une intervention de la Belgique, soupçonnés d'être les auteurs de l'attentat, et préfèrent une intervention française. On peut lire dans le rapport du sénat belge ces propos de l'ambassadeur belge le 12 avril 1994 : « Nous nous préoccupons surtout : -du personnel qui a travaillé pour nous ; -de certaines personnalités associées au processus de démocratisation ; -des ecclésiastiques. » Le rapport poursuit : « Finalement, l'opération « Silver Back » débutera le 10 avril et se terminera le 15 avril, lorsque les derniers civils belges auront quitté le Rwanda. »

 

Le temps de la réflexion politique

Après le génocide qui fit environ 800 000 victimes, la Belgique, traumatisée, engagea une réflexion parlementaire. Le sénat de Belgique institua une Commission d'enquête parlementaire qui enquêta et rédigea un rapport parlementaire.

« Le 6 avril 2000, le Premier ministre belge Guy Verhofstadt assista à Kigali à la cérémonie commémorant le sixième anniversaire du génocide. Il saisit l'occasion de faire des excuses après six ans et “d'assumer la responsabilité de mon pays”, d'après ce que l'on a appris par la suite « au nom de mon pays et de mon peuple, je demande pardon » - Extrait du chapitre 15.52 du rapport de l'OUA ». 54

 

 

Sources

(1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Belgique
(2) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Belgique
(3) https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Waterloo
(4) Marianne Lamiraal http://www.lutte-ouvriere-journal.org/2004/12/09/bicentenaire-napoleon-dictateur-et-massacreur_9843.html
(5) http://www.arabesques-editions.com/parutions/articles/200623.html
(6) https://fr.wikipedia.org/wiki/38_t%C3%A9moins
(7) https://fr.wikipedia.org/wiki/Meurtre_de_Kitty_Genovese
(8) Jean-François Dortier http://www.scienceshumaines.com/38-temoins-un-mythe-scientifique_fr_28676.html
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Waterloo
(10) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Belgique
(11) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Belgique_de_1830_%C3%A0_1914
(12) https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9opold_II_%28roi_des_Belges%29
(13) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Belgique
(14) https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9opold_II_%28roi_des_Belges%29
(15) http://lutte-ouvriere.be/?p=1073
(16) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Belgique
(17) https://fr.wikipedia.org/wiki/Belgique
(18) https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle
(19) http://fr.metapedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle
(20) https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle
(21) https://fr.wikipedia.org/wiki/Belgique
(22) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Belgique_de_1945_%C3%A0_1993
(23) https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_de_Gr%C3%A2ce-Berleur
(24) https://fr.wikipedia.org/wiki/Nazir
(25) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Belgique_de_1945_%C3%A0_1993
(26) https://fr.wikipedia.org/wiki/Julien_Lahaut
(27) Ibid.
(28) https://fr.wikipedia.org/wiki/Campagne_des_18_jours
(29) https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_la_Lys_%281940%29
(30) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Belgique
(31) https://fr.wikipedia.org/wiki/Belgique
(32) https://fr.wikipedia.org/wiki/Question_communautaire_en_Belgique
(33) http://www.lutte-ouvriere.org/documents/archives/la-revue-lutte-de-classe/serie-actuelle-1993/ou-va-la-belgique
(34) https://fr.wikipedia.org/wiki/Belgique
(35) http://michelcollon.info/Menace-sur-les-acquis-sociaux-les,2892.html?lang=fr
(36) Ibid.
(37) https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Belgique
(38) https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_%28roi_des_Belges%29
(39) https://fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_Bourdouleix
(40) http://www.lutte-ouvriere-journal.org/2015/11/25/molenbeek-une-commune-populaire-sous-les-projecteurs_63462.html
(41) Carlos Perez http://www.investigaction.net/jaccuse-nos-hommes-politiques-de-voir-venir-mais-de-detourner-le-regard/
(42) Emeline Amétis http://www.slate.fr/story/110281/terroristes-13-novembre
(43) Farhad Khosrokhavar, « Radicalisation », Broché, 2014, p.138.
(44) Ibid. 174-175
(45) http://www.michelcollon.info/Attaques-terroristes-a-Paris-la.html?lang=fr
(46) Ibid.
(47) Interview de Nafees Hamid par Romain Renier http://www.alterecoplus.fr/international/la-principale-ressource-de-daech-ce-sont-ses-combattants-201512161200-00002702.html
(48) Conférence de Michel Collon. https://www.youtube.com/watch?v=w-dsut53Tfs
(49) https://fr.wikipedia.org/wiki/Ernest_Solvay
(50) Par Mateo Alaluf, professeur émérite de l’Université Libre de Bruxelles (ULB). Ce texte a été élaboré dans le cadre du Forum international qui s’est tenu à Lausanne les 20-21 et 22 mai 2015.
http://www.anti-k.org/2015/05/27/la-belgique-une-societe-en-crise-et-ses-expressions/
(51) http://www.lutte-ouvriere-journal.org/2015/11/25/belgique-gesticulations-niveau-maximal_63463.html
(52) https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentats_du_22_mars_2016_%C3%A0_Bruxelles
(53) Michel Collon https://www.investigaction.net/fr/attentats-de-bruxelles-non-monsieur-le-premier-ministre/
(54) http://survie67.free.fr/encyclopedie/5-GenocideRwandaInternational.htm